L’enfant inconscient au psychisme inabouti et fracturé, réuni aujourd’hui quelques confrères pour préparer la déclaration de guerre aux États-Unis et à la Russie, parce que le petit bout de choux avarié est vexé que J. D. Vance ait dénoncé l’absence totale de démocratie sur le vieux continent et son aveuglement quant aux invasions barbares venant de tous les horizons et surtout des pays islamistes, pour nous esclavagiser. Il n’aime pas les vérités, le bambin à sa maman. Si la troisième guerre mondiale est déclenchée, Macron n’y sera pas pour rien. Je suis né à la fin de la dernière guerre et je ne crois pas que le peuple de France ait envie de recommencer. Ce président bancal, inconsistant, sans conviction, ignorant tout des choses de la vie, aurait-il la perversité de nous engager dans le désastre assuré, sans consulter le peuple dit souverain ? Oui, assurément. Un enfant ne peut discerner le bien du mal, même si lui, enfant précoce, sait très bien ce qu’il fait. On n’est pas dans la merde !
Qui va m’expliquer pourquoi la droite dite extrême n’est pas fréquentable, alors que la gauche extrême islamiste l’est ? Qui va m’expliquer pourquoi Mélenchon, ses coqs et ses poulettes, des terroristes ignorants, primitifs cannibalistes, qui encouragent la violence et le meurtre, ne sont pas à l’ombre, dans des cachots tous noirs, avec pour seuls compagnons les gros rats dodus hildagoriens ? Qui va m’expliquer ce qu’est le centre sinon un grand trou noir entre les plateaux de la balance où chutent ceux qui ne font pas les différences ?
Le jour succède à la nuit qui succède au jour qui succède à la nuit. Chaque matin retrouve le jour de la veille. Depuis l’éternité nous remplissons nos tuyaux puis les évacuons. L’habitude engendre la monotonie. Et si nous faisions autrement, en regardant différemment, en écoutant différemment, en pensant autrement, en agissant autrement, en cessant de ne voir que l’arbre qui cache cette forêt où la vie foisonne de vie ? Les macrons, mélenchons et autres ignominies n’auraient plus cours et seules, les harmonies de Pelléas et les sonorités de Parsifal érigeraient le monde, l’autre, celui que l’on fuit par ignorance et surtout par lâcheté.
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