samedi 15 février 2025

le puits au fond du jardin • dans le fond de mon puits…


 


 

Dans le bordel ambiant et croissant, il est difficile de trier et de faire un choix sur l’essentiel. Tout est important et tout est dérisoire lorsque l’on arrive au bout de siècles d’erreurs et que la vie aura été rongée insidieusement de l’intérieur sans que personne ne s’autorise à le reconnaitre. Dois-je mettre en évidence le passé de Bayrou dont tout le monde – à part les psychopathes de Médiapart – se fout ? Ou bien le scandale de la suppression de C8, atteinte gigantesque à la liberté d’expression ? Ou alors, les remous provoqués par le discours lucide de J. D. Vance, vice-président des États-Unis, et sa rencontre avec Alice Weidel candidate du parti d’extrême droite allemande ? Comme je ne sais pas, je vais insister sur cette ignominie que je ne connais pas et que je n’ai jamais vu : Garnier, Sagazan, Gims, et les autres, présentés par la pitoyable et effrayante Salamé de France Inter, des moisissures qui trainent dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin.

 

À part ça, trois otages vont être libérés et je me demande combien de temps va encore durer ce cinéma cauchemardesque où triomphent les terroristes du Hamas, alors que le monde sait que jamais les nazis n’iront jusqu’au bout de leur promesse. Il ne reste que la solution dont personne n’ose penser.

 

Si le monde pensait différemment, s’il reprenait ses études à la première page du livre du savoir, s’il redécouvrait la fondamentale d’où surgit la branche, la feuille et la fleur, s’il analysait l’écriture - plus avancée que tous les progrès de la science du XXIe siècle – de Jean Sébastien Bach et les vérités fondamentales de la thérapie psychanalytique de Sigmund Freud, la terre serait capable de tourner dans l’autre sens et les oiseaux de chanter au fond des océans. Mais non ! L’homme est borné. À la connaissance il préfère la chute dans le fond de mon puits. Et l’on s’étonne que nous en soyons là, là où on en est aujourd’hui !

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