mercredi 27 août 2025

vu à travers le tube • mmmonsieur le président…

 

Ils l’appellent tous « président » et mieux encore « MMMonsieur le Président ». Praud dit qu’il faut respecter le président même si on ne l’aime pas, même si on le déteste, même si on le vomit, parce qu’il est le président de tous les Français. Moi, je l’appelle « enfant psychopathe » et je ne le respecte pas. Il doit y avoir à peine 5% de français qui l’apprécient et lui n’en respecte aucun. Macron est un déséquilibré psychique, ça saute aux yeux de tous et tout le monde se tait. Il a tout détruit et s’il y en a encore qui lui trouvent des circonstances atténuantes, c’est qu’eux-mêmes ont besoin des services de la psychiatrie. Hier, un auditeur d’Europe 1 expliquait qu’il ne supportait pas ses attouchements vis-à-vis de ses hôtes masculins – moi aussi -. Il s’est fait virer de la station, manu militari, par Praud qui ne supporte pas qu’on aborde les problèmes d’homosexualités dans ses émissions. Bref, l’enfant a dit qu’il ne démissionnera pas et que s’il avait creusé la dette, c’était pour alimenter le quoi-qu'il-en-coûte que les Français ont tant adoré et que maintenant c’était à eux d’économiser et de travailler. Ben voilà ! Tout est dit. Et quand on sait que la moitié des Français ne travaille pas et ne paie pas d’impôt, on se demande pourquoi personne ne parle du sujet, parce qu’ici, il y aurait des milliards d’économies en puissance. Et quand donc le gamin va-t-il nous débarrasser de la vieille Borne à qui il a confié l’avenir : l’Éducation ? L’alzheimerienne inaugure pour cette rentrée son nouveau programme qui va remplacer les additions, le passé simple, Napoléon, la communauté des communes, Mozart, Balzac, Euripide, Boulez, Picasso, Modigliani, Robespierre, par « l’éducation à la vie affective relationnelle et à la sexualité ».  WAOUH ! Nous sommes bien toujours en pleine chute dans le noir du fond de mon puits où croupissent les morts-vivants et les vivants-morts, dont les hurlements viennent du fond de mon jardin, surtout quand les pensionnaires réalisent que le noir du fond de mon puits n’a pas de fond.

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