Le conseil d'administration du Deutsche Oper Berlina confirmé la prolongation du contrat du PDG Thomas
Fehrle, du directeur général Dietmar Schwarz et du chef d’orchestre Sir Donald
Runnicles. Ils ontconsidérablement
façonné et poussé à avancer le développement artistique et économique de l’établissement,
ces dernières années.
Le Premier Godillot du Roi de France a dit NON. Un NON catégorique. Les
librairies ne ré-ouvriront pas et la partie livre des grandes surfaces fermera
dès ce mardi. Cela saute aux yeux. Soit
le pouvoir souhaite que l’on brûle les livres - François Truffaut, Fahrenheit
451 (1966) -, le savoir et la lumière n’étant pas destinés aux peuples, soit le
Roi et sa cour godillote ont des actions chez Amazon. Ce qui est certain c’est
que tout est fait pour son développement. J’espère seulement qu’il va y avoir suffisamment
de livreurs pour acheminer tous ces colis remplis de culture. On ferme les
petits commerces et on laisse le métro et les transports en commun fonctionner,
on envoie les enfants à l’école, ce qui met en présence des milliers et des
milliers de gens - élèves, parents accompagnateurs, professeurs - et met en en
branle le transport scolaire - aie ! - sans se poser de questions. Qu’est
donc ce pays gouverné par une seule personne - un enfant immature - où l’on n’est
pas capable de savoir ce que l’on veut ? Soit on confine et c’est TOUT LE
MONDE, soit on ne confine pas et c’est PERSONNE ! Êtes-vous sûr que
confiner serve à quelque chose sinon remplir prochainement les cabinets des psys ?
C’est dans les mois et années qui vont suivre la « fin » de la pandémie - en fait, on vivra avec -, que la terre va s’entrouvrir et cracher son feu. Et combien
vont dire : « Ah ! Si on avait su ! ». La désobéissance
est la vertu première d’une tête bien faite et d’une pensée construite.
Il doit se passer quelque chose puisque depuis au moins neuf mois, les
responsables de l’Etat - Roi de France et godillots rampants - se précipitent
ou sont précipités dans les studios radio et plateaux télé, une, deux, trois ou
quatre fois par jour, pour répéter inlassablement que la raison est de leur côté
et que les autres ne comprennent rien. C’est scandaleux, ignoble, usant et
fatiguant. Gouverner c’est prévoir a dit quelqu’un qui n’était pas con. Et
pourtant, en France, la prévoyance et le long terme n’ont jamais été à l’ordre
du jour. On improvise sans la moindre réflexion en fonction de l’humeur du
jour. La société est à terre, pantelante, brisée, sanglante et atrocement
souffrante. Les naïfs - largement majoritaire - sont persuadés que leur mise
sous les barreaux, en prison de fait, est la solution pour venir à bout d’un
virus qui n’est qu’un virus, du terrorisme islamique - avant il était catholique-chrétien
-, de la pauvreté, de l’exclusion, de l’injustice et de toutes les violations
de l’humanité. Ces mêmes naïfs aiment obéir le doigt sur la couture du pantalon
et n’ont jamais su ou compris que seule la liberté est le propre de l’homme.
Nous sommes partis pour des mois - voir des années - en captivité et la France oublie,
en chœur à l’unisson, 1789 et mai 1968. Les voix que l’on entend parfois, dans
les ténèbres, hurlent seules devant la vision du futur : l’esclavage et la
mort désignés et enchaînés. Honte à l’homme non abouti dont il reste à peine
les débris d’un enfant.
Le vrai problème, c’est bien ce « non-essentiel »
prononcé par le Roi de France. La nourriture de l'esprit n’est pas moins
essentielle que la nourriture de la chair. Dans les deux cas on meurt si on n’est
pas nourri. Le livre, bien évidemment, mais aussi le cinéma, le théâtre, le
concert, l’opéra, le musée, le bar, le restaurant, l’hôtel et tout ce qui est
social, sont l’essentiel de la vie. Le confinement est une grave erreur. Il n’est
que le résultat de l’ignorance et de l’incompétence de la médecine, lié au déni
des politiques qui depuis des années ferment des hôpitaux, suppriment des lits, et sont incapables de mettre en place une politique
sanitaire ou chaque coin de la France aurait son médecin et ses lieux de soins.
Le confinement est le résultat d’une incompétence générale soutenue par quelques
millions de français qui continuent à voter pour des incapables sans se poser
la moindre question. Le confinement, qui est loin d’être fini, va laisser des
traces insoupçonnables, des traces qui vont marquer gravement la vie des générations
à venir. Plus rien ne sera comme avant et le peu d’humanité que les anciens ont
pu connaître fondra au soleil quand ses rayons pourront pénétrer les nuages
permanents qui vont recouvrir la terre. L’avenir est d’un noir d’encre. Et les
grands coupables sont ceux qui prônent l’obéissance. Et puis... le confinement
doit être pout TOUS ou ne pas être. C’est ce qu’on appelle la SOLIDARITE
Sean Connery est mort ce matin. Il avait 90 ans. Il est connu pour son rôle
de Mark Rutland dans le célèbre film d’Alfred Hitchcock « Pas de pintemps
pour Marnie » (1964) au côté de Tippi Hedren.
Réfléchir, comprendre, dire non. La mise en prison avec exceptions
- une loi avec exceptions n’est pas une loi - de toute une population, pour la
deuxième fois, en sachant très bien que la conclusion sera la colère, la
violence et la mise à terre des peuples de toutes races, est chose faite. Le plus
exaspérant est la mise en cage des familles où les violences et meurtres vont
devenir monnaie courante. Briser une société organisée sans en mesurer les
conséquences est sans appliquer des mesures compensatoires - le fric n’est pas
un mesure compensatoire - est un crime. Dans certains pays le crime est puni
par la mise à mort. Les dirigeants de la France auront des comptes à rendre. J’espère
- bien naïvement - que la justice saura accomplir son devoir.
C’est confirmé de toute part, le Roi de France prend bien tout
seul ses décisions. Il ne consulte que pour la forme et même ses conseillers
les plus proches ne savent pas ce qu’il va dire lorsqu’il discourt à la
télévision. Seule sa vieille maman épousée et toute ridée est dans la
confidence et corrige ses fautes de syntaxe et d’orthographe. Et combien de ses
collaborateurs se sont étouffés au beau milieu de ses monologues interminables,
l’annonce étant le contraire de ce qu’ils croyaient avoir cru comprendre. Si celà
n’est pas un régime dictatorial, qu’est-ce donc ?
Que de commentaires superflus sur le taré de Nice qui a égorgé au
nom d’un Dieu. Que de crimes commis au nom de ce Dieu ou d’un autre depuis les
débuts de l’humanité. C’est dommage et un peu embêtant parce que Dieu n’existant
pas, je ne vois pas comment on peut faire pour parler au nom d’un Dieu et tuer,
toujours au nom de ce Dieu qui n’est que phantasme et chimère et que l’homme a
créé par sa pensée un jour de grande frayeur parce qu’il avait peur du tonnerre
et des éclairs qui ne sont que des manifestations naturelles de la nature et qu’il
ne le savait encore pas. Et si ce Dieu existe vraiment, comment peut-il être
honoré lui qui a créé un monde où la souffrance domine tous les continents ?
Si Dieu existe c’est un gros salaud et il est certain que c’est lui qu’il faut
égorger. Mais cela n’arrivera pas. Ce crime justifié ne sera pas perpétré. Dieu
n’existe pas.
Orchestre de
la Société des Concerts du Conservatoire
Peter Maag,
direction.
Enregistrement
par les soins de l'ORTF de la représentation donnée le 15/07/1964 au théâtre de
l'Archevêché d'Aix-en-Provence (mise en scène de Jean Meyer)
Mozart, Don
Giovanni ("Ah, fuggi il traditor!" Acto 1)
Wojtek
Drabowicz (Don Giovanni)
Véronique
Gens (Donna Elvira)
Regina Schörg
(Donna Anna)
Marcel
Reijans (Don Ottavio)
Orquestra
Simfònica de l'Acadèmia del Gran Teatre del Liceu
Sa Majesté, Sa Grandeur le Roi de France a dit. Il me renvoie en
prison dès demain et pour une durée indéterminée. Il a grossièrement menti en
fixant la date de sortie - éventuelle - au 1e décembre. J’y suis
pour un bon bout de temps et la mort m’emportera sûrement bien avant de
retrouver le soleil. Je n’ai rien fait de répréhensible et je ne comprends
toujours pas pourquoi je suis puni. Les seuls responsables de la propagation de
Corne à Virus - qui n’est qu’un virus parmi des milliers - ce sont les immondes
crétins de médecins - surtout ceux en istes - qui sont payés pour soignés et guérir
et qui font semblant de savoir alors qu’ils ne savent rien et le Roi de France qui
se dédouane en appliquant leurs « conseils » maléfiques. Mais tout va
bien puisque la destruction de notre monde par des décisions dictatoriales est
approuvée par une immense majorité de crapauds rampants qui font croa croa croa
et qui chient dans le pantalon qu’ils n’ont pas. Les français n’ont pas de
couilles. Même les femmes. Dans certains pays on se révolte, on manifeste dans
la rue, on hurle sa haine du pouvoir. Ici on se recroqueville dans les coins
sombres et on tremble : Corne à Virus est là avec ses gros yeux qui
sortent des orbites. Et Corne à Virus mange tout ce qui bouge. C’est terrifiant ! Pas Corne à Virus, mais
la lâcheté. La lâcheté collée à la peau des morts-vivants.
PS 1 : selon plusieurs sources pas encore officielles, la
sortie de prison ne serait pas prévue avant courant janvier… c’est rigolo, n’est-ce
pas ?
PS 2 : un pays sans théâtre, sans cinéma, sans concerts et opéras
est un pays qui s’engage sur la voie de la dictature. L’histoire du monde a
toujours été ainsi. Alors réfléchissez les confinés abrutis !
Ras-le-bol de Corne à Virus qui, depuis plus de huit mois,
gouverne les radios et les télés et tente de forcer ma porte pour se repaître
de mon sang vieux de 76 ans. Mais, j’ai fermé ma porte à clé et ma clé et dans
la poche de mon pantalon. Heureusement, il y a tout de même une bonne nouvelle :
les français sont contents. Dès jeudi soir, leur Roi bien aimé Sa Majesté
Macron va les remettre en prison pour un bon mois et plus, derrière les
barreaux pour méditer sur leur insupportable désobéissance. Ils ont craché sur ses
lois en essayant de vivre une dernière fois avant de mourir sûrement parce que
Corne à Virus, et comme vous le savez, a déjà largement entamé sa mission :
tuer tous ces cons de crapauds qui font croa et qui rampent sur la terre. Moi,
maintenant, je vais mettre mon manteau de pluie et allez, comme chaque matin -
ce sera probablement le dernier - prendre mon café chez Leclerc et papoter
toute la matinée avec mes copines et copains de buverie.