samedi 13 mars 2021

vu à travers le tube • bravo dupontel !

« Adieu les cons » - bravo Dupontel - a triomphé aux mornes et consensuels Césars 2021, qui se sont déroulés - contrairement aux pubs - dans la moiteur d’un soir d’hiver autour d’une cheminée bayrousienne. Film prophétique ? Hélas non. Ils sont là et avancent à pas feutrés et envahissent les trous vides. Je n’ai pas tout regardé. C’est fatiguant d’entendre à répétitions spontanées je remercie papa, maman mémé, pépé, le chien, sans lesquels je ne serais pas là. C’est fatiguant d’attendre patiemment que Bachelot pique sa crise et sorte à la Haenel - psychotique excitée - en hurlant je vous emmerde. Au fait, y était-elle ? Je ne l’ai ni vue ni aperçue elle qui ne peut être qualifiée d’invisibilité.  C’est sans doute ma vue massacrée par l’âge ! Ils étaient bien ridicules ces gens masqués et triés pas plus nombreux que l’orchestre qui n’était PAS dirigé par Biollay - figuration devant un piano à queue - mais par un inconnu dont je n’ai pas entendu le nom. C’est sans doute mon ouïe massacrée par l’âge ! Bref. Bravo Dupontel !


vendredi 12 mars 2021

mots en lien • sophie et marie



 

Sophie pince, à en mourir peut-être au bout du chemin, les nœuds et cordes qui régissent son sommeil à l’abandon du drame de Marie en corbillard travesti en effigie prise dans l’étau. Elle lui dit t'aurais pas du feu ? Elle dit si. Elle agace, elle sait. Elle est passée à pire.

 

haG


anniversaire • création de « moïse et aaron », opéra d’arnold schönberg, il y a 67 ans aujourd’hui



 

En savoir plus…

https://fr.wikipedia.org/wiki/Moses_und_Aron

 



Arnold SCHÖNBERG - Moses und Aron [complete version]

Act I: 0:01:22

Act II: 0:50:38

Act III. (composed and elaborated by Zoltan KOCSIS using Schönberg's own libretto, sketches, and tone rows/themes) 1:42:18

 

MOSES - Wolfgang SCHÖNE

ARON - Daniel BRENNA

PRIEST - Krisztián CSER

A YOUNG GIRL: Borbála KESZEI

A MAN: László LISZTES

AN ILL WOMAN: Andrea LEHŐCZ

EHPIRAIMIT: Ádám

HORVÁTH THE YOUNG MAN AND THE YOUNGSTER: István HORVÁTH

 

National Choir (cond. Mátyás ANTAL)

The Choir of the Singer School of Budapest (cond. Tamás BUBNÓ)

The 'Honvéd' Men's Choir: (Richárd RIEDERAUER)

Scenery: Edit ZEKE

Director: Eszter NOVÁK

 

Hungarian National Philharmonic Orchestra

Zoltan KOCSIS, conductor

 



Arnold SCHÖNBERG - Moses und Aron

00:00​ I. Akt

46:07​ Zwischenspiel Arnold SCHÖNBERG - Moses und Aron

48:02​ II. Akt

 

Franz Mazura – Moses

Philip Langridge – Aron

Aage Haugland – Priester

Barbara Bonney – Mädchen

Mira Zakai – Eine

Kranke Daniel Harper – Junger Mann

Thomas Dymit – Der nackte Jüngling

Herbert Wittges – Ein Mann / Der Ephraimit

Kurt Link – Andrer Mann

Chicago Symphony Chorus & Orchestra

Georg Solti, direction

 

1984

 

 

Autres anniversaires…

https://soclassiq.com/fr/anniversaires/today/


le puits au fond du jardin • nous sommes deux à nous en foutre…

 

Mon puits au fond de mon jardin


 

Attaqué de partout, Didier Raoult s’en fout, et il a bien raison. Face aux tarés-fêlés …gistes et …logues et à leurs suppôts a-politicardiens.diennes, il n’est pas plus méprisable que la totalité de cette horde de moralistes pédants et hors du temps, qui vivent leur vie derrière des micros et dans les écrans. Et moi qui suis dans la même situation que Raoult et qui ne suis pas professeur, je me fout que mon tube matinal que je ponds depuis plus du dix ans ne soit lu que par une ou deux personnes - que je remercie vivement - sur mes plus de quatre mille « amis » facebookiens.iennes. Si mes lignes sont méprisées, c’est qu’elles n’évoquent que les réalités des bébés jetés violemment hors des corps féminins et laissés à l’abandon le plus total en raison de l’incapacité de la femme à leur montrer le chemin qui mène à la lumière qui autorise à passer du stade primaire au stade adulte penseur et responsable de ses convictions et de ses actes. Et comme je parle trop souvent de Freud - le seul qui a compris - il est évident que je suis rejeté puisque les sous-pensées comme les sur-(pensées), le confondent  avec Hitler. Le monde n’est qu’ignorance - à tous les niveaux - et c’est seulement ce que j’écris.  

vu à travers le tube • où il est question d’astrazeneca et de freud…

 

Nombre de pays n’en veulent plus. Le vaccin AstraZeneca est un danger. Le Roi de France n’en a cure. Il persiste dans sa bordination - être borné -. Ce qui l’intéresse ce n’est pas la santé du peuple, mais sa ré-élection. Pour preuve, les parisiens et leurs proches voisins ne sont toujours pas confinés alors que là-bas, dans les sphères de l’Olympe, c’est la catastrophe.

 

Rarement on aura entendu autant de stupidités et de conneries de la part de tout le monde - Roi, élus, médecins, journalistes, badauds en tous genres - au sujet des deux enfants qui ont assassiné une enfant. Castex - un smiley pas même rigolo - a dit qu’il allait donner des milliards de milliards aux banlieues et que grâce à sa générosité, plus jamais il y aurait des enfants qui se promèneraient avec des couteaux de boucher, plus jamais il n’y aurait des viols dans les caves, plus jamais il y aurait des vendeurs de drogue dans les escaliers, plus jamais il y aurait des guerres entre les bandes rivales, plus jamais les enfants nés sans parents seraient livrés à eux-mêmes, plus jamais les pompiers et les policiers seraient reçus à coups de mitraillettes, bref, smiley a dit que désormais les citées seraient à l’image du paradis terrestre cher à Ève et à son merveilleux Adam. Moi, je sais - je sais - que pour résoudre tous les problèmes de la terre qui sont mille fois plus volumineux que la terre elle-même, il faut rencontrer Freud et suivre ses instructions. C’est tout. Et il n’y a rien d’autres à faire, quoiqu’en disent les bien-pensants et les mal-pensants aussi.     

jeudi 11 mars 2021

mots en lien • anne-sophie et arthur

 



 

Anne-Sophie sublime dans l’ignorance de ses contradictions, de ses perversions, de ses narcissismes, de ses rêves allumés dans l’ennui le plus crasse, le plus épais, que même Arthur, en habit, ne parvient pas à l’imiter, ne sait pas que la jeunesse, la pire, a vécu dans une fausse netteté pressentie dans l’enfance, quand elle parlait le langage des autres sans l’expliquer.

 

haG

vu à travers le tube • les enfants criminels…

Deux enfants de 15 ans ont assassiné une enfant de 14 ans. Et cette pauvre société offusquée se lamente. Au lieu de pousser ses cris effarouchés elle ferait mieux de se regarder dans les yeux et en crever de honte. Ces enfants fêlés, brisés, sont nés morts sous le poids de leurs générations précédentes sous l’incompétence de parents tous aussi fêlés, brisés et tarés. Ces derniers sont coupables à 100% comme le sont à 100% les criminels en herbes et la victime inconsciente. La justice, la morale, les discours hystériques des politiques, des journalistes, des pseudo-psys, n’y feront rien et ça se reproduira, ça se reproduira, ça se reproduira à intervalles de plus en plus rapprochés. Il faudra bien un jour se poser la question de la mère coupable qui pond dans l’ignorance, sans rien connaître de l’enfant et du processus pour le guider dans une vie de plus en plus noire encre, de plus en plus culpabilisante, de plus en plus décharnée et dépourvue de sens. Cette toute la société qu’il faut remettre en cause et pour cela, c’est l’individu et non le groupe qu’il faut re-former, re-construire, re-incenter et qu’il faut décrasser de toutes les formes de pensées accumulées au fil des siècles. Et la seule thérapie pour se débarrasser de ces océans de merde, c’est la psychanalyse et uniquement la pensée de Freud. Peu importe l’immense majorité des ignorants qui croient que le vide qui les attire va se combler de lui-même, il faut forcer le barrage des primitifs englués dans la fange et tout remettre à plat avec l’homme.femme au centre des débats. Entre les politiques véreux, les femmes hystériques, les enfants criminels, les journalistes péteux, les hommes naïfs et l’ensemble des moutons rampants aux côtés des crapauds croassant, l’homme.femme est devenu un rien, inutile et insultant. C’est le monde qu’il faut changer et non le Roi de France qui, quelques soient l’époque et les circonstances restera le Roi de France copier-coller, un pantin désarticuler qui se permet de tout décider - SEUL - pour tout le monde parce que la pensée humaine n’a pas encore eu l’idée d’inventer la démocratie, le seul régime compatible avec la lumière inventée pour éclairer les cerveaux abrutis.      


mercredi 10 mars 2021

flash info

Christian Chorier, qui avait été directeur artistique du Festival de Montreux et surtout directeur du Théâtre de Poissy dont il aura magnifié le lyrique et notamment le baroque est décédé le 6 mars 2014, il y a 7 ans, des suites d’une maladie. Je l’avais connu quelques années auparavant. Nous avions sympathisé d’abord par l’intermédiaire de nos blogs puis dans la vie. Nous avions ensemble une passion peu commune pour l'art lyrique et nous échangions régulièrement en espérant faire connaître au monde cet art inconnu et souvent méprisé qu’est l’opéra et le talent des artistes qui le porte. Il appréciait mes billets comme j’appréciais se critiques toujours justes et pertinentes. Un ami s’en est allé. Je ne l’ai jamais oublié… (haG)

 


vu à travers le tube • 1789…

On confine, On re-confine. On dé-confine. Certaines régions. Pas d’autres. Et personnes ne comprend pourquoi Quelles que soient les explications-mensonges. Ce qui est sûre, c'est que Paris et son environnement où vivent très peu d’habitants et on le comprend, ne peut avoir aucun lien avec cette loi liberticide. Là-bas, tout est tranquille. Tout est calme. Le métro roule pour le plaisir. Il ne s’arrête même plus aux stations vides. Les rues sont intégralement rendues aux sans-logis qui ne récoltent plus un sou puisque que les habitants sont devenus inexistants. Paris est désormais la ville-fantôme par excellence et on comprend que rien de désagréable ne soit imposé. Ailleurs, ce n’est pas du tout pareil. Dans ma petite ville de 20 000 habitants - je crois - les rues sont bondées d’inoccupés occupés à ne rien faire qui n’ont jamais entendu parler du couvre-feu. Jusqu’à 22 heures ou parfois plus, les jeunes chantent dans la rue, se chamaillent, sortent des couteaux se poignardent où s’embrassent comme au cinéma où j’ai connu Brigitte Bardot. Ils y tirent même des feux d’artifices qui font boum-boum avec des pulsions de couleurs diverses. Et j’ai beau scruter par ma fenêtre, je ne vois pas une seule ombre d’un policier. Après 18 heures, c’est l’heure du dodo. Couvre-feu ou pas ? Confinement ou pas ? Virus ou pas ? Bien malin qui pourra répondre. Et comme je suis malin comme le malin, je réponds : enfumage, mensonge, déni, incompétence. Il est temps de changer de Roi. Mieux : il est temps de reprendre la révolution de 1789, à l’endroit où on l’a laissé : le moment où Bonaparte a quitté son île dans l’intention de prendre la place du Roi et mieux que le Roi en se sacrant Empereur. Saloperie !

 

PS : on n'a toujours pas inventé la démocratie... et on n'est pas près de l'inventer. L'homme.femme est vraiment nul.e ! 


mardi 9 mars 2021

mots en lien • laura et nadia



 

Les corps de Laure et Nadia s'entregrappent dans le brouhaha des péquenots épuisés, aux abysses des cimetières où s'éternisent les mirages d'étreintes désespérées qui brûlent de cendres grises.

 

haG


anniversaire • création de la symphonie n°5, dite " di tre re ", d’arthur honegger, il y a 70 ans aujourd’hui


 


 

En savoir plus…

https://fr.wikipedia.org/wiki/Symphonie_n%C2%BA_5_(Honegger)

 



Arthur Honegger, Sinfonia n.5 "Di Tre Re" (1950).

I. Grave

II. Allegretto - Adagio - Allegretto - Adagio - Allegretto

III. Allegro marcato

 

Danish National Radio Symphony Orchestra

Neeme Järvi, direction.

 



Arthur Honegger,  Symphonie n° 5 « di tre re » (1950)

1. Grave (0:00​)

2. Allegretto (08:30​)

3. Allegro marcato (18:08​).

 

Orchestre National de l'ORTF

Georges Tzipine, direction

 

28/07/1968

 

 

 

Autres anniversaires…

https://soclassiq.com/fr/anniversaires/today/

vu à travers le tube • et encore l’immonde journée de la femme…

La journée de la femme a fatigué le monde. Elle m’a exténué. Sans interruption, 24 heures durant, sur toutes les radios, sur toutes les télés, sur toutes les pages internet, on a entendu et vu l’éloge de son sexe, la fascination pour son courage mythique, l’admiration pour sa lucidité légendaire et la lamentation sur sa situation de victime atrocement esclavagisée et réduite à l’état de flacon de produit à vaisselle. J’en suis resté sur le cul. Je ne suis pas responsable de la condition de la femme. Je ne suis pas responsable de ma propre condition puisque je ne suis que le fruit - la chair - de la femme coupable qui s’est bien gardée de me demander mon avis quant à mon désir ou non de voir le jour et de goûter à la vie.  Dans ma longue vie, j’ai été marié, j’ai eu des marmites de maîtresses, et je n’ai trouvé que mesquinerie, jalouserie, perversité, J’ai surtout rencontré des petites filles non abouties prenant les hommes pour des abrutis-larbins à leur service. Et je sais que je suis loin d’être le seul à avoir connu ou à connaître cette déplorable-minable situation intolérable. Le monde n’est que problème. Et nombre de gros cons.connes croient pouvoir les résoudre en pétitionnant, en marchant dans la rue, en réveillant la justice, en écrivant des livres - il n’y a jamais eu autant d’écrivaines de bas-étages - en vociférant et se plaignant dans les radios et les télés. Elles auront beau remuer le ciel et la terre qui n’en n’ont rien à faire, tout cela est nul et ne sert strictement à rien. C’est chaque individu de chaque sexe qui doit comprendre qu’il doit sortir de sa bulle empoisonnée et conditionnée que lui a léguée la femme - toujours coupable - qui l’a expulsé de son ventre. Et pour sortir de ce lieu maudit, il faut pousser la porte de Freud qui aidera à découvrir son miroir, à le reconnaitre, à le connaître et à le traverser. Sans la psychanalyse à haute intensité, rien. Rien. Absolument rien.      


lundi 8 mars 2021

mots en lien • janolapin, juliette et papa



 

Janolapin, par un vertige fort dans la tête, dépèce le voile intime de la dame d'un galopin avec papa rigolo. Juliette sur papa, jambes croisées à toucher les ombres.

 

haG


anniversaire • le compositeur allemand, carl philipp emanuel bach, aurait 307 ans aujourd’hui


 


 

En savoir plus…

https://fr.wikipedia.org/wiki/Carl_Philipp_Emanuel_Bach

 



Carl Philipp Emanuel Bach - Cello Concerto in A minor, Wq 170

1:00​ I. Allegro assai

10:38​ II. Andante

18:26​ III. Allegro assai

 

David Adorján - cello

Bach Collegium München

Christopher Hogwood, direction

 

Munich, 1998

 



Carl Philipp Emanuel Bach, Flute Sonata in D Major, Wq. 131, H. 561

0:37​ Andante

2:55​ Allegretto

7:07​ Allegro

 

Luis Martínez Pueyo : Traverso

Alfonso Sebastián Alegre: Harpsichord

 



Carl Philipp Emanuel Bach, Symphony No.1 in D major, H.663

01. Allegro di molto

02. Largo

03. Presto

 

Orchestra della Svizzera Italiana

Ton Koopman, direction

 

 

Autres anniversaires…

https://soclassiq.com/fr/anniversaires/today/

vu à travers le tube • jour de terreur…

Jour de terreur, jour de l’erreur, jour de l’inconscience de l’adulte non abouti, en ce jour de la femme. Depuis l’aube des temps la femme est massacrée, découpée, écrasée, déchiquetée, réduite à néant. La femme est assassinée par sa propre chair qu’elle expulse violemment de son ventre sans que l’adulte en devenir qui deviendra très rarement et pour ainsi dire jamais, ait pu donner son consentement. La femme est coupable d’engendrer le monstre. Peut-être est-ce de ce côté qu’il faut creuser. Mais, si déjà son salaire inférieur de 26% à celui de l’homme passait à l’égalité, un grand pas serait franchi. Et ce dernier point est facile à régler : soit un décret du Roi de France entrant en vigueur dès demain matin, soit une loi votée par le parlement, en urgence. Qui va oser, parmi ces élus.es menteurs.euses, pervers.es et ignorants.es, faire le premier pas ? Quant à la violence, je ne vois que deux solutions : 1. La mise à mort de l’homme. 2. Pousser la porte du cabinet de Freud pour tous les êtres humains - femmes et hommes, sans exception - afin de les aider à accéder au stade d’adulte et de compréhension.

 

Ps : pourquoi n’aborde-t-on jamais le problème de l’homme violenté, de l’homme violé, de l’homme désincarné par la femme perverse ?