anniversaire • la soprano américaine, angel blue, a 37 ans aujourd’hui

 

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https://fr.wikipedia.org/wiki/Angel_Blue

 

Weltstar Plácido Domingo und die amerikanische Sopranistin Angel Blue singen das Duett aus Verdis Oper 'Il Trovatore': "Udiste? Come albeggi, la scure al figlio..."/IV.Act - (iTunes Festival London 2014, Royal Philharmonic Orchestra, Conductor: Eugene Kohn)

 

Angel Blue sings an excerpt from Mimì’s Act I aria during the final dress rehearsal. Production: Franco Zeffirelli. Conductor: Alexander Soddy. 2017–18 Season.

 

En cet été 2019, TOSCA est le premier ouvrage de Puccini qui soit programmé au Festival d’Aix-en-Provence depuis sa fondation en 1948, dans une mise en scène de Christophe Honoré et sous la direction musicale de Daniele Rustioni. Le nouveau spectacle imaginé par Christophe Honoré, homme de théâtre et de cinéma réputé, est entièrement construit autour de la figure de Tosca en tant que cantatrice. Mêlant jeu théâtral, films d’archives et travail de vidéo en direct, il met en scène une chanteuse retirée des scènes, rêvant de son retour dans ce rôle des rôles qui fut un accomplissement pour les divas les plus fameuses – Maria Callas en tête.

 

Floria Tosca : Angel Blue

La Prima Donna : Catherine Malfitano

Mario Cavaradossi : Joseph Calleja

Il barone Scarpia : Alexey Markov

Cesare Angelotti : Simon Shibambu

Il sagrestano : Leonardo

Galeazzi Sciarrone : Jean-Gabriel Saint Martin

Spoletta : Michael Smallwood

Un Carceriere : Virgile Ancely

Le Majordome : Jean-Frédéric Lemoues

Pompier : Frank Daumas Musiciens : Rocco Manfredi, Matthieu Rieusset

 

Chœur de l’Opéra de Lyon - direction Hugo Peraldo

Maîtrise de l’Opéra de Lyon - direction Karine Locatelli

Orchestre de l’Opéra de Lyon - direction Daniele Rustion

 

Mise en scène : Christophe Honoré

 

 

Autres anniversaires…

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vu à travers le tube • cette fois nous y sommes…

Cette fois, nous y sommes dans cette grotte noire comme la nuit, cinglée de feux follets zigzagants et de sons étranges, sourds et lourds comme les tubas de la fin des temps. La campagne électorale pour désigner le nouveau Roi de France, l’ancien, bat son plein et déverse ses flots de mensonges, de racolages et de manœuvres suicidaires. La moitié des français - un peu moins peut-être - va jouer ce jeu malsain qui ne peut être mis entre toutes les mains. Seuls les adultes devraient y avoir droit, mais à condition de savoir où ils sont. Et voilà que celui-ci veut faire alliance alors que l’autre veut se la jouer seul pour avoir le triomphe glorieux et régner en maître absolu comme le font tous les élus. Et voilà qu’ils sont tous là, agités et survoltés pour prendre de vitesse l’ennemie publique numéro un, clouée au pilori depuis des décennies et qui est sûre de s’asseoir sur le trône, comme elle l’était la fois d’avant et aussi la fois d’avant et aussi la fois d’avant, alors que le trône sera occupé par celui qui l’occupe aujourd’hui parce que les français aiment les enfants qui aiment leur maman et qui fouettent, cassent et déchiquettent leurs poupées qu’ils avaient tant désirées. Les mots les plus ignobles font déferler et chacun leur trouvera une signification différente et encore et toujours différente du vrai, de la vraie réalité. Et c’est ainsi, comme cela a toujours été, qu’un homme ou une femme - un enfant déjà installé pour cette fois - va occuper le vide sinistre de l’Élysée, le château officiel des puissants impuissants qui précipitent la société dans le noir du fond du puits du fond de mon jardin.   

anniversaire • création du trio pour hautbois, basson et piano de francis poulenc, il y a 95 ans aujourd’hui

 

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https://fr.wikipedia.org/wiki/Trio_pour_hautbois,_basson_et_piano

 

Poulenc: Trio pour Hautbois, Basson, et Piano, FP 43

I. Presto (0:00​)

II. Andante (5:14​)

III. Rondo (9:46​)

 

Oboe: Pierre Pierlot

Bassoon: Maurice Allard

Piano: Francis Poulenc

 

Studio Recording, 1957

 

Poulenc: Trio for piano, oboe and bassoon Henri Sigfridsson, Rachel Bullen and Etienne Boudreault

 

Poulenc Trio for Oboe, Bassoon and Piano op.43

 

Oboe - Jungin Yun (오보에 윤정인)

Basson - Hanul Park (바순 박하늘)

Piano - non indiqué

 

Norfolk Festival_Yale University

 

 

Autres anniversaires…

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vu à travers le tube • la mort d’isolde

En région PACA, les républicains (LR) et les macroniens (LREM) marchent, courent et copulent la main dans la main montrant ainsi que le nouveau parti politique LRlrEM se prépare aux élections du prochain Roi de France, alors qu’en France la tête du Roi a été coupée et que jamais elle ne serait revenue si un traitre Corse n’était venu trahir la révolution en se proclament - lui-même, tout seul, comme un grand, alors qu’il était infiniment petit de taille et d’esprit - Empereur de la France, au nez et à la barbe de tous les naïfs de cette terre qui ne cesse de se faire enculer et d’en jouir. Le Roi de France actuel, un adolescent incapable de passer à l’âge adulte, était assuré d’être réélu. Maintenant, il en est sûr. La Monarchie dictatoriale n’en a donc pas fini et ce n’est n’y demain, ni après-demain que le peuple songera à inventer la Démocratie. Et chez ces innombrables naïfs - une louchée ramassée dans la marmite - certains croient encore - dur comme fer - au triomphe de leur Sauveur, copié-collé de Jésus - pondu par une vierge qui a trompé son mari avec un ange à ailes et qui est restée vierge malgré -, l’inégalable méchant grognon Mélenchon qui a déclaré hier - sur des barricades - que le prochain 1^e mai - celui de 2022 - il serait Roi avec pour 1^e ministre son Fou rouquin qui parle très bien et même encore mieux qu’une machine à écrire. Les français vont-ils un jour se réveiller et donner ce coup de pied salvateur dans la fourmilière pour tout faire éclater ? Non ! Ils vont plutôt aller voter, glisser dans la fente de l’urne leur bout de papier cul de leur main tremblante guidée fermement par l’intoxication des mots-pubs qu’on a su habilement leur inculquer. Ce sont des cerveaux fabriqués, des pensées conditionnées, des gens formatés qui se présentent aux urnes et qui décident du sort de la majorité qui refuse de jouer à ce jeu. Encore et encore, je ne voterai pas. La loi des politiques - élus ou non - est l’infamie de la vie. Voter, c'est désigner son bourreau. Je préfère me mettre hors-piste et observer la chute vertigineuse de tous ces farfelus dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin. Quand tous y seront tombés, je fermerai le couvercle et assis dessus, je contemplerai la lumière du lever du soleil en saluant Tristan, Parsifal, Cooper, Laura, Marnie, Rebecca et les autres.   

vu à travers le tube • déchéance…

Ça se chamaille, ça se critique, ça se bouscule, ça s’invective, ça s’engueule, ça se menace, ça se méprise, et la pseudo-démocratie appelle cela l’échange pour le célèbre et hilarant vivreEnsemble auquel jamais personne n’a cru, jamais personne ne croit, jamais personne ne croira. Pour vivre ensemble, encore faudrait-il qu’il y ait matière pour réaliser cet utopique rêve philosophique. Chaque être (in)humain est unique et j’en connais peu qui ait envi de communiquer avec l’autre dont il se méfie parce qu’il pourrait bien déranger son précieux confort illusoire, ce qui est loin d’être une bêtise. Pour s’entendre, avec l’autre, pour que la compréhension soit mutuelle et sans ambiguïté, encore faudrait-il être de la même composition, de la même facture, de la même forme de pensée. De toutes les races de l’univers, rien n’est plus dissemblable que la race humaine et ceci est criant dans le couple hétéro - les autres couples, je ne sais pas - où le dialogue tout au long de la vie dépasse rarement les noms d’oiseaux et la misère tellement cachée aux autres qu’elle finit par être cachée à soi-même. Vivre, c’est être attaché à la liberté la plus absolue, c’est être seul - à deux parfois… si… si… -. Vivre, ce n’est pas désigner des chefs à tous les étages pour se faire humilier. Vivre, ce n’est pas nager jusqu’à épuisement dans le courant unique, sans même savoir où il nous mène. Vivre, ce n’est pas écouter béatement les connards et connasses qui parlent dans les écrans et qui promettent la lune alors qu’ils vous laissent crever sur les trottoirs et dans les caniveaux. Vivre, c’est se prendre en charge soi-même en partant à la recherche de son miroir, en le trouvant, en s’y regardant, en s’y reconnaissant et en le traversant. Vivre, c’est être soi, rien que soi, et se foutre de ceux qui croient que la solution à leur problème ne peut être que le sauveur, le Dieu et le Roi. Le problème de l’homme, c’est qu’il aime être frappé et humilié en permanence, ce qui lui donne l’occasion de crier sa souffrance. S’il n’était pas un super maso, qu’aurait-il donc à dire ? Rien et il perdrait le langage comme il a déjà perdu la raison.

anniversaire • le pianiste bulgare, youri boukoff, aurait 98 ans aujourd’hui

 

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https://fr.wikipedia.org/wiki/Yuri_Boukoff

 

Liszt sonata in B minor performed by Yury Boukoff in 1983.

 

Schumann, Konzert Für Klavier Und Orchester A-moll, Op. 54

0:00​ : Allegro Affettuoso

15:18​ : Intermezzo - Animato Gracioso, Attaca

20:15​ : Allegro Vivace

 

Yuri Boukoff, piano

Londoner Philharmoniker

Artur Rodzinski, direction

 

Prokofiev - Youri Boukoff (1957) Piano Sonata No. 7 in B♭ major, Op. 83

0:00​ : Allegro inquieto (in B-flat major)

8:12​ : Andante caloroso (in E major)

13:44​ : Precipitato (in B-flat major)

 

 

Autres anniversaires…

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le puits au fond du jardin • un chef au repos…

 

Fraichement nommé et pour sa première saison à l’opéra de Paris, Dudamel va diriger "Les Noces de Figaro" et "Turandot". j’espère que son salaire est en rapport avec ce travail harassant qu’il va fournir dans sa nouvelle maison. J’ai beau regarder de toutes parts et Paris en est l’exemple même, où sont passés les directeurs de maisons d’opéra d’antan et où sont passés les chefs d’orchestre qui remplissent leur mission. Quels que soient les beaux discours des Neef et Bachelot, pour la saison 2021-2022, Dudamel reste un chef invité. Et je ne suis pas sûr que ce soit le plus passionnant.

anniversaire • création de « perséphone », musique de scène sur le texte de la pièce d’andré gide, il y a 87 ans aujourd’hui

 

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https://fr.wikipedia.org/wiki/Pers%C3%A9phone_(Stravinsky)

 

Perséphone - melodrama for tenor, female narrator, chorus, children's chorus, & orchestra Written by Igor Stravinsky in 1934

 

A live performance of Igor Stravinsky conducting his musical drama "Perséphone", with Richard Lewis, tenor; Madeleine Milhaud, speaker; and the RAI National Symphony Chorus and Orchestra. 23 April 1958, Turin, Italy.

 

 

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vu à travers le tube • a-t-il dit ?

L’idée fait boule de neige. Elle est partie d’Aix-en-Provence et se déplace dans toute la France et même hors frontières. Selon elles*, Zemmour est le Roi des violences sexuelles. Il a violenté ici, là, et encore par ici, et encore par là. Il faudra bien qu’un jour, la femme cesse de pondre des mâles. Elle construit ainsi son propre malheur. Qu’il est triste d’être un homme au XXIe siècle et qu’il lui est dangereux de vivre sur cette terre, pourchassé sans cesse par la femme coupable qui l’a mis au monde sans lui demander son avis. Moi - homme - je suis si vieux que ma vie est finie. Tant mieux. Je respire.

 

Le Roi de France n’a pas parlé à la télé. Il a convoqué une dizaine de responsables de la presse régionale pour annoncer ce qu’il a décidé. Cet homme non abouti - il n’a jamais dépassé le stade de l’adolescence - est tellement obnubilé par sa réélection qu’il prend le contrepied de ses godillots - qu’il a nommé ministres pour un temps - et qu’il a voulu faire un immense coup d’éclat en faisant croire qu’il libérait la France. Cependant, il n’a pas dit où il avait caché la clé des chaînes qui entravent les poignets et les chevilles de ses sujets agenouillés et courbés que sont les français. Alors, c’est comme s’il n’avait rien dit. D’ailleurs, a-t-il dit ?

 

* les femmes

anniversaire • le chef d’orchestre britannique, thomas beecham, aurait 142 ans aujourd’hui

 

 

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https://fr.wikipedia.org/wiki/Thomas_Beecham

 

Johannes Brahms - Symphony No. 2 in D Major, Op. 73

I. Allegro non troppo 0:00​

II. Adagio non troppo - L'istesso tempo, ma grazioso 14:34​

III. Allegretto grazioso (quasi andantino) 23:18​

IV. Allegro con spirito 29:00​

 

Royal Philharmonic Orchestra

Sir Thomas Beecham, direction

 

Live at the Edinburgh Festival, 20 August 1956

 

Georges Bizaet, Carmen (intégrale)

 

Victoria de los Angeles, soprano (Carmen)

Denise Monteil, soprano (Frasquita)

Janine Micheau, soprano (Micaëla)

Monique Linval, soprano (Mercédès)

Nicolai Gedda, tenor (Don José)

Michael Hamel, tenor (Remendado)

Ernest Blanc, baritone (Escamillo)

Jean-Christophe Benoit, baritone (Dancaïre)

Bernard Plantey, baritone (Moralès)

Xavier Depraz, bass (Zuniga)

 

Orchestre de la Radiodiffusion Franciase,

Sir Thomas Beecham, direction

 

1960

 

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anniversaire • la mezzo-soprano française, germaine cernay, aurait 110 ans aujourd’hui

 

 

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https://fr.wikipedia.org/wiki/Germaine_Cernay

 

Germaine Cernay, mezzo "Ne me refuse pas" Hérodiade, rec. 1930

 

Claude Debussy Pelléas et Mélisande « Voici ce qu'il écrit à son frère Pélleas… »

 

Geneviève - Germaine Cernay

Unknown orchestra

Unknown conductor

 

ermaine Cernay Le Roi d'Ys De tous cotés, j'aperçois dans la plaine Columbia LFX 318

 

-Charles Friant et Germaine Cernay - Werther - Il faut nous séparer - acte 1 scène 10 -Odéon 123 556

 

 

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vu à travers le tube • triste matinale…

 

 

 

 

 

 

 

Triste matinale de France Inter qui poursuit sa glorification des nullités de ce qu’on appelait, jadis, la chanson. Depuis 5h00 ce matin, on nous incitait à ne pas manquer l’interview de 7h55 de la trop célèbre inquisitrice Salamé qui recevait le génial, l’unique, le Dieu, le grand des grands et des plus grands, JeNeMeRappellePlusDeSonNomEtC'estSansImportance, le rappeur des rappeurs qui râpent encore mieux que la râpe à carotte ou que celle à fromage - dans le râp, je ne connais que celui qui a connu la gloire en battant/ou parce qu’il battait sa femme et qui a une gueule de voyou -, interview exclusive et qui allait réserver une énorme surprise à ses milliards de milliards de fansfans transis et aplatis devant son sur-génie déclaré. France Inter - la 1^e radio de France - est tombée si bas que je mets quiconque au défi de la ramasser. Et j’ai entendu la râpe. Il a dit qu’il n’avait pas grand-chose à dire et il a dit que sa grandiose surprise, c’est qu’il sera ce soir en direct à 23 heures sur JeNeSaisPasQuoi pour bégayer sa merde. Génial ! Le monde commence à me faire chier avec son rap, son rock et tous leurs dérivés. C’est si nul que je ne comprends pas que tous ces déchets avariés soient sortis de la pensée de l’homme. Moi, quand il me prend l’envie de penser, je lis Hugo, je dialogue avec Freud, je regarde Lynch, j’écoute Tristan ou Parsifal. Ça fait 77 ans que je les fréquente. Je ne m’en lasse pas et je n’ai aucune intention d’en changer ou d’en rajouter. Ma fidélité à la beauté liée à l’intelligence et l'émotion me permet de progresser dans mon éloignement de ce monde taré et tari à la source, incapable de discerner la clarté de la lumière du noir de la nuit.  

anniversaire • la soprano américaine, judith blegen, a 78 ans aujourd’hui

 

 

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https://en.wikipedia.org/wiki/Judith_Blegen

 

Judith Blegen - Milhaud: QUATRE CHANSONS DE RONSARD, Vienna recital 1982

 

 

 

 

Judith Blegen: Die Fledermaus: Adele’s aria (in English): Tucker Memorial: Carnegie Hall: 2/6/75

 

"Vorrei, spiegarvi"; Wolfgang Amadeus Mozart

 

Judith Blegen--soprano

Pinchas Zuckerman--conductor

Mostly Mozart Festival Orchestra

 

Judith Nlegen, soprano

Gilda's aria from a 1985 live Met broadcast of Verdi's Rigoletto.

 

 

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vu à travers le tube • parsifal ou… quelle importance ?

Et comme je ne comprends pas/plus ce monde absurde d’absurdités absurdes, je vais, ce matin, laisser aller les mots librement et à leur gré, sur la page virginale de mon tube de légende. L’armée française veut - dit-on - destituer le Roi de France et s’arroger le pouvoir avec pour prête-nom, Pen Le Marine, ce qui signifierait - si j’ai bien compris - passer par le coup d’État pour changer le régime. Cera-ce pire ou cera-ce moins pire ? Et comme nous somme dans le pire depuis 1958 et dans le pire du pire depuis 2017, cela peut-il être pire ? Si les Rois n’avaient pas d’armées, il n’y aurait pas de coups d’État. Schiappa prépare un sale coup à son Roi. Son maître à penser est désormais Hanouna et elle le voit bien Roi de France. Et c’est pour cela et pour le mettre dans le coup qu’elle souhaite le voir arbitrer le duel Le Pen-Macron du second tour ou ce dernier terrassera son adversaire, situation obligée, sauf si l’armée a réalisé son opération avant la soirée télévisée. Dans ce cas les écrans seront remplis de la tête képiée du général en chef, retour au passé, début de cette Ve « république », code vestimentaire d’une des formes multiples des dictatures passées, présentes et à venir.

 

Si vous n’avez pas vu le Parsifal de Vienne - sur Arte.tv jusqu’au 17 juillet - courez sur votre écran. Le miracle des voix et des instruments dans une mise en scène inventive, lucide, actuelle, hors Wagner comme pour mieux le magnifier. Jamais le mystère de l’opéra wagnérien n’aura paru aussi beau, aussi grandiose, aussi écrasant, aussi libérant. Après ce Parsifal, les coups de sang de l’armée, de Schiappa servante d’Hanouna, l’ignorance de l’enfant Roi de France et l’ensemble de la marche du monde… quelle importance ?