lundi 14 juin 2021

anniversaire • le baryton français, roger bourdin, aurait 121 ans aujourd’hui


 


 

En savoir plus …

https://fr.wikipedia.org/wiki/Roger_Bourdin_(chanteur)

 



Roger Bourdin - Véronique - Air de la lettre - 1955

 



Roger Bourdin et Ninon Vallin - Fortunio - Coiuplets du chandelier

 



The baritone recorded these two songs of Reynaldo Hahn in 1929.

I. "D'une prison" (Verlaine) 0:00

II. "L'incrédule" (Verlaine) 2:42

 



The baritone Roger Bourdin sings two arias (in French!) from Mozart's opera.

Gustave Cloëz conducts the orchestra in this Odeon recording from 1929.

I. "Finch'han dal vino" 0:00

II. "Deh vieni alla finestra" 1:52

 

 

Autres anniversaires…

https://soclassiq.com/fr/anniversaires/today/

vu à travers le tube • rien. rien, désespérément rien…

  

Israël change de chef donc de camp, de camp donc de chef. Le nouveau chef est le reflet déformé de l’ancien, l’ancien était le reflet déformé du nouveau. Donc, Israël n’a pas changé de chef. Dans tous les pays du monde, un chef est un chef. Dans tous les pays du monde, un chef a toujours été un chef et sera toujours un chef. Le chef est celui qui commande. Le non-chef est celui qui obéit, celui dont la vie dépend de l’humeur du chef. Il y a beaucoup de chefs et encore plus de petits chefs. Le petit chef est celui qui joue au chef et qui est encore plus chef que le chef. Il est ignare et connard, à l’image de son supérieur, mais encore plus pervers et plus sadique. Et le non-chef n’a pas le choix - jamais -, il doit obéir. Il est esclave et ne doit jamais s’en plaindre sous peine d’être accusé d’antirépublicain, d’antidémocrate, de fasciste, de communiste, de gilet jaune et de « va voir ce qui se passe ailleurs ». Les esclaves sont terriblement majoritaires. S’ils le voulaient, ils pourraient écraser les chefs de tous bords avec le petit doigt de leur main. Ils ne le font pas. Ils sont lâches. Mieux, leur croissance s’est arrêtée dès qu’ils ont cessé de téter - ou sucer - le téton du sein de la femme qui les a éjectés brutalement de son ventre. Les esclaves sont inachevés, inaboutis. Les chefs aussi, mais eux, sont plus malins.

 

Comme chaque matin, je regarde l’horizon. Ce matin, comme tous les matins, rien. Rien, désespérément rien…

dimanche 13 juin 2021

anniversaire • création des scènes chorégraphiques russes avec chant et musique d’igor stravinski, « les noces », il y a 98 ans aujourd’hui



 

En savoir plus…

https://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Noces_(Stravinsky)

 



Les Noces III (The Wedding), ballet in 4 tableaux for vocal soloists, chorus, 4 pianos & percussion

 

Mildred Allen, soprano;

Regina Sarfaty, mezzo-soprano'

Loren Driscoll, tenor;

Robert Oliver, bass;

 

Samuel Barber, Aaron Copland, Lukas Foss, Roger Sessions, pianos

American Concert Choir & Columbia Percussion Ensemble

Igor Stravinsky, conductor

 



Stravinsky Les Noces

 

Soprano - Nofar Yacobi

Mezzo Soprano - Zlata Khershberg

Tenor - Doron Florentin

Baritone - Noam Mor

 

Pianos: Jonathan Zak Irena Friedland Irit Rob Shlomi Shem-Tov

Percussion: Dana Loftus Nadav Ovadia Lior Eldad Oded Geizhals Illés Halász Eran Margalit

The Buchmann-Mehta School Swiss Friends Chamber Choir

 

Conductor: Ronen Borshevsky

 



Igor Stravinsky. Les noces

 

Kate Winter, soprano;

Linda Seymour, contralto;

Parry Jones, tenor;

Roy Henderson, baritone;

 

BBC Chorus

 

Berkeley Mason, Leslie Heward, Ernest Lush, Edwin Benbow, pianos

Percussion ensemble;

 

Igor Stravinsky, conductor

 

Recorded in London, Abbey Road Studio 1, 10 July 1934

 

 

Autres anniversaires…

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vu à travers le tube • dimanche…

Dimanche. Un de plus dans ma vie. Un de moins pour enfin achever ce trop long passage chez les « humains » (rires ou pleurs selon). Quelque soit l’information cherchée ou reçue, ce n’est que drame, violence, bêtise, ignorance. Le « vivre ensemble » (pleurs) n’est qu’intoxication propagée par les gens de pouvoir pour rester au pouvoir, pouvoir acquis grâce à la déficience de la pensée de ceux qui votent. Mélenchon enfariné, c’est rigolo et ravigotant. Le Roi giflé, c’est hilarant et c’est justice. La vie m’aura donné - tout de même - deux petites gâteries. Les restes, je serai allé les chercher ailleurs, chez Wagner, chez Hitchcock, chez Lynch, et, pas surtout mais comme un tout, chez Freud, celui qui a délivré ma conscience en dévoilant mon inconscient. Rien que pour eux et quelques autres, cela en valait la peine. Avoir passé ma vie avec quelques grands esprits ouverts et intelligents, aura été une chance. Dimanche…

samedi 12 juin 2021

anniversaire • le compositeur français, maurice ohana, aurait 108 ans aujourd’hui



 

En savoir plus…

https://fr.wikipedia.org/wiki/Maurice_Ohana

 



Maurice Ohana, Livre des prodiges (1978 - 1979)

Part One:

I. Clair de terre [0:00]

II. Cortège des taureaux ailés [1:14]

III. Immémorial [4:28]

IV. Hydre [6:50]

V. Clé des songes [8:45]

VI. Clair de terre [9:39]

VII. Soleil renversé [11:43]

 

Part Two:

I. Conjuration des sorts [12:58]

II. Alecto [15:04]

III. Son noir [16:23]

IV. Jeu des masques [17:58]

V. Clair de terre [20:55]

VI. Korô-Ngô [21:46]

 

Orchestre Philharmonique de Luxembourg,

Arturo Tamayo, direction

 

2000

 



Maurice Ohana, Piano Concerto (1980 - 1981)

 

Jean-Claude Pennetier, piano

Orchestre Philharmonique du Luxembourg,

Arturo Tamayo, direction

 

1997

 



Maurice Ohana, Chiffres de clavecin, per clavicembalo e orchestra da camera (1968).

1. Contrepoints - Déchant - Choral

2. Déflagrations - Passacaille - Chaos d'accords

3. Étoiles - Nuées

4. Colonnes - Volutes

5. Cadence - Échos - Rumeurs

 

Elisabeth Chojnacka, clavicembalo

Nouvel Orchestre Philharmonique de Radio France

Stanislaw Skrowaczewski, direction

 

 

Autres anniversaires…

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vu à travers le tube • histoires de ballons…

Hier soir, dans la nuit noire, la police du Roi de France, a évacué une fête sauvage - à Paris - où des centaines de sauvages, sans masque et au mépris du couvre-feu, ont libéré leur sauvagerie naturelle pour ne pas s’exploser eux-mêmes. Ils n’en avaient pas le droit a dit le Roi. Par contre, les sauvages du tennis - tournoi sauvage ou on se passe la baballe jusqu’à extinction des muscles ou du mental - auront le droit ce soir de ne pas respecter le couvre-feu - et pourquoi ? - les duellistes devant duelliser de 15 heures à 24 heures sans prendre le temps de souffler et interdisant ainsi aux amoureux de « Plus Belle La Vie » de voir la suite de la terrible intrigue entre Léa et Boher, la diffusion étant interdite - la police veille - depuis ce jeudi pour que la chaîne puisse transmettre en direct et avec commentaires insipides, les exploits des deux paumés.ées qui suent et poussent les cris de Tarzan l’homme-singe, à chaque coup de raquette dans le petit ballon. Le Roi a dit - avant de se prendre la gifle - : « Allez-vous coucher à 23 heures ! » Le Roi commande et le peuple s’en fiche. Hier soir, entre 23 heures et 1 heure du matin, dans la rue sous la fenêtre de ma chambre, la circulation automobile était presque aussi dense que dans la journée et les piétons allaient et venaient comme en plein jour, où ? Je ne sais. Ils rigolaient beaucoup. Je me suis mis à ma fenêtre. Je n’ai pas vu le moindre uniforme. Que va faire le Roi, les soirs où les fouteux français vont taper dans leur gros ballon ? Va-t-il demander à l’armée de pousser dans leur lit et au bout de leurs baïonnettes les foules qui voudront boire et chanter et fêter la victoire ou la défaite de leurs héros en carton pâte ?      


vendredi 11 juin 2021

le puits au fond du jardin • impertinence et pédagogie…



 

L’apprentissage d’un instrument, qu’il soit à cordes frottées ou pincées, à vent ou à clavier, c’est d’abord apprendre à maîtriser ses difficultés techniques pour acquérir une totale autonomie afin d’aborder en toute indépendance les œuvres de toutes les époques, de la renaissance au contemporain, et de partager ce plaisir souvent inconnu avec ceux qui en ont la capacité, en formation réduite ou en grand orchestre divers ou symphonique.

 

Les méthodes individuelles ancestrales toujours en vigueur aujourd’hui n’ont jamais donné les résultats escomptés, saufs pour les enfants doués, passionnés, travailleurs, courageux, musiciens innés et considérés par leur professeur. Pour les autres, très souvent majoritaires, ils n’auront acquit que de l’à peu près ou presque, qui les conduira très souvent à l’abandon ou a avoir l’impression de savoir jouer (ce que personne n’osera démentir) au sein de formations amateurs qui se contentent de peu. Ils auront passé ainsi à côté du plaisir de bien jouer et d’acquérir une culture musicale ouverte sur les grandes œuvres du patrimoine et sur le répertoire musical de qualité.

 

Et pourtant, il existe un moyen attrayant, passionnant, rapide et souvent spectaculaire : la pédagogie de groupe qui est une pédagogie à part entière et qui doit être mûrie et réfléchie avant sa mise en œuvre. Ce n’est pas une pédagogie de facilité. Elle ne consiste pas à entasser quelques élèves dans une salle de cours pour les obliger à écouter une leçon particulière lassante et décourageante, mais à réunir 3 élèves (ni 2, ni 4) et leur donner tour à tour, la possibilité de prendre les commandes du cours en parfaite harmonie avec leur professeur et partager, participer durant une heure et demie, à l’élaboration d’une progression active et pensée. Ici, le professeur ne sera que le maître du jeu, guidant et dirigeant dans la direction choisie, la plus opportune pour le groupe, mettant en valeur les techniques et les idées de musicalité dans un échange culturel fort et de première nécessité et ceci en essayant d’acquérir dans les délais les plus courts, le maximum de connaissances pour s’exprimer en toute liberté. En effet, l’idée reçue, selon laquelle, il faudrait dix ans, ou plus, pour maîtriser son instrument est totalement stupide. Avec une bonne méthode appropriée, trois ou quatre années devraient suffire pour jouer correctement une partition de moyenne difficulté. Nous sommes loin du compte…

 

Pour mettre en application cette méthode, il y a deux possibilités : réunir 3 élèves de même niveau, ou réunir 3 élèves de niveaux totalement différents, en faisant cohabiter un débutant, un intermédiaire (fin 1er cycle)) et un grand (3ème cycle). Ne voulant pas affoler et pousser au suicide les sceptiques (les professeurs sont souvent fragiles), je vais commencer par la première possibilité.

 

Avec 3 élèves de même niveau, le professeur se doit d’imposer un programme commun méthodique : progression précise sur la méthode papier (les bonnes vieilles méthodes son excellentes et pas du tout démodées), progression construite avec intelligence à travers les œuvres du répertoire spécifique à l’instrument et progression écrite par le professeur lui-même en fonction du niveau des élèves et du groupe. Les effets bénéfiques et spectaculaires seront l’écoute et l’imitation pour la justesse, la recherche de la qualité du son, l’attaque de la note, et la musicalité. Travailler les gammes, les intervalles, les arpèges dans tous les tons en jouant les notes en alternance, en se les échangeant, d’abord à 1 voix, puis 2, puis 3, est un exercice profitable à plus d’un titre et surtout, jamais fastidieux. Aborder les morceaux du répertoire, en extrayant les difficultés, en donner les explications nécessaires en les accompagnant d’un échange verbal permanent sur le justificatif et le pourquoi de l’interprétation, est un enrichissement spectaculaire de l’élève qui transgressera sa technique en une interprétation musicale de qualité, ceci très souvent à son insu.

 

Un cours d’une heure et demie hebdomadaire dans ces conditions ne peut-être que passionnant et attractif, mais évidemment fatiguant pour les protagonistes, d’autant plus que le professeur n’aura plus le loisir (c’est-à-dire le temps) de répondre à son portable, d’arpenter les couloirs pour discourir et de sortir respirer l’air du dehors pour fumer sa dernière cigarette. C’est pourquoi, il devra s’astreindre à ne pas dépasser deux cours par jour, s’il veut tenir jusqu’à la fin de l’année, et obtenir les résultats escomptés.

 

Pour la seconde manière, plus ambiguë, plus complexe, le professeur devra y apporter une attention toute particulière. Avec son trio, de niveaux différents, dont chaque élève ne pratique pas encore le même langage, il devra faire preuve d’une imagination fertile et jouer le jeu des échanges permanents entre ces niveaux supposés incompatibles. Et pourtant… Le plus grand conseillera le petit qui écoutera et « imitera » ses deux aînés, l’intermédiaire donnera son point de vue sur ses deux camarades, montrera ses capacités par rapport à leur travail, et le plus petit, bénéficiant des conseils des plus grands, s’épanouira davantage. Le professeur guidera tout ce monde sur le chemin qu’il aura choisi auparavant, et échangera véritablement sur tous les problèmes liés à l’instrument, puisque trois possibilités de niveau lui sont offertes en permanence. Il devra bien sûr tout contrôler pour éviter les dérives qui ne manqueront pas de se produire. Cet énorme travail portera ses fruits grâce à l’échange permanent qui sera la base de son enseignement.

 

Rien de tout cela n’est utopique. Cela a déjà été expérimenté et mérite qu’on y réfléchisse, ces indications n’étant qu’un plan de base pouvant être modifié au gré du professeur. L’essentiel est de comprendre que le cours individuel n’est qu’une facilité qui apporte peu à l’élève, le fait peu progresser et qui entraîne le professeur dans des habitudes de confort imaginaire, qui, au bout de quatre ou cinq années, le met dans une situation d’ennui profond, parce que, installé dans un travail de répétition permanent, dont il ne peut que se lasser. Attention à la dépression !...

 

Hervé Gallien, 21 septembre 2008


anniversaire • la mezzo-soprano américaine, risë stevens, aurait 108 ans aujourd’hui



 

En savoir plus…

https://fr.wikipedia.org/wiki/Ris%C3%AB_Stevens

 



Rise Stevens performing Séguedille: Près des remparts de Séville from opera Carmen (1947)

 



"Che farò senza Euridice?" from Christoph Willibald Gluck's "Orfeo ed Euridice."

 

Sung by Risë Stevens with the orchestra of the Rome Opera House conducted by Pierre Monteux. Recorded for RCA Victor in 1957.

 



Rise Stevens in one of her most famous roles singing an aria from "Samson and Delilah." It comes from a 1954 recording of highlights from the opera in which the NBC Symphony is conducted by Leopold Stokowski.

 



RISE STEVENS SINGS - Je dis que rien ne m'épouvante (Micaela) - Carmen of Georges Bizet - 1949

 

 

Autres anniversaires…

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vu à travers le tube • orange et moi…

Hier, à 22 heures pétantes, Orange a coupé toutes ses connexions. Plus d’ordinateur, plus de télé, plus de téléphone - fixe et portable - Pour des raisons que j’ignore - je ne comprends rien à l’informatique et je ne veux surtout pas comprendre - j’ai réussi à aller sur la page « Orange et moi » sur mon smartphone. Et j’ai pu lire que ma connexion Wi-Fi était interrompue jusqu’à ce matin en fin de matinée pour travaux de maintenance dans mon secteur. Est-il possible qu’Orange n’ait pas pensé à informer sa clientèle - qui lui permet d’exister - de ce fait qui va plus loin qu’un désagrément, puisque subitement et pour 12 heures minimum, je suis injoignable et je ne peux joindre personne. Orange sait-il - ou sait-elle - ce qui peut se passer dans la tête des gens quand un proche ne répond pas ? Orange sait-il - ou sait-elle - que sa désinformation est un acte très net de dictature, celle qui envahie chaque jour la France. Le peuple se rend-il compte que dans le monde de l’objet connecté, le terrorisme est encore plus fort. Plus besoin d’armes sophistiquées, de missiles de roquettes, de bombes atomiques ? Il suffit à l’envahisseur d’appuyer sur un bouton ou de couper un fil pour stopper le réseau électrique. C’est valable pour une maison, un appartement, un immeuble, une ville, une région, un pays, un continent et pour la terre dans son intégralité. Cela a déjà commencé - et chez Orange ! -. Cela deviendra monnaie courante et dans un temps très proche, le terrorisme triomphera proprement et sans violence. Il coupera l’électricité et la rétablira après la mort par la nuit, par l’angoisse, par l’isolement, par l’arrêt brutal des machines qui tiennent en vie, par l’impossibilité de converser, de commercer et d’accomplir les gestes les plus simples, par l’arrêt de toutes les activités, par la fin de tout ce qui dépend de l’électricité. Le monde, en votant pour des Rois, en ayant rarement accédé à l’âge adulte, en pérorant dans la naïveté, aura choisi sa mort et je ris en le regardant l’assumer.

jeudi 10 juin 2021

vu à travers le tube (bis) • vais-je être mis aux arrêts et fusillé au lever de l’aube ?

     

On ne cesse de dire, d’écrire, de répéter que le gifleur du Roi de France - moi, j’ai trouvé ça amusant et mérité - avait « Mein Kampf » dans sa bibliothèque et que cela vaut une pendaison plus une décapitation alors que le livre est vendu dans toutes les librairies, chez Amazon et chez Rakuten. Moi j’ai 3450 ouvrages de Freud qui « a violé sa petite fille ou sa sœur ou sa grand-mère », et 5643 enregistrements de Wagner - ami intime d’Hitler - dirigés par « l’horrible nazi » Karajan et « l’horrible nazi » Furtwängler, entres autres…  Et de plus, cerise sur le gâteau, ma voisine de palier vote Le Pen. Vais-je être mis aux arrêts et fusillé au lever de l’aube ?    


anniversaire • création de « tristan et isolde », opéra de richard wagner, il y a 156 ans aujourd’hui

Ludwig et Malwine Schnorr von Carolsfeld

dans les rôles de Tristan et Isolde

lors de la première en 1865



 

En savoir plus…

https://fr.wikipedia.org/wiki/Tristan_und_Isolde

 



TRISTAN UND ISOLDE Richard Wagner, 1865 Act II Liebesnacht (Love Duet)

 

Tristan: Siegfried Jerusalem

Isolde: Waltraud Meier

Conductor: Daniel Barenboim

Director: Heiner Müller

 

Bayreuth, 1995

 

 



Wagner, Tristan et Isolde (Mort d’Isolde)

 

Isolde: Waltraud Meier

Conductor: Daniel Barenboim

Director: Heiner Müller

 

Bayreuth, 1995

 



Wagner, Tristan et Isolde

 

Tristan: Wolfgang Windgassen

Isolde: Birgit Nilsson

Kurwenal: Gustav Neidlinger

Marke: Martti Talvela

Melot: Reid Bunger `

Brangäne: Grace Hoffman

Bayreuth Festival Orchestra and Chorus

Karl Böhm, conductor

Wieland Wagner, director

 

Live recording at Bayreuth Festspielhaus

July 24,1970

 

 

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vu à travers le tube • pauvre monde…

Et voilà qu’une marmite de crétins s’en prend à Karajan et exige que l’on débaptise la place salzbourgeoise qui porte son nom, en raison de son « passé nazi ». Il faut alors débaptiser toutes les rues, toutes les places, tous les monuments et lieux qui portent de nom des Rois, des Empereurs, des Dieux, des Élus, des Philosophes, des Scientifiques, etc… qui ont eu ou ont influencé le pouvoir et mené ce monde au désastre d’aujourd’hui. Et il ne restera que du vide. Du vide plein de vide. Et ce sera à l’image du cerveau et de la pensée de l’homme d’aujourd’hui qui ressemble étrangement à celui d’hier. Maudite soit la femme qui pond le malheur, puis le malheur et encore le malheur…