Enrico Caruso : Rodolfo's aria from Puccini's La Bohème.
Recorded on 11th February 1906.
Enrico Caruso : The
aria Je crois entendre encore (Mi par d'udir ancor) from Bizets opera Les
pêcheurs de perles - The Pearl Fishers - I Pescatori di perle. The first from 1904 sung in Italian (Mi par d'udir ancor); the second from
1916 sung in French (Je crois entendre encore).
Caruso
Vesti la Giubba Pagliacci Leoncavallo
Verdi: Aida - Se quel
guerrier io fossi: Celeste Aida.
La question est de
savoir pourquoi nous sommes aveugles, sourds et muets, alors que nous avons des
centaines de milliers d’années d’existence et que nous devrions avoir appris à
connaître tous les pièges tendus par la vie, vie qui n’est qu’un piège dans
lequel nous tombons tous par la faute de la femme. Avant de naître, aucun d’entre
nous a demandé à vivre et si la femme nous avait demandé notre avis, à moins d’être
fou-taré ou taré-fou, aucun, personne n’aurait dit OUI à la vie, ce passage
insensé dans un monde nauséabond où règne l’ignorance, le mensonge, la violence,
la stupidité et l’incompréhension. Ne pas vivre nous aurait
évité de supporter un jeune Roi vaniteux tenant sa vieille mère par la main, le
petit con corse de Bonaparte se glissant tout seul sous sa couronne impériale,
Luchini en GIFs permanents dans les écrans télé, ânonnant le même texte depuis plus
d’un siècle, Alagna glottant pour les sourds, les fous de Dieu massacrant les
fous de Dieu, le pouvoir et l’esclavagisme à tous les étages. Et depuis que les
écologistes s’en mêlent tout a encore chuté d’un étage. La question reste de
savoir s’il vaut mieux mourir d’une Corne à Virus ou simplement mourir en se
jetant sous un train. Parce que vivre, il n’y a que les inconscients qui en ont
envi.
Je conseille, même si ça ne
sert à rien : « En Thérapie », « Twin Peaks, Le Retour »,
« Marnie », ou à défaut, Freud. Freud et rien d’autre. Cela pourrait
peut-être changer la vie. Je rectifie : « Freud. Freud et rien d’autre.
Cela changera la vie et ainsi la vie sera. »
Hier, samedi et pour la troisième
semaine consécutive, plus de 200 000 manifestants contre les pouvoirs
gigantesques du Roi de France, contre les perversités de ses apparitions télés,
contre les perversités de ses discours et contre les perversités de ses
décisions unilatérales. Si le pass sanitaire est justement contesté, il n’est
qu’une pierre supplémentaire à l’édifice contestataire des français qui n’en
peuvent plus des paroles mensongères du Monarque et de ses pitoyables godillots
qui ne cessent d’apparaître dans les écrans pour nous bafouer et nous humilier.
Régler le problème de chacun pour régler le problème communautaire :
comment vivre ensemble quand on est incapable d’inventer la Démocratie et
totalement hermétique à la thérapie psychanalytique de Siegmund Freud qui
pourrait, sans aucun doute, régler la fondamentale du problème ? Plongez
dans « En Thérapie » et écoutez Camille et demandez-vous pourquoi
elle n’était pas avant alors qu’elle EST après !
Hier, sur les chaines
musicales, les contraires n’étaient pas identiques. Pourquoi, sur Mezzo, « Tosca »
était-il - l’opéra - aussi morne et chiant malgré la présence d’Harteros et Tézier
- il est vrai qu’il lui aurait fallu un chef d’orchestre (pas Thielemann) et un
metteur en scène (pas Sturminger) -, alors que Classica retransmettait le dernier
concert de Simon Rattle à la tête de son Orchestre Philharmonique de Berlin -
la 6e de Mahler - avec les applaudissements de plus de vingt minutes
d’une salle debout, pleine à craquer - le chef a dû revenir saluer alors que l’orchestre
avait déjà quitter la scène -. D’un côté l’inadmissible routine, de l’autre le
talent qui côtoie le génie.
Je suis farouchement contre l’obligation
de la vaccination - déjà dit et répété ici -. Je suis contre ces vaccins fabriqués
en quelques heures dont personne - PERSONNE - ne sait rien, ni les chercheurs,
ni les médecins de tous poils, ni les politiques, ni les journalistes, ni les
chroniqueurs, ni ma boulangère, ni ma voisine de palier, ni moi-même et dont, par
contre, tout le monde sait le poids démesuré qu’ils portent dans le monde du
fric et de la corruption. Hier, le godillot stupide Préfet - un abruti de
premier ordre - de mon département a décrété - comme ont et décrètent les Rois
d’avant et d’aujourd’hui - la remise du masque dans l’espace publique et les sur-nombreuses
interdictions à tous les coins de rue avant de décréter, très prochainement, un
autre confinement ce qui signifie très clairement le retour en prison des innocents.
Et moi qui, comme un GROS CON que je suis, me suis fait vacciner pour être
libre. Je croyais avoir grandi le jour de mes 70 ans et voilà que je suis resté
petit, tout petit, minuscule, pendu au téton de la femme qui m’a éjecté violemment
et méchamment de son ventre sans me demander mon avis. Le sinistre godillot du
Roi n’a même pas évoqué les vaccinés, ces lâches moutons crapauds baveux qui
sont entrés dans le rang. Maudit suis-je et que le diable m’emporte !
Orange, le célèbre festival d’art
lyrique aura donné son dernier spectacle le 7 juillet 1973 - il y a 48 ans -
avec l’opéra des opéras, Tristan et Isolde de Richard Wagner, interprété par
Birgitt Nilsson et Jon Vickers et dirigé par Karl Böhm. Depuis, la programmation
se résume à Alagna et Roberto, Roberto et Alagna, les pires dans le genre et dès ce soir les
musiques des jeux vidéo - les musiques des jeux vidéo ! -. Les Romains en rougissent de honte. J’applaudis à tout
rompre - et des deux mains - la direction de cette farce, qui, comme tous les
humains, marche à reculons en croyant aller en sens inverse. Il est vrai que le
XXIe siècle est celui de la confusion des sens parallèlement à la confusion des
sentiments.
Le godillot-ministre Griset est poursuivi par la Justice
pour « déclaration incomplète ou mensongère de sa situation patrimoniale
et de ses intérêts. ». Une demi-douzaine des membres du gouvernement du
Roi de France est actuellement aux prises avec des enquêtes judiciaires. Et même
si la présomption d’innocence ne peut être écartée, on est en droit de dire -
je suis en droit de dire - que nous sommes gouvernés par des malfaiteurs cautionnés
par le Monarque, le successeur des Henri, des Louis, des François, et autres
saloperies. Et pendant ce temps, tous ces voyous musèlent le peuple sous prétexte
qu’un virus, un dangereux criminel, se balade dans nos villes, dans nos
montagnes et dans nos campagnes. Ceux qui pensent savent où trouver plus
dangereux criminels que le dangereux criminel désigné.
Drucker, le vieux de la télé du dimanche, a
reçu hier un choc terrifiant. Alors qu’il est centenaire et qu’il travaille
toujours - empilant ainsi ses pièces d’or dans la cave se son oncle Picsou -, en
présentant toujours la même émission de merde, a lu dans les journaux du matin
qu’il avait été déchu de son trône d’APDF (Animateur Préféré Des Français), trône
qu’il détenait depuis 98 ans.Plaza, Reichmann, Bern,
Cymes, Nagui, Lignac, Delahousse, Lucet, Le Marchand, lui sont passés devant et
il se retrouve à la 43e place, à égalité avec Lacarrau et Rotenberg.
Le vieux Drucker n’a plus la cote. Ma vieille 2 Chevaux Citroën non plus !
Bigard, Lalanne, Philippot,
Zemmour. Des sinistres crétins attaqués de toutes parts par les gens bien, ceux
qui pensent bien, ceux qui savent bien, ceux qui agissent bien, ceux qui détiennent
bien la vérité, toute la vérité et rien que la vérité. Moi, j’aime bien Bigard
parce qu’il a une jolie femme qui joue bien - même très bien - son rôle de flic
dans « Plus Belle La Vie ». Lalanne et Philippot, je m’en fous.
Zemmour m’intrigue. Il n’est pas con. Il dit certaines choses que je pense - il
a dû lire mon livre -, pas toutes, et il est associé à Kelly qui a l’air de l’apprécier.
Je n’ai cité que les quatre qui sont en ce moment à l’ordre du jour, mais il y
en a beaucoup d’autres. S’ils sont si gênants, c’est que ces quatre
mousquetaires dérangent. Ils dérangent parce qu’ils pensent - il y en a si peu
- et parce qu’ils pensent autrement - pas comme le Roi de France, pas comme ses
godillots, pas comme ses subordonnés et pas comme son peuple (de France), qui,
s’ils pensent, n’ont pas compris qu’ils sont incapables de penser parce qu’ils
n’en ont pas la capacité. -. Moi, je pense que pour penser, il faut apprendre.
Penser, c’est voir et entendre. Penser, c’est voir derrière les êtres et les
choses et comprendre que le geste, l’acte, la parole des autres sont rarement
ceux que nous recevons. C’est derrière eux, à travers eux, que nous devons analyser
et réfléchir au pourquoi et à la signification du message reçu. L’homme ment
parce qu’il cache. Il cache quoi ? Sans doute sa honte d’être et de ne pas
être son désir et son phantasme. Si vous ne comprenez rien à cela - et c’est
bien artificiel puisque votre naturel a été détruit depuis longtemps -, poussez
la porte du cabinet de Freud, cherchez votre miroir, trouvez-le, regardez-vous,
reconnaissez-vous et traversez-le. De l’autre côté, vous risquez fort d’être
étonnés… très étonnés !