Sur la boule ronde éperdue et
perdue, ici il inonde, ici il flambe, ici il vente, ici il canicule. La boule
ronde des crapauds baveux et bafoués ne supporte plus la violence et le mensonge permanent de ceux qu’elle accueillit il y a longtemps. Ils avaient la
chance de construire le Paradis et ils ne surent qu’inventer l’Enfer. Ils pêchèrent
par leur ignorance naturelle qu’ils refusèrent de reconnaître. Là-bas, les Dictateurs
se succèdent à eux-mêmes. Ici, le dernier Roi en date est un enfant qui a
épousé sa maman. Ils utilisent tous le mot Démocratie alors que si Larousse et
Robert l’ont inscrit dans leur dictionnaire, c’est qu’ils espéraient bien qu’un
jour, il serait inventé. Un seul homme s’est dressé au-dessus des foules et des
temps. Il avait la solution. Ils l’ont rejeté en se moquant. Et Freud en rit
encore du fond de son cercueil. Et maintenant, ils tombent tout naturellement
dans le trou noir sans fin du fond de mon puits au fond de mon jardin. J’attends
le dernier et je remets le couvercle que je vais bien visser. Ils vont bien
crever comme ils l’ont bien mérité.
Si la censure vient des
pouvoirs, l’essentiel vient bien du peuple. Les peuples, pires que les dictateurs,
ne concèdent rien. Les peuples et les dictateurs sont des miroirs qui se
renvoient sans cesse la balle parce que les dictateurs comme les peuples vivent
dans l’ignorance et dans les phantasmes des pouvoirs. Les deux, et à égalité, n’ont
toujours pas appris, donc pas compris, le sens des mots liberté et égalité. L’égalité
de tous et en tous points nécessaires pour atteindre la liberté d’agir et
surtout la liberté de penser qui permet d’être, d’être authentique, lavé de tous
les façonnements, les forgements, les fabrications qui nous altèrent dès notre
conception. C’est pourquoi le mensonge est Roi comme le Roi qui gouverne les
peuples qui sont dans les mensonges permanents en croyants qu’ils sont, alors qu’ils
ne sont pas. Seul le « je » a une valeur sûre. Seul le « moi »
assume et assure. Le vivre ensemble est un leurre qui mène aux guerres
destructrices de l’espèce dont la vitalité est déjà si entamée que rien ne peut
la sauver. Nous sommes toujours au Moyen Âge avec ses corps lapidés et écartelés.
Nous nous nourrissons de notre propre sang sans même remarquer notre exténuement.
La fin d’un temps est arrivée. Nous l’avons bien voulue. Nous l’avons bien cherchée.
Les autres temps s’écoulent depuis si longtemps qu’ils remplaceront le temps qui continuera
sans les hommes devenus zombies ou mort-vivants.
Le journal belge « La
Libre » a écrit ce matin que Micheal Freedy, un homme fiancé à une femme,
a crié avant de mourir de la Corne à Virus : « J’aurais dû me
faire vacciner ! » Il a crié si fort que la Belgique, toute entière, s’est
fissurée et tous ses habitants - les belges - doivent se faire reloger dans les
pays voisins. La Belgique n’avait plus de gouvernement depuis le début des
temps. Aujourd’hui, elle n’est plus. « La Libre » a réalisé là un
sacré coup de comm pour la vaccination et pour les laboratoires pharmaceutiques
qui s’ont en train de s’en mettre plein les poches en vendant de plus en plus
cher leur produit chimique. Moi, quand je vais mourir - c’est très bientôt -,
je vais crier très fort : « Vive la liberté ! Vive la mort ! À bas les crétins que j’ai fréquentés ! » J’espère que l’univers ne s’en
remettra pas. J’espère parce que depuis que j’ai été expulsé du ventre de la
femme, j’espère. J’espère encore. J’espère toujours. Et à force d’espérer, je
ne sais même plus ce que j’espère. En fait, je n’espère que retourner dans le
ventre de la femme qui m’a éjecté. Là-bas, bien au chaud, je n’avais rien à
faire, je n’avais pas à penser et je ne voyais que du rouge autour de moi :
pas de Roi, pas de godillots du Roi, pas de playlist de France Inter, pas de journalistes,
pas de Lemoine-Cohen, pas d’Alagna, pas de forumopera.com, pas de béton, pas de
métro, pas de building, pas de De Funès, pas de macronneries, pas de femmes et
d’hommes restées à l’état végétatif, pas de femmes et d’hommes zombies comme
ceux qui peuplent le monde. Le bonheur et l’esprit libre !
Enrico Caruso : Rodolfo's aria from Puccini's La Bohème.
Recorded on 11th February 1906.
Enrico Caruso : The
aria Je crois entendre encore (Mi par d'udir ancor) from Bizets opera Les
pêcheurs de perles - The Pearl Fishers - I Pescatori di perle. The first from 1904 sung in Italian (Mi par d'udir ancor); the second from
1916 sung in French (Je crois entendre encore).
Caruso
Vesti la Giubba Pagliacci Leoncavallo
Verdi: Aida - Se quel
guerrier io fossi: Celeste Aida.
La question est de
savoir pourquoi nous sommes aveugles, sourds et muets, alors que nous avons des
centaines de milliers d’années d’existence et que nous devrions avoir appris à
connaître tous les pièges tendus par la vie, vie qui n’est qu’un piège dans
lequel nous tombons tous par la faute de la femme. Avant de naître, aucun d’entre
nous a demandé à vivre et si la femme nous avait demandé notre avis, à moins d’être
fou-taré ou taré-fou, aucun, personne n’aurait dit OUI à la vie, ce passage
insensé dans un monde nauséabond où règne l’ignorance, le mensonge, la violence,
la stupidité et l’incompréhension. Ne pas vivre nous aurait
évité de supporter un jeune Roi vaniteux tenant sa vieille mère par la main, le
petit con corse de Bonaparte se glissant tout seul sous sa couronne impériale,
Luchini en GIFs permanents dans les écrans télé, ânonnant le même texte depuis plus
d’un siècle, Alagna glottant pour les sourds, les fous de Dieu massacrant les
fous de Dieu, le pouvoir et l’esclavagisme à tous les étages. Et depuis que les
écologistes s’en mêlent tout a encore chuté d’un étage. La question reste de
savoir s’il vaut mieux mourir d’une Corne à Virus ou simplement mourir en se
jetant sous un train. Parce que vivre, il n’y a que les inconscients qui en ont
envi.
Je conseille, même si ça ne
sert à rien : « En Thérapie », « Twin Peaks, Le Retour »,
« Marnie », ou à défaut, Freud. Freud et rien d’autre. Cela pourrait
peut-être changer la vie. Je rectifie : « Freud. Freud et rien d’autre.
Cela changera la vie et ainsi la vie sera. »
Hier, samedi et pour la troisième
semaine consécutive, plus de 200 000 manifestants contre les pouvoirs
gigantesques du Roi de France, contre les perversités de ses apparitions télés,
contre les perversités de ses discours et contre les perversités de ses
décisions unilatérales. Si le pass sanitaire est justement contesté, il n’est
qu’une pierre supplémentaire à l’édifice contestataire des français qui n’en
peuvent plus des paroles mensongères du Monarque et de ses pitoyables godillots
qui ne cessent d’apparaître dans les écrans pour nous bafouer et nous humilier.
Régler le problème de chacun pour régler le problème communautaire :
comment vivre ensemble quand on est incapable d’inventer la Démocratie et
totalement hermétique à la thérapie psychanalytique de Siegmund Freud qui
pourrait, sans aucun doute, régler la fondamentale du problème ? Plongez
dans « En Thérapie » et écoutez Camille et demandez-vous pourquoi
elle n’était pas avant alors qu’elle EST après !
Hier, sur les chaines
musicales, les contraires n’étaient pas identiques. Pourquoi, sur Mezzo, « Tosca »
était-il - l’opéra - aussi morne et chiant malgré la présence d’Harteros et Tézier
- il est vrai qu’il lui aurait fallu un chef d’orchestre (pas Thielemann) et un
metteur en scène (pas Sturminger) -, alors que Classica retransmettait le dernier
concert de Simon Rattle à la tête de son Orchestre Philharmonique de Berlin -
la 6e de Mahler - avec les applaudissements de plus de vingt minutes
d’une salle debout, pleine à craquer - le chef a dû revenir saluer alors que l’orchestre
avait déjà quitter la scène -. D’un côté l’inadmissible routine, de l’autre le
talent qui côtoie le génie.
Je suis farouchement contre l’obligation
de la vaccination - déjà dit et répété ici -. Je suis contre ces vaccins fabriqués
en quelques heures dont personne - PERSONNE - ne sait rien, ni les chercheurs,
ni les médecins de tous poils, ni les politiques, ni les journalistes, ni les
chroniqueurs, ni ma boulangère, ni ma voisine de palier, ni moi-même et dont, par
contre, tout le monde sait le poids démesuré qu’ils portent dans le monde du
fric et de la corruption. Hier, le godillot stupide Préfet - un abruti de
premier ordre - de mon département a décrété - comme ont et décrètent les Rois
d’avant et d’aujourd’hui - la remise du masque dans l’espace publique et les sur-nombreuses
interdictions à tous les coins de rue avant de décréter, très prochainement, un
autre confinement ce qui signifie très clairement le retour en prison des innocents.
Et moi qui, comme un GROS CON que je suis, me suis fait vacciner pour être
libre. Je croyais avoir grandi le jour de mes 70 ans et voilà que je suis resté
petit, tout petit, minuscule, pendu au téton de la femme qui m’a éjecté violemment
et méchamment de son ventre sans me demander mon avis. Le sinistre godillot du
Roi n’a même pas évoqué les vaccinés, ces lâches moutons crapauds baveux qui
sont entrés dans le rang. Maudit suis-je et que le diable m’emporte !
Orange, le célèbre festival d’art
lyrique aura donné son dernier spectacle le 7 juillet 1973 - il y a 48 ans -
avec l’opéra des opéras, Tristan et Isolde de Richard Wagner, interprété par
Birgitt Nilsson et Jon Vickers et dirigé par Karl Böhm. Depuis, la programmation
se résume à Alagna et Roberto, Roberto et Alagna, les pires dans le genre et dès ce soir les
musiques des jeux vidéo - les musiques des jeux vidéo ! -. Les Romains en rougissent de honte. J’applaudis à tout
rompre - et des deux mains - la direction de cette farce, qui, comme tous les
humains, marche à reculons en croyant aller en sens inverse. Il est vrai que le
XXIe siècle est celui de la confusion des sens parallèlement à la confusion des
sentiments.
Le godillot-ministre Griset est poursuivi par la Justice
pour « déclaration incomplète ou mensongère de sa situation patrimoniale
et de ses intérêts. ». Une demi-douzaine des membres du gouvernement du
Roi de France est actuellement aux prises avec des enquêtes judiciaires. Et même
si la présomption d’innocence ne peut être écartée, on est en droit de dire -
je suis en droit de dire - que nous sommes gouvernés par des malfaiteurs cautionnés
par le Monarque, le successeur des Henri, des Louis, des François, et autres
saloperies. Et pendant ce temps, tous ces voyous musèlent le peuple sous prétexte
qu’un virus, un dangereux criminel, se balade dans nos villes, dans nos
montagnes et dans nos campagnes. Ceux qui pensent savent où trouver plus
dangereux criminels que le dangereux criminel désigné.
Drucker, le vieux de la télé du dimanche, a
reçu hier un choc terrifiant. Alors qu’il est centenaire et qu’il travaille
toujours - empilant ainsi ses pièces d’or dans la cave se son oncle Picsou -, en
présentant toujours la même émission de merde, a lu dans les journaux du matin
qu’il avait été déchu de son trône d’APDF (Animateur Préféré Des Français), trône
qu’il détenait depuis 98 ans.Plaza, Reichmann, Bern,
Cymes, Nagui, Lignac, Delahousse, Lucet, Le Marchand, lui sont passés devant et
il se retrouve à la 43e place, à égalité avec Lacarrau et Rotenberg.
Le vieux Drucker n’a plus la cote. Ma vieille 2 Chevaux Citroën non plus !