mardi 21 décembre 2021

anniversaire • création du quatuor à cordes n°2 en fa# mineur op10 d’arnold schönberg, il y a 113 ans aujourd’hui



 

En savoir plus…

https://brahms.ircam.fr/works/work/11870/

 



Ann Moss and The Hausmann Quartet: String Quartet #2 Opus 10 (Arnold Schoenberg)

 



Arnold Schoenberg: String Quartet No. 2 in F sharp minor, Op. 10 (1908)

 

Jesse Mills & Owen Dalby, violins

Jonathan Bagg, viola;

Greg Hesselink, cello

Tony Arnold, soprano

 

September 22, 2012

 



Arnold Schoenberg: String Quartet No. 2 in F sharp minor, Op. 10

 

New Vienna String Quartet,

Evelyn Lear (Soprano)

 

1967

 

 

Autres anniversaires…

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le puits aux fond du jardin • covid = dictature…



 

La folie s’est emparée des hommes avec ce mot Covid qui n’est que l’appellation cachée du mot Dictature. Ce n’est pas de Covid que les hommes vont mourir, mais de la haine de l’homme envers l’homme. L’homme ne sait pas. L’homme ne comprend pas. L’homme qui aurait dû avoir la possibilité d’exercer ses immenses pouvoirs, n’est qu’une loque molle parce qu’il a arrêté son développement au stade de l’adolescence à peine commencée. L’homme est inabouti parce que sa pensée est enfermée dans la case où on ne lui a rien appris. L’homme ignore parce qu’il reste sur les miettes de son peu d’acquis par les canaux des générations précédentes, de l’état du ventre de sa pondeuse, du lieu géographique où il a été conçu et où il a vu le jour, du savoir que ses géniteurs lui ont transmis, des influences des politiques et religions en mode aux moments marquants, du dictat de la famille paumée tout autant que lui. L’homme ainsi décrit est mort. Il ne tient qu’à lui de vivre en poussant la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser. C’est la condition unique. Qui en parle à la télé où seuls Covid, Zemmour, le Roi et ses fantômes fantoches, envahissent l’écran jusqu’à la nausée ? L’homme est lâche, peureux, falot et abruti. Le problème est qu’il ne le sait pas. C’est l’ignorance qui détruit le monde. On y est. Une fois encore et plus encore que les autres fois, je maudis la femme qui m’a expulsé violemment de son corps. Jamais je n’ai demandé à naître. Elle m’a trahi.  


lundi 20 décembre 2021

vu à travers le tube • covid, la solution…

Progression et propulsion fulgurante du nouveau variant Covid qui précède les centaines d’autres. Conclusion évidente : nous allons tous mourir. Nous allons tous mourir. Nous allons tous mourir… sauf si nous acceptons d’être des enfants bien sages à qui on donnera la béquée et à qui on torchera le cul selon la volonté de sa Sublissime Majesté le Roi de France, Macron 1 très bientôt couronné Macron 2. Pour ma part, je ne vois aucune réponse aux décisions tyranniques, dictatoriales et unilatérales du Souverain, celles-ci ne servant strictement à rien. Covid se fout des ordres des crétins. Covid se fout des vaccins. Alors pourquoi ne pas le laisser libre d’aller et venir selon son gré. Les obèses, les maigrichons, les alcooliques, les fumeurs, les diabétiques - j’en suis - et toutes les familles de mal portants crèveront probablement et rapidement. Seuls resteront les valides et Covid n’aura plus personne à grignoter et la vie reprendra le chemin de vie. Elle est là la solution. Quand il faut assumer, il faut assumer.    


le puits au fond du jardin • mutation dévastatrice…



 

Je suis né à la fin de la dernière guerre contre l’Allemagne. C’était un monde où il y avait peu de monde et qui était comme il était. C’était un monde où l’on pouvait espérer. C’était un monde où l’on marchait. C’était un monde où on écrivait les lettres que l’on postait. C’était un monde où l’on courait au cinéma le dimanche pour voir des films en noir et blanc et en technicolor et où la fin était souvent le cartoon : « Ils se marièrent et eurent beaucoup d’enfants. » et qui ne proposait jamais la suite. C’était le monde où mon père m’a emmené à l’opéra pour voir et écouter « Manon Lescaut » de Puccini. J’ai beaucoup dormi. J’avais 8 ans. Je me rappelle seulement que le ténor - de la Scala de Milan - était tout petit et se mettait sur la pointe des pieds pour chanter ses contre-uts qui étaient beaucoup applaudis. Et c’est sans doute grâce à lui que je suis entré au conservatoire et que je n’ai plus jamais quitté la musique. Ce matin, à mon réveil, j’ai pensé très fort à Kafka et a sa nouvelle qui décrit la métamorphose de Gregor Samsa,, un représentant de commerce qui se réveille un matin transformé en un monstrueux insecte et je me suis demandé si j’étais bien dans le monde que j’avais quitté la veille ou si c’est moi qui avais subitement changé. J’ai eu une forte prise de conscience que ce monde n’était plus le mien que je n’avais vraiment rien à y faire. Le Roi de France, sa cour de crapauds baveux, son opposition ignorante, le peuple courbé incapable d’avoir une opinion ; Covid qui n’en fait qu’à sa tête pour que l’homme injecte à l’homme le produit chimique qui va irrémédiablement le tuer ; pour que l’homme ne puisse plus toucher, caresser, copuler ; pour qu’il cache en permanence son visage ; les femmes et leurs révolutions de pacotilles, les races qui ne sont plus des races, mais qui en sont puisque, comme les inadmissibles religions, elles perpétuent les guerres. Et je pourrais continuer très longtemps ainsi. Tous les matins, je rends visite à mon puits au fond de mon jardin et, ce matin encore, ça grouille, ça grouille, ça grouille de plus en plus activement dans le noir de son fond. Là ont chuté toutes les inconsciences imbéciles que la terre peut porter. Elles grouillent en grossissant à vue d’œil. Elles se multiplient en grouillant de plus en plus fort, de plus en plus férocement. Non, ce monde n’est pas mon monde. Il ne me reste plus qu’à trouver la porte pour le quitter, le fuir sans une once de regret.  


anniversaire • la pianiste japonaise, mitsuko uchida, a 73 ans aujourd’hui


 


 

En savoir plus…

https://fr.wikipedia.org/wiki/Mitsuko_Uchida

 



Mozart: Concerto for piano and Orchestra (d-minor) K.466

0:57 - Allegro

15:42 - Romance

24:38 - Allegro assai

 

Camerata Salzburg

Mitsuko Uchida, Piano & Conductor

 



Mitsuko Uchida joined forces with Seiji Ozawa and the Saito Kinen Orchestra in 2006 in this performance of Beethoven's Emperor Concerto in E flat major.

 



Mitsuko Uchida: Schubert - Impromptu No. 3, Op. 90

 

 

 

Autres anniversaires…

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dimanche 19 décembre 2021

anniversaire • le compositeur français, louis-nicolas clérambault, aurait 345 ans aujourd’hui



 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

En savoir plus…

https://fr.wikipedia.org/wiki/Louis-Nicolas_Cl%C3%A9rambault

 



La Chapelle Harmonique : Alex Vizorek (récitant), Adèle Charvet (mezzo-soprano), Nanja Breedijk (harpe triple), Bruno Helstroffer (théorbe), Valentin Tournet (viole de gambe et direction) se jouent des Fables de Jean de la Fontaine avec la musique de Louis-Nicolas Clérambault. Au menu : La Cigale et la Fourmi La Fourmi et la Sauterelle, l'Oisiveté, La Laitière, Les Châteaux en Espagne, Le Corbeau et le Renard, La Flatterie.

 

Enregistré le 21 juin 2020 au Studio 104 de la Maison de la Radio.

 



Louis-Nicolas Clérambault : Premier livre d'orgue, suite du 1er ton (Grand plein jeu, fugue, duo, trio, basse et dessus de trompette, récits de cromorne et de cornet séparé en dialogue, dialogue sur les grands jeux)

 

Aude Schuhmacher à l'orgue Dupont/Jeanpierre/Cattiaux de l'église Saint Jacques de Lunéville

 



Louis-Nicolas Clérambault, Le Triomphe de la Paix - Cantates françoises mellées de simphonies. Livre 2e (1713) J

 

akub Kotowicz – Vertumne

Karolina Sypniewska –

Flore Agnieszka Kwiatek,

Ewa Lopocz – Pomone

 



Orphée from "Cantates françoises" by Louis-Nicolas Clérambault

 

Juliana Zara, soprano

Oberlin Baroque

 

Thursday, July 15, 2017

First Church in Boston

 

 

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vu à travers le tube • la chute de l’homme…

Comme un peu de partout, parce que leurs fouteux ont gagné la coupe, les algériens habitant en France ou les français de nationalité (nés en) algérienne sont descendus dans la rue et ont tout saccagé. À Lyon - ville dont on n’a jamais autant parlé depuis que son maire est un écolo-cerveau fêlé - tout particulièrement. Idem à Paris-Champs-Élysée, idem ailleurs. Le Roi de France, de plus en plus menaçant, a pourtant dit : « Pas plus de 6 personnes dans un même lieu parce que méchant virus ne supporte pas. » Alors ? Elle fait quoi la police du Roi ? Elle fait quoi la police du maire taré ? Ce n’est pas quand les gens sont agglutinés qu’il faut intervenir, c’est avant qu’ils se lancent dans l’action surtout que celle-ci était inscrite dans la tradition. Et hier, entre les coups de massues des chaînes continues, j’ai vu passer - et surtout entendu - sous ma fenêtre plus de 300 motards à la psyché écrabouillée déguisés en Père Noël qui on fait chier le monde en bloquant la circulation tout l’après-midi. Pas un képi, pas un uniforme, pas une mitraillette pour régler leur compte à ces larves-crapauds qui n’ont rien à faire sur cette terre.

 

Vous avez-vu hier - impossible que vous n’ayez pas regardé - sur Ciné+Classic, « Les Chiens » film d’Alain Jessua, tourné en 1979, film annonciateur du drame d’aujourd’hui. Dans une petite ville où l’insécurité règne, les chiens féroces dressés par leur Maître(chiens) prennent progressivement le pouvoir. Et la folie s’empare des hommes (le mot femmes est compris dans le mot hommes). À voir sans ménagement et à comparer…

 

Et la folie s’empare des hommes. Les Pays-Bas confinent jusqu’à la mi-janvier. Londres et Amsterdam multiplient les restrictions. Le Roi de France qui a déclaré la guerre aux non vaccinés - sommet de la stupidité et calcul pas vraiment savant pour aller dans le sens de l’inévitable dictature souhaitée par plein de gens non évolués - attend que le peuple se soit bien repu à Noël, jour anniversaire de la naissance d’un sauveur qui n’a rien sauvé, pour dicter sa loi. Le pire est à notre porte. Vous qui serez encore en vie dans vingt ans, merci de venir dans mon temps me montrer comment votre masque est vissé dans votre peau et me dire comment se passe vos journées et vos nuits avec l’écran de votre ordinateur, seul témoin qu’avant il y avait une vie, vie que vous n’avez jamais connue.

samedi 18 décembre 2021

anniversaire • création de la symphonie n°8 en do mineur d’anton bruckner, il y a 129 ans aujourd’hui


 


 

En savoir plus…

https://fr.wikipedia.org/wiki/Symphonie_no_8_de_Bruckner

 



Anton Bruckner, Symphonie n°8

0:28 I. Allegro moderato

15:43 II. Scherzo. Allegro moderato - Trio, langsam

29:40 III. Adagio. Feierlich langsam; doch nicht schleppend

54:58 IV. Finale. Feierlich, nicht schnell

 

Vienna Philharmonic Orchestra

Pierre Boulez, direction

 

From the Stiftskirche St. Florian in Linz, Austria on the occasion of the hundredth anniversary of the death of Anton Bruckner

1996

 



Anton Bruckner Symphony No 8 in C minor

 

Vienna Philharmonic Orchestra

Herbert von Karajan, direction

 

1979

 



Anton Bruckner - Symphony No. 8 in C minor, ed. Nowak, 1955

 

BBC Scottish Symphony Orchestra

Donald Runnicles conductor

 

Royal Albert Hall, 3 August 2012

 



Bruckner Symphony n°8 - Klemperer, New Philharmonia (1972)

 

 

Autres anniversaires…

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vu à travers le tube • la maîtresse de maternelle…

La maîtresse de maternelle a dit aux enfants tout ce qu’ils ne devaient pas faire pendant les vacances et que puisque beaucoup des petits enfants ne sont pas sages, ils devraient avoir très bientôt un laisser-passer pour aller faire pipi à la recréation. Voilà ! Et pendant ce temps les stades de foot sont bondés, les trains sont bondés, les stations de ski sont bondées, et les vaccinés se demandent à quoi cela leur sert de s’être fait injecter un produit chimique inconnu qui va peut-être les terrasser un jour prochain. Pour protéger les autres à dit la maîtresse. OK, mais moi, j’en ai marre de la politique des autres. C’est de moi et de moi seul qu’il s’agit. Et je n’ai pas rencontré Freud pour m’inquiéter du sort des avortons qui sont restés à l’âge de l’adolescence mal vécue. Surtout que les autres n’existent pas. Ils ne sont qu’une invention de ma pensée. Tout est invention. Je pense donc je suis. Si je ne pensais pas je ne serais pas. Il faudrait tout de même que l’on y pense. La solidarité est une invention du catéchisme, une invention qui prétend qu’on ne peut vivre sans l’autre. Moi, je vis avec mon moi, mais aussi avec le reflet de mon double qui reflète mon moi. Ça fait beaucoup et c’est fatiguant, d’autant que j’ai aussi ma voisine de palier et tout ce monde invisible qui grouille réellement dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin. Alors, comprenez bien que les ordres de la maîtresse de maternelle, je n’en ai rien à foutre.   


vendredi 17 décembre 2021

vu à travers le tube (bis) • des milliers de marmites géantes de violeurs…

Je l’apprends à l’instant. Ma voisine de palier vient de me dire que Charlotte Arnould, une comédienne que je ne connais pas, a été violée dans la chambre d’hôtel de Gérard Depardieu par Gérard Depardieu. Elle m’a dit aussi que les femmes qui suivaient Gérard Depardieu dans ses chambres d’hôtels étaient toujours violées par Gérard Depardieu. Elle sait tout ma voisine de palier. C’est aussi par elle que je sais que PPDA croule et suffoque sous les fureurs des 17804 femmes qu’il a violées et que le pauvre homme n’en fini pas de courir entre le poste de police et le tribunal, alors qu’il est très occupé par plein de choses beaucoup plus intéressantes. Moi, je ne connais pas PPDA. Mais je connais sa marionnette et je vous assure qu’elle est super-sympa. Je me demande si les 17804 violées font la différence entre le latex et l’original; parce que ce que violer tant de femmes ne doit pas être de tout repos. Ils s’y sont peut-être mis à deux et peut-être aussi qu’il est possible que beaucoup de femmes soient atteintes par le syndrome du fantasme. C'est une maladie très fréquente. Et comme son smartphone a sonné, ma voisine de palier m’a dit en fermant sa porte qui est sur mon palier qui est aussi le sien, qu’elle me montrerait demain la liste des violeurs qui travaillent à la télé, au théâtre, au cinéma, à la radio, à la SNCF, aux impôts, à la poste, dans les mines, sur les chantiers, dans les restos, dans les hôtels et même ceux qui restent chez eux avec bobonne. Elle a rempli 38 cahiers de 200 pages.

 

Il faudra bien qu’un jour, avant de mourir, je me penche sur le cas des hommes harcelés et violés par les femmes. Ils sont beaucoup plus nombreux qu’on ne le pense. Mais eux, ils sont lâches. Ils n’osent pas porter plainte contre cette chose qui leur a pourri la vie à tout jamais. Croyez-moi, je sais de quoi je parle. Heureusement, j’ai très vite compris pourquoi il m’était indispensable de pousser la porte du cabinet de Freud pour y chercher mon miroir… Vous connaissez la suite.    

anniversaire • la soprano allemande, martha mödl, nous a quittés il y a 20 ans aujourd’hui. elle était âgée de 89 ans.


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

En savoir plus…

https://fr.wikipedia.org/wiki/Martha_M%C3%B6dl

 



Richard Wagner, Tristan und Isolde

 

Isolde: Martha Modl

Conductor: Herbert von Karajan

 

Live Bayreuth 23rd July 1952

 



Richard Wagner, Le Crepuscule des Dieux (Filake)

 

Brünnhilde: Martha Mödl

Hagen: Josef Greindl

Chor und Orchester der Bayreuther Festspielel

Conductor: Joseph Keilberth

 

Bayreuth 1953

 



Richard Wagner Tristan und Isolde (Einleitung ... Hörst du sie noch? ... Isolde! ... O sink' hernieder, Nacht der Liebe ... Einsam wachend ... Lausch', Geliebter! ... Doch unsre Liebe, heisst sie nicht Tristan und Isolde? ... So stürben wir…)

 

Isolde, Martha Mödl

Brangäne Ira Malaniuk

Tristan Ramón Vinay

Orchester der Bayreuther Festspiele

Herbert von Karajan, conductor

 

Bayreuth Festspielhaus, July 23, 1952

 



Giuseppe Verdi Macbeth (Vegliammo invan due notti ... Una macchia è qui tuttora in German);

 

Lady Macbeth - Martha Mödl

Un dottore - Kay Willumsen

Una dama - Hildgard Lüdtke

Orchester der Staatsoper Berlin

Joseph Keilberth, conductor

 

Berlin, September 20, 1950

 

 

 

Autres anniversaires…

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vu à travers le tube • freud et rien que freud…

Canal+ a fini par lâcher le festival de Cannes qui est un festival de cinéma où les téléspectateurs ne voient pas des films mais des flopées de seins et de fesses de nanas stupides et guindées qui après avoir virevolté sur le tapis rouge avec des sourires crispés et passer les nuits dans les clubs privés avec des mâles excités, portent plaintes dès qu’elles sont réveillées - vers 16 ou 17 heures - pour viols aggravés piégeant ainsi les gros cons qui ont cru à leur immunité. C’est donc de ce sordide fait de société qu’hérite France Télévisions et Brut, ce qui ne va rien changer à l’histoire du cinéma qui s’en remettra, sa vie dépendant essentiellement de l’imagination et de l’invention de quelques réalisateurs de qualité. Menton en Galoche dit Lescure doit se réjouir de se retrouver sur le service public, lui qui chaque jour accompagne Lemoine sur France 5 dans la plus macroniste acharnée des émissions et de loin la plus racoleuse et débile aussi.

 

La grève et finie mais les trains restent au dépôt, la SNCF n’ayant pas prévue cette fin brutale. C’est long et difficile de faire démarrer un train et encore plus difficile de le propulser de sa voie de garage à sa voie de départ. Ce ne sont pas les cheminots les coupables, mais le Roi de France qui finance, avec l’argent du peuple, une entreprise obsolète qui entretien un éternel conflit avec son personnel et qui est incapable de garantir ses horaires, l’exception à la règle étant le train qui arrive à l’heure sur le quai annoncé.

 

Cannes et la SNCF ne sont qu’une infime partie du problème qui est général et qui affecte tous les actes de la vie. Rien ne fonctionne parce que les pensées sont à l’arrêt et se contentent de respirer l’air vicié du noir du fond de mon puits au fond de mon jardin en attendant la fin de la chute. Et pourtant, il suffirait que chaque individu pousse la porte du cabinet de Freud, y cherche son… vous connaissez la suite. Je persiste et je persiste encore : Freud et rien que Freud. Rien d’autre.