La folie s’est emparée des
hommes avec ce mot Covid qui n’est que l’appellation cachée du mot Dictature.
Ce n’est pas de Covid que les hommes vont mourir, mais de la haine de l’homme envers
l’homme. L’homme ne sait pas. L’homme ne comprend pas. L’homme qui aurait dû
avoir la possibilité d’exercer ses immenses pouvoirs, n’est qu’une loque molle
parce qu’il a arrêté son développement au stade de l’adolescence à peine
commencée. L’homme est inabouti parce que sa pensée est enfermée dans la case
où on ne lui a rien appris. L’homme ignore parce qu’il reste sur les miettes de
son peu d’acquis par les canaux des générations précédentes, de l’état du
ventre de sa pondeuse, du lieu géographique où il a été conçu et où il a vu le
jour, du savoir que ses géniteurs lui ont transmis, des influences des politiques
et religions en mode aux moments marquants, du dictat de la famille paumée tout
autant que lui. L’homme ainsi décrit est mort. Il ne tient qu’à lui de vivre en
poussant la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, le trouver, s’y
regarder, s’y reconnaître et le traverser. C’est la condition unique. Qui en
parle à la télé où seuls Covid, Zemmour, le Roi et ses fantômes fantoches,
envahissent l’écran jusqu’à la nausée ? L’homme est lâche, peureux, falot
et abruti. Le problème est qu’il ne le sait pas. C’est l’ignorance qui détruit
le monde. On y est. Une fois encore et plus encore que les autres fois, je
maudis la femme qui m’a expulsé violemment de son corps. Jamais je n’ai demandé
à naître. Elle m’a trahi.
Progression et propulsion
fulgurante du nouveau variant Covid qui précède les centaines d’autres.
Conclusion évidente : nous allons tous mourir. Nous allons tous mourir. Nous
allons tous mourir… sauf si nous acceptons d’être des enfants bien sages à qui
on donnera la béquée et à qui on torchera le cul selon la volonté de sa Sublissime Majesté le Roi de France, Macron 1 très bientôt couronné Macron 2. Pour
ma part, je ne vois aucune réponse aux décisions tyranniques, dictatoriales et
unilatérales du Souverain, celles-ci ne servant strictement à rien. Covid se
fout des ordres des crétins. Covid se fout des vaccins. Alors pourquoi ne pas
le laisser libre d’aller et venir selon son gré. Les obèses, les maigrichons,
les alcooliques, les fumeurs, les diabétiques - j’en suis - et toutes les familles
de mal portants crèveront probablement et rapidement. Seuls resteront les valides
et Covid n’aura plus personne à grignoter et la vie reprendra le chemin de vie.
Elle est là la solution. Quand il faut assumer, il faut assumer.
Je suis né à la fin de la dernière
guerre contre l’Allemagne. C’était un monde où il y avait peu de monde et qui
était comme il était. C’était un monde où l’on pouvait espérer. C’était un
monde où l’on marchait. C’était un monde où on écrivait les lettres que l’on
postait. C’était un monde où l’on courait au cinéma le dimanche pour voir des films
en noir et blanc et en technicolor et où la fin était souvent le cartoon :
« Ils se marièrent et eurent beaucoup d’enfants. » et qui ne
proposait jamais la suite. C’était le monde où mon père m’a emmené à l’opéra pour
voir et écouter « Manon Lescaut » de Puccini. J’ai beaucoup dormi. J’avais
8 ans. Je me rappelle seulement que le ténor - de la Scala de Milan - était
tout petit et se mettait sur la pointe des pieds pour chanter ses contre-uts qui
étaient beaucoup applaudis. Et c’est sans doute grâce à lui que je suis entré
au conservatoire et que je n’ai plus jamais quitté la musique. Ce matin, à mon
réveil, j’ai pensé très fort à Kafka et a sa nouvelle qui décrit la
métamorphose de Gregor Samsa,, un représentant
de commerce qui se réveille un matin transformé en un monstrueux
insecte et je me suis demandé si j’étais bien dans le monde que j’avais
quitté la veille ou si c’est moi qui avais subitement changé. J’ai eu une forte
prise de conscience que ce monde n’était plus le mien que je n’avais vraiment
rien à y faire. Le Roi de France, sa cour de crapauds baveux, son opposition
ignorante, le peuple courbé incapable d’avoir une opinion ; Covid qui n’en fait
qu’à sa tête pour que l’homme injecte à l’homme le produit chimique qui va
irrémédiablement le tuer ; pour que l’homme ne puisse plus toucher, caresser,
copuler ; pour qu’il cache en permanence son visage ; les femmes et
leurs révolutions de pacotilles, les races qui ne sont plus des races, mais qui
en sont puisque, comme les inadmissibles religions, elles perpétuent les
guerres. Et je pourrais continuer très longtemps ainsi. Tous les matins, je
rends visite à mon puits au fond de mon jardin et, ce matin encore, ça grouille,
ça grouille, ça grouille de plus en plus activement dans le noir de son fond.
Là ont chuté toutes les inconsciences imbéciles que la terre peut porter. Elles
grouillent en grossissant à vue d’œil. Elles se multiplient en grouillant de
plus en plus fort, de plus en plus férocement. Non, ce monde n’est pas mon
monde. Il ne me reste plus qu’à trouver la porte pour le quitter, le fuir sans
une once de regret.
Mitsuko Uchida joined forces with Seiji Ozawa and the Saito Kinen Orchestra
in 2006 in this performance of Beethoven's Emperor Concerto in E flat major.
La Chapelle Harmonique : Alex Vizorek (récitant), Adèle
Charvet (mezzo-soprano), Nanja Breedijk (harpe triple), Bruno Helstroffer
(théorbe), Valentin Tournet (viole de gambe et direction) se jouent des Fables
de Jean de la Fontaine avec la musique de Louis-Nicolas Clérambault. Au menu :
La Cigale et la Fourmi La Fourmi et la Sauterelle, l'Oisiveté, La Laitière, Les
Châteaux en Espagne, Le Corbeau et le Renard, La Flatterie.
Enregistré le 21 juin 2020 au Studio 104 de la Maison de la
Radio.
Louis-Nicolas Clérambault : Premier livre d'orgue, suite du
1er ton (Grand plein jeu, fugue, duo, trio, basse et dessus de trompette,
récits de cromorne et de cornet séparé en dialogue, dialogue sur les grands
jeux)
Aude Schuhmacher à l'orgue Dupont/Jeanpierre/Cattiaux de
l'église Saint Jacques de Lunéville
Louis-Nicolas Clérambault, Le Triomphe de la Paix - Cantates
françoises mellées de simphonies. Livre 2e (1713) J
akub Kotowicz – Vertumne
Karolina
Sypniewska –
Flore
Agnieszka Kwiatek,
Ewa Lopocz
– Pomone
Orphée from "Cantates françoises" by Louis-Nicolas
Clérambault
Comme un peu de partout, parce que leurs fouteux ont gagné la
coupe, les algériens habitant en France ou les français de nationalité (nés en)
algérienne sont descendus dans la rue et ont tout saccagé. À Lyon - ville dont on
n’a jamais autant parlé depuis que son maire est un écolo-cerveau fêlé - tout
particulièrement. Idem à Paris-Champs-Élysée, idem ailleurs. Le Roi de France,
de plus en plus menaçant, a pourtant dit : « Pas plus de 6 personnes
dans un même lieu parce que méchant virus ne supporte pas. » Alors ?
Elle fait quoi la police du Roi ? Elle fait quoi la police du maire taré ?
Ce n’est pas quand les gens sont agglutinés qu’il faut intervenir, c’est avant
qu’ils se lancent dans l’action surtout que celle-ci était inscrite dans la
tradition. Et hier, entre les coups de massues des chaînes continues, j’ai vu
passer - et surtout entendu - sous ma fenêtre plus de 300 motards à la psyché écrabouillée déguisés en Père Noël qui on fait chier le monde en bloquant la
circulation tout l’après-midi. Pas un képi, pas un uniforme, pas une mitraillette
pour régler leur compte à ces larves-crapauds qui n’ont rien à faire sur cette terre.
Vous avez-vu hier - impossible que vous n’ayez pas regardé - sur
Ciné+Classic, « Les Chiens » film d’Alain Jessua, tourné en 1979, film
annonciateur du drame d’aujourd’hui. Dans une petite ville où l’insécurité règne,
les chiens féroces dressés par leur Maître(chiens) prennent progressivement le
pouvoir. Et la folie s’empare des hommes (le mot femmes est compris dans le
mot hommes). À voir sans ménagement et à comparer…
Et la folie s’empare des hommes. Les Pays-Bas confinent jusqu’à la
mi-janvier. Londres et Amsterdam multiplient les restrictions. Le Roi de France
qui a déclaré la guerre aux non vaccinés - sommet de la stupidité et calcul pas
vraiment savant pour aller dans le sens de l’inévitable dictature souhaitée par
plein de gens non évolués - attend que le peuple se soit bien repu à Noël, jour
anniversaire de la naissance d’un sauveur qui n’a rien sauvé, pour dicter sa
loi. Le pire est à notre porte. Vous qui serez encore en vie dans vingt ans,
merci de venir dans mon temps me montrer comment votre masque est vissé dans
votre peau et me dire comment se passe vos journées et vos nuits avec l’écran
de votre ordinateur, seul témoin qu’avant il y avait une vie, vie que vous n’avez
jamais connue.
La maîtresse de maternelle a dit aux enfants tout ce qu’ils ne
devaient pas faire pendant les vacances et que puisque beaucoup des petits
enfants ne sont pas sages, ils devraient avoir très bientôt un laisser-passer
pour aller faire pipi à la recréation. Voilà ! Et pendant ce temps les
stades de foot sont bondés, les trains sont bondés, les stations de ski sont bondées,
et les vaccinés se demandent à quoi cela leur sert de s’être fait injecter un
produit chimique inconnu qui va peut-être les terrasser un jour prochain. Pour
protéger les autres à dit la maîtresse. OK, mais moi, j’en ai marre de la
politique des autres. C’est de moi et de moi seul qu’il s’agit. Et je n’ai pas rencontré
Freud pour m’inquiéter du sort des avortons qui sont restés à l’âge de l’adolescence
mal vécue. Surtout que les autres n’existent pas. Ils ne sont qu’une invention
de ma pensée. Tout est invention. Je pense donc je suis. Si je ne pensais pas
je ne serais pas. Il faudrait tout de même que l’on y pense. La solidarité est
une invention du catéchisme, une invention qui prétend qu’on ne peut vivre sans
l’autre. Moi, je vis avec mon moi, mais aussi avec le reflet de mon double qui
reflète mon moi. Ça fait beaucoup et c’est fatiguant, d’autant que j’ai aussi
ma voisine de palier et tout ce monde invisible qui grouille réellement dans le
noir du fond de mon puits au fond de mon jardin. Alors, comprenez bien que les
ordres de la maîtresse de maternelle, je n’en ai rien à foutre.
Je l’apprends à l’instant. Ma voisine de palier vient de me dire
que Charlotte Arnould, une comédienne que je ne connais pas, a été violée dans
la chambre d’hôtel de Gérard Depardieu par Gérard Depardieu. Elle m’a
dit aussi que les femmes qui suivaient Gérard Depardieu dans ses chambres d’hôtels
étaient toujours violées par Gérard Depardieu. Elle sait tout ma voisine de
palier. C’est aussi par elle que je sais que PPDA croule et suffoque sous les
fureurs des 17804 femmes qu’il a violées et que le pauvre homme n’en fini pas
de courir entre le poste de police et le tribunal, alors qu’il est très occupé
par plein de choses beaucoup plus intéressantes. Moi, je ne connais pas PPDA.
Mais je connais sa marionnette et je vous assure qu’elle est super-sympa. Je me
demande si les 17804 violées font la différence entre le latex et l’original; parce que
ce que violer tant de femmes ne doit pas être de tout repos. Ils s’y sont peut-être
mis à deux et peut-être aussi qu’il est possible que beaucoup de femmes soient
atteintes par le syndrome du fantasme. C'est une maladie très fréquente. Et comme son smartphone a sonné, ma
voisine de palier m’a dit en fermant sa porte qui est sur mon palier qui est
aussi le sien, qu’elle me montrerait demain la liste des violeurs qui travaillent
à la télé, au théâtre, au cinéma, à la radio, à la SNCF, aux impôts, à la poste,
dans les mines, sur les chantiers, dans les restos, dans les hôtels et même
ceux qui restent chez eux avec bobonne. Elle a rempli 38 cahiers de 200 pages.
Il faudra bien qu’un jour, avant de mourir, je me penche sur le
cas des hommes harcelés et violés par les femmes. Ils sont beaucoup plus
nombreux qu’on ne le pense. Mais eux, ils sont lâches. Ils n’osent pas porter
plainte contre cette chose qui leur a pourri la vie à tout jamais. Croyez-moi,
je sais de quoi je parle. Heureusement, j’ai très vite compris pourquoi il m’était
indispensable de pousser la porte du cabinet de Freud pour y chercher mon
miroir… Vous connaissez la suite.
Richard Wagner Tristan und Isolde (Einleitung ... Hörst du sie
noch? ... Isolde! ... O sink' hernieder, Nacht der Liebe ...
Einsam wachend ... Lausch', Geliebter! ... Doch unsre Liebe, heisst sie nicht
Tristan und Isolde? ... So stürben wir…)
Isolde, Martha Mödl
Brangäne Ira Malaniuk
Tristan Ramón Vinay
Orchester der Bayreuther Festspiele
Herbert von Karajan, conductor
Bayreuth Festspielhaus, July 23, 1952
Giuseppe Verdi Macbeth (Vegliammo invan due notti ... Una macchia è qui
tuttora in German);
Canal+ a fini par lâcher le
festival de Cannes qui est un festival de cinéma où les téléspectateurs ne
voient pas des films mais des flopées de seins et de fesses de nanas stupides
et guindées qui après avoir virevolté sur le tapis rouge avec des sourires
crispés et passer les nuits dans les clubs privés avec des mâles excités,
portent plaintes dès qu’elles sont réveillées - vers 16 ou 17 heures - pour viols
aggravés piégeant ainsi les gros cons qui ont cru à leur immunité. C’est donc
de ce sordide fait de société qu’hérite France Télévisions et Brut, ce qui ne
va rien changer à l’histoire du cinéma qui s’en remettra, sa vie dépendant essentiellement
de l’imagination et de l’invention de quelques réalisateurs de qualité. Menton
en Galoche dit Lescure doit se réjouir de se retrouver sur le service public,
lui qui chaque jour accompagne Lemoine sur France 5 dans la plus macroniste
acharnée des émissions et de loin la plus racoleuse et débile aussi.
La grève et finie mais les
trains restent au dépôt, la SNCF n’ayant pas prévue cette fin brutale. C’est
long et difficile de faire démarrer un train et encore plus difficile de le
propulser de sa voie de garage à sa voie de départ. Ce ne sont pas les
cheminots les coupables, mais le Roi de France qui finance, avec l’argent du
peuple, une entreprise obsolète qui entretien un éternel conflit avec son
personnel et qui est incapable de garantir ses horaires, l’exception à la règle
étant le train qui arrive à l’heure sur le quai annoncé.
Cannes et la SNCF ne sont qu’une
infime partie du problème qui est général et qui affecte tous les actes de la
vie. Rien ne fonctionne parce que les pensées sont à l’arrêt et se contentent
de respirer l’air vicié du noir du fond de mon puits au fond de mon jardin en
attendant la fin de la chute. Et pourtant, il suffirait que chaque individu
pousse la porte du cabinet de Freud, y cherche son… vous connaissez la suite.
Je persiste et je persiste encore : Freud et rien que Freud. Rien d’autre.