Depuis que le Roi de France a laissé entendre qu’il connaissait le
nom de son futur premier Godillot, les presses nous inondent de suppositions
alors que personne n’est sûr que l’information venant de la bouche même du
Monarque ne soit pas une fake new, information volontairement truquée. Moi, qui
ait l’habitude de me nicher dans la tête du Roi, je crois qu’il pense à moi. Ne
suis-je pas le seul à vouloir inventer la Démocratie et à vouloir rendre
obligatoire - pour les 6-106 ans - la fréquentation obligatoire du cabinet de
Freud ? Je suis persuadé que l’Élysée va me contacter dans la journée. Je
ne vous dirai pas ce que je vais répondre, si je vais accepter le poste ou non.
Je le sais déjà, mais cela doit rester secret. Pensez-vous que je serais
heureux et fier d’être de 1e Godillot du Roi ? La réponse est
dans la question.
Les philippins sont comme les français : ils aiment les
dictateurs. Chez nous, c’est d’amis en amis. Chez eux, c’est de père en fils, comme
chez nous, il n’y a pas si longtemps. Chez eux, je m’en fous. Chez moi, je ne m’en
fous pas. Je n’arrive toujours pas à comprendre que des gogos crasseux, des
crapauds baveux, votent pour désigner un homme - toujours pas de femmes en vue
- à qui ils concèdent tous les pouvoirs dont celui d’humilier, de violer et de
tuer ce qui dérange son passage. Le vote, c’est cet outil nécessaire pour
approuver, consolider et parfaire la Démocratie qui n’a toujours pas été
inventée. À part ceci, le vote n’est qu’un acte pervers basé sur le mensonge et
le déni. JE NE VOTE PAS ET JAMAIS JE NE VOTERAI dans ce pays monarchique et
dictatorial.
Hier, Marylin, la blondasse qui s’est tapée les fricoteurs Montand
et Kennedy, s’est vendue pour 195 millions de dollars. Il devrait être interdit
de jeter l’argent par les fenêtres quand il n’y a personne en dessous pour le
ramasser. Le célèbre patron du FBI des années 90, Gordon Cole, affirme que la
starlette a été assassinée par le clan Kennedy. Ça vous étonne ? Moi pas.
Le monde vu d’en haut ou d’en bas reste toujours composé de la même matière :
la crasse crasseuse dont personne ne veut se défaire.
Alicia et Bruno viennent de se marier au premier regard. Hier matin,
Alicia a demandé le divorce. Ça vous étonne ? Moi pas.
Je ne me souviens pas si au
cours de la guerre de 14-18 - celle où, dans les tranchées de Verdun, mon
grand-père s’est pris une balle dans le pied - et celle de 39-44 - celle où mon
père à rencontrer les italiens de Mussolini au col du Mont-Cenis et a bu en
leur compagnie des flopées de barriques de vin blanc et a beaucoup ri - les
radios et les télés nous donnaient chaque minute le détail de la vie des gens,
soldats, capitaines, généraux et population civile. En tous les cas, pour l’Ukraine,
on sait tout, vérités et mensonges confondus, et on nous rapporte même les mots
exacts des planqués horrifiés parce que la guerre massacre, tue et viole depuis
que le monde est monde de guerre, depuis ses débuts. Mesdames et messieurs les
chefs de guerre, élus ou non élus, si vous ne voulez pas de massacres, de
tueries, de viols et tout un tas de choses encore plus odieuses, ne faites pas
la guerre, ne vendez pas d’armes et surtout n’en fabriquez pas. Vous êtes
choqués alors que vous êtes tous responsables. Alors cessez vos jérémiades de
pères et mères la vertu. Jamais le monde n’a changé et ce ne sont pas vos
discours et vos promesses qui vont apporter la paix qui n’est qu’une fantasque
chimère comme l’est cette Démocratie que vous refusez d’inventer. Cette guerre
et les autres ne sont pas plus pitoyables que le sinistre spectacle donné par
le Roi de France le 8 mai. La pièce était nulle. Les acteurs - le premier rôle
surtout - étaient franchement mauvais et Cetelem aurait pu choisir une autre
dinde pour sa publicité. Le monde tourne à l’envers et personne ne veut le
concéder. C’est ça le déni. Et c’est bien pour cela que je me répète. La chute
des crapauds baveux dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin se
poursuit à grande vitesse puisque personne n’a compris que le seul espoir est
de pousser la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, le trouver,
s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser. Rien d’autre. Rien d’autre. Rien
d’autre.
Barbara Hannigan dirige
l'Orchestre philharmonique de Radio France avec Julia Dawson, Ziad Nehme et
Douglas Williams dans le ballet Pulcinella, composé par Igor Stravinsky en
1919-20.
Extrait du concert
donné à la Philharmonie de Paris le 28 mai 2021.
Barbara Hannigan
chante et dirige l'Orchestre philharmonique de Radio France dans Youkali,
Tango-Habanera extrait de "Marie Galante" de Kurt Weill.
Extrait du concert
donné le 28 mai 2021 à la Philharmonie de Paris.
Barbara Hannigan
dirige l'Orchestre philharmonique de Radio France dans la Gaîté parisienne
d'Offenbach, arrangé par Manuel Rosentha en 1938 pour les Ballets Russes.
Extrait du concert
donné le 28 mai 2021 à la Philharmonie de Paris.
Le Roi de France s’est fait introniser
dans la raideur de sa démarche robotique aseptisée. Pas un regard sur l’orchestre
de la Garde Républicaine, pas une oreille sur le Concerto pour Hautbois de Haendel.
Il a marché en trainant les pieds devant des ribambelles d’hommes et de femmes
accoutrés d’uniformes laids et vulgaires qu’on n’accepterait même pas pour les
figurants des opérettes de Francis Lopez. Et le peuple s’est écrié : « Qu’il
est beau notre Roi ! » Molière - s’il était en vie - aurait-il été
jaloux de son talent de trajico-comédien ? Je ne crois pas. Il n’aurait sûrement
pas engagé dans sa troupe cet acteur d’un amateurisme insupportable. Mais l’important, c'est que Cetelem, assurances en tout genre, qui cachait le corps de Roselyne,
n’ait pas manqué à l’appel. Bref. Encore une dangereuse stupidité à la gloire
de l’exécrable monarchie adulée par les français qui sont restés figés au
milieu de la Guerre de Cent ans.
La secte des Traitres s’est
réunie à Aubervilliers. Ils ont écouté leur gourou. En les voyants à la télé,
je me suis dit que j’avais bien raison d’affirmer que la vie n’est qu’une
illusion.
Aujourd’hui, la France en
deuil va être figée devant la télé pour les images imaginées de l’investiture
du Roi qui est déjà Roi depuis 5 ans et déjà investi depuis le temps. Et les
deux autres Rois battus seront présents pour admirer et congratuler celui qui
aura réussi à rempiler alors que non réélus, l’un est noyé dans des affaires de
justice et l’autre a coulé le parti socialiste. Ça va être beau à regarder. Ma
voisine de palier m’a dit qu’un hautbois allait jouer. Moi, je ne regarderai
pas. La tête des stupides imbéciles qui vont occuper l’écran m’insupporte à un
point tel que je serais capable de prendre un coup de sang et de cracher sur
les passants qui passent jours et nuits sous mes fenêtres. Au lieu de perdre
stupidement mon temps, je vais souffler dans mon saxhorn ténor en si bémol et
travailler les gammes de ré et ré bémol majeur dont l’alternance produit des
sons d’une grande volupté qui envoutent mes voisins et les habitants de mon
quartier.
J’ai toujours eu beaucoup de respect
pour Philippe Poutou et son Nouveau Parti anticapitaliste, parce que succédant
à la très juste vision de Besancenot, il est toujours resté dans sa lignée. Et
il me conforte dans ma conviction en disant NON à cette union - très bientôt désunion
- de cette gauche bâtarde qui conspire contre le Roi de France pour le
remplacer par le terrifiant et violant dictateur Mélenchon. Remplacer un
dictateur par un dictateur encore plus dictateur, je n’en vois pas l’intérêt. Il
est vrai qu’obéir au doigt et à l’œil sans se poser la moindre question est de
plus en plus la marque de fabrique des français.
Nathalie Stutzmann sings Handel's aria "Ah, mio cor, schernito
sen". Recorded for her new album of Italian arias on Warner Classics &
Erato "Quella Fiamma" out October 27, 2017.
Wolfgang Amadeus Mozart: Requiem in D minor K 626 ·
Lisa Larsson, soprano
Wilke te Brummelstroete, mezzo soprano
John Mark Ainsley, tenor
Burak Bilgili, baritone
OSESP Orquestra Sinfônica do Estado de São Paulo ·
Coro Acadêmico e Coro da Osesp
Nathalie Stutzmann, conductor
Recorded at Sala São Paulo, Brazil, 21 November 2013
Piotr Ilitch Tchaikovsky: Symphony No. 5
RTÉ National Symphony Orchestra
Nathalie Stutzmann, conductor ·
Recorded at Sala Radio Bucharest, Romania, 25 November 2018.
C’est fait. Ils se sont
vendus au pire des pires. Mélenchion aura affiché au grand jour son ignoble
perversité. Eux se seront coulés et vont désormais devenir la nourriture
préférée des poissons des fonds des océans et des mers. Rien de grave. Ce n’est
que le reflet de la définition de la politique qui ne serait pas sans l’ignorance
notoire de ceux qui s’en réclament, s’en servent et s’en enrichissent sur le
dos des pauvres gens qui habitent dans des barres où des voyous prennent le
pouvoir, les délogent, les dépouillent, sans qu’aucun élu - les gens qui font
de la politique - ne lève le petit doigt. Heureux ceux qui quittent ce monde de
puanteur et qui ne verront pas ce qui arrivent et ne peut être détourné. Depuis
le début des mondes, la terre tourne ainsi et jamais personne n’a tenté de
savoir pourquoi et de chercher un moyen de vivre sans vivre mort. L’ignorance
et la lâcheté sont la marque de fabrique de l’homme. Il s’y trouve si bien qu’il
méprise les hurluberlus - comme moi - qui évoquent Freud, seule solution à la gangrène
des peuples et de leurs dirigeants. Et comme je suis incapable de me battre contre
des moulins à vent, je regarde passer le cortège des morts-vivants sombrer dans
le noir du fond du puits au fond de mon jardin. Moi, je ne m’y jetterai pas. Comme
Brunehilde, je périrai - avec un immense soulagement - par le feu. C’est écrit
et signé.
Et grâce à la tambouille empoisonnée
des minables incompétents, le Roi de France rit aux éclats. C’est encore et
encore lui qui gagne sans bouger le petit doigt.