Donc, les deux ados de 14 ans avaient pour habitude de se rencontrer entre minuit et quatre heures du matin.
Pour moi, c’est l’heure où l’on doit faire dodo. Et le Maire de la commune-théâtre
de la tragédie, a déclaré à la télé que la jeune fille était bien sous tous
rapports ainsi que ses parents qui ne savaient même pas que leur fille
découchait régulièrement dans la nuit pour rencontrer et probablement copuler
avec un déséquilibré qui fait l’objet de rejets épouvantables, la vindicte
populaire souhaitant le lyncher à mort. Cette affaire est loin d’être une
affaire-pas-de-chance. Une ado sans parents. Un ado malade psychiquement pour
lequel personne n’a rien fait. Il risque vingt ans de prison, c’est-à-dire la
mort ou la folie. C’est à l’hôpital psychiatrique qu’il faut l’envoyer pour l’accompagner,
l’écouter, le remodeler, le refabriquer, le refaçonner, durant de longues décennies, jusqu’à ce que sa pensée soit réalimentée avec les éléments positifs préconisés
par Freud. Des milliers et des milliers d’individus sont dans ce cas. C’est
pourquoi, dès la petite enfance, tout le monde devrait pousser la porte du
cabinet de Freud pour y chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y
reconnaître et le traverser. C’est notre seule chance de survie.
Affaire du mauvais western dans
lequel un conducteur a refusé d’obtempérer. Une jeune femme rencontre l’obtempérateur
en boite de nuit. Elle ne le connait pas et accepte – ou peut-être a-t-elle proposé – de monter dans sa voiture pour se faire raccompagner. Elle ne le
connait pas, je me répète. Vous monteriez, vous, avec un inconnu à la sortie d’une
boite de nuit, à une époque où, en plein jour, il est fréquent de se faire
poignarder dans la rue ? Moi, pas ! Tant d’inconscience mérite
réflexion. Et c’est pourquoi j’ai très envie de reprendre mon speech freudien.
Relisez-le. Il est juste au-dessus. Et pour terminer ce tube, je reviens à la
jeune femme inconsciente. Elle est morte. Un des cowboys qui déchargeait son
arme sur l’obtempérateur a visé ailleurs. Pas de chance pour la dame. Elle
aussi, elle aurait dû rester dans son lit.
Carnaval et mascarade assurés pour
les réjouissances salaces de ces deux prochains dimanches où les joutes
verbales vont pleuvoir comme le célèbre jour où des grenouilles hystériques sont
tombées du ciel par milliers, couvrant la terre et ses crapauds d’un épais manteau
visqueux. Certains on dit que c’était la main de Dieu. Des ignorants probablement, puisque Dieu n’est qu’une invention de la pensée de l’homme à une
époque où il était supposé penser. Les abstentionnistes – dont je suis le plus
fervent – vont gagner. Viendra ensuite les rampants mollusques du Roi de France
puis tout juste après les déréglés psychiques du terroriste dictateur Mélenchon,
un fou dangereux qui n’est toujours pas ficelé sur le lit de l’hôpital
psychiatrique de la Seine-Saint-Denis où croupissent en basilique les Rois
déchus qui ont saccagé la France. Et puis après… rien ! Rien. Je ne vois
rien à part l’éternel recommencement.
Savez-vous que très prochainement
il y aura plusieurs milliards de voitures électriques qui rouleront toutes ensemble le dimanche sur les 1384 kilomètres de routes qui traversent la France
et qu’elles seront des milliers à faire la queue devant les trois poteaux
électriques en place pour recharger leur batterie. Ça me fait rire aux éclats.
Les deux prochains dimanches aussi. Mais, pour faire mon Paris-Lyon et
Lyon-Paris, le dimanche, j’utiliserai les deux grands bœufs qui sont dans mon
étable. Ça ira plus vite, et ça leur fera prendre l’air.
C’est tout pour aujourd’hui. Je
voulais vous parler de Freud et de sa thérapie psychanalytique, mais ce matin, je n’ai pas le temps. Je dois aller très vite chez Leclerc prendre mon café du
matin.
Puisque le Roi de France a déclaré
qu’il emmerdait des français et qu’il n’a pas été guillotiné, Mélenchon aurait
dû dire : « J’emmerde la police ! », et personne n’aurait
pu le condamner. Mais, en écrivant ceci, je gâche son plaisir. Il adore être insulté parce que son métier, c'est de vociférer, comme le chien de mon voisin
qui hurle, pisse et bave toute la journée. Si nous en sommes arrivés là, c’est
que le système est détruit et que l’homme abruti continu à le briser. Briser
des brisures est devenu l’occupation préférée de l’homme, espèce en voie de
disparition, parce qu’ignorant et inabouti. Et, n’en déplaise à Edira Priftuli
qui m’agresse sur Facebook depuis ce matin, il n’existe aucune autre solution
que de pousser la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, le
trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser. Et sur ce sujet, je ne
céderai jamais. C’est LA SEULE SOLUTION pour rendre sa dignité à l’humain et
lui apporter la connaissance dont le manque évident le réduit au néant et le
rend vulnérable devant les grands pervers de ce monde, les Macron, les
Mélenchon, les Biden, les Hanouna, les Calvi, les curailleries, les imameries, les
rockeurs, les slameurs, les ignorants de tous poils, les Alagna, les morts-vivants,
les cerveaux vides et tous les autres si nombreux que mon ordinateur ne pourrait
les contenir. La priorité de l’homme est de savoir qui il est et pourquoi il
est. Les restes ne sont que des riens. Même pas la queue d’un os à donner à ronger
à un chien.
Bompart, le sinistre mec de la
secte mélenchoniste, a qualifié le Roi de France de « bonhomme ». Il
n’a pas dit « bonnefemme ». Donc, ce n’est pas si grave, d’autant que
les gens que vous élisez sont tous des mal-embouchés. Quand ils ne le disent
pas, ils le pensent.
J’ai vu à la télé un autre mec
sinistre qui a dit qu’il était royaliste et qu’il était impératif que la France
revienne à la royauté avec ses perruques et ses décolletés. Il semblerait qu’il
ne soit pas le seul à être incapable de penser. Mais, quoi qu'il en soit, ce
sont les dictatures – Mélenchon/Macron sont frères – qui arrivent à grands pas,
doublés de la reprise des pouvoirs par les religions – la guerre entre les cathos
et les musulmans va faire rage -. L’homme a laissé passer sa chance en n’inventant
pas la Démocratie et en refusant de pousser la porte du cabinet de Freud pour y
chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaitre et la traverser.
Il va le payer très cher et il ne l’aura pas volé. C’est le savoir qu’il
fallait inventer et non pas la voiture électrique et la montre connectée.