#MeToo ça fait cinq ans. Dieu le barbu céleste a créé la femme, la femme a créé MeToo, MeToo a créé la merde, excrément à son image. Et l’homme au pendulaire appelé aussi marteau-piqueur disparaît à grande vitesse parce que la femelle l’assassine de son mépris, de sa perversité et de sa faculté explosive à vivre dans le déni. La femme est coupable. La femme est la seule coupable. C’est elle qui pond. C’est elle qui crée, fabrique et forge l’homme. Et ce n’est qu’à elle qu’elle peut imputer son cuisant échec. Depuis que Dieu le barbu céleste l’a créée, elle ne pond que de la merde contrairement à la poule qui pond de bons œufs que l’on peut manger à la coque ou en omelette. L’homme est une véritable horreur. Zelinsky croit qu’il est Popeye. Micron II croit qu’il est Jupiter - il parait qu’il se prend maintenant pour un autre Dieu -. Landru a grillé ses maîtresses dans sa chaudière - ce qui me donne une idée si on me coupe l’électricité -. Wagner a beaucoup copulé avec les épouses de ses mécènes et meilleurs amis. Vivaldi a régulièrement enceinté ses jeunes élèves pour lesquelles il composait des concerti. Caligula était un sadique célèbre. Philippe II d’Espagne s’est approprié la femme de son fils Carlos. Sarko a séduit une sussureuse de mélodie sur trois notes. Gscard sortait toutes les nuits pour titiller les prostitués. Allen a violé sa fille. Quatennens à giflé son épouse. Mélenchien a insulté et menacé la police marconienne. La liste est si longue qu’il ne faudrait au moins deux vies supplémentaires pour la citer dans sa totalité. Bref, l’homme est un salaud. Moi aussi - je suis un homme - qui ai jeté mon épouse qui me faisait chier au vide-ordure. Dans les semaines à venir, la vie va être douce, Madame se pavanant dans les soirées huppées avec Monsieur - que l’on appellera ‘Le Chien » - en laisse et lui léchant ce que cache sa jupe. Oui, le monde entre femmes sera un délice, un cornet à la vanille, une tarte aux myrtilles, un fondant au réglisse. De quoi se plaint-on ?