jeudi 22 février 2024

le puits au fond du jardin • le festival des godiches…

 



 

Au moment où Manouchian est entré, mort, au Panthéon, le maire vermine-écolo de Marseille a vu son sang se glacer à la vue de Marine à ses côtés. Pour Payant, le dit-maire, il faut trancher le cou de cette nazie, comme lui et ses amis é-coliques, tranchent le cou de la France du matin au soir, à un tel point, qu’ajouter à la hache de Macron et aux bombardiers de Mélenchon, cette pauvre Marianne est au sol, nue, en sang, le corps dévoré par les rapaces. Agonisante depuis longtemps, le coup de grâce lui sera donné ce vendredi, quand les porcines du cinéma débouleront sur la scène de l’Olympia pour trancher les pénis en simulant des remises de César. Et ce beau monde dans le public, corps de nanas aux décolletés vertigineux et jupes au-dessus de la culotte qu’elles ont oubliée, accolés résolument aux corps de leurs proies, pour mieux dénoncer dans leur immonde perversité, fera oublier des génies du cinéma dont Godiche Godrèche – qui va discourir sur le danger de l’homme - et Justine Trier – injuste Palme d’Or - sont exclues. Revenir à Godard et Truffaut, Bergman et Bunuel, Hitchcock et Lynch, et le trop méconnu Vince Gilligan. Ce qui est amusant – ou pas -, c’est que quel que soit le sujet abordé, les mots sont interchangeables et le résultat reste le même. L’ignorance a envahi la pensée de l’homme qui est devenu incapable d’apprendre. Il lui suffirait pourtant de pousser la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, pour le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaître et pour le traverser, pour qu’une toute petite étincelle surgisse et que la terre commence enfin, à s’illuminer.       

mercredi 21 février 2024

le puits au fond du jardin • tunnel...



 

 

L’actualité de ce matin est la même que celle d’hier et en pire. Et c’est ainsi chaque matin. Les injonctions terrifiantes des pouvoirs et l’aveuglement des sujets laissent au monde un immense tableau de déjections pétrifiantes qui se meuvent dans les ténèbres qui couvrent l’univers. Comprendre les leçons de Molière ou de Shakespeare, comprendre la vérité criante – hurlante – du final de Twin Peaks, comprendre le lien établi entre soi et soi dans le long cheminement de l’Art de la Fugue dont Jean Sébastien Bach a patiemment fixé les notes, sur et entre les lignes de ses portées. Comprendre, est-ce trop demander ? Apprendre à faire, parce qu’il est impossible de faire sans apprendre, est-ce une telle torture que tout est prétexte pour y échapper ? Vivre hors de la machine à broyer est-il un manquement aux lois scélérates des hommes ? En vain, je cherche un homme et je ne trouve que des enfants, des enfants incapables de franchir le pas, un monde d’enfants gouverné par des enfants, un monde qui torture et qui tue. Et tout cela parce que, avant Poutine, avant Kim Jong-un, avant Macron, c’est l’ignorance qu’il faut éradiquer et pour cela couper toutes les langues qui ne savent qu’éjaculer leur venin. Le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin est plein. Les cris de ceux qui y sont tombés transpercent la nuit. Il suffirait de si peu ! Analyser le psychisme fracassé de l’homme, en réunir les morceaux restants et passablement vivants, et tout recommencer en prenant bien soin au lien qui relie son conscient à son inconscient. Et si les religions sont bannies à tout jamais, peut-être restera-t-il une lueur, toute petite, au bout de l’interminable tunnel. Pour le savoir, il suffit d’essayer.

 


mardi 20 février 2024

vu à travers le tube • je serai de retour à midi…

Terrible ! Horrible, cette fin de civilisation qui verra – heureusement – la fin de cette France dont la lâcheté n’a pas de nom. Le Roi, ne sachant plus comment s’y prendre sous les jupes de sa maman, fait entrer tout le monde au Panthéon, ce qui lui permet de ressortir les tirades célèbres du Cid, d’Hamlet ou de Figaro. Les rouages de sa pensée s’étant bloqués, il va même papoter avec l’Humanité – pas le génial film de Dumont - pour y réaffirmer, sans sourcilier, que Marine Le Pen est une espionne du parti nazi. Honte ! Dix fois honte à cet enfant dégénéré qui participe allégrement à l’installation définitive des dictatures dans le monde. Pourquoi ne se préoccupe-t-il pas du cas d’Assange, en train de mourir en prison pour avoir dénoncé les exactions de ces pourritures d’américains. Pourquoi ne passe-t-il pas au-dessus de ses scélérates lois pour noyer sur le champ l’imam Mahjoub Mahjoubi, au milieu de l’océan ? Pourquoi ne cesse-t-il de modifier le format de l’arc républicain qui en fait n’a aucune raison d’être dans un pays en monarchie depuis plus de vingt siècles ? La catastrophe se déroule sous nos yeux. Et nous continuons à vaquer de la pommade au consensuel. Et puis, cette autre scandaleuse nouvelle : pour avoir dit la vérité sur la godiche Godrèche, Annie Duperey a été virée. Elle n’est plus marraine de SOS Villages d’enfants

 

La seule action positive de ma longue vie qui s’achève, aura été de construire mon puits au fond de mon jardin et de lui avoir permis, dans le noir de son fond, d’accueillir toutes les lâchetés du monde. Il est plein. Je prends ma pelle, ma pioche et ma truelle et je cours vite en construire un second, un plus grand, un plus profond, un plus noir. La misère psychique du monde l’aura trop vite rempli. Je serai de retour à midi.

lundi 19 février 2024

vu à travers le tube • violons désaccordés…

L’État Macron est vraiment pitoyable. Le Monarque au psychisme inabouti que vous avez choisi – pas moi, je ne vote pas, je ne choisis jamais mes bourreaux surtout lorsque le système électoral est totalement tronqué – décide encore d’une loi – une de plus - qui va obliger les conducteurs d’automobiles à passer une visite médicale tous les 15 ans, ce qui est, sans doute, une des plus grandes imbécilités parmi les imbécilités de ce pouvoir monarchique. Les accidents provoqués par des déficiences physiques sont loin d’être majoritaires. Par contre, ceux provoqués par un psychisme inabouti ou carrément lézardé, sont redoutablement fréquents. C’est pourquoi le danger sur la route pourrait être considérablement réduit, si, en lieu et place de la publicité pour la dernière Jaguar électrique à 97 000 euros, on éduquait les populations à la thérapie de Freud. Et de plus, cela réduirait, en même temps, la haine de la femme pour l’homme ainsi que l’existence des égorgeurs à la petite semaine.

Et puis, autre nouvelle débilité destructrice, l’enfant usurpateur annonce qu’il va – encore - faire un discours somnifère à la gloire d'un certain résistant communiste étranger, Manouchian, et que le RN ne sera pas le bienvenu au théâtre des marionnettes despotiques. Le RN, bien placé dans l’arc républicain selon le jeune Premier ministre, serait hors-champ selon son patron ? Ces deux-là devraient accorder leur violon !  
 


dimanche 18 février 2024

vu à travers le tube • violence, violence, violence…

À Lyon, un homme se filme en tuant sa petite amie. À Paris, le gros, l’énorme Pit Bull baveux Dupond-M. fait son gros caca sur Bardella. La France, tout petit pays décadent, est entré officiellement en guerre contre la grande Russie, et grâce à son ado au psychisme inabouti qui habite sous les jupes de sa maman, va se faire manger toute crue, comme le vermisseau happé par le gros serpent. Le monde malade semble bien se sentir dans son habit de moribond puisque qu’il ne fait rien pour consulter un spécialiste qui pourrait peut-être atténuer sa souffrance. L’homme politique est l’illusion. La religion est le refuge qui broie. La question à élucider est simplement de savoir pourquoi l’être est si inconsistant et se trompe complètement sur le visage que lui renvoie son propre miroir. Non, une table n’est pas une table ! Non, ce qui est rouge n’est pas rouge ! Non, l’homme bon n’est pas bon ! Non, la femme innocente n’est pas innocente ! C’est le logiciel qu’il faut changer du tout au tout. Vaincre l’ignorance, ce n’est pas apprendre à compter, à lire et à écrire. Vaincre l’ignorance, c'est explorer son psychisme et vaincre tous les faux-semblants qui grippent les rouages depuis le début des temps. D’abord l’équilibre, ensuite l’apprentissage des conventions. L’autre n’est que l’image de soi-même. Rien d’important. Un peu de Freud chaque jour et les vivants ne vivront plus jamais morts.     

samedi 17 février 2024

le puits au fond du jardin • regarde la lune et pas ton doigt…

 
 
Navalny n’était tout de même pas si net. Avant d’entrer en dissidence avec son tsar, il était plutôt du côté des terroristes. Le dictateur s’est vengé comme l’aurait fait son prédécesseur Yvan de Terrible. Et cela ne justifie en aucun cas qu’un État – voir plusieurs – se mêle des affaires d’autrui, sauf s’il souhaite avidement l’avènement de la troisième guerre mondiale, ce qui semble le cas du jeune ado au psychisme inachevé, réfugier sous les jupes de sa maman, qui insulte le maitre du Kremlin à cor et à cri. Comme me le disait très justement ma grand-mère Florine : « Ne t’occupe pas de ton voisin, tu as suffisamment à faire avec toi-même ! » Et j’espère que vous savez que le voyou Zelensky fait la tournée des gogos pour recueillir leur obole qui se monte pour la France à quelques centaines de milliards alors que la plus grande partie de son peuple est surendettée et que les paysans ne savent plus à quels saints se vouer tant leur détresse est surréaliste. Pauvres imbéciles qui votent pour tous ces va-t’en guerre aux cerveaux complètement laminés.

 

Si le monde bien comme il faut, le monde bien sous tous rapports, le monde des curés qui copulent avec les bonnes sœurs, tentent d’assassiner Cnews, c’est que la chaine aborde des vrais sujets, ceux qui intéressent les français et tente de faire comprendre à quel point la France ne cesse de s’effondrer. Moribond et au bord de la dictature Kim Jong-unième, le pays sombre de plus en plus vite dans le noir du trou du fond de mon puits et les imbéciles ignares du pouvoir poussent si fort que bientôt, ils seront engloutis avec lui. Après l’ignoble Macron, sera l’inconnu. Le Pen ne sera pas élue. Le vide sidéral devra être comblé. Et c’est peut-être bien là que s’engouffrera Mélenchon. C’est alors que les français, incapables d’inventer la démocratie, vont crier tous en chœur et en mesure : « Au secours Poutine ! » ou un autre Kim Jong de service, un vrai Mélenchon authentique. Irréversible le malheur, surtout quand on l’a si bien cherché !    

vendredi 16 février 2024

le puits au fond de mon jardin • un songe…

 



 

Mais comment puis-je me tromper à ce point ? Moi qui croyais qu’en ce vendredi 18 février de l’année 2024, après l’avènement du magicien mort cloué sur une croix pour racheter tous nos vilains péchés et nos vilaines pensées, que le problème de la France était la misère de ses chefs encore plus misérable que la misère de son peuple scandaleusement anémié, l’attaque contre la liberté de la presse, les fins de mois des contrôleurs SNCF, la mort annoncée des paysans de toutes espèces, l’islamisation du pays en route pour la  charia, les gros rats dans les rues de Paris, la montée fracassante des égorgeurs dans les centres-villes, la mutation des hommes en violeurs de toutes les femmes de tous âges, la dangereuse succession du Roi Macron en une dictature à la Kim Jong-un de Mélenchiien ou l’une ou l’un de ses chiottes ou chiots, la généralisation de l’ignorance, et surtout, le retour de l’humain à la condition animale, je m’aperçois qu’il n’en est rien. Le malheur, le plus grand malheur qui puisse arriver à la France, malheur irréparable dont la nouvelle est tombée dans la nuit du 15 au 16 sur les ondes radios et dans les écrans télés : Mbappé, le grand, l’immense, l’énorme figurine des supers marchés, le héros de la frappe du ballon, le gourou des foules abruties, quitte le PSG, où durant des années, il s’est posté en embuscade devant une cage, a attendu patiemment qu’un subalterne pose le ballon devant son pied et a tapé, tapé si fort que le ballon est entré dans la cage. Un vrai héros. Dans un autre monde et dans une autre époque, j’ai connu des héros, des vrais, des pensées dont j’ai tenté de suivre les valeurs. Puis-je citer, Ozawa, qui vient de mourir ; Abbado, qui est mort ; Hitchcock qui a réinventé le cinéma ; Godard, qui l’a déconstruit pour le reconstruire différemment ; Molière, qui a beaucoup observé la femme – ridicule ou savante - ; Modigliani, qui a déformé les corps ; le Marquis de Sade, qui a couché sur le papier le psychisme des hommes ; Dumas, qui a conté les aventures mouvementées d’Edmond Dantès ; Freud, qui a analysé les rouages de la machine humaine et les a synthétisés dans sa thérapie psychanalytique. Et quand je constate qu’un bonhomme sans importance qui tape dans un ballon est le modèle du monde, je ne peux croire que je vis dans ce même monde. Et je ne puis m’empêcher de me poser la question qui me hante depuis que la femme coupable m’a expulsé de son ventre : suis-je ou ne suis-je pas ? J’ai peut-être enfin ma réponse : je ne suis qu’un songe qui s’estompe chaque jour en tombant dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin. C’est tout pour aujourd’hui.       

jeudi 15 février 2024

vu à travers le tube • freud et rien que freud…

« Un régime totalitaire s’installe graduellement grâce à la complicité de votre indifférence » a dit Christine Kelly, une des pensées les plus passionnantes de Cnews. À son instar, je suis fier de répéter inlassablement que tous les pays du monde entrent lentement, mais sûrement, dans les pires des dictatures et que la France ne sera pas la dernière à entrer dans le nouveau jeu laminoir, d’autant que jamais, dans quelque pays que ce soit, la démocratie n’a pu exister, puisqu’elle n’a jamais été inventée. Seul un monde adulte en aurait la capacité. Mais, hélas, le monde que nous vivons, comme les précédents, est un monde d’inaboutis psychiques qui, en regardant une pipe, dit : « Ceci est une pipe ! ». Faire avec, jusqu’à la fin de notre civilisation, fin si proche que le monde tourne le regard pour échapper à sa propre honte : « Voilà pourquoi nous en sommes où nous en sommes ! » Macron insulte Nétanyahou et son soutien aveugle à l’Ukraine prépare la prochaine retraite de Russie. La dématérialisation généralisée enveloppe l’homme dans son linceul. La faim va se généraliser dans tous des coins et les recoins et les milliardaires vont régner sur des peuples d’ossements couvrant la surface de la terre. Et pour sauver le monde, le toujours même Macron invente l’uniforme à l’école, un trait de génie, qui va faire de nos marmailles des héros de légendes. Nous sommes tous des Walter White, incapable de comprendre l’humanité de Jesse Pinkman. Nous semons sans cesse le mal qui nous ronge. Et si la lumière ne surgit pas, c’est que l’individu refuse de chercher son miroir, de le trouver, de s’y regarder, de s’y reconnaître et de le traverser. Si vous me lisez tous les matins, vous savez de quoi et de qui je parle. Freud et rien que Freud, la solution que personne ne veut. Alors, SVP, fermez votre clapet et mourez en silence !   


mercredi 14 février 2024

vu à travers le tube • vaches et trains...

Hier, la liberté de la presse s’est pris un coup de massue sur la tête. Cnews et ses dérivées ont été placées en résidence surveillée par les verrues du pouvoir qui prépare l’arrivée des dictatures. France Info et France Inter, BFM, restent en liberté, elles qui se cessent de glorifier les trous béants du psychisme de l’enfant de l’Élysée. Ne pas oublier que, lors de la conférence de presse du Roi de France, Laurence Ferrari a posé la question pertinente, la flèche empoisonnée qui a vexé Sa Majesté. Ne pas oublier que les élections européennes sont proches et que les amis de Le Pen vont humilier les amis de l’enfant. Tout est bon pour assassiner l’opposition aux caprices royaux, même s’assoir sur les principes fondamentaux élémentaires dont se glorifie la France de Voltaire qui est mort depuis bien longtemps. Et, cerise sur le gâteau, les trains qui ne partent et n’arrivent jamais à l’heure et qui s’arrêtent trop souvent en raz campagne pour regarder paître les vaches, seront en grève pour les grands départs dans les neiges enivrantes, les contrôleurs n’en pouvant plus de contrôler. Du calme les vacanciers. Les dictatures arrivent et ils ne pourront plus vous embêter. C’est deux fois qu’ils vont vous contrôler. Et puis, les trains partiront et arriveront à l’heure et les vaches pourront à nouveau regarder passer les trains... paisiblement !

mardi 13 février 2024

le puits au fond du jardin • brunehilde et la suite…

 



 

Une vague d’indignation parcours la terre comme si le monde découvrait soudain le miroir qui lui renvoie la laideur de son image. Trump aurait tenu des propos affligeants et irresponsables. Waouh ! Quand donc et à propos de qui et de quoi ? L’entre-soi n’est pas un crime. C’est une protection et une richesse. Et pourquoi les fourbes se taisent-ils lorsque Macron, Mélenchon, Bompard, Panot, Biden, Zelenski, Duhamel (BFM), Salamé, Ruquier, les culs terreux de la télé, les culs véreux de la politique, les culs éclatés du cinéma, les culs publics exposés et explosés, ouvrent la bouche pour cracher leurs vermines ? Les peuples s’indignent pour la bagatelle alors qu’ils se terrent devant l’humiliation que leur infligent leurs chefs. La lâcheté, l’ignorance, l’indécence, les tiennent entre leurs griffes. Se dégager, rentrer chez soi et fermer la porte à double tour jusqu’à ce que la race des loups s’éteigne à tout jamais. Mayotte relance le sujet de plus en plus vivace. L’étranger, l’immigration, doivent être combattus sans relâche. Apprendre à comprendre que la vie n’est que soi et que les autres ne sont que projections et fantasmes est le chemin le plus court pour grandir et franchir le cap. C’est en adulte que l’autre peut être abordé. C’est alors que de fantasme, il pourrait devenir richesse si l’on triomphe de cette ignorance latente qui plonge le monde dans le lourd sommeil de Brunehilde et de la suite connue de tous.     

lundi 12 février 2024

vu à travers le tube • mayotte… l’alerte est donnée !

Mayotte est l’image de ce que la France sera dans une ou deux décennies et peut-être même avant. La suppression du droit du sol et les frontières maritimes sont un excellent début pour tenter de sauver la situation et si le macronisme était prévoyant, les mesures adoptées pour l’île devraient se déplacer dans l’instant, sur le continent. Mare de l’immigration. Mare de l’étranger qui s’introduit dans notre propriété. Mare des misères qu’ils apportent dans leurs sacs à dos, misères qui s’ajoutent à nos propres misères et qui nous vident de notre sang. Je ne supporte plus le mélange des couleurs et j’espère que les enfers engloutiront les sauvages chiottes et chiots de Mélenchien, ainsi que leurs alliés, afin que la France retrouve un peu de sérénité. C’est pourquoi je suggère que l’hommage injustifié qui devrait être rendu à Badinter, se substitut à un hommage étourdissant et lumineux à Seiji Ozawa, le musicien, le chef d’orchestre, l’homme adulte, sachant et achevé qui vient de nous quitter dans le silence assourdissant des peuples et de leurs dirigeants. C’est vers son monde qu’il faut se tourner, vers ce monde où l’on rencontre des femmes et des hommes qui ne sont qu’humanité et qui – tel Barenboïm – œuvrent en permanence pour la paix dans le monde. Comment les vivants - morts - peuvent-ils à ce point se tromper ?   


dimanche 11 février 2024

chronique des choses à peine dites • salamé et non salomé qui a baisé la bouche de la tête de jean…


 


 

La légende veut que Molière soit mort sur scène, en pleine action. Salamé, la nunuche godiche de France Inter et France 2 – c’est pareil – et épouse du pseudo-philosophe politicard Glucksmann, s’est beaucoup agitée, ce samedi sur la chaine publique, pour corriger cette légende insensée : « Molière est mort chez lui ! » a-t-elle proclamée. « C’est vrai ! » a renchéri Dechavanne, le bouche-trou échappé de son EHPAD. J’en suis tout retourné. Une telle vérité de la part de deux ignares ignorants, c’est si rare que les mots sortis de pareilles bouches devraient faire l’objet d’un hommage au Panthéon où notre ado au psychisme inabouti pourrait se faire jouir en déclamant un de ses fameux discours qui endorment les petits enfants.

vu à travers le tube • duperey et godrèche…

« Je vais me faire taper dessus, mais je pense que tout cela est extrêmement exagéré. Six ans avec un réalisateur, sous emprise, je veux bien, mais quand même consentante non ? Je ne sais pas trop quoi penser de ce truc-là, mais je n’aime pas trop les chasses aux sorcières tardives. » Anny Duperey règle sainement le compte de Godrèche, comme j’aurais pu le faire à la télé si j’avais sa célébrité. La roue ne cesse de tourner et les délatrices professionnelles feraient bien de se méfier, leur tête ne tenant que par un fil sur ce corps qui ravage toutes les sociétés que l’on dit évoluées. Ras-le-bol de toutes ces accusations hors du champ de la justice et du privé. Et, je me demande vraiment pourquoi cette lâcheté chez tous ces hommes qui ne cessent d’être humiliés et violés par toutes ces bobonnes qui se prennent pour Turandot -  le désir de venger leurs ancêtres en s'identifiant au passé - et qui gardent le silence. La femme coupable qui ne cesse de jeter en pâture la marmaille à la société de plus en plus sauvage, serait bien avisée d’analyser ses comportements avant de condamner l’injure que souvent, elle a provoqué. La loi doit-être remodelée par des mains expertes en tenant compte des réalités psychiques des êtres. Hurler vengeance sur les plateaux télés ne peut qu’envenimer la chose, attiser les haines et dresser à tout jamais un mur de pierre entre les sexes. La justice et la psychanalyse sont les deux sagesses que le monde doit intégrer afin de rétablir le chainon manquant dans la liaison défaite depuis trop longtemps. Je ne me fais aucune illusion. La civilisation n’est pas prête. Elle a trop à faire avec son déclin et sa fin inexorable, si proche de ce début de XXIe siècle.     

samedi 10 février 2024

chronique des choses à peine dites • herbes folles…



 

herbes folles

doigts courants

sur le noir et blanc

des bécarres et bémols

 

pliez sous le vent

qui chante les mélodies

surgies des mélancolies

des troubles naissants

 

j’ai vu ses doigts courir

des toniques aux sensibles

dévoilant l’impossible

jouissance du pire

 

j’ai entendu le big-bang

de la volupté des sens

réveiller mon impuissance

devant le génie de Wang

 

poèmes improvisés en vers ou parfois en prose

haG


chronique des choses à peine dites • la nature reprend le dessus…


 


 

Dans la nuit du 9 au 10 février, la Seine Musicale a été le théâtre du néant chantant, de la vulgarité absolue et de l’autosuffisance. On s’est franchement ennuyé et fait hurler dessus pendant la cérémonie des Victoires de la Musique. Ce n’était qu’un mauvais moment à passer. (Sophie Delassein – L’OBS)