dimanche 9 juin 2024

le puits au fond du jardin • ignorance…


 


 

L’ignorance est de partout, même dans les salles de cinéma, quand l’écran blanc propose des imagés et des sons en provenance et en direct des salles. L’ignorance fait dire qu’on est allé à l’opéra et qu’on a entendu et vu un opéra, alors que l’on a vu et entendu que la représentation virtuelle de la représentation d’un opéra. Et ce qu’on a vu sur un écran tout blanc et tout plat et sans relief, et ce qu’on a entendu au travers d’enceintes stéréo, comme à la maison, n’est qu’une illusion visuelle et auditive que ni le compositeur, ni les artistes n’auraient osé imaginer. Remettons les choses à leur place : l’opéra à l’opéra, le cinéma au cinéma. Et qu’on ne me dise pas que l’opéra au cinéma est moins cher que l’opéra à l’opéra. L’opéra à l’opéra est moins cher qu’une place dans un stade de foot et de dix à cent fois moins cher qu’une place pour supporter des chanteurs sans voix et sans le moindre intérêt.

 

L’ignorance est de partout, comme hier, sur le champ de bataille de Marengo ou de Waterloo où l’armée régulière s’est faite décimée par les commandos terroristes habituels, alors que le pouvoir, qui a tous les pouvoirs, savait ce qu’il allait arriver et s’est contenté de regarder en faisant semblant de se fâcher contre les hordes de sauvages. À quoi peuvent bien servir les interdictions de manifester puisque jamais, elles ne sont respectées ?

 

L’ignorance est de partout, surtout quand il s’agit de glisser un morceau de papier cul dans la fente d’une urne en pensant qu’il va en sortir un petit enfant tout mignon et bien sage comme une image. Croire que le nom inscrit sur le papier glissé est son propre choix est d’une naïveté confondante. Il ne s’agit que du nom imposé par le systématique bourrage de crâne des campagnes électorales basées sur le mensonge et la pire des perversités. Les pantins ne votent pas. Les marionnettes non plus. Aujourd’hui, je ne voterai pas, comme je le fais depuis plus de 40 ans. J’attendrai que l’on invente la Démocratie couplée avec l’étude approfondie des conceptions de Sigmund Freud dont la thérapie est le seul espoir pour sauver le monde et faire rougir de honte Richard Wagner pour nous avoir annoncé, avec convictions, le crépuscule des dieux et des hommes.       

samedi 8 juin 2024

vu à travers le tube (bis) • déni et ignorance…

Ils ne veulent pas de l’A69. Ils ont décidé de manifester. Le préfet du Tarn leur a interdit. Ils s’en fichent. Ils se passent de son avis. En France, les manifestations interdites sont toujours très prisées, beaucoup plus que les manifestations autorisées. Et comme toujours, les manifestants venus pour défendre leur cause, restent minoritaires, dépassés dès les premières secondes par les voyous qui viennent se défouler et montrer leurs muscles saillants. Cet après-midi, les racailles étaient diverses : les soutiens aux terroristes du Hamas, les amis des peules colonisés par Dagobert I ou II, les allergiques au capitalisme, les fervents de l’illégalité légitime, les hordes féroces qui veulent pendre Darmanin, les féministes craquelées, les cisgenres et les transgenres lézardés et tout un tas de monstres de foires fatigués des rétrogrades normalisés. L’enfant, qui sert de roi à la France, les a laissés s’installer. Ils sont maintenant deux ou trois milliers à bombarder la police qui ne sort toujours pas ses armes à balles qui font des trous. Si le déclin généralisé n’était pas en train de mettre une fin définitive au système, il serait judicieux de revenir à nos origines, un homme à pénis, une femme à vagin, un cheval de trait, deux bœufs pour tirer la carriole, une hutte en paille et mourir à notre âge, jeune et conscient. Depuis plus de cent mille ans, l’homme marche sur le mauvais chemin. Freud a essayé de l’en détourner. Le monde l’a jeté. Les dés aussi… sont jetés.    


vu à travers le tube • le retour sur la pente de plus en plus glissante…

Depuis mon retrait – court ou long, selon – des réseaux sociaux déconnectés – eux ou moi – par un Mac agonisant qu’il a fallu remplacer, j’ouvre les yeux et retrouve le monde, virtuel côté pile, virtuel côté face, toujours aussi barge, toujours aussi tapé, toujours aussi ignorant. J’apprends, ce matin, que le vieillard sénile qui gouverne les États Unis d’Amérique – et qui se représente alors qu’il a plus de cent ans – et l’enfant au psychisme inabouti - plus bavard qu’une pie qui chante pendant qu’il débite ses immondices – qui sert de roi à la France, vont descendre les Champs-Élysées en grande pompe, pour se faire ovationner par une foule en délire, courbée devant ses bourreaux. La lâcheté est devenue la première des vertus et plus on s’aplatit, plus on a de chance de rentrer dans l’histoire de la France et  du monde, comme Robespierre, Borgia, Ivan le terrible ou l’Étrangleur de Boston – François 1e, Napoléon, aussi -. Et c’est demain que vous allez voter, une fois encore et une fois encore, pour rien. Voter n’est ni un acte citoyen, ni un acte démocratique. Pour qu’il y ait acte démocratique, il faudrait que la Démocratie ait été inventée et voter en citoyen avisé, c’est voter en son âme et conscience, ce qui n’est jamais arrivé, le bulletin glissé dans la fente de l’urne n’étant que le résultat d’un savant bourrage de crâne dont la main tremblante n’a pas la capacité d’en être consciente. Mensonge et ignorance, ce n’est que cela. La fin de ce monde est de plus en plus proche, celle de la France, imminente. Pour plus de précision, référez-vous donc à la fin du crépuscule des dieux et des hommes, dont Richard Wagner a si bien su révéler la vérité.

jeudi 30 mai 2024

vu à travers le tube • encore l’horreur dominante…

 

En France. Les médicaments se raréfient. Les pharmacies ferment leur porte aujourd’hui. Un député insoumis, wokiste et islamiste, traite Habib de porc. Le nourrisson Attal proclame un blocage institutionnel en cas de victoire du RN. Il ne dit rien en cas de victoire des islamistes-wokistes-insoumis. Boyard – la réincarnation de Sergent Garcia en voyou – et ses comparses, alcoolisés, ont chanté et dansé sur les cadavres de Gaza. Le Conseil constitutionnel accorde l’aide juridictionnelle aux clandestins. C’est le contribuable qui paiera.

 

Je m’arrête là. Cela suffit. Tout le monde a compris. Ce qui ne change rien à l’inertie chronique des français. Ils attendent probablement la solution finale…

mercredi 29 mai 2024

vu à travers le tube • où il est question d’excréments…

En ne cessant de vilipender la droite que l’on place à l’extrême, l’enfant au psychisme inabouti qui sert de roi à la France, ferait mieux de mesurer ses paroles destructrices. Il garde le silence sur ceux qui passent leur temps à craquer des allumettes pour mettre le feu à la mèche de la bombe qui éclatera obligatoirement un jour ou l’autre et qui changera la face inerte de la France macronienne. Dans les rangs de gauche de l’hémicycle, ça sent mauvais, ça pue. Ces gens-là ne se lavent jamais et laissent sortir leurs excréments sur les bancs et en pleines séances. Et, après son éviction de l’Assemblée, le déséquilibré incriminé est allé danser et glousser des éclats de rires dans les rues de Paris avec son pote Sergent Garcia. Ceux qui ont peur de l’arrivée au pouvoir de Le Pen, et je me demande bien pourquoi, peuvent dormir sur leurs deux oreilles – pour ceux qui en ont deux -. Le successeur de Macron pourrait bien être Mélenchon en dictateur sanguinaire qui pourrait bien reproduire les thérapies d’Adolphe Hitler. Et les français n’y pourront rien puisque les étrangers sont en voie de devenir majoritaire. Toute ma vie, j'ai été socialiste. Je le suis toujours, seul et unique dans mon parti, le SFT (Socialisme Freud Thérapie). Je regrette profondément d’avoir voté pour les Éléphants. Ils étaient aussi misérables que les limaces agonisantes, mais, j’étais trop jeune pour le savoir. Je souhaite bon courage à ceux qui n’auront pas le courage de disparaître avant l’arrivée du pire. Pour moi, c’est fait. En tous les cas, c’est sur la bonne voie.     

mardi 28 mai 2024

vu à travers le tube • nous en sommes arrivés là…

Georges Braque - Violine und Krug (1910)

Quand va-t-on cesser de nous souler avec les voyous-criminels-terroristes que la Justice frappe d’OQTF sans imaginer une suite. Ces pauvres malheureux trainent et s’emmerdent dans la nature. Et c’est pour bien occuper leurs journées, c’est pour bien combler leurs vides, qu’ils jouent à des jeux comme celui de l’Opinel ou celui du zizi agile ou celui du massage de corps à grands coups de poings et de pieds. Comment leur en vouloir ? Il faut bien qu’ils occupent leur temps, puisque les autorités macroniennes les abandonnent dès qu’ils leur ont délivré leur nouveau statut. Et le seul coupable dans cette affaire, c’est le terrifiant Dupont M., substitution de l’enfant au psychisme inabouti qui sert de roi à la France, incroyable marmot qui, hier, a appelé les français à se réveiller face au vent mauvais de l’extrême droite, qui souffle en Europe. Ce dictateur ignorant ne sait pas que s’il avait fait son boulot, que s’il n’avait pas dresser les français les uns contre les autres, que s’il n’avait pas cessé de retourner son veston, de tromper et de mépriser les pauvres gens, les extrêmes ne seraient pas et son passage sur le trône des Louis n’aurait été qu’un long fleuve tranquille. Et si nous en sommes arrivés là, à l’endroit précis où nous en sommes aujourd’hui, c’est que le fils et époux de Brigitte Tr. s’est inscrit dans la noire succession des piteux Charlemagne, François 1e, Louis XIV ou XVI, Napoléon ou De Gaule, sans même imaginer qu’il aurait pu inventer la Démocratie. L’échec est complet. L’échec de la France et de ses pantins qui, jamais, n’auront su se débarrasser de leur ignorance crade, parce que jamais, ils n’ont accepté de faire disséquer leur individualité par la technique invincible de Sigmund Freud : la psychanalyse. 


lundi 27 mai 2024

vu à travers le tube • ébloui par le noir…

Il a encore joué avec son Opinel le marocain d’origine frappé d’une OQTF qui n’aurait pas dû se trouver dans le métro lyonnais mais en dehors de nos frontières, si les lois françaises étaient exécutées, décisions que le pouvoir totalitaire macronien n’arrive pas à assimiler. Jamais nos vies ont été autant en danger dans l’espace publique et aucun élu et gratte-papier de ce pitoyable pouvoir, ne tente d’y apporter la solution suprême qui consiste à répondre aux exactions de ce genre par une sommation puis un tire à balles réelles. Et pendant ce temps, notre enfant au psychisme inabouti, - qui vit sous les jupes de sa maman qu’il a épousée, sauf quand il fait le tour du monde dans son bel avion et sauf aussi quand il caresse et bise Zelenski en lui promettant que sa féroce armée va brûler Moscou et même/mieux qu’il y sera à sa tête, juché sur son vaillant cheval blanc, sabre affuté, virevoltant sur les têtes des infâmes traitres – ne cesse de téléphoner à Marine pour la persuader de débattre avec elle, ayant bien compris que ses subalternes Hayer et Attal sont des incapables et que c’est entièrement de leur faute si le jeune Bardella lui fait la nique.  L’enfant-président est persuadé que s’il avait monté sa propre liste – où il serait en 1, en 2, en 3, et plus -  il serait élu d’avance avec 99,99% des voix le 0,01% étant réservé à un malade interné en psychiatrie. Le danger pour l’humanité n’est ni Bardella, ni Le Pen, ni Trump, ni Poutine, ni les terroristes de tous bords, mais bien les horreurs que nous avons vu sur scène au monstrueux machin de Cannes, reflets quasi semblable des monstres de l’Eurovision.   


dimanche 26 mai 2024

le puits au fond du jardin • quand tout devient petit…



 

Depuis que les oranges poussent sur les cerisiers, les anomalies de la nature, mises en évidence et en vedette, sont déclarées avenir des civilisations nouvelles. C’est une transgenre excitée qui a reçu le prix d’interprétation féminine au cours d’une fin d’après-midi cannoise où la langue française a été broyée par les invasions des patois étrangers venus de tous les horizons, ce qui était sans importance puisqu’un seul mot a été prononcé dix ou cent mille fois, le mot « merci », mot que j’avais oublié puisque la dernière fois que je l’ai entendu, c’était de la bouche d’une vieille dame quand je lui ai tenu ouverte la porte d’un train, en 1971, il me semble. Je ne l’emploie jamais. Mon entourage non plus. Ce n’est ni la politesse, ni la courtoisie qui m’étouffe et c’est tant mieux, parce que mourir étouffé est très angoissant, m’ont dit quelques amis expérimentés. Pour en revenir au club des marginaux qui nagent dans l’opulence des sentiments d’opérettes et des bouffonneries gargantuesques, je me demande où ils vivent, ce qu’ils y font et comment ils pataugent dans la vie des autres dont ils ignorent les ingrédients. Les autocongratulations, les touche-à-touche, les envolées sans ailes, les maîtresses d’école arrogantes, les leçons données à la terre entière, ne peuvent que cacher l’agonie de leur cinéma débordant l’écran pour se poser à côté de leurs augustes derrières, calés dans leurs fauteuils, face à eux-mêmes. Le miroir, pourtant intransigeant, leur échappe totalement.         


      

samedi 25 mai 2024

vu à travers le tube • pas grand-chose…

À quoi aura servi ce long et couteux voyage sur le Cailloux que nous, contribuables, avons offert généreusement et stupidement à l’enfant au psychisme inachevé qui ne veut toujours pas suivre une cure de longue durée chez le Professeur Freud ? Seulement à envenimer la situation et à alimenter dangereusement les guerres de tranchées si prisées sur ce territoire. Nous ne pouvons être fiers de notre bêtise, de notre soumission à un marmot, de notre ignorance sans limites.

 

La Cour internationale de justice exige de l’État d’Israël qu’il cesse son combat contre les terroristes du Hamas, qu’il cesse de chercher à sauver les otages, sans doute tous morts sous la torture de leurs amis, qu’il protège comme la cuisson de la dinde de service, un joyeux dimanche de Pâque. Heureusement, Israël ne cède pas et continuera son juste combat même si le monde entier finira bien par l’étouffer avant de le jeter dans le Jourdain, là où Jean a cru reconnaître un prophète ce qui lui a  valu les hostilités d’Hérode dont Salomé, sa belle-fille, a demandé la tête et l’a obtenue avant de copuler avec elle. L’histoire de l’Histoire n’est jamais aussi simple !  


vendredi 24 mai 2024

vu à travers le tube • le monstre dans le miroir…

Il est venu puis reparti. Le Sauveur a déclamé sa tirade. Personne n’a compris. Attendons le final du feu d’artifice. Pourquoi Bardella/Attal ? l’un est candidat aux Européennes, l’autre pas. L’un n’a pas pris de cours de théâtre. L’autre, si. Roux a été parfaite en inquisiteur - écrire inquisitrice serait faire plaisir à MeToo et autres imbécilités --. Maintenant, tout le monde le sait. Les prisons sont des lieux de villégiature. Elles sont vouées à remplacer les logements sociaux. Heureux les pauvres. Heureux les manieurs d’Opinel. Heureux les hors-la-loi.


Quand va-t-on se poser les vraies questions et quand va-t-on y répondre ? Le statut du Président de la République française est à peu près le même que celui des rois de France, à l’exception du fait que le premier a des garde-fous virtuels. La Constitution du militaire à la retraite interdit donc l’invention de la Démocratie. Quoiqu’en pensent les mauvais esprits, nous ne sommes pas en démocratie, mais en régime totalitaire. Et si j’ajoute, sans hésiter, que notre État de droit, autorise toutes les exactions et l’impunité des crimes, que notre invention de la laïcité nous fait marcher sur un seul pied, que notre conception de la société détruit toutes volontés de cadrage, indispensables si l’on veut vivre ensemble, les discours de tous horizons n’ont aucun sens, puisque pour réaliser, il faut des fondations. L’homme, depuis le début des mondes, s’acharne à progresser en tendant d’apprendre à lire, à écrire et à compter. Il aura oublié l’essentiel : forger, sculpter et modeler son psychisme pour comprendre qui il est, et par conséquence, comprendre ce qui l’entoure. C’est Freud que l’on doit apprendre sans faillir, de 0 à 110 ans. Freud et rien que Freud. Que ceux qui voudraient me contredire placent leur miroir en pleine lumière et me décrivent le monstre qu’ils y voient !
      

jeudi 23 mai 2024

vu à travers le tube (bis) • amra le caïd…

Amra est en cavale. Amra est un caïd de haut niveau qui infeste les prisons – avec ses amis – pour prendre le pouvoir. Les surveillants, les directions, les fonctionnaires du ministère et le ministre Dupont M., en personne et au sommet de la pyramide, laissent faire en toute impunité : les truands télétravaillent de leur cellule-chambre d’hôtel 4*, avec ordinateurs, smartphones. Ils ont la télé, apéros et repas à volonté, livrés par un chef 4*. Ils copulent et se gaussent de tous les pantins de français qui se saignent pour leur bien-être. La prison est devenue un lieu de liberté et de jouissances, contrairement à l’extérieur où il faut se battre jusqu’à épuisement pour tenter de gagner sa misérable vie que la femme coupable ne cesse d’alimenter. Dupont M. doit être démissionné, jugé sans jugement et condamné à finir ses jours dans un cachot avec les gros rats puants de Paris. Ce que je trouve encore plus énorme que la liberté en prison, c’est l’incapacité des français à comprendre à quel point les idiots qu’ils mettent au pouvoir se fichent de leur gueule. Est-ce que cela va encore durer longtemps ?    

vu à travers le tube • rien…

Dans les médiocrités quotidiennes de ce monde, dans sa perversité, dans son ignorance, dans les moisissures de ses fondements, je retiens, ce matin, deux ou trois informations un peu plus – ou un peu moins - pertinentes qui sauront réchauffer – ou refroidir - les cœurs. 1. Amora offusque les metoosiennes cannoises avec ses scènes de sexe torrides et débridées entre – grande rareté – un homme et une femme. 2. Aix-les-Bains ouvre son premier pigeonnier contraceptif utilisable uniquement par abonnement. 3. De Luxe confirme que Balkany va se représenter à la mairie de Levallois en l’absence d’Isabelle qui a été internée. C’est tout et c’est déjà pas mal, pour ce matin, d’autant que je suis pressé. Mon Leclerc m’attend pour mon café. Ma voisine de palier aussi.

mercredi 22 mai 2024

le puits au fond du jardin • le tricheur et les menteurs…

 



 

S’il est connu pour avoir un certain talent, c’est qu’il suit la règle, celle des vibrations de ses cordes sous la caresse de la mèche de son archet. Il sait pertinemment que sans le respect de la règle, il serait exclu impitoyablement de la cour des grands qui ne sont pas tous et toujours grands. Alors pourquoi le pimpant séducteur s’est-il senti le besoin d’échapper à l’impôt que paie mon boucher et ma boulangère et même mes caissières de mon Leclerc ? Pourquoi l’homme public et violoniste Capuçon – lui pas l’autre – marié à encore plus publique que lui en la personne de Laurence Ferrari, future directrice générale de Cnews et Europe 1, sauf si c’est Praud qui est choisi, donne-t-il le mauvais exemple. Il est milliardaire. Son épouse aussi. Et le préjudice qu’il crée ne peut que se retourner contre les pauvres qui, eux, paient, paient et paient jusqu’au bout de leur souffle. Il a triché. La justice l’a enfin rattrapé.

 

Hier soir, sur LCI, huit des têtes de listes aux Européennes, étaient face à Pujadas que je croyais mort depuis longtemps. Il était bien vivant – je crois – et il était toujours aussi caressant, aussi inodore et incolore, aussi mort que s’il était mort de ne jamais avoir été vivant. Quant aux politicards infatigables, ils ont débité leurs âneries habituelles, âneries déjà employées par Néron ou Borgia – ou même, le fils de la vierge qui a copulé avec un ange sans sexe - et qui ont donné le spectacle affligeant du XXIe siècle. Rien de nouveau sous le soleil, sinon les outrages incessants dû à des psychismes inaboutis et la pratique de l’ignorance la plus dévastatrice pour l’apaisement de la machine humaine qui ne veut plus de cette terre de misère où seuls les terroristes ont tous les droits. Tous les jours, je me félicite de ne plus voter depuis plus de quarante ans. Je refuse que de pareilles merdes représentent mes idées. Je ne suis ni citoyen, ni républicain, ni démocrate. Je suis homme et je pense. Ça me suffit largement, d’autant que lorsque je n’ai pas de réponse à mes questions, je pousse la porte du cabinet de Freud pour traverser mon miroir. Les préliminaires sont réglés depuis longtemps.      

mardi 21 mai 2024

vu à travers le tube • haine…

La cour pénale internationale demande un mandat d’arrêt contre Netanyahu et son ministre de la Défense et contre les chefs des terroristes du Hamas. Honteux et scandaleux, a hurlé le vieux sénile Biden qui n’avait pas repris ses esprits depuis plus de vingt ans. La France, elle – qui est la France ? –, se réjouit des méfaits d’un procureur en manque de célébrité. L’enfant au psychisme non abouti, ne cesse de montrer son ignoble perversité et son ignorance démesurée. Ça ne peut que mal finir et ce sera très bien ainsi.

 

Un monstre boucher là-bas, un politique véreux ici, ont enfin cassé leur pipe. Et les foules se lapident. Mozart est mort. Seul un chien est venu à son enterrement. Pauvre monde détraqué !

 

La guerre est de partout. Elle fait couler le sang entre les peuples, entre les sexes, entre les genres, entre les idées. Un gros connard a dit : « Aimez-vous les uns les autres ! » Où l’on peut remarquer que le pauvre inachevé n’est jamais allé à l’école.

lundi 20 mai 2024

le puits au fond du jardin • quatre tous et riens…

 



Raissi, le président barbu qui devait succéder au Guide suprême, est mort en tombant du ciel. L’Iran n’a plus de successeur à son guide, ni de président. La France n’a pas cette chance. Elle a toujours un président, l’enfant incomplet que tout le monde connaît.

 

Les cheminots franciliens seront encore en grève, demain, pour obtenir le magot dont la cote monte au fil des jours. Les JO auront renversé la vapeur – vapeur/cheminot, vous pigez ? – en dopant furieusement le compte en banque des pauvres et malheureux conducteurs de trains et des encore plus pauvres et encore plus malheureux contrôleurs-délateur. Reste à savoir ce qui se passera après les JO !

 

À Cannes, sur le tapis, on expose à tout-va, non pas Renoir, Modigliani ou Picasso, mais des chairs – substance molle du corps humain – qui bougent un bras, une jambe, qui se penchent, qui se redressent, qui virevoltent, qui se déchaînent, qui se montrent - même quand c’est vieux et laid -, et qui font le bonheur des photographes et pseudo-journalistes, qui viennent ici pour se rincer l’œil. On dit aussi, que dans des catacombes secrètes, on y projetterait des films. Fake news probablement !

 

C’était hier soir, sur Canal+Cinéma(s). J’ai vu le film canadien de Mona Chokri « Simple comme Sylvain », où la prof de philo rencontre un menuisier avec lequel elle copule à gogo en trompant son mari. C’était (ré)jouissant, régénérant, assassin pour notre monde immonde, frais comme la rosée du matin, généreux comme les rayons du soleil. C’était beau comme le son du violon de Ginette Neveu sur les sommets des Açores. On était loin de Trier, perdue et disloquée dans sa chute anatomique.