samedi 10 août 2024

le puits au fond du jardin • bis repetita…


 


 

Ils seraient les plus forts. Ils seraient les plus beaux. Ils seraient les plus courageux. Ils seraient les plus à même de faire copuler la carpe et le lapin. Les peuples s’enflamment pour ces surhommes qui seraient des héros rentrant dans les mythologies. Même l’enfant qui sert de roi à la France, s’inclinent devant eux – peut-être un prétexte pour les papouiller -. La tromperie est si éblouissante que les cocus en perdent la vue. Je me demande ce qu’ils – les cocus – vont faire ce lundi, quand ils vont chercher leur joujou à jamais disparu et que Paris et ses gros rats poilus auront repris leur aspect naturel. Hier, j’ai abordé ici le même sujet et personne ne l’a lu. Alors, je me permets de vous le réécrire sans en changer le moindre mot, ni la moindre virgule.

 

Mon puits du 9 août 2024 :

 

Hier, pendant que sur toutes les télés du monde, le monde s’abrutissait en regardant ceux qui courent ou nagent le plus vite, ceux qui sautent le plus haut, ceux qui frappent le plus fort, ceux qui lancent des marteaux ou des javelots, ceux qui frappent sur des balles de ping-pong ou de tennis, ceux qui se frappent à coups de poings, ceux qui propulsent des balles avec les pieds ou avec les mains, ceux qui font d’autres choses dans le même genre, hier, disais-je, sur Mezzo ou Classica – je ne me souviens plus -, j’ai revu Claudio Abbado dirigeant à Lucerne la monumentale 2e symphonie de Gustav Mahler. J’ai vu le visage, le regard, l’expressivité de l’immense chef happer le regard de ses incroyables instrumentistes et construire avec eux, sans la moindre faille et dans le partage le plus absolu, l’architecture de l’œuvre et la fixer pour l’éternité, sur ses fondamentales. Ceux qui ont eu la chance d’être dans la salle, auront vécu un moment historique, historique par l’interprétation mais aussi par ce moment éphémère de liberté, de démocratie, d’accord authentique entre les êtres, de communion parfaite entre la scène et la salle, de bonheur profond et sincère, qui ne peuvent que demander à réfléchir. À Lucerne, l’émotion naturelle dans un monde de paix. Dans les télés, les fracas de la lutte pour la première place, l’hystérie et la bestialité des jeux du cirque.

vendredi 9 août 2024

le puits au fond du jardin • l’autre chemin…


 

 

Hier, pendant que sur toutes les télés du monde, le monde s’abrutissait en regardant ceux qui courent ou nagent le plus vite, ceux qui sautent le plus haut, ceux qui frappent le plus fort, ceux qui lancent des marteaux ou des javelots, ceux qui frappent sur des balles de ping-pong ou de tennis, ceux qui se frappent à coups de poings, ceux qui propulsent des balles avec les pieds ou avec les mains, ceux qui font d’autres choses dans le même genre, hier, disais-je, sur Mezzo ou Classica – je ne me souviens plus -, j’ai revu Claudio Abbado dirigeant à Lucerne la monumentale 2e symphonie de Gustav Mahler. J’ai vu le visage, le regard, l’expressivité de l’immense chef happer le regard de ses incroyables instrumentistes et construire avec eux, sans la moindre faille et dans le partage le plus absolu, l’architecture de l’œuvre et la fixer pour l’éternité, sur ses fondamentales. Ceux qui ont eu la chance d’être dans la salle, auront vécu un moment historique, historique par l’interprétation mais aussi par ce moment éphémère de liberté, de démocratie, d’accord authentique entre les êtres, de communion parfaite entre la scène et la salle, de bonheur profond et sincère, qui ne peuvent que demander à réfléchir. À Lucerne, l’émotion naturelle dans un monde de paix. Dans les télés, les fracas de la lutte pour la première place, l’hystérie et la bestialité des jeux du cirque.      

jeudi 8 août 2024

vu à travers le tube • discernement des personnalités…

Pourquoi l’enfant au psychisme inabouti qui sert de roi à la France tenait-il tant à ses jeux du cirque ? Pour redorer son blason, sans doute, mais surtout pour pratiquer ses pulsions naturelles que même les aveugles non-voyants distinguent précisément : étreindre les corps mâles, les serrer contre sa chair, les caresser jusqu’à l’extase qui se confond avec l’outrage. Comment est-il possible que personne ne le remette à sa place et que sa maman ne le mette pas en garde ? Un roi doit savoir se tenir et éviter les comportements pulsionnels ayant attraits à sa sexualité. Si son psychisme est inabouti, c’est qu’il est dans l’incapacité de faire les différentiations, dont l’application de son célèbre « vivre ensemble » qui n’est que l’impossibilité de choisir. Il est difficile de comprendre que l’on puisse mettre à la tête d’un pays un homme au jugement incertain qui, au lieu de trancher, s’approprie les deux camps. C’est pourquoi il n’est pas incrédible de juger l’homme, avant de juger ses propositions – mensonges et dénis –, avant de glisser son bout de papier dans la fente de l’urne et je ne vous ferai pas injure en vous faisant remarquer qu’une urne possède toujours une fente et que ce qu’on y introduit implique toujours une fécondation. Le pouvoir, qu’il soit de droite, de gauche où d’ailleurs, c’est avant tout un homme ou une femme. Et c’est l’un ou l’une qu’il faut savoir discerner avant de se prononcer.    

mercredi 7 août 2024

le puits au fond du jardin • quand les jeux céderont leur place aux jeux…



 

Nous avions Attal – actuellement Premier ministre usurpateur, le poste étant vacant – homosexuel déclaré, les chiottes et chiots mélen-chienistes veulent imposer Castets, une lesbienne qui a eu un enfant avec une autre femme, à sa succession. Chez l’enfant au psychisme inabouti qui a épousé sa maman et qui n’a jamais précisé son sexe ni celui de sa maman, l’homosexualité et ses innombrables déviances sont le devenir de l’humanité. Castets a donc une toute petite chance. Le retour à la normalité semble loin derrière nous. Il faudra bien que vous fassiez avec puisque moi, étant ailleurs, je n’aurai plus à subir les assauts vénéneux des psychopathes héroïques. Et comment ne pas faire le lien avec les jeux du cirque qui – quel soulagement ! – se terminent bientôt, et qui vont dès ce lundi, céder la place aux jeux des politiques crasses et leurs indécentes chamailleries, où dans les marmites géantes des mensonges et des dénis, les stupides reptiles vont assassiner de mots et d’actes tout ce qui ne sera pas scellé dans sa case. Tous les sujets seront controversés et seuls les fondamentaux ne seront jamais abordés, principalement celui qui est au cœur de tous les problèmes : l’homme. Qui est-il ? Que veut-il ? Quelles sont ses nécessités ? La politique – les polititi-chiens – ont tout simplement oublié que l’homme à un psychisme et que c’est lui qui gouverne le monde. L’éternel conflit entre le conscient et l’inconscient devrait être à l’ordre du jour, et lui envisager une solide rénovation de manière régulière, ne serait pas de trop pour affronter ces pitoyables guerres – guerres de religions, guerre des genres et des sexes, notamment – qui déchiquètent sans cesse les innocents. À force de rejeter Freud, le monde s’engouffre dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin. Quand il arrivera à destination, le noir et la douleur remplaceront les herbes et les fleurs.   


mardi 6 août 2024

le puits au fond du jardin • ces balivernes qui embrouillent les esprits…



 

C’est dans le poste et dans l’écran que se diffusent nos comportements parce que ceux qui sont dedans s’imaginent savoir mieux que nous ce que nous sommes et ce que nous pensons. Depuis plus de huit jours, on nous rabâche que les français SONT les jeux du cirque, qu’ils mangent ensemble, qu’ils dorment ensemble, qu’ils travaillent ensemble, qu’ils copulent ensemble - le triomphe des trouples – et que les priver de ces amusements juvéniles les viderait de leur sang. Tous les français sont aux jeux et rien – vraiment rien - ne pourrait les sortir de leurs songes hallucinants. C’est pourquoi j’ai enfin la réponse à la question que je me pose depuis quatre-vingts ans. Je ne suis pas français et c’est un soulagement. Je ne le suis que sur le papier cul de l’État civil parce qu’une femme m’a expulsé violemment sur le sol de ce pays sans me demander mon avis. Je ne reconnais aucune valeur dans les jeux du cirque parce que les acteurs sont dans la confrontation qui se traduit par la remise d’une breloque sur laquelle il est écrit : « Je suis le plus fort ! » Qu’on m’explique ce que cela veut dire. Mes valeurs sont Freud et sa thérapie psychanalytique, Alfred Hitchcock et sa révolution cinématographique, Jean-Sébastien Bach et son Art de la Fugue, David Lynch et ses plongées dans l’inconscient dans le blanc de l’écran, Jean-Baptiste Poquelin dit Molière et le trouble fondamental de son théâtre, Wilhelm Furtwängler et la magie des sons de son orchestre. Quelques autres aussi. Le dépassement de la pensée est le propre de l’homme. Le dépassement des corps n’est que jeux de cirque sous chapiteaux, itinérants, éphémères, ignorants le point d’attache. La recherche de la fondamentale est la valeur universelle, loin de toutes ces balivernes qui embrouillent les esprits.     


lundi 5 août 2024

le puits au fond du jardin • encore une longue semaine à tenir…


 

 

Encore une longue semaine à tenir. Un cours répits et tout sera à refaire avec les handicapés. Alors que les commentateurs sont en pleine hystérie et s’infligent des cancers de la gorge, les excréments de la Seine font leurs premières victimes et je ne vois pas l’enfant aux manches retroussées, qui caresse les corps, prendre la parole pour dénoncer ce qu’il a ordonné. Les jeux du cirque auront précipité les chutes dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin. Les visages de désolation, au matin du lundi 12 août, vont exprimer le désarroi du mirage. L’enfant précité va bien être obligé de nommer un gouvernement fantoche et les vrais et authentiques jeux du cirque vont envahir, comme par le passé, tous les postes et tous les écrans télés.

dimanche 4 août 2024

le puits au fond du jardin • ève, villlanelle, laura et sarah…



 

Déjà huit jours de propagande. Il en reste autant. On fait ingurgiter à une infime partie du monde – l’autre partie est en guerre – les exploits héroïques, surnaturels, d’un gros lard qui fait des croche-pieds à d’autres gros lards et d’un poisson sans nageoires qui nargue les sardines parce qu’il atteint, le premier, les bords de la piscine. Et les radios et les télés nous saoulent de ces comportements imbéciles tout au long des journées et des nuits, alors que la France, sans gouvernement, laisse le champ libre aux chiottes et chiots mélen-chiennistes qui préparent savamment et sans bruit, l’arrivée au pouvoir de leur gourou, futur dictateur Kim Jong-unième. Profitez bien, car la récréation sera de courte durée. Je pense à Eve et Villanelle, la justicière et la tueuse, deux rivales qui ne font qu’une. Je pense aussi à Laura qui est morte et qui vit. A-t-elle vraiment rencontré Cooper ? Et Sarah, sa mère, est-elle toujours dans la maison ?     


samedi 3 août 2024

vu à travers le tube • dans les immenses déserts…

« À gauche, il y a Sara Errani qui est la patronne, elle fait tout : la vaisselle, la cuisine, la serpillière ». C’est ce qu’a déclaré Éric Salliot mardi sur l’antenne de RMC alors qu’il commentait un match de tennis féminin des jeux du cirque. Et voilà que les meetosiennes et leurs dérivées tombent sur le maladroit et réclament la potence pour ce sexiste misogyne. Par contre, pour le spectacle grand guignol de l’ouverture du cirque, où les déviations sexuelles ont été glorifiées et placées à la gauche de Dieu le Père, elles sont restées bouche-cousue les stupides renégates. Nous vivons dans un monde qui pratique, sans souci, le deux poids deux mesures.

 

A la régression du monde, la France macronienne ajoute la régression finale, celle du retour à la maison, du retour dans le ventre de la femme. Le monde des enfants est soudain devenu surpuissant et fait régner sa tyrannie, depuis une semaine, en substituant l’adulte - où son fantôme - à l’enfant héros parti à l’assaut du monde, tel Siegfried après avoir reforgé Nothung, son glaive-pénis qui terrifia les peuples et les dragons. Les enfants se mettent en scène devant les enfants-spectateurs qui poussent des cris de singes et qui regardent le ciel d’où pleuvent des milliers de grenouilles en or, en argent, et même en bronze. La Seine, qui a supporté la Cène, perd ses eaux et se remplit de breloques. Quand la régression ubuesque aura cessé, quand la fin de la récréation aura été sifflée, je me demande quel visage va apparaître. Dans les immenses déserts, les visages perdent leurs regards…

vendredi 2 août 2024

le puits au fond de mon jardin • c’est dit…


 


 

En France, la natalité est en baisse, « toujours en baisse » précise Le Figaro. Et certains s’en offusquent. Moi, je m’en réjouis. Mettre un enfant au monde est un crime dans un pays alité avec une maladie incurable, alité sous la surveillance de médecins qui ont fait leurs études dans les décharges publiques. Créer un malheureux suicidaire qui ne connaîtra que la misère n’est pas un acte convenable. Pour procréer, il faut attendre que l’homme devienne adulte en soignant son psychisme et qui ait ainsi la capacité de créer la Démocratie, celle ou le peuple sera gouverné par le peuple. Et si cela parait impossible, revenons aux temps anciens en recréant les petits villages sous l’autorité du vieux sage. Surtout, cessons ces fausses démocraties noyées dans le mensonge et le déni où les terroristes qui fracassent les sexes sont en train de prendre le pouvoir. Les Philippe Katerine ont le droit de vivre, mais sans faire de publicité pour leurs inaboutissements et leurs incapacités de différentiations. Les minorités handicapées n’ont pas à s’ériger en modèle du monde.

 

En parlant de leurs liens avec le NFP (Nouveau Front Populaire), certains « socialistes » en ont assez d’être pris pour des fous. Ça fait plus de quatre décennies qu’ils sont fous et, surtout, qu’ils ne sont plus socialistes. Je le sais, puisque je suis orphelin et que par conséquence, je ne vote plus. Je ne vote plus, aussi, parce que le trucage des élections est trop visible et parce que sa manière de procéder est anti-démocratique. L’élection d’un président au suffrage universel est une hérésie. L’élection à deux tours est une infamie. Les campagnes électorales où l’on ne parle pas de son programme, mais plutôt des tares de ses concurrents est inadmissible. L’élu est une race qui me hérisse et que je voudrais voir crever dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin. Voilà, c’est dit… et c’est tout !

jeudi 1 août 2024

le puits au fond du jardin • freud, au secours !



 

Les feux ministres de l’enfant au psychisme inabouti qui sert de roi à la France, ne manquent aucune occasion de montrer leur minois bronzé à la télé comme dans les bronzés qui font du ski. Ils prennent même des décisions en signant des décrets. Ils ont pourtant été démissionnés et ainsi perdu tous pouvoirs. Il me semble que quelque chose ne va pas, d’autant que l’enfant, qui est à l’origine de cette incompréhension, est en vacances avec ses pouvoirs de décision et aussi avec maman. De son côté, Castets – une employée de la ville de Paris toujours en fonction - prépare soigneusement sa rentrée à Matignon. Et les gogos boivent ses paroles comme les marseillais boivent le pastis. Et en même temps, un nageur de piscine vient d’être sacré super-héros. Les radios et télés disent qu’il a gagné le cœur de TOUS les français. Pas le mien. Je me fous des nageurs de piscine. Mon héros, c’est Siegfried, le seul qui grâce à son heaume magique et à Nothung, sa fidèle épée qu’il a déplantée du tronc d’un frêne, est capable de comprendre le chant des oiseaux et de tuer les dragons. Seul Jésus aurait pu faire mieux s’il n’avait pas été maso et ne s’était pas laissé clouer sur une croix pour mourir entre deux terroristes. Je comprends de moins en moins ce monde qui inverse les valeurs et qui ronge en permanence toutes les facultés humaines. Tomber aussi bas devrait alerter. Non ! Tomber est devenu une force, être ignorant et minable, une vertu. Je me répète encore : Freud, au secours !


mercredi 31 juillet 2024

vu à travers le tube • où il est question de lunette et un peu plus…

Où l’on apprend, après un enquête minutieuse diligentée par Hidalgo, que si la Seine est polluée, c’est que les parisiens y déversent leurs excréments et que s’ils tiraient la chasse d’eau une seule fois par mois, le fleuve aurait le temps de digérer et de rendre à ses eaux sa pureté des temps anciens. Les parisiens continuant de tirer la chasse chaque fois qu’ils ont posé leur derrière sur la lunette, il a bien fallu faire appel à des techniciens, des savants de la chose, dont j’ignore l’esprit de la méthode. Il semblerait que ça marche un tout petit peu par beau temps continu, mais que dès que la pluie ou l’orage se déclenchent sur Paris ou en amont, la chose renait avec encore plus de forces et de convictions. Ce n’est pas vraiment une réussite, d’autant que la Seine n’a pas vocation à être propre, mais seulement à être un fleuve. Et comme quelques illuminés ont décidé d’organiser des jeux de cirque sur et dans les eaux du fleuve, il a bien fallu s’adjoindre des techniciens qui ont naturellement envoyé la facture : 1,4 millions d’euros. C’est comme si Paris et sa banlieue n’avait pas de piscine. Moi, j’en ai une dans mon jardin, entre le cerisier et le puits du fond. Je l’aurais volontiers prêtée et je n’aurais pas demandé un seul centime. Je suis bon et généreux. C’est ainsi et je n’y peux rien.

 

Vous le savez sûrement, à ce jour, la France n’a pas de gouvernement, l’enfant au psychisme inabouti qui sert de roi, l’ayant dissous dernièrement. Je me demande comment il est possible que des ministres sans corps charnel ni pensée pensante, arrivent à pondre des décrets, entériner des lois et probablement en instaurer de nouvelles sans qu’on le sache ? Par quel miracle des gens sans fonctions gouvernent-ils la France ? Après la grande et interminable soirée de gala des monstres de la France du XXIe siècle, il est vrai qu’il n’est pas très difficile de comprendre.    

mardi 30 juillet 2024

vu à travers le tube • hermès…

La belle-sœur de l’Émir du Qatar qui voyageait avec son employée de maison entre Nice et Paris à bord d’un Oui-Oui, s’est fait voler ses 11 sacs Hermès. Le train a été retardé de pas loin de 20 minutes, les 1110 passagers étant descendus sur les voies pour rechercher le coupable… et les sacs. Ils eurent beau scruter l’horizon, comme ma sœur Anne, ils remontèrent bredouilles. Pauvre femme ! Elle va devoir vivre, le temps de sortir sa carte bancaire, sans ses prothèses.

 

« La cérémonie n’a pas magnifié l’esprit français, mais la France que ses organisateurs voudraient voir advenir. » (Bérénice Levet, professeur à l’IPC, Facultés libres de philosophie)


lundi 29 juillet 2024

le puits au fond du jardin • le cordon…

 



 

Le temps de l’exposition d’un fœtus qui va devenir un monstre qui installera les dictatures, la Mythologie est réapparue sous l’habit de l’orgie suggérée qui promet de nouveaux jours. Les Dieux grecs et romains rient à gorges déployées en observant ces humains qui se démènent dans une pensée et un corps qui leur sont totalement étranger. La vie est la transmission par le cordon. Hors du processeur, il n’y a rien. Il semble que c’est vers ce rien que se dirigent les populations subjuguées par quelques gourous des temps anciens. Quelques-uns avaient bien tenté le Siècle des Lumières, d’autres – des raretés – la thérapie freudienne. Le monde des basses-cours n’en a rien à faire. La marche à reculons se poursuit avec de plus en plus d’adeptes. Mais, à force de marcher en arrière sans discerner son chemin, le pauvre homme va bien finir par tomber et se fracasser sans avoir eu le temps de réinventer le cordon.   

dimanche 28 juillet 2024

le puits au fond du jardin • c’est raté…

 



 

La mise en scène malsaine de la Seine et de la Cène aura fait le tour du monde entier. Pas la mise en scène vue par ceux qui se compressaient en bord de Seine, mais celle qu’on a vue à la télé de l’État macroniste qui a montré ses limites en glorifiant les non-différentiations dont souffrent les psychopathes. Il y avait en effet deux mises en scène pour ce moment de vérité où les faux-semblants permanents sont tombés. Le public présent n’a vu que la moitié de ce qui passait à la télé où s’enchainait sans discernement le direct sur la Seine et les innombrables séquences filmés les heures précédentes. De ma campagne, à des milliers de kilomètres de Paris, j’ai vu Brakatamounba hypnotiser la garde montante. J’ai vu les trucs en plume dans l’ombre de Zizi jambe en l’air. J’ai vu Kantorow danser sous la pluie. J’ai vu l’apparition de Céline dans la grotte de Lourdes. J’ai vu les orgies des désexualisés du XXIe siècle si chères à l’enfant inabouti qui nous sert de Roi. J’ai vu la descente vertigineuse de la France et du monde dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin. Je n’aurais rien remarqué si nombres d’imbéciles n’avaient pas répété depuis des mois que les jeux du cirque était le seul lieu où les valeurs étaient magnifiées et où les individus étaient réconciliés pour l’éternité. C’est raté !  

samedi 27 juillet 2024

le puits au fond du jardin • j’ai vu…

 



 

J’ai vu des drags queens habillées en drags queens. J’ai vu un déchet de Zizi Jeammaire. J’ai vu l’orchestre de la Garde républicaine se renier. J’ai vu le fantôme de l’opéra courir sur les toits de Paris. J’ai vu des marmites de badauds se confiner sur les quais de scènes pour voir passer les bateaux-mouches. J’ai vu Piaf agonisée. La télé de notre monarchie démocratie républicaine m’a dit que les dieux étaient descendus sur terre. Je n’ai pas vu Wotan, ni Appolon, ni Vulcain, ni Bacchus. J’ai vu la France moribonde et morbide du XXIe siècle et des gogos éblouis par la misère des cerveaux.