vendredi 18 avril 2025
vu à travers le tube • un monstre d’un autre temps…
jeudi 17 avril 2025
vu à travers le tube • une chose et une autre chose…
La bonne nouvelle du jour – la seule depuis 7 ou 8 ans – c’est la sortie de prison de Palmade – humoriste comédien ou mauvais comédien sans humour, que je n’apprécie pas, flanqué de Laroque ou Robin, la pire merde de la profession -, un malade n’ayant rien à faire en prison. Les prisons sont faites pour les Macron, Hollande, Mélenchon, Bompard, KéKé ou Panot et les crapauds et crevettes qui meublent les innombrables cercles qui les entourent. Je ne devrais pas parler des prisons puisqu’en France il n’y en pas. Il n’y a que des hôtels 4 étoiles avec piscines et spas, s.p.a., secte de protection des ânes.
Vivement l’arrivée de la trumperie, ici. La parité sera renvoyée dans les coins sombres de l’histoire. Une place, un poste, ça se gagne à la sueur de son front, par le mérite, et non par le sexe, que ce soit le masculin ou que ce soit le féminin. Oui, je n’oublie rien. Il n’y a bien que deux sexes et il serait indispensable de l’écrire dans la constitution.
mardi 15 avril 2025
le puits au fond du jardin • misère…
La dette abyssale de la France doit être remboursée par ceux qui l’ont faite et non par les Français qui y sont totalement étrangers. Les coupables, voleurs et tricheurs, sont les élus des municipalités, des conseils départementaux et régionaux, les parlementaires, les ministres et les présidents de la dites République pseudo-démocratique française. Ils ont dépensé sans compter. Qu’ils payent de leur propre poche, maintenant. Et ce n’est pas en déremboursant les appareils auditifs et dentaires, en supprimant les transports sanitaires, en construisant des prisons en papier mâché, en accueillant au son des clairons les hordes sauvages des voisins islamistes et africains, en baissant le niveau plus bas que terre de l’Éducation dû à l’ignorance des enseignants, en supprimant les trains non surbondés et en doublant de prix de l’horodateur, que la dette va diminuer. Ces imbéciles malhonnêtes doivent s’attaquer aux tricheurs de toutes espèces et particulièrement à ceux qui connaissent les moyens de détourner l’argent des autres ou d’en gagner sans travailler. Le monde de l’informatique est favorable aux tricheurs, qui, sans masques ni armes, peuvent dévaliser les banques les plus sécurisées, en quelques secondes et sans prendre le moindre risque. La réduction de la dette commence par l’éducation parentale qui est de plus grand désastre du moment avec l’ignorance indécrottable du citoyen, incapable de distinguer la porte qui ouvre sur le chemin de la connaissance. Macron, Napoléon ou Charles V, c’est kifkif. Ça ne vaut rien et ça ne sert à rien. L’homme utile, le seul, c’est Freud, celui qui est capable d’ouvrir vos yeux et de déboucher vos oreilles. Celui qui vous fera trouver votre miroir, celui qui vous montrera comment vous y regarder et vous y reconnaître, celui qui vous permettra de le traverser. Freud ou rien. Je suis désolé que vous ayez choisi le rien. Personne ne peut plus rien pour vous. Vous avez choisi la misère. Assumez !
lundi 14 avril 2025
le puits au fonf du jardin • c’est raté…
C’est horrible la guerre en Ukraine. C’est horrible et même Trump le dit. Si cette guerre était si horrible, il y a bien longtemps qu’elle ne serait plus. Mais si elle n’était plus, à quoi Zelenski occuperait-il son temps ? Et puis, le but d’une guerre, n’est-ce pas d’être horrible ? Avez-vous déjà vu des guerres qui ne soient pas horribles ? Et, bien que le monde entier le sache, il ne cesse de se faire la guerre depuis qu’il est monde et les guerres ne cesseront que lorsqu’il n’y aura plus un seul être vivant. L’homme ne supporte pas l’homme et ne l’a jamais supporté. C’est ainsi et personne ne peut rien y faire, sauf Freud que le monde rejette en raison de la profonde ignorance crasse de ses habitants. Alors, vous le monde, cessez de geindre et acceptez que les femmes soient violées et que vous soyez terrassé par les armes de ceux que vous terrassez. Et ne venez pas me dire que si une voix, une seule, s’élevait violemment contre ce massacre perpétuel, la paix ne pourrait pas s’installer sur cette terre déglinguée. Mais, alors, comment feriez-vous, pour satisfaire vos bas instincts ? Les innombrables jeux vidéo, où l’on joue à tuer, sont bien l’image de votre plaisir conscient ou inconscient. L’homme n’est qu’une bête sauvage avide de sang. Je suis étonné que vous ne le sachiez pas. Les guerres, comme les meurtres, ne vont pas cesser. Bien au contraire, ils vont s’intensifier jusqu’au boum final. Et pourtant, Freud était là, dans son cabinet, prêt à vous écouter pour vous aider à changer le monde. C’est raté !
dimanche 13 avril 2025
le puits au fond du jardin • freud en place du rien…
Peu de gens dans la rue pour défendre l’État de droit. L’État de droit, c’est comme l’indépendance de la Justice, ça mérite une sérieuse révision. Mais, pire que les institutions, ce qui devrait être revu de fond en comble, c’est le fonctionnement de la pensée de l’abruti qu’est l’homme, en revisitant scrupuleusement le cordon qui lie son conscient à son inconscient, cordon qui n’est jamais arrivé à fonctionner, à jouer son rôle de modérateur, rôle indispensable à l’équilibre psychique de l’humain concerné. On est un monde de psychopathes, a dit très justement un célèbre psychanalyste, disciple inconditionnel de Sigmund Freud. La folie ambiante qui règle toutes nos horloges laisse les pantins au bout des ficelles, complètement indifférents. Leur indigne ignorance les empêche de réaliser que la ficelle est usée et que lorsqu’elle va casser, le bois vermoulu de leur corps va se briser. Ils seront morts sans savoir qu’ils auraient pu réaliser leurs rêves s’ils avaient su que vivre, c’est seulement remplir le vide du crâne qui lui sert de tête. Les pantins à ficelles n’auront connu que le vide intérieur à l’intérieur du vide de la galaxie. Les guerres incessantes, les violences politiques, les rivalités humaines, les injures entre sexes, les sexes déviés, les ruées sur les autoroutes, les vacances épuisantes, les trains en retard ou en grève, la femme coupable qui ne cesse de pondre la marmaille qui n’a rien demandé, l’illusion qui cache les vérités, l’adulte sans maturité, font de l’existence un gloubi-boulga ou l’individu nait mort-noyé. Il n’y a aucune existence dans cette existence et le monde n’est qu’un semblant d’ombres dans l’écran blanc du cinéma. Il est dommage que personne ne ressente le besoin de pousser la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, pour le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaitre et pour le traverser. Oui, il est dommage que l’homme préfère s’agiter dans sa propre merde plutôt que de tenter de rejoindre les grands espaces californiens ou ceux où les vaches paissent et rotent dans les prés, en regardant les trains, quand Sud-rail les laisse passer.
samedi 12 avril 2025
le puits au fond du jardin • loup, où es-tu ?
Une joggeuse a encore disparue et toutes les radios et télés de maudire cette saloperie d’homme qui s’en prend à des femmes innocentes qui vont transpirer dans les coins sombres et reculés des forêts, à la recherche du loup pour le plaisir de le braver. Je sais, la femme est libre d’aller où elle veut, de faire ce qu’elle veut, de dire ce qu’elle veut, bref, libre de montrer au monde qu’elle est libre et qu’elle a vaincu la liberté de l’homme qui a toujours été l’imbécile de service qui se laisse entrainer dans les phantasmes de Sade – un philosophe du XVIIIe siècle – et qui ne sait comment s’en sortir. Les femmes adeptes du jogging devraient toujours courir à deux. Ce serait mieux. Mais que dis-je là ? La femme est un être fort et invincible et n’a pas besoin de mes conseils pour faire face aux aléas de ce monde en détresse qui croule sans cesse dans le noir du fond de mon puits, et qui pourtant, cessera sa chute suite aux bombes atomiques que les chefs abrutis vont déclencher, ou suite à l’invasion des barbares islamiques qui vont contraindre les femmes à disparaître sous le voile et contraindre les hommes à supplier Allah. Je suis peut-être un peu trop pessimiste. La joggeuse est peut-être tout simplement partie avec son amant ou sa maîtresse, ou les deux. Peut-être aussi a-t-elle voulu disparaître pour ne plus subir la connerie des pantins qui vivent sur cette terre ? Comment savoir ? L’homme – la femme, idem – est imprévisible. Son immense ignorance peut le conduire sur tous les chemins, même ceux qui débouchent sur l’enfer de Méphisto où les diablotins brulent les corps vivants des humains. De fait, ce fait divers n’est qu’un fait divers parmi les innombrables – et beaucoup plus – faits divers. Et l’homme, qui, comme l’enfant de l’Élysée, n’est qu’un tas d’os et de chairs non aboutis, ne peut rien n’y faire. Pour cela, il faudrait qu’il atteigne le stade adulte, aboutissement du psychisme, chose rarement rencontrée. Freud attend toujours. La salle d’attente de son cabinet reste désespérément vide.
vu à travers le tube • le vide remplit les vides…
Aujourd’hui, c’est la journée du vinyle, journée que je trouve plus intéressante que la journée de la femme qui ne pourra être acceptable que lorsqu’il y aura la journée de l’homme, mais aussi la journée de la plante verte en pot. Ce matin, Europe 1 en a fait tout un plat indigeste. Je cite : Agnès a entassé ses vieux vinyles dans un vieux carton en attendant le passage du camion-poubelle ; Josiane a donné ses vinyles et sa platine à sa fille qui les a vendus sur Ebay ; Martine – celle qui va à la plage – lance une alerte pour trouver un tourne-disque capable de lire ses 78 tours, un trésor qui lui vient de sa grand-mère ; Charlène, qui s’est débarrassé de tous ces CD, a mis un saphir tout neuf et n’écoute plus que ses vinyles, ce qui la rempli de bonheur ; Marguerite, qui écoute beaucoup de musique, a renoncé à toutes les plateformes actuelles pour se tourner sur Europe 1, et le speaker de service de ce matin lui donne raison, car pour lui, c’est sur cette station qu’on entend les plus belles symphonies et les plus beaux opéras – mais aussi les plus belles sonates -, alors que, jusqu’à ce jour, je n’y ai entendu qu’Hanouna. Quand je vous disais que le monde touche à sa fin ! On a cru à l’apparition de l’homme sur la terre, alors que ce n’était que l’apparition de crétins enfantins qui ont inventé les guerres de religions. Hier, l’horreur monstrueuse du christianisme et de son évangélisation. Aujourd’hui, l’horreur monstrueuse de l’islamisme et de sa charia. Et le cabinet de Freud reste désespérément vide !
vendredi 11 avril 2025
vu à travers le tube • une corde pour se pendre…
La semaine dernière, on a annoncé de début des vacances scolaires. Ce matin, on annonce le début d’autres vacances scolaires. La semaine prochaine, on va annoncer le début d’autres autres vacances scolaires, pour tous ces scolaires qui sortent des vacances de février qui se sont enchainées avec les vacances de Noël. Et, après les vacances scolaires de la semaine prochaine, vont se succéder tous les ponts qui dominent les mois de mai et juin qui précèdent les grandes et longues vacances d’été. Et, quand les scolarisés sont sur les bancs de l’école, donc pas en vacances, ils ne sont pas sur les bancs. Ils sont dans la rue pour se rendre au gymnase et au cinéma. Le cinéma en dessous de mes fenêtres fonctionne 24h/24, rien que pour les enfants des crèches, des maternelles, des CP, des CE, des 6e aux terminales et de l’université qui n’est même pas à 10 kilomètres. Si la nouvelle jeunesse ne sait rien, ce n’est pas parce que les enseignants n’enseignent plus rien, ce n’est parce que les programmes ne sont pas dans l’air du temps, ce n’est pas parce que le chahut est infernal, c’est que les élèves de tous âges n’ont pas le temps d’étudier les soustractions, les conjugaisons et les mots d’Hugo et Rousseau, leur temps étant pris par leurs innombrables trajets entre l’école et le gymnase et l’école et le cinéma. Après tout, ils prennent modèles sur les grands. À part le balayeur des rues, connaissez-vous quelqu’un qui travaille ? Moi, j’ai oublié ce mot depuis la mort de mon grand-père au siècle dernier, un cordier qui fabriquait des cordes, dont beaucoup servaient à se pendre.
jeudi 10 avril 2025
vu à travers le tube • la crasse s’épaissit…
Le média « Frontières » a sorti un document sur les méfaits du terroriste Mélenchon. Les vérités exposées n’ont pas plus à la horde de sauvages du tyran qui ont manifesté, avec les socialistes, avec les communistes, avec la CGT, au sein de l’Assemblée nationale, en hurlant des insanités et en barrant le passage aux journalistes accrédités du média. Les gauches purulentes et vomitives françaises ont prouvé qu’elles étaient contre la liberté de la presse et contre la liberté d’expression, ce qui se résume à leur horreur de la liberté tout court. Ceux qui votent pour ces abrutis sont des criminels qui accélèrent l’arrivée de la dictature qui pend au nez de tous les Français, noyés dans leur léthargie. Et surtout, que ces ignorants falots n’oublient pas que la dictature ne viendra pas seule. Elle sera obligatoirement accompagnée de la charia si chère à leur gourou Mélenchon. Et ce qui est triste, c’est la lâcheté de la présidente de l’Assemblée qui s’est contentée d’un communiqué vaseux alors qu’elle aurait dû envoyer tous ces malotrus derrière les barreaux. La descente dans le noir du fond de mon puits se poursuit. La fin n’est plus très loin.
mercredi 9 avril 2025
vue à travers le tube • judy…
La Grande Borne, veut faire voter une loi pour que l’avenir des petits français soit décidé dès la maternelle et par eux-mêmes. Il est vrai qu’il faut en profiter tant que le sujet est encore à l’âge où l’on est capable de penser. Au CP, c’est trop tard. On est déjà entré dans le « trop bien gentil, trop bien correct » si bien français et si bien déprimant que le seul métier d’avenir est bien celui de psy freudien. La folie qui guide le monde ne nous met à l’abri de rien. Regardez Vauquiez qui veut envoyer les OQTF dans une île, à 4500 kilomètres de Maubeuge, mais aussi les fanas de l’opinel et aussi les méchants mâles qui posent leur regard sur les douces femelles. Observez cette loi scélérate sur la fin de vie qui est proposée aux députés de l’hémicycle – même aux salauds de la partie gauche – qui permettra de vider rapidement les EHPAD, d’éliminer sans risques les plus de 65 ans, d’assassiner froidement tous ceux qui auront un méchant rhume ou une forte indigestion. Pensez à ceux qui, obliger de laisser leur vieille 2 chevaux à l’écurie, ne pourront plus aller à la ville acheter leur baguette de pain et leur tranche jambon et le soir devrons rester devant les ignobles scènes de ménages alors qu’ils pourraient aller à l’opéra savourer Mimi en cosmonaute et rire un bon coup ou se flinguer sur place. Je pourrais en rajouter, mais ce serait trahir mon prochain livre qui sort prochainement chez Pathé. Il ne sera en vente que chez Amazon et il vous faudra une boite à lettre normalisée, ce qui est de plus en plus difficile à obtenir, la Poste ayant vendu ses objectifs aux enchères et s’étant reconvertie dans la collection des pots de confitures. Tout est flou autour de moi. Ce que j’écris aussi. Le nouveau monde agonisant aurait-il pris possession de ma pensée fuyante ? Il arrive, parfois, que je m’identifie à la théière fumante de Judy. Comme elle, je suis hors du monde et je boue.
mardi 8 avril 2025
vu à travers le tube • petite histoire en trois chapitres…
La dernière fois que je suis allé à l’opéra de Paris, c’était pour La Walkyrie dirigée par Jordan. C’était très mauvais et très chiant. J’ai lu que cette année, la maison qui coûte des millions reprend La Bohème dans l’espace sidéral des étoiles, où Mimi perd sa chandelle à proximité de Mars et Jupiter. Bastille aurait pu éviter un tel affront à son public.
Hier, les savants de la finance nous ont annoncé que la bourse avait chuté dans le noir du fond de mon puits et que ce matin, nous allions nous réveiller sur un champ de ruines. Je me suis réveillé avec le soleil qui illuminait la ville avec son balayeur de rue et sa benne à ordures. Le monde était comme avant. Que la bourse soit dans le noir, le rouge ou le vert, je m’en fous. Je vais mettre mon pantalon pour me rendre chez mon Leclerc pour prendre mon café et comme chaque jour, j’irai saluer ma voisine de palier, qui, ce matin, va surement m’apprendre que la maison de la presse de la ville a fermé pour toujours. Je m’en fous. Je n’y ai pas mis les pieds depuis près de vingt ans. Je ne lis pas Le Monde, ni Marianne.
Je me demande si Brahms a vraiment aimé cette Clara qui a abandonné son Robert à l’asile ?
lundi 7 avril 2025
le puits au fond du jardin • crime contre l’humanité…
Ce matin, sur Europe 1, Vincent Trémolet de Villers l’a dit mieux que moi : « En France, la grande déglingue démocratique… », et son discours est édifiant et terrifiant. J’ajoute à ses propos, criant de vérités, ma petite différence qu’est le mot « démocratie » que je n’ai point lu ni vu depuis que je suis né, les rois, de Vercingétorix à Macron, en passant par François 1e, Louis XIV, Napoléon ou De Gaule, ayant toujours fait semblant. Hier, les salopards LFI et la pourriture de la Macronie, ont réuni quelques stupides imbéciles pour vomir sur Marine Le Pen, une victime du système pourtant à terre et agonisant. Si j’ajoute à ce tableau dégoulinant la visite de la mine patibulaire de Barrot à Sa Majesté le Roi du Maroc qui l’a contraint à s’asseoir sur un coin de chaise pour mieux l’humilier, on voit, sans difficultés, que le pays continue sa plongée dans les sables mouvants et que rien ni personne ne le sortira de cet inconfort qui mène à la mort. Cessons les débats et les réunions. Fermons-là pour un bon bout de temps et prenons le taureau par les cornes, de suite, immédiatement, en écrasant sans remord, sans compassion, tous ceux qui placent des pièges à cons sur le chemin de la résurrection. Intéressons-nous à l’individu et à son psychisme exclusivement en lui conseillant de pousser la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, pour le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaitre et pour le traverser. C’est la solution. La seule, quoique vous en pensiez. Retarder cette échéance pourrait bien être considérée comme un crime contre l’humanité.
dimanche 6 avril 2025
le puits au fond du jardin • le vieux bayrou…
Le vieux Bayrou, le cul éternellement entre deux chaises, toujours à quatre pattes après son éjection fatale du ventre de la femme coupable, parle, parle, parle, lentement certes, pour dire du rien, du vent, de l’insignifiant. Et ces dernières paroles, avant qu’il n’y ait d’autres paroles, sont cette attaque en traitre contre Le Pen : « Il n’est ni sain, ni souhaitable de manifester contre une décision de justice ! » En France – et ailleurs – qu’y a-t-il de plus injuste que la justice ? Pourquoi ne pourrait-on pas se révolter contre la décision d’une juge qui, on le sait maintenant, est sympathisante et peut-être adhérente, à nombre de mouvements de gauche, cette gauche devenue fasciste, violente, islamiste et étrangère aux réalités. La justice est injuste. Les lois sont injustes. Les élections sont injustes. La vie est injuste. L’homme est injuste dans son combat contre l’injustice qui est un combat tronqué, seul moyen d’accéder au pouvoir pour se transformer en un sinistre gourou dépourvu de toutes pensées. Je conclus ce puits avec la conclusion de mon puits d’hier qui est passé inaperçu comme tous les puits précédents et aussi les tubes : « L’homme n’est pas libre. Il est conditionné, façonné, malaxé, trituré par ses néfastes origines dont il n’est que le penaud reflet, avec son inconsistance, son ignorance, sa lâcheté, sa vanité et son vide sidéral. Et, là encore, il ne lui vient même pas l’idée d’en changer. Il persiste à vivre dans son rêve dont il n’est même pas sûr qu’il soit le rêveur. Dans sa léthargie naturelle, il regarde ce qu’il ne voit pas, écoute ce qu’il n’entend pas, et agit, plongé dans le fond de son canapé, les yeux fermés. Mais bon sang – j’évite bon dieu – qu’attend-il pour se donner le plus magistral des coups de pieds au cul ? Pourquoi ne court-il pas pousser la porte du cabinet de Freud – ou d’un de ses fidèles disciples – pour y chercher son miroir, pour le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaître et pour le traverser ? De l’autre côté, le monde est autre. De l’autre côté, l’homme pense, voit et entend. De l’autre côté, l’homme est homme, ce qui est difficile à imaginer quand on passe toute une vie du côté où le monde est agglutiné dans un monde qui est un échec permanent. »
samedi 5 avril 2025
le puits au fond du jardin • de l’autre côté…
Alors que l’homme, en façonnant l’IA, a même réussi à créer l’homme supérieur, bien plus intelligent que lui, il n’a pas réussi à changer les gouvernances des pays, toutes à peu près semblables, allant de la dictature dictatoriale à la dictature démocratique plus subtile et plus perverse. L’homme, qui ne sait toujours pas pourquoi la femme coupable a eu l’idée de l’éjecter de son cocon et de l’abandonner aux mains de la perversion, n’arrive toujours pas à penser autrement, et n’ose imaginer qu’il pourrait vivre libre, loin des fantasmes sadomasochistes des sociétés qui, quelque soit l’angle des analyses, ne sont que des monstres destinés à broyer toutes initiatives. L’homme n’est pas libre. Il est conditionné, façonné, malaxé, trituré par ses néfastes origines dont il n’est que le penaud reflet, avec son inconsistance, son ignorance, sa lâcheté, sa vanité et son vide sidéral. Et, là encore, il ne lui vient même pas l’idée d’en changer. Il persiste à vivre dans son rêve dont il n’est même pas sûr qu’il soit le rêveur. Dans sa léthargie naturelle, il regarde ce qu’il ne voit pas, écoute ce qu’il n’entend pas, et agit, plongé dans le fond de son canapé, les yeux fermés. Mais bon sang – j’évite bon dieu – qu’attend-il pour se donner le plus magistral des coups de pieds au cul ? Pourquoi ne court-il pas pousser la porte du cabinet de Freud – ou d’un de ses fidèles disciples – pour y chercher son miroir, pour le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaître et pour le traverser ? De l’autre côté, le monde est autre. De l’autre côté, l’homme pense, voit et entend. De l’autre côté, l’homme est homme, ce qui est difficile à imaginer quand on passe toute une vie du côté où le monde est agglutiné dans un monde qui est un échec permanent.
vendredi 4 avril 2025
vu à travers le tube • en corée du sud…
En Corée du Sud, la Cour constitutionnelle estime que le président Yoon a « trahi la population » et valide sa destitution. En France, on ne compte plus les trahisons du président et le Conseil constitutionnel lui lèche le cul. C’est une simple observation qui se reproduit dans tous les domaines. Les Français vivent au milieu des faux-semblants. Zapper, passer d’un écran à un autre, nous plonge dans différents mondes qui brouillent les pistes de ceux qui n’ont pas su dépister les réalités cachées sous les costumes Chanel, les jupes Dior, les culottes Saint Laurent, les chaussettes Cardin, ou les haillons des vagabonds qui s’accrochent aux badauds pour leur demander du feu. La réalité n’est pas l’arbre, mais la forêt qu’il nous cache. Aucun politicien – maire, député, ministre ou président – ne mérite notre attention, leur pensée inexistante étant fractures et délabrements dès l’instant où ils entrent dans la fonction. Personne ne peut soutenir l’horreur du spectacle donné à l’Assemblée. Personne ne peut soutenir la puérilité et les mensonges des discours de ces orateurs de pacotilles qui inventent des mots pour cacher leurs ambitions. Personne ne peut soutenir ces incessants débats sur les chaînes d’informations continues où les dialogues ne sont que des empoignades pour faire gagner les déraisons. Personne ne peut soutenir l’imbécilité tragique de Duhamel - le dernier de la secte – sur BFM où le monologue permanent de Praud qui raconte sa vie deux fois par jour sur Cnews et Europe 1. Personne ne peut soutenir les psychopathies monstrueuses d’Aphatie, de Salamé, de Barthès, de Lemoine, de Cohen. Les pouvoirs innombrables et pervers, hypnotisent et tyrannisent le peuple qui se laisse faire, peut-être parce que jamais, on lui a demandé de tenter de s’exprimer. Ne me parlez pas des élections. Il ne s’agit que de glisser un morceau de papier cul dans la fente d’une boite en carton, ce qui ne sert absolument à rien.