Alors que la France retourne sa veste et sa culotte en s’éprenant du Hamas qui la félicite – la France, ce n’est qu’un ployable enfant au psychisme inabouti et son ministre chauve des Affaires étrangères -, le rapport sur l’activité des frères musulmans aurait dû dévaster les esprits. Que nenni ! Plus de la moitié du pays est sous l’autorité des frérots et leur capacité à s’infiltrer au nez et à la barbe des naïfs, nous même tout droit à la charia. Demain, braves gens pitoyables, vous devrez vous agenouiller devant Allah sous peine de châtiments dont vous ne soupçonnez même pas l’efficacité. Et quand vous verrez bobonne sous ses voiles, violée ici et là sous vos yeux, vous penserez à vos années de peinard où vous injuriez Le Pen, Zemmour et Maréchal. Aujourd’hui, vous avez l’occasion de vous injurier pleinement. N’hésitez pas. Ça ne sert à rien, mais ça soulage. Combien de fois l’ai-je écrit ici ? Il fallait me faire confiance. Pour éviter toutes ces horreurs, il ne fallait pas voter pour tous ces misérables. Il vous suffisait de pousser la porte du cabinet de Freud pour chercher votre miroir, pour le trouver, pour vous y regarder, pour vous y reconnaître et pour le traverser. Ce n’est pas la société qu’il faut changer, mais le psychisme de l’homme. C’est vers sa fondamentale qu’il doit tendre pour retrouver ses valeurs cardinales. Avoir tranché la tête de ce pauvre Louis pour le remplacer par un empereur aura été la plus grande de votre ignominie. Je vous laisse là où vous êtes. Moi, je retourne d’où je viens, non sans passer avant chez mon Leclerc prendre mon café après avoir salué ma voisine de palier, qui ce matin est toute défaite.