lundi 6 octobre 2025

le puits au fond du jardin • le rideau tombe…

 



 

Hier soir, le dernier acte de « La Macronie » s’est achevé. Le rideau est tombé sur les huées. Les acteurs hésitent à sortir du théâtre, la foule est là pour les lyncher. Hier soir, nous avons revu le pire des films sadomasochistes. Il aura fallu 26 jours à Lecornu pour former le même gouvernement que le précédent, avec toujours à sa tête la vieille perverse Borne à l’Éducation qui veut changer le sexe de nos enfants. Un gouvernement qui comprend deux rajouts toxiques et de tailles. Le Maire, l’écrivain qui avait juré ne jamais revenir en politique – réaffirmation il y a à peine quinze jours -, aux Armées, qui, sur ordres de l’enfant psychopathe de l’Élysée, a ruiné la France en sept ans et Roland Lescure aux Affaires étrangères, gaucho notoire et fanatique passionné de l’immigration abondante et renforcée. C’est par X que Rotailleau a appris la nomination de Le maire, ce que lui avait caché le Premier ministre avec lequel il s’est entretenu, presque deux heures, juste avant l’égrenage de la liste. La nouvelle est mal passée, très mal même. L’enfant s’est foutu de lui. Il n’y a qu’en France que l’on peut voir une telle scène d’immondices. La macronie, c’est fini, la Ve République aussi. En huit années l’enfant aura tout cassé et nous avons encore deux ans à vivre sur les débris, sauf si, un homme, un héros, un nouvel enfant des jumeaux Sigmund et Sieglinde, débarque à l’Élysée et sort avec grand fracas l’enfant et bobonne maman. L’élu est la pire des races. Il n’existe que parce qu’il y a des électeurs à qui ont fait croire que la Démocratie c’est le vote. Waouh ! La démocratie, c'est la liberté de pensée et d'agir individuellement. Pour l’atteindre, in faut penser. Pour penser, il faut apprendre. Pour apprendre, il faut connaître les rouages de notre psychisme. Et pour cela, il faut oser pousser la porte du cabinet de Freud. Si vous voulez connaître la suite, reportez-vous à mes puits précédents.

dimanche 5 octobre 2025

le puits au fond du jardin • la lame qui pénètre…

 



 

L’enfant psychopathe de l’Élysée a fait un caca nerveux. Il s’est soudain souvenu qu’il était chef de la France et que le Premier ministre qu’il avait nommé avait un peu trop tendance à se prélasser devant le bocal où tourne indéfiniment en rond le poisson qu’il tient en laisse. Il a poussé – l’enfant – un cri sauvage, a réveillé le ministre et lui a donné l’ordre impérial de former un gouvernement avant ce soir minuit sous peine de voir son carrosse doré se transformer en citrouille et autres condiments et de devoir rentrer à pied à la maison, chez bobonne ou chez maman – c’est kifkif -. Si l’accusé de l’enfant prend tant son temps et si longtemps, c’est que pendant ce temps, il est toujours Premier ministre. Il a très bien compris que dès que tout sera officialisé, la censure va lui tomber au coin du nez et qu’il devra porter un gros pansement qui va le défigurer.

 

Hier, sur Cnews, les chroniqueurs ont abordé le problème que posent les enfants des crèches qui portent des couteaux pour égorger, dans la rue, les vielles mémés et autres spécimens de ce genre, plus âgés, plus jeunes, de l’autre sexe aussi et tout aussi souvent. Ils ont débattu sur l’importance de la lame et non du manche, que la marmaille de 2025 confond avec le coup de poing d’antan dont on se servait pour régler nos litiges naissants. Pas un seul des débatteurs n’a fait surgir la fondamentale du sujet. Si nos enfants sont si prompts à poignarder les corps, c'est qu’ils éprouvent l’impérieux désir de la pénétration et qu’ils se lâchent en substituant la lame à leur pénis ignorant et défaillant. Comme pour tous les aléas de la vie, nous sommes devant une affaire de sexe, ce sexe qui dirige tous nos actes, toutes nos pensées, parce que tout est pénétration et réception. Les trous sont faits pour être remplis et comblés. Recevoir, c’est être pénétré. Donner, c’est pénétrer. Ainsi va la loi de la nature. Les politiques devraient être nourris de Freud. Les autres aussi. On quitterait ainsi un monde factice qui n’a aucun moteur pour avancer. Les lois sont des suites de mots sans aucun sens qui étouffent les consciences qui ne demandent qu’à s’ériger pour pénétrer le monde et transformer les vivants morts en vivants vivants.  Nous n’en sommes pas là. Freud est toujours rejeté, voir ignoré. Et je ne vois pas ce qui pourrait changer. Nous vivons en déséquilibre sur une crête, alors que, plus bas, une vallée verte ensoleillée nous attend depuis une éternité. Seule la connaissance peut nous y précipité. Il suffit pour cela de pousser la porte du cabinet de Freud pour y chercher notre miroir, pour le trouver, pour nous y regarder, pour nous y reconnaître et pour le traverser.

samedi 4 octobre 2025

vu à travers le tube • méfiance !

 

Le Hamas annonce accepter la libération totale des otages. Il n’a pas évoqué le dépôt des armes. La méfiance la plus totale reste donc de mise. Si cette décision est une avancée, je ne vois pas pourquoi l’enfant psychopathe de l’Élysée bombe le torse et crie dans le désert : « Nous avons gagné ! » alors que le seul héros de l’affaire, c’est Trump, Trump qui n’a pas demandé l’avis du petit, le petit qui a déclaré aussi qu’il vengerait le journaliste qui s’est pris un drone – « russe » a-t-il précisé – sur la tête. Le petit ne sait pas que la guerre c’est la guerre et que lorsqu’on ne veut pas d’égratignures, on reste chez soi au coin de la cheminée. Mon grand-père à fait la Grande Guerre et a perdu un pied dans les tranchées de Verdun. Mon père, au cours de la guerre suivante, s’est battu contre les armées de Mussolini, au Mont-Cenis. Ils m’ont raconté la guerre et bien insisté sur le fait qu’en temps de guerre, il n’y a pas de loi. S’il y en avait une, ce ne serait plus une guerre et c’est pourquoi les crimes de guerres n’existent pas.

 

Un grand sourire pour cette fin de tube. Le groupe Hachette Livre, propriété de Vincent Bolloré a annoncé, ce vendredi 3 octobre, l’acquisition de la marque et des éléments de l’univers du Routard, numéro un incontesté des livres de voyage en France, dont il éditait déjà le guide depuis 1975. Avec cette acquisition, le groupe détient désormais la Bible française des globe-trotteurs. Depuis sa création, il s’est écoulé plus de 55 millions d’exemplaires du célèbre guide qui se vend encore à 2,5 millions d’exemplaires par an et figure dans le top 20 des livres les plus vendus dans le monde. Il arrive tout de même que de temps en temps surgisse une bonne nouvelle !

vendredi 3 octobre 2025

vu à travers le tube • stop à la charité…

 

15h30. Je trouve dans ma boite à lettres un courrier « URGENCE PAUVRETÉ – GRAND APPEL A LA SOLIDARITÉ – du Secours Populaire Français – sous couvert de la République française -, où il m’est demandé d’offrir une partie de ma retraite à ceux qui doivent choisir entre se nourrir et se soigner, entre payer son loyer et se chauffer. Le courrier est passé immédiatement à la poubelle avant de se retrouver dans la benne du camion à ordures. Je paie des impôts depuis 1958, soit depuis 67 ans et je ne sais toujours pas où va l’argent que l’État français me vole. Je suggère au Secours Populaire de s’adresser à Macron et à ses sbires. Les sommes faramineuses qu’il donne aux immigrés, aux pays africains, à l’audiovisuel français, aux piscines de la Seine, aux associations politisées, au train de vie de l’Élysée et des multiples corps constitués, à l’écologie punitive, à l’opéra de Paris, à bobonne, à l’Éducation nationale décédée depuis 40 ans, à la gabegie des hôpitaux, de la SNCF, de la RATP, à la préparation de la guerre comme Israël et contre la Russie, aux députés placés à la gauche de l’hémicycle, etc…, etc…, etc… Ces sommes généreusement distribuées scandaleusement feraient très bien l’affaire de ceux qui doivent choisir entre se nourrir et se soigner, entre payer son loyer et se chauffer. C’est tout. C’est dit.  

le puits au fond du jardin • le théâtre des représentations…


 


 

Écrire un tube ou un puits chaque matin, demande de faire des choix. L’actualité politique devenant un si vaste champ de bataille où les vivants morts se substituent aux morts vivants dans la plus grande indifférence, qu’il m’est de plus en plus difficile de faire un tri. Dois-je répéter la gigantesque lâcheté de l’enfant psychopathe de l’Élysée qui a abandonné la France pour guerroyer dans des contrées invincibles alors qu’il ne sait même pas comme sortir son glaive du fourreau ? Dois-je décrire le tableau pittoresque et ubuesque de Rima Hassan dans son canot pneumatique et à rames qui vient de se faire arrêter par l’armée israélienne qui va la renvoyer chez sa maman ? Dois-je encore exprimer ma fureur quand j’apprends que la crasse qui compose l’Assemblée nationale a reconduit le voyou islamiste Coquerel à la tête de la commission des Finances ? Dois-je répéter inlassablement que Boualem Sansal n’a toujours pas été libéré et qu’il va mourir en prison, sous l’œil indifférent du pitoyable gamin que les Français ont posé sur le trône des François et des Louis ? Dois-je rappeler que l’Algérie humilie la France quotidiennement et que l’Élysée et ses corrompus répètent sans cesse qu’ils maitrisent la situation, du fond de leur cachette, au fond de la benne à ordure ? Dois-je encore affirmer que les pitres pourris socialos et écolos ont déjà signé le pacte inévitable avec les terroristes de LFI pour gagner les élections ? Dois-je redire avec force que rien ne changera tant que l’individu n’aura pas le courage de pousser la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, pour le trouver, pour s'y regarder, pour s’y reconnaître et pour le traverser ? Le problème, c'est l’homme qui ne sait même pas qui il est et comment fonctionne son psychisme. Le problème, c'est que cette stupidité sur patte s’imagine voir, entendre et savoir, alors qu’il n’est que la représentation de lui-même qui se représente des représentations. Le réel ne surgit que de la plongée répétitive dans les méandres complexes de l’inconscient.

jeudi 2 octobre 2025

vu à travers le tube • une tirade…

 Pendant qu’une poignée de Français manifestent – manifestent quoi et pourquoi ? – l’enfant psychopathe qu’ils ont propulsé à l’Élysée est ailleurs, hors de France, je ne sais ni où ni pourquoi. Ce que je sais c’est qu’il a encore sorti une de ses tirades à ras les pâquerettes – on a perdu Gérard Philip – pour annoncer qu’il déclarait le drone son ennemi, et qu’il allait le terrasser comme jamais quiconque aurait pu l’imaginer. C’est tout.

le puits au fond du jardin • des dieux, des couleurs et freud…


 

 

L’enfant psychopathe de l’Élysée, soumis aux caprices de l’Algérie et qui œuvre vigoureusement pour déclencher une guerre contre la Russie, l’enfant détesté de toutes parts même – et surtout – par ses soutiens les plus fervents, aurait décidé, après le renvoi imminent de Lecornu chez bobonne, de ne pas dissoudre l’Assemblée ni de s’auto-dissoudre, mais de ne rien faire et de laisser le gouvernement renversé en place jusqu’à la fin de son mandat. Ainsi la France serait gouvernée par des démissionnaires, des gens qui n’ont plus de fonctions et qui feraient comme si, afin de régler les affaires courantes. Ainsi l’Assemblée ne pourrait plus censurer et sanctionner le gouvernement puisqu’il n’y en aurait pas.  Et Ubu Roi pourrait vaquer en paix à ses projets de guerre et de conseils auprès de ceux qui se rient de lui.

 

Si le monde étrange et virtuel dans lequel nous vivons désormais ne provoque aucune réaction, c’est que les vivants-morts – les vivants-vivants sont une espèce extrêmement rare – ne sont plus que des robots sur pattes qui se meuvent et pensent en fonction de leur programmation par les robots supérieurs. Ils ont perdu Platon, Nietzsche, Kant, Aristote, Socrate et n’ont jamais voulu serrer la main de Freud parce que c’est par ce geste que la statue du Commandeur a précipité Don Juan dans les enfers. Et dans ce monde kafkaien et crétin, voilà qu’une université française a voté l’abolition des termes Pâques, Toussaint et Noël lorsqu’ils désignent les vacances annuelles et traditionnelles. Ces petites vermines minables d’universitaires ne savent toujours pas que se couper de ses racines, c'est renoncer à vivre, même à vivre mort. Si j’étais Zeus ou Wotan – je préférerais Wotan pour revivre le Ring – je reprogrammerais ma création de l’homme pour que ses descendances naissent tous dans le cabiner de Freud afin d’entrer d’emblée dans la vie vivante, pensante et agissante. Si Freud était présent dans les pensées, du noir et blanc, on passerait très vite aux vraies couleurs, du Bleu Klein à l’Outrenoir Soulages, en passant par le Vert Véronèse, le Bleu Majorelle, le Brun Van Dyck et le Bleu Nattier.

mercredi 1 octobre 2025

vu à travers le tube • un moment de calme…

 

J’espère que vous avez remarqué que sans gouvernement ni président, la France se porte tout aussi bien – pas plus mal en tous les cas – et que les ministres démissionnaires font, eux aussi, tout aussi bien et tout aussi mal que quand ils étaient titulaires. J’espère que vous avez aussi remarqué que l’absence de députés dans l’hémicycle est un bain de jouvence pour les esprits, les cris des guenons et singes LFI, ne parvenant plus à nos oreilles, de même que les immondices qu’ils profèrent systématiquement. Alors pourquoi changer ce qui ne fonctionne pas si mal ? Retailleau et Darmanin tiennent la barre. Qu’ils la gardent et que l’on jette tous les restes au cachot. Le pouvoir est nécessaire seulement quand il assume le pouvoir. En France, le pouvoir est démissionnaire. Alors qu’on ne le remette pas à l’ordre du jour. D’autant que les bruits qui courent laissent entendre que l’innommable Borne serait toujours de la partie et toujours à L’Éducation pour être bien sûr que personne ne remettra en question la confusion des sexes et que nos rejetons n’auront pas à apprendre le futur antérieur ou les tirades du Cid. Bof ! Quoiqu’il en soit, la chute dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin se poursuit et ne se terminera que lorsque qu’elle aura rejoint le fond, ce fond mythique qui n’a pas de fond.

mardi 30 septembre 2025

vu à travers le tube • orange et moi…

Dimanche vers 16 heures. « Better call Saul », saison 5, disque 3. Kim Wexler est au téléphone avec Howard Hamelin.  La conversation s’envenime. Et soudain… plus de son. Le tripotage de la télécommande est sans effet. J’abandonne et passe sur Mezzo. Quelques minutes d’un trio de Schubert et soudain… plus de son, plus d’images, plus rien. Vérification des branchements et réglages de toutes sortes. Rien ne vient ébranler le silence et le noir de mon écran. Et comme on est dimanche, le jour du repos forcé, je m’arme de patience. Lundi matin. J’appelle Orange. Le temps de passer par le robot puis l’attente, au bout de vingt minutes, j’ai une dame au téléphone quoi me pose mille questions et me demande de brancher, débrancher, rebrancher à l’infini. Elle finit par conclure que mon décodeur doit être branché sur la prise électrique « murale ». Et j’entre en ce moment dans le monde de Kafka. Ne comprenant absolument rien, je lui assure que j’ai fait tout comme elle dit et nous en sommes toujours au point zéro. Après dix minutes d’embrouillis, elle me dit de changer mon décodeur et pour cela elle me donne un numéro à 9 chiffres que je dois remettre au personnel de la boutique Orange de mon choix, dans laquelle je ferais l’échange de la pièce défectueuse. Le temps de mettre mes chaussures, je cours – presque - pour la boutique qui est en face du bistrot où je prends mon café l’après-midi. Mon âge étant hors du temps, je contourne l’entrée qui est faite de trois hautes marches – sans rampe – et je vais frapper à la porte sur le côté qui est de plein pied et qui doit être réservé aux gens comme moi, qui vident les caisses de retraites et de la sécurité sociale. Personne. La boutique semble vide. Je refrappe. Aïe ! Qu’ai-je fait là ? Deux minaudes grossières et mal embouchées débarquent comme des furies, ouvrent la porte et hurlent dans mes oreilles que je pouvais bien patienter parce qu’elles n’avaient pas que ça à faire. À peine ai-je tenté de faire un premier pas pour entrer qu’elles me posent la question fatale sur un ton militaire : « Qu’est-ce que vous voulez ? » Et comme je leur ai répondu que pour commencer, je voudrais m’assoir, j’ai vu les murs commencer à trembler. Je réussis enfin à placer ma requête : « Je viens chercher un décod… ». Elles me coupent et le ciel me tombe sur la tête. « Mais enfin Monsieur, nous sommes une boutique de vente et pas de réparation. Nous n’avons pas de décodeur et aucune boutique Orange en France n’en a ! » J’ai eu beau expliqué que c’est l’opératrice de leur entreprise qui m’a demandé de faire cette démarche, elles n’ont même pas écouté. Et quand je leur ai demandé comment je devais m’y prendre pour avoir un décodeur, elles m’ont dit de téléphoner à Orange et qui m’en enverrait un par la poste. Elles m'ont déverrouillé la porte pour que je puisse sortir dans la rue. Je n’en suis toujours pas revenu.

 

J’ai rappelé Orange. L’éternelle histoire a recommencé. Demain, un « technicien » doit m’appeler…

J’ai oublié de vous dire qu’un décodeur ne se branche pas sur une fiche murale, puisqu’il n’a pas de cordon électrique, mais seulement un cordon qui relie le décodeur à la LiveBox et un autre qui le relie à la télé. La dame du téléphone n’avait pas l’air de le savoir. Pourquoi et pour faire quoi est-elle payée ?

 

lundi 29 septembre 2025

vu à travers le tube • j’ai mal au ventre…

 Sa Majesté Charles III, par la grâce de Dieu, roi du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord et de ses autres royaumes et territoires, chef du Commonwealth, défenseur de la Foi, a Inauguré l'agrandissement du Centre islamique d'Oxford et a remercié chaleureusement les musulmans pour l'énorme contribution qu'ils ont apportée et continuent d'apporter à la société et à la culture. Il y a des moments où je me dis que mes glorieux ancêtres, ceux qui ont tranché le cou de Louis dit « Le Serrurier », avaient de bien bonnes vraies couilles pour avoir osé. Je vous concède que tout de même, ce fut un cuisant échec, puisque du sang de Louis ont surgi deux empereurs, quatre républiques fallacieuses et une cinquième bien pire puisque elles ont engendré des psychopathes dangereux comme l’enfant inabouti de l’Élysée, Salamé, Mélenchon, Bompart, Panot, Dupond-Moretti, Hollande, Faure, Royal, Attal, Borne, Duhamel Junior, Cymès, Fois, Chameroy, Lemoine, Cohen, et tant d’autres. Même s’il y eut l’Étrangleur de Boston et Jack l’Éventreur ailleurs, nous sommes encore descendus d’un cran. Aujourd’hui, un lundi de septembre 2025, entendre l’éloge de ceux qui vont nous coloniser puis nous châtier, me fait terriblement mal au ventre.   

dimanche 28 septembre 2025

vu à travers le tube • 2025…

 

Revenir et toujours revenir, inlassablement, chaque matin, sur les verrues purulentes de la France même si cala ne change rien, les peuples aveugles et sourds attendant toujours la décomposition pour se réveiller dans la brutalité en organisant des révolutions qui mènent au sang et aux dictatures. 1789 en est le parfait exemple, elle qui a donné un empereur tragique et des successions de républiques toutes aussi bancales les unes que les autres. 2025 : un président enfant psychopathe, un gouvernement sans ministères, une Assemblée gangrénée par des gauches islamiques, et l’on croit que cela va continuer alors que les pays du Sud nous envahissent ? 2025 : un ancien président innocent, frappé, par une juge de gauche, d’une condamnation injuste et infamante qui viole l’État de droit. 2025 : une école où les élèves, du CP à la 6e, ont les poches remplies de couteaux et coupent les gorges des têtes qui ne leur reviennent pas. 2025 : Une télé et radio d’état qui mentent à tout va et bourrent les crânes d’idéologies malsaines pour fabriquer des marmites géantes de petits soldats bien comme il faut. 2025 : Mélenchon et ses soumis, associés aux fanatiques de la charia, sont aux portes du pouvoir et personne ne songe à les jeter dans le noir du fond de mon puits sans fond, pour s’en débarrasser avant l’irrémédiable. 2025 : l’opéra de Paris reprend sa Bohème infâme avec votre argent et personne ne prie pour que Donner déclenche son tonnerre et foudroie ce petit monde prétentieux et sans talent. 2025 : J’arrête. La journée ne me suffira pas.

 

Avez-vous vu sur Classica Stingray, cette Butterfly où Pinkerton était au lit en pyjama, agonisant d’un cancer de la syphilis et où Butterfly dodelinait sont gras fessier, imitant Panot ? C’était à Metz. Encore avec vos impôts ! J’attends avec impatience le ministre de la Culture qui supprimera les subventions aux maisons d’opéras qui auront engagé un metteur en scène. Et ce matin, je n’évoquerai pas les voix d’aujourd’hui. Rien que d’y penser, j’ai mal aux oreilles.

samedi 27 septembre 2025

vu à travers le tube • une histoire de vermisseau…

 

Les socialos sont pitoyables. Entre les tirades du clown et clone de Lemoine sur la 5 – chaine publique - et les hargnes du député Jouvet envers ceux qui se posent des questions légitimes sur la flagrante injustice de la Justice française et aussi sur son orientation, sur Europe 1, ce matin, on a la confirmation que ce parti et ses associés putréfiés – écolos, communistes, LFI – gangrènent le pays jusque dans ses moindres recoins, alors que la population est majoritairement à droite. Alors que la population est majoritairement à droite, le Président psychopathe et toutes les instances de gouvernances sont des suppôts de la gauche quand ce ne sont pas des suppôts de la gauche de la gauche, des vermines qui sont incapables de canaliser les sombres soubresauts qui hantent et possèdent ceux qui se laissent ronger par leur inconscient. La France est à l’agonie et l’enfant inabouti est parti aux frontières de la Russie pour construire des mures en briques rouges pour tenter d’arrêter les drones moscovites qui, chaque nuit, font un petit tour dans le ciel des pays voisins et s’en retournent sans avoir lâché un pet. L’enfant Ubu Roi se fiche de la France et des Français. Il veut entrer dans l’histoire dans le costume des héros de la mythologie. Le pauvre petit imbécile n’a pas compris qu’il était entré dans mon jardin à côté de mon puits, sous mes salades, en vermisseau tout nu et affamé et que demain matin, mon jardinier va l’attraper par la queue pour le plonger dans le bec des pinsons qui chantent dans mon cerisier.

vendredi 26 septembre 2025

le puits au fond du jardin • la dictature des juges (suite)…

 



 

Depuis plus de 80 ans on me rebat les oreilles avec cette soi-disant démocratie que les Français mâchent et remâchent comme du chewing-gum. La démocratie, c’est le peuple gouverné par le peuple. En France, le peuple n’a la parole que par quelques élections truquées – on bourre les crânes pour bourrer les urnes – et les élus sont muselés par les différents organismes qu’ils ont installés, comme le Conseil d’État, le Conseil Constitutionnel, l’Arcom et autres groupements de non-élus qui décident si les lois votés (donc justes et officielles) sont à leur convenance personnelle. Et à force de fermer les yeux et de se boucher les oreilles, nous en sommes arrivés là : un président psychopathe qui continue de déchirer la France et qui passe son temps à l’étranger pour organiser des guerres, une Assemblée rongée par des terroristes islamistes et un gouvernement fantôme, renversé chaque fois qu’il ouvre la bouche. Et, une Justice qui absout les criminels et qui cherche des poux à ceux qui n’utilisent ni couteaux, ni bombes à retardement. Sarkozy a-t-il tenté d’égorger sa concierge ? A-t-il tenté de violer sa Carla ? A-t-il tenté d’importer des cartels d’Albuquerque ? A-t-il tenté de faire exploser le Palais Garnier ? Non, il n’a rien fait de tout cela et pourtant les juges de France et de gauche l’envoie en prison pour 5 ans. Il ne s’agit que d’un acte vengeur, contre l’ancien ministre de l’Intérieur qui a exprimé, tout haut et avec justesse, les sentiments qu’il avait pour la magistrature. Nous sommes à la fin d’un cycle et la journée d’hier en est le parfait exemple. Rien ni personne ne pourra se mettre en travers du chemin de notre destinée. Notre descente vertigineuse dans le noir du fond de mon puits sans fond, au fond de mon jardin, est sans fin, et c’est une excellente nouvelle.

jeudi 25 septembre 2025

vu à travers le tube (bis), • la dictature des juges…

 

Dix fois, cinquante fois, cent fois par jour, un homme, une femme, un enfant, sont agressés, frappés, violés, tués, dans la rue où ailleurs. Les coupables - des immigrés, des islamistes, des OQTF, des enfants de 10 à 14 ans, des adultes psychopathes, des gens comme vous et moi – sont à peine inquiétés parce qu’ils ont toujours une ou des milliers de circonstances atténuantes. La case prison est de plus en plus désertée et c’est sans doute pour cela qu’elles sont « surchargées », ce qui me parait sans importance, parce que la prison ne devrait pas être considérée comme des vacances aux frais du contribuable, et pourtant, elle l’est. C’est pourquoi la condamnation, ce midi, de Sarkozy, me paraît être le plus grand scandale de la Ve République. Les terroristes LFI sont libres. Macron est libre. Et voilà que la France des juges envoie l’ancien Président de la République en prison pour 5 ans AVEC MANDAT DE DEPOT. Je n’ai jamais apprécié la politique sarkozienne, mais je suis obligé de dire très haut et très fort l’admiration que j’ai pour l’homme. Il est vrai, il est net, il est déterminé, il est respectueux et respectable, il est courageux, il est responsable, tout le contraire de l’enfant psychopathe de l’Élysée. Les quelques mots qu’il a prononcés à sa sortie du tribunal valent de loin tous les discours de Hollande et Macron confondus. J’ai entendu, ce midi, un homme : Ils sont si rares aujourd’hui, que je voulais en faire un tube et que j’aurais pu en faire un puits si cela ne m’avait pas obligé à revenir sur les vertus de Freud et de sa thérapie psychanalytique, ce qui aurait demandé un développement important. La France est sous le pouvoir des juges, au détriment du peuple. Et je connais des marmites de nigauds naïfs ignorants qui ne cessent d’affirmer que nous sommes en DEMOCRATIE !

vu à travers le tube, le fond sans fond et sans fin…

 

Gaza, Ukraine, nourrissons tueurs et violeurs, Kim Jong-un, canicules et tsunamis, ne sont que bagatelles par rapport à l’image de celui qui est censé être le maitre de la France à la tête de ses horloges sans aiguilles qui tombent des murs craquelés par la violence de ses mots, de ses actes et de ses silences. Ils devraient avoir honte ceux qui vomissent sur Trump parce qu’il changerait d’avis en permanence. On dirait qu’ils ne connaissent pas l’enfant psychopathe de l’Élysée qui, lui, n’a aucun avis et ne dit que ce que lui dit son psychisme ravagé. Trump parle vrai et agit. Melonie avance sans bruit avec une constance admirable. Ces deux là sont les seuls au monde à être tout près de rayer de la carte la totalité des Rois Ubu. Et ici, en France - un pays avec un malade à l’Élysée, un ministre unique qui consulte soirs et matins, jours et nuits, du lundi matin au dimanche soir, sans prendre le temps d’administrer, un gouvernement sans existence, une Assemblée d’acteurs pitoyables, gangrénée par les hordes sauvages des terroristes islamistes –, on se permet de critiquer alors que le Roi est nu et que le pays s’enfonce de plus en plus vite dans le noir du fond de mon puits qui n’a pas de fond ce qui rend impossible une éventuelle résurgence. La chute ne pourra s’arrêter, car après le fond sans fond, il y a un autre fond sans fond, puis encore un autre fond. Ce fond sans fond et sans fin ne laisse aucun espoir.