Elle n’est pas encore élue et ne le sera peut-être pas. Et le monde tremble devant celle qui pourrait bien être la première femme à la tête de l’Italie, un monstre qui veut bouter hors de ses frontières tout ce qui ressemble à un égorgeur islamique et à une femme voilée soumise. Si elle est élue, je quitte la France et j’habite chez mes voisins. Je pourrai enfin échapper à l’insuffisance de ce petit minable Micron II, adolescent inabouti. C’est une chance que Quatrennens ait battu sa femme. Son geste salvateur a semé la merde au plus profond des soumis à Mélenchien et cela va laisser de profondes traces. Il reste à tendre un piège à Rousseau, la capturer et l’envoyer au fond d’un couvent de bons Pères jusqu’à ce que l’Enfer la rapatrie. Depuis le temps que je le dis et qu’on me prend pour un fou - ce que j’accepte volontiers parce que les non-fous - dit-on les normaux ? - sont des mornes invisibles qui ont peur de remuer la queue du couteau de peur de trancher dans le bœuf et l’agneau -, je réitère : il faut inventer la Démocratie, celle qui donne la souveraineté au peuple. Attal, un godillot du Roi de France l’a redit. C’est le 49-3 qui va trancher. La réforme des retraites, rejetée par une large majorité, va devenir une réalité grâce à une loi scélérate qui permet au Roi de tutoyer les lois et de les gifler comme le font Ventura et Quatrennens. Les « représentants » du peuple, une fois encore, n’auront servi à rien.