vu à travers le tube • boyard et mbappé, mbappé et boyard… boyppé et mbayard, mbayard et boyppé…

Considéré, par l’humanité toute entière comme la copie monstrueuse de Sergent Garcia – Garcia était naïf et gentil ; Boyard est bête et méchant -, le monstre de bêtises et de perversités a été réélu, réélu par une marmite géante de monstrueuses bêtes, méchantes, perverses et ignorantes. Et cette immondice est en passe de devenir ministre. Je ne le crois vraiment pas, mais en cette période de chaos, de fin de civilisation, tout ce qui est impossible prend forme et accélère notre destruction. La France n’est plus qu’une immense poubelle où gémissent les vermines. Alors que les français devraient exterminer fièrement le coupable - l'enfant au psychisme inabouti qui sert de roi à la France -, mettre de l’ordre dans leur propre psychisme en consultant Freud, ils regardent ailleurs. Ils regardent cette lune ronde et blafarde qui regarde le doigt raide et dressé qui va la poignarder (c'est la mode), tout en pensant être sauvés puisque, ce soir, on leur offre sur un plateau le grand, l’unique, le superbe, le merveilleux, l’extraordinaire, le fabuleux, l’invincible, le dieu de tous les dieux : Mbappé, le seul au monde qui court plus vite que son ballon, et qui va conduire - ou pas - les foules abruties au firmament. Surtout, qu'elles y restent, parce que le retour sera douloureux.