À Orange, elle savait. La direction du Festival connaissait les prévisions météo : à minuit, l’orage éclaterait. Et pourtant, elle a maintenu la représentation de « La Force du destin » de Giuseppe Verdi, opéra très long – même un peu trop long – et l’inévitable est arrivé. À minuit, alors qu’on en était qu’au milieu de la partition, l’orage a éclaté. Elle aurait pu demander au chef Rustioni d’accélérer les mouvements de sa baguette, elle aurait pu ne pas commencer avec le retard habituel et sans raison, elle aurait pu ne pas autoriser un interminable entracte. Elle n’a rien fait, sinon supplier Donner de renoncer à son orage prévu depuis l’aube des temps. Raté ! Donner ignore Verdi, il n’obéit qu’aux ordres de Wagner. Aussi, à minuit précis, les musiciens ont couru aux abris et le spectacle a pris fin, sans espoir de lendemain. Voilà comment on ne peut nier la force du destin, surtout quand on l’aide à ce point.
Comme le dimanche est un jour de repos où les pantins-moutons usent leurs nerfs sur les autoroutes ou dans les repas familiaux, je ne voulais pas m’étendre sur les agonies qui régentent les mouvements de la terre. Avant de retourner à ma réécriture de « La Jeune fille et la Mort », je voudrais seulement insister sur les derniers avatars du traitre Macron. Il vient de rallier Mélenchon et sa gauche islamiste et de faire allégeance au Hamas, deux des pires terroristes que le monde ait connus depuis que Dieu, le barbu qui vit sa vie entre les nuages de Donner, a dit : « Monde je te crée, je place la terre en ton centre et je nomme Emmanuel, un petit enfant que je rends psychopathe, Général en chef des moutons tondus à qui j’ai ôté la cervelle ! » Voilà ! J’ai tout dit. Les mots alignés méritent réflexion, mais vous n’êtes pas obligés. Je suis convaincu que Jésus balançait entre Marchais et Mélenchon.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire