anniversaire • le violoniste tchèque, joseph suk, nous a quittés il y a 10 ans aujourd’hui ( ou 10 ans demain, selon certaines sources). il était âgé de 81 ans

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

En savoir plus…
https://fr.wikipedia.org/wiki/Josef_Suk_(violoniste)

 

Antonín Dvořák Violin Concerto in A minor, Op. 53 (B.108)

1. Allegro ma non troppo

2. Adagio ma non troppo

3. Finale: Allegro giocoso ma non troppo

 

Josef Suk Violin

Czech Philharmonic Orchestra

Karel Ančerl Conductor

 

Rec. 1961 in Prague

 

Beethoven - Sonate piano et violon N°9 Opus 47 "à Kreutzer"

 

Piano, Jan Panenka

Violon, Josef Suk

 

Editor Supraphon 1968

 

 

 

Autres anniversaires…

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vu à travers le tube • la vie menée par le bout du nez…

Pourquoi persiste-t-on à vouloir garder les gens en vie avec des règlements qui obligent, qui contraignent, qui déstabilisent, qui réduisent à néant le mot « liberté » ? Pourquoi veut-on vacciner ? Pourquoi veut-on protéger ? Pourquoi veut-on décider de l’avenir des foules et par conséquence de l’avenir de l’individu ? Quoiqu’on fasse l’homme du bas est à la merci de l’homme du haut, l’ignorant est à la merci du sachant, le faible est à la merci du fort, l’ingénu est à la merci du malin, le naissant est à la merci de la femme qui l’a expulsé violemment de son ventre, la vie est à la merci de la mort. Alors, comment ne pas comprendre celui qui détruit, celui qui massacre, celui qui anéanti, parce qu’il n’a pas eu la chance de naître dans le bon ventre, dans la bonne famille, dans le bon quartier, dans le bon pays. Et pourquoi personne ne sait que ces inégalités injurieuses pour celui qui en fait les frais, peuvent être corrigées, voir anéanties, par la thérapie d’un certain Freud ? Comprendre qui on est, est le moyen d’ouvrir les portes et de trouver les chemins nécessaires à notre autonomie et donc à notre liberté naturelle. Le monde s’enfonce, s’enfonce, s’enfonce encore et toujours, parce qu’il ne sait pas qu’il ne sait rien alors qu’il serait si facile de tout savoir et de le savoir tout en le faisant savoir.

anniversaire • le pianiste allemand, wilhelm backhaus, nous a quittés il y a 52 ans. il était âgé de 85 ans

 

En savoir plus…
https://fr.wikipedia.org/wiki/Wilhelm_Backhaus

 

LUDWIG VAN BEETHOVEN Piano Concerto No.4 in G major, Op.58

00:00:02 I. Allegro moderato

00:17:53 II. Andante con moto

00:22:24 III. Rondo. Vivace

 

WILHELM BACKHAUS, piano

Wiener Symphoniker

KARL BÖHM, conductor

 

Recorded at Studio Rosenhügel, Vienna, 3-9 April 1967

 

Wilhelm Backhaus - live in Paris, 1953

 

00:00 Beethoven: Piano Sonata No. 6 in F major, Op. 10, No. 2

11:20 Beethoven: Piano Sonata No. 12 in A-flat major, Op. 26

 

1953, Salle Gaveau, Paris. Live.

 

Here is PG's transfer of London STS 15099, a beautifully-recorded stereo LP with the music of Schumann performed by Wilhelm Backhaus. Accompanied by the Vienna PO under Guenter Wand, Backhaus performs the Piano Concerto in a dreamy way that I find captivating. This must have been one of Wand's earliest appearances on a major label. He makes the most of it; the accompaniment is gorgeous. Recorded January 1960

 

 

Autres anniversaires…

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vu à travers le tube • merci freud…

La campagne royalielle. Corne à Virus et ses variants. La Démocratie toujours pas inventée et qui ne le sera pas puisque nous plongeons de partout dans les dictatures. Zemmour qui inquiète encore plus que Le Pen alors que seuls Macron et Mélenchon peuvent inquiéter. La chaleur et le froid qui se succèdent en plein été. La femme qui continue à fréquenter l’homme qui veut la pénétrer, elle qui l’a sauvagement expulsé de son ventre sans lui demander son avis. La bêtise de ceux qui regardent des hommes courir après un ballon ou gravir des montagnes sur un vélo au risque de la crise cardiaque. Les philosophes sans pensées de la télé. Les menteurs pervers couples journalistes/politiques. La vie vécue par des flopées de marmites de zombies. Est-ce pour tout cela que la femme pond des reproductions qui reproduiront inexorablement la misère du monde ? Ce monde, je l’ai quitté il y a longtemps. Je vis avec Isolde, avec Siegfried, avec P’tit Quinquin et pas avec les Z’Inhumains. C’est pourquoi je tiens encore debout. Merci Freud. Merci à ton miroir magique. Celui que tu m’as aidé à chercher, à trouver, à me regarder, à me reconnaître et à le traverser.

anniversaire • le violoniste hongrois, tibor varga, aura 100 ans aujourd’hui

 

En savoir plus…

https://fr.wikipedia.org/wiki/Tibor_Varga

 

Tibor Varga und das Kammerorchester Tibor Varga spielen Werke von W.A. Mozart im Detmolder Schloss 1958

 

Tibor Varga plays Tchaikovsky Violin Concerto. Vienna Festival Orchestra conducted by Jean-Marie Auberson

 

Recorded in 1960.

 

Bruckner: String Quintet in f minor

I. Gemäßigt 01:26

II. Scherzo: Schnell 10:41

III. Adagio 18:14

IV. Finale: Lebhaft bewegt 33:48

 

Tibor Varga; Judith Justice - violin

Unnur Sveinbjarnardóttir; Roger Chase - viola

Martin Ostertag - cello

 

Église des Jésuites, Sion, 1976

Tibor Varga Festival 1976

 

 

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vu à travers le tube • piqure et repiqure…

Pour évoquer la vaccination, la télé et les médias ne trouvent rien de mieux que de poster la photo d’une épaule nue et d’une seringue munie d’une aiguille faisant trois fois son support en longueur et des gens niais et souriants comme si on leur injectait un produit hilarant. C’est laid et insultant. Le manque d’imagination des concepteurs de publicités mensongères - toutes les publicités sont mensongères - est confondant. Et ce sont ces gens qui gouvernent le monde parce que c’est par ces gens que le monde se laisse gouverner. La vaccination, c’est comme le virus, c’est comme le climat, c’est comme la playlist de France Inter, c’est comme le congé parental - super hilarant -, c’est comme le comportement de l’homme. Ce n’est que la chute vertigineuse de la pensée et du discernement dans le trou noir de mon puits au fond de mon jardin. Ça s’accumule ! Ça s’accumule ! Ça s’accumule ! Quand ça va être bourré, ça va éclater ! Et je ne vous raconte pas la suite…

 

Les écoles de musique sont dans une impasse. Elles coûtent une fortune aux municipalités et ne rapporte aucune voix aux élections. Avant on y apprenait la musique. Aujourd’hui, on se contente de faire ânonner la playlist de France Inter. Exit la gamme de mi bémol majeur en lié puis détacher, en binaire puis ternaire, en rythme simple puis brisé. Exit l’arpège de sol# mineur en lié puis détacher, en binaire puis ternaire, en rythme simple puis brisé. Exit le Prélude et Fugue en la bémol majeur de Jean Sébastien Bach, la Sonate n^o 4 en la mineur, D.537 de Franz Schubert, la Sonatine pour flûte et piano de Pierre Boulez. Exit les innombrables œuvres qui ont fait la richesse de la musique et qui ont donné à l’homme ses lettres de noblesse. Dans quelle école de musique évoque-t-on les cinq révolutions de notre monde : Orfeo de Claudio Monteverdi, Don Giovanni de Wolfgand Amadeus Mozart, Pelléas et Mélisande de Claude Debussy, Tristan et Isolde de Richard Wagner et Wozzek d’Alban Berg. Ici, se cachent les richesses universelles de notre monde. Ici, se trouve la solution à nos problèmes. Ici, l’homme devient homme et quitte définitivement son habit de zombie. Et, puis, qui peut me dire où, dans quelle école, avec quel maître, le professeur - censé enseigner - a appris ? Et quelles sont ses notions envers la pédagogie, envers la psychologie, envers la psychanalyse, envers la relation enfant-adulte, notions qui devraient primer obligatoirement sur ses connaissances des techniques musicales indispensables ? Je m’étais juré de na plus jamais abordé ce sujet qui entraîne des polémiques interminables. Mais, d’après ce que je glane ici ou là, ma révolte intérieure devient insupportable. Alors, j’ai redit. Sans doute pour la dernière fois.

anniversaire • le chef d’orchestre autrichien, carlos kleiber, aurait 91 ans aujourd’hui

 

En savoir plus…

https://fr.wikipedia.org/wiki/Carlos_Kleiber

 

Carlos Kleiber -Johann Strauss II "Die Fledermaus"

 

With Bavarian State Orchestra

May 19th,1986

 

Brahms: Symphony No.4

1st [0:20]

2nd [13:57]

3rd [25:39]

4th [32:06]

 

Bayerische Staatsorchester

Carlos Kleiber, conductor

 

1996.10.21 Live

 

Richard Wagner. Tristan e Isolda. Liebestod from Act III

 

Catarina Ligendza, Isolde

Carlos Kleiber, direction

 

Bayreuther Festspiele, 1976.

 

 

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vu à travers le tube • de brigitte à nabilla...

Le Roi de France a accordé un long entretien au magazine « Elle ». Je ne l’ai pas lu. Je ne lis pas « Elle ». Ma voisine de palier m’a dit qu’il avait beaucoup évoqué l’état fusionnel qu’il avait avec sa maman Brigitte. C’est peut-être de ce côté qu’il faut creuser…

 

L’élue de l’AAF (Association des Animaux de France) a déclaré, hier, se présenter à la royalielle - nommé de temps à autre « présidentielle » -. Elle va pouvoir ainsi promouvoir les compétences de ses amis et proclamer la VIe République dont la constitution est déjà toute écrite : Les Fables de La Fontaine, en vente et en stock chez Amazon. Je ne peux rien pour elle puisque je ne vote pas. Cependant, je suis de tout cœur avec elle, car je suis persuadé qu’être gouverné par des animaux pourrait bien ouvrir la porte sur le chemin de la Démocratie que l’humain n’a toujours pas inventé.

 

Où l’on reparle de Jean-Vincent Placé, ancien ministre du Roi Hollande, qui en pince pour Nabilla. Ma boulangère m’a dit qu’il cherche à la rencontrer - pas ma boulangère, Nabilla -. Il voudrait lui demander sa main et lui faire des petits bébés. Ça fait beaucoup pour un seul homme !

anniversaire • le compositeur allemand, christoph willibald von gluck, aurait 307 ans aujourd’hui

 

En savoir plus…

https://fr.wikipedia.org/wiki/Christoph_Willibald_Gluck

 

Gluck, Orfeo ed Euridice: Aria Che puro ciel! ·

 

Bejun Mehta, contreténor ·

Akademie für Alte Musik Berlin ·

René Jacobs, direction

 

Released on: 2013-11-04

 

Christoph Willibald Gluck, Flute Concerto in G major

00:00 I. Allegro

04:42 II. Andante

09:30 III. Allegro vivace

 

Paris Philharmonic Chamber Orchestra

Jean-Pierre Louis Rampal, Flute / Conductor

 

Christoph Willibald Gluck Alceste - Overture

 

Berliner Philharmoniker

Wilhelm Furtwängler, conductor

 

Studio recording, Berlin, 28.X.1942

 

Christoph Willibald Gluck - Orphée et Eurydice (Orpheus among the Blessed Spirits)

 

Orphée - Magdalena Kozena,

Eurydice - Madeline Bender

Monteverdi Choir,

Orchestre Révolutionnaire et Romantique,

conductor - John Eliot Gardiner

choreographer - Giuseppe Frigeni,

stage director - Robert Wilson

 

 

 

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vu à travers le tube • l’homme est né bouffon…

Il l’avait dit. Il l’avait dit les yeux dans les yeux, lui derrière l’écran, les gogos devant. Le Roi de France avait dit que jamais, au grand jamais, la vaccination serait obligatoire dans la France libre qui n’a toujours pas inventée la démocratie. Et comme tous les Rois de France, les Louis, les François, les Henri, le Roi renie sa parole - c’est la force des Rois - et ouvre la porte à l’obligation de la vaccination. Et les gens, le peuple, va continuer à voter pour des Rois et très bientôt pour celui-ci qui va continuer à promettre et à renier en continu et sans se poser la moindre question. En quoi le menteur serait-il coupable puisqu’il est plébiscité pour trahir. C’est comme Alagna - la pitoyable doublure de Mariano -, pourquoi persiste-t-il à chanter ? C’est parce qu’il est plébiscité par les vieilles dames des manoirs hantés et les jeunes donzelles des couvents, en mal de mâles séduisants jouant à Don Juan.

 

« Tout dans ce monde n’est que farce. L’homme est né bouffon. » Ainsi se termine le célèbre et sublime « Falstaff » de Guiseppe Verdi, son dernier opéra écrit à l’âge de 80 ans. C’est la bouffonnerie de la vie, et à tous les étages, que le compositeur a décrite ici. À voir et à enregistrer dans sa mémoire, comme le monde entier l’a fait pour « Twin Peaks, le retour » et « P’tit Quinquin » devenu « Coincoin et les Z’Inhumains ». En y analysant tous les recoins, on comprend que la vie n’est rien et que son passage obligé n’aura été que l’œuvre d’un pervers sadique qui aime voir souffrir les humains. Certains l’appellent Dieu. Moi, le l’appelle Homme.   

le puits au fond du jardin • le chiffon fo

 

Chez forumopéra.com, pour certains ont écrit les choses en deux fois. La première pour avertir, la deuxième pour déverser sa haine. Aujourd’hui, le site des ignares titre : « Premiers échos du Tristan de Jonas Kaufmann » qui est, comme tout le monde le sait, un triomphe pour le ténor - le plus grand du monde actuellement », pour la magnifique Harteros et pour le génial Petrenko. Je signale à FO que Tristan n’est pas de Kaufmann mais de Richard Wagner, un compositeur allemand qui a révolutionné l’écriture musicale comme Freud a révolutionné la pensée humaine. Il est évident que si le rôle de Tristan avait été tenu par Alagna - la triste doublure de Mariano -, FO aurait titré : « Triomphal triomphe pour le ténor des ténors de tous les univers : Roberto A. encore plus génial, plus parfait, plus séduisant que jamais ! » Triste FO ! Tristes lecteurs de ce chiffon !

anniversaire • création de l’opéra de richard strauss, « arabella, op79 », il y a 88 ans aujourd’hui

 

En savoir plus…

https://fr.wikipedia.org/wiki/Arabella

 

Richard Strauss Arabella op.79

 

Graf Waldner : Georg Hann

Adelaide : Rosette Anday

Arabella : Maria Reining

Zdenka : Lisa della Casa

Mandryka : Hans Hotter

Matteo : Horst Taubmann

Graf Elemer : Julius Patzak

Graf Dominik : Josef Witt

Graf Lamoral : Alfred Poell

Die Fiakermilli : Herma Handl

Eine Kartenaufschlägerin : Ruth Michaelis

Welko : Franz Szkokan

Chor der Wiener Staatsoper

Wiener Philharmoniker

Karl Böhm, durection

 

Live recording, Salzburg, 12.VIII.1947

 

Arabella, Op. 79, TrV 263, Acte III: "Sie hier? So spät?" (Arabella, Matteo) ·

 

Lisa Della Casa , Arabella·

Kurt Ruesche, Matteo ·

Wiener Philharmoniker ·

Joseph Keilberth, direction

 

Arabella, Op. 79, TrV 263: Act I: Mein Elemer! ·

 

Lucia Popp, Arabella

Bayerisches Staatsorchester

Wolfgang Sawallisch, direction

 

 

Autres anniversaires…

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vu à travers le tube • retour et répétition…

Et nous revoilà à l’époque des enchères publiques où le trône du Roi de France sera attribué au plus offrant, à celui qui aura le mieux réussi à se vendre. J’appelle cela prostitution. Et ils sont déjà des dizaines à se bousculer au portillon. La prison élyséenne serait-elle si bonne, si attractive, si jouissante ? Moi, si j’étais pervers, menteurs et tyrannique, je ne tenterais pas de poser mon cul sur la chaise électrique. Je tiens trop à ma liberté de penser, d’aller et venir à ma guise, de papoter avec ma voisine de palier, de prendre le bus, de prendre mon café chez Leclerc - j’y vais dans une dizaine de minutes -, de m’acheter plein de choses chez Amazon, d’aller à l’opéra écouter et voir Tristan, Le Chevalier, Manon, Siegfried, Louise, Wozzeck, Le Dialogue, et tous les autres, d’écrire ma conception du monde sur mon blog « les monstres sortent des urnes et des ventres des femmes », de critiquer et maudire tout ce qui touche à la politique et à la playlist de France Inter, et de me lever le matin en me parlant dans mon oreille : « Je suis un homme libre qui pense et agit selon son bon plaisir - comme l’a dit le Roi Louis-je-ne-sais-qui ! »