Ce que l’on appelle ici-bas la démocratie représentative est un mensonge
collectif où au nom d’un citoyen sans nom on adopte des lois destinées à
humilier le citoyen qui a un nom. La Démocratie, c’est autre chose. Il faut l’inventer
en mettant l’homme et sa pensée au centre des débats et des décisions. Il ne
peut y avoir Démocratie lorsque l’on nomme un Roi, un individu qui se prend
pour un sergent-chef dont le travail consiste à abêtir les jeunes recrues enrôlées
de force parce que des colonels en retraite ont dit qu’obéir aux ordres de salauds-sadiques
forgent les esprits. Il en existe encore beaucoup aujourd’hui, comme ce sacré
Zemmour et sa blouse grise pour relever le niveau de l’Éducation nationale, monstre
en détresse et mourant sur les plages du débarquement
Europe se plaint de son classement, dernier de la classe. Comment
pourrait-il en être autrement en ressortant régulièrement le cadavre d’Elkabbach,
qui officiait déjà avant la Révolution ? Et comment France Inter - Radio-Macron
- peut-elle toujours être la première, elle qui laisse passer à l’antenne la
jeune adolescente idiote Carine Bécard qui rit bêtement à chaque réplique de
ses interlocuteurs ?
Molière a 400 ans aujourd’hui. Et comme à chacun de ses
anniversaires, il est le plus jeune d’entre nous. Son secret est connu de tous :
il parle et écrit en langue française.
Après cette grève largement suivie, le Roi de France a fait ses
promesses usuelles et traditionnelles. Et tout ce petit monde prêt à refaire
1789 est rentré chez lui en sifflotant comme si les promesses d’un Roi avaient
un quelconque effet sur les réalités du terrain. Et ils sont contents tous ses
gens. Ils vont recevoir - a dit le Roi - des milliards de camions de masques QQQ
pour les enfants des maternelles. Seuls les psychopathes peuvent avoir de pareilles
idées. Et il est bien là le problème. Les psychopathes qui nous gouvernent vont
être reconduits et si ce n’étaient pas eux, ce seraient les autres. Ils n’en
resteraient pas moins psychopathes.
La Justice a dit qu’il était illégal de porter des masques dans
les rues de Paris. C’est déjà fait dans d’autres villes. Espérons que cette même
Justice déclare illégal l’État d’exception imposé par le Roi sous prétexte qu’un
virus s’est installé à vie dans notre vie. Espérons aussi que la Justice ne
prendra plus de décisions de ce genre sans les assortir de sanctions. Ceux qui
nous harcèlent, nous emprisonnent et nous contraignent depuis deux ans doivent être
arrêtés, jugés et condamnés.
Les débats télés - 200 à 250 par jour - tournent invariablement
autour de la même question : « Pourquoi les politiques et tout
ce qui représente l’autorité sont-ils aussi haïs et provoquent-ils autant de
violences ? » À la violence des mots et des décisions devant laquelle
le citoyen n’a que le droit de se taire, il me semble que la réponse la plus
appropriée, quand on n’est rien, c’est la violence gratuite ou payante, peu
importe. Le jour où les autorités auront appris la politesse, la confiance et
le respect des peuples, les choses changeront. Bien sûr, ce n’est pas pour
demain, n’y pour après-demain.
Maman est venue à la télé pour dire que fiston n’a toujours pas
pris de décision concernant le renouvellement de son mandat de Roi de France.
Maman a dit aussi que jamais elle n’influence fiston parce qu’elle trouve que
fiston est maintenant suffisamment grand pour ne pas lui dire ce qu’il doit
faire. Fiston a une bonne maman qui a dû lire Dolto.
Carlo
Tagliabue - Tannhauser - O du mein holder Abendstern en iatlien - Voce del
Padrone DB 11300 enregistré ca 1949
Giuseppe
Verdi La Traviata (Madamigella Valéry ... Pura siccome un angelo ... Non sapete
quale affetto ... Un dì, quando le veneri ... Ah! Dite alla giovine ...
Imponete! ... Morrò! la mia memoria)
Giorgio Germont - Carlo Tagliabue
Violetta Valéry - Renata Tebaldi
Orchestra del Teatro San Carlo di Napoli
Tullio Serafin, conductor
Napoli, Arena Flegrea, July 3, 1954
Carlo
Tagliabue - Rigoletto - Cortigliani, vil razza - His Master's Voice DB 6367
enregistré ca 1945
Richard Tucker & Carlo Tagliabue sing "Ne gustare me
dato.." from La Forza del Destino by Giuseppe Verdi
Il y a des femmes qui n’ont pas de chance. Un jour, il y a longtemps,
la dénommée Virginia Giuffre (née Roberts) qui n’avait que 17 ans, a rencontré
un prince - comme dans Blanche-Neige ou dans La Belle au bois dormant - dit Duc
d’York. Ce prince, deuxième fils d’une Reine d’Angleterre, l’a violée trois
fois de suite à Londres, New-York et dans les Caraïbes sous la pression de la
startup Epstein & Maxwell, dissoute après que le premier se soit suicidé en
prison. Cette histoire dépasse mon entendement. Après avoir été violée à Londres
- j’aimerais connaître le détail des faits - pourquoi la jeune fille traumatisée
- mineure et probablement née sans mère ni père - est-elle allée rejoindre son
violeur à New-York puis aux Caraïbes alors qu’elle savait très bien que ça se reproduirait ?
A-t-on jamais vu un violeur s’arrêter en si bon chemin ? Ces viols, comme
tous les viols, sont des énigmes éternelles qui jamais ne seront résolues. Dans
un viol, sauf cas rares, il y a toujours deux coupables à 100% chacun : le
violeur et la femme violée, la violeuse et l’homme violé, le violeur et l’homme
violé, la violeuse et la femme violée - et je ne parle pas aujourd’hui des
centaines ou milliers d’enfants violés chaque jour -. Au lieu de perdre son
temps à demander des têtes, ne serait-il pas plus intelligent d’en rechercher
les causes. Pour les connaître, la seule solution est de pousser la porte du
cabinet de Freud pour y chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y
reconnaitre et le traverser. Le passage de la porte peut changer toute une vie.
L’homme - la femme - est à l’image de la société qui est à son image. La violence
est engendrée par ceux qui créent les lois pour mieux posséder le pouvoir. Et
puis, il vous suffit de passer chez Praud sur Cnews pour constater à quel point
l’homme et la femme ne sont que des abrutis, des vampires qui ne peuvent se
passer de leur nourriture de base : le sang. Violence, encore violence, toujours
violence. Et c’est le futur Roi de France - ancien actuellement - qui donne
merveilleusement l’exemple en se gargarisant de sa phrase qui le caractérise si
bien : « J’emmerde les français ! » Et ce minable SERA
réélu !
Un clown-godillot ou godillot-clown du Roi de France a dit qu’on
ne faisait pas la grève contre Virus. Il faut vraiment être con pour tenir un
pareil propos. Les gens de l’Éducation nationale ne font pas grève contre Virus
mais contre le bordel qu’est leur institution qui est devenue un je ne sais
quoi de désinstruction et de désastre. Depuis deux ans on me fait chier avec Virus
que je n’ai jamais vu. N’existe que ce que je vois. Dans mon appartement, sur
le palier où se trouve la porte de ma voisine de palier, dans l’ascenseur, dans
le hall d’entrée, dans la rue, chez ma boulangère, chez mon boucher, chez mon
tabatier, cher mon Leclerc où je prends mon café tous les matins, je n’ai jamais
rencontré Virus et je n’ai jamais rencontré quelqu’un qui ait rencontré Virus.
Je suis farouchement anti-vaccin et je me suis fait vacciner - 3 doses de
poison - pour pouvoir aller à Berlin voire le Ring de Wagner et y retourner prochainement
pour ses Maîtres Chanteurs de Nuremberg. Et uniquement pour ça. Je n’ai jamais
fait de tests pour je ne sais quoi et personne ne peut savoir si j’ai la peste
- idem dans l’autre sens qui est le sens inverse - parce que je n’active jamais
mon Bluetooth. Et quand je vois toutes ces files d’attente devant
les pharmacies pour recevoir un manche à balai dans les narines je pouffe de
rires à m’en péter les cordes vocales, un de mes derniers rires avant de mourir
et de quitter enfin ce monde de tarés. Le plus triste, et malgré mes rires à
gorges déployées, c’est que le monde est - depuis les débuts des mondes - peuplé
de poupées de chiffons que quelques pervers chiffonnent, déchirent, détruisent
et violent à volonté sans que le chiffon n’émette la moindre objection.
Heureusement, et j’ai vu, vu de mes propres yeux et j’ai entendu, entendu de
mes propres oreilles, on y arrive : le crépuscule des dieux et des hommes
inaboutis. Merci de nous avoir prévenus cher Wagner, même si vous et moi savons
que dire les choses ne sert strictement à rien.
Rigolo cet homme qui doit vivre avec un cœur de
cochon. Rigolo aussi de voir qu’une fois de plus personne ne conteste cette
mutation. Rigolo encore quand on lui aura cousu des jambes de girafes, des bras
d’éléphants, un nez de furet, un zizi en plâtre de Paris. Rigolo toujours quand
on entend les imbéciles crier sur les toits de Saint-Nazaire que c’est ça le
progrès et que la science embellit l’humanité. Rigolo de rigolo toutes ces
pensées impensantes qui croient penser alors qu’elles sont terrassées par la
bien-pensance dominante qui courbe l’homme à ses pieds. Les lézardes du monde s’amplifient
et rien ne pourra les arrêter. Les dictatures sont bien là et tout le monde s’en
contente parce ce que vivre libre demande une pensée aigüe et tranchante alors
que c’est si facile de fainéanter toute une vie sur une paillasse derrière des
barreaux en attendant sa pitance - la même que celle des cochons - et d’attendre
à l’ombre la fin d’une vie qui jamais n’a commencé. Triste monde que le monde dans
lequel la femme coupable a osé nous jeter