lundi 12 septembre 2022

vu à travers le tube • le bonheur d’écrire dans le désert…

Et voilà que tout d’un coup, le modèle politique anglais est devenu le modèle universel, source de toutes les vertus. Ce matin encore, alors que le corps devrait être enterré avant les odeurs, le cercueil promène Madame au pas de la valse lente, de village en village, serrant foultitudes de mains tendues, ne négligeant pas la pause-café et s’achemine lentement, sans presser le pas vers Londres où le monde d’en haut va se retrouver et se congratuler comme on le fait dans le monde, celui du haut, qui - et ce n’est pas un effet d’optique - monte toujours plus haut pour voir celui du bas de plus en plus petit. La fête est un peu gâchée. Poutine n’y sera pas. Et voilà que cette mort soudaine d’une vieille femme m’aura donné encore raison. Dans mes tubes, je n’ai jamais écrit le mot « président » pour désigner le souverain de l’Élysée, mais « Roi » puisqu’un homme qui décide seul ne peut être qu’un Roi, qu’un Empereur ou un Tsar. La France n’a jamais cessé d’être une monarchie, déguisée depuis que les Rois sont élus illusoirement par un système électoral vicieux et vicié.  Et si vous pensiez qu’il n’y avait que quelques nostalgiques des majestueux et vertueux François 1e, Charlemagne, Louis XIV, Charles X, et quelques Bonaparte napoléoniens, vous vous trompiez lourdement. C’est la France entière, des nourrissons aux vieillards, qui réclame le retour du Roi qui a été si lâchement assassiné. Pas moi. Moi, je réclame l’invention de la démocratie où le peuple est souverain. Je sais que c’est possible si, au lieu d’honorer les Rois et les Dieux, on honorait l’homme, l’homme qui a eu la capacité de se défabriquer, de se déforger, de se déconditionner, l’homme qui a eu la capacité de relier son conscient à son inconscient en poussant la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser. Mais voilà ! L’homme aime son ignorance. J’écris donc dans le désert. Mais, j’aime bien. Il doit bien y avoir quelques addax, dromadaires, rôdeurs mortels, antilopes ou salamandres qui tous les matins lisent mes messages et pensent très fort qu’ils ont de la chance de ne pas être des humains.      


dimanche 11 septembre 2022

chronique des choses à peine dites • propos incohérents d’un grand malade psychique…


 

 

 

Les pseudo-nationalistes français : une nation (l’Ukraine) se lève pour résister à un Empire (la Russie) et vous passez votre temps à justifier l’envahisseur et à insulter ceux qui veulent juste défendre leur pays. Vous n’aimez pas les nations en fait, vous aimez les tyrans. (Raphael Glucksmann)

anniversaire • création de l’opéra d’igor stravinki ; « la carrière du libertin » (the rake’s progress)


 


 

En savoir plus…

https://fr.wikipedia.org/wiki/The_Rake%27s_Progress

 



Igor Stravinsky. The rake’s progress

 

ACT I Scene 1 Prelude (0:00)

The woods are green (Anne/Tom/Truelove) (0:35)

Here I stand (Tom) (5:29)

Tom Rakewell? (Nick/Tom/Anne/Truelove) (8:24)

Farewell for now (Anne/Tom/Nick/Truelove) (16:25)

Scene 2 With air commanding (Chorus) (21:51)

Come, Tom (Nick/Tom/Mother Goose/Roaring Boys and Whores) (24:35)

Cavatina: Love, too frequently betrayed (Tom/Chorus) (30:07)

The sun is bright (Chorus/Nick) (33:55)

Scene 3 No word from Tom (Anne) (37:19) Cabaletta: I go to him (Anne) (43:51)

 

ACT II Scene 1 Vary the song, O London, change! (Tom) (46:51)

Master, are you alone? (Nick/Tom) (54:33)

My tale shall be told (Tom/Nick) (59:43)

Scene 2 How strange! (Anne) (1:02:29)

Duet: Anne! Here! (Tom/Anne/Baba) (1:08:20)

Trio: Could it then have been known (Anne/Tom/Baba/Chorus) (1:11:52)

Scene 3 As I was saying (Baba/Tom/Nick) (1:17:54)

You! O Nick, I’ve had the strangest dream (Tom/Nick) (1:23:52)

 

ACT III Scene 1 What curious phenomena are up today for sale (Chorus/Anne) (1:30:15)

Aha!…He’s here (Sellem/Crowd/Baba) (1:33:20)

Sold! Annoyed! I’ve caught you! Thieving! (Baba/Tom/Sellem/Crowd/Anne/Chorus) (1:39:27)

I go to him (Anne/Baba/Sellem/Chorus/Tom/Nick) (1:46:20)

Scene 2 Prelude (1:48:45)

How dark and dreadful is this place (Tom/Nick) (1:50:40)

Very well, then, my dear (Nick/Tom) (1:55:04)

I burn! I freeze! (Nick/Tom) (2:04:20)

Scene 3 Prepare yourselves, heroic shades (Tom/Chorus) (2:08:17)

There he is. Have no fear. He is not dangerous (Keeper/Anne/Tom) (2:12:16)

Lullaby: Gently, little boat (Anne/Chorus/Truelove) (2:18:16)

Where art thou, Venus? (Tom/Chorus) (2:24:00)

Epilogue: Good people, just a moment (Anne/Baba/Tom/Truelove/Nick) (2:29:24)

 

Robert Rounseville (Tom Rakewell);

Elisabeth Schwarzkopf (Anne Truelove);

Otakar Kraus (Nick Shadow);

Raphaël Arié (Truelove);

Nell Tangeman (Mother Goose);

Jennie Tourel (Baba the Turk);

Hugues Cuénod (Sellem, auctioneer);

Emanuel Menkes (Keeper)

 

Coro e Orchestra del Teatro alla Scala;

Igor Stravinsky, conductor

 

World premiere performance, recorded live at the Teatro la Fenice, Venice, 11 September 1951

 



Igor Stravinsky: The Rake's progress

 

Tom Rakewell - Jerry Hadley

Ann- Dawn Upshaw

Nick Shadow - Samuel Ramey

Baba the turk - Victoria Vergara

Trulove - John Macurdy

Mother Goose - Joan Khara

Selem - Steven Cole

 

conductor, Kent Nagano

director: Alfredo Arias

 

Aix-en-Provence, 1992

 

 

 

Autres anniversaires…

https://soclassiq.com/fr/anniversaires/Histoire_de_la_musique_classique_%253A_11_septembre_(Anniversaires)/mm/09/dd/11/

vu à travers le tube • bouddhisme, vieille dame, popeye et france en vrac...

Je n’ai pas très bien compris ce qu’il y avait de nouveau, mais ce matin, sur les radios, l’information fuse. Le bouddhisme est bien un attrape-nigaud, une secte où l’on maltraite, où l’on viole, ou l’on esclavagise. Et le sinistre Dalaï-Lama n’est qu’un gourou infâme dont personne ne connaît la véritable personnalité. Il est vraisemblablement atteint de schizophrénie puisqu’il affirme avoir des visions, ce qui ne l’empêche pas de connaître les lois du sadisme et du pouvoir sur les autres. Et ce Mathieu Ricard, née à Aix-les-Bains - ville que je connais bien pour y avoir mené quelques combats sanglants - qui hante les plateaux de télévision pour prêcher la perversité, est un des piliers de la secte et complice de ses crimes. Et les gogos suivent comme ils suivent les fastes de la Reine morte, de l’accession au trône de Charles III - en France, nous avons eu Charles X - et de l’amour inconditionnel entre William, Kate, Harry et Meghan. Et les gogos ont même vu, au moment même de la mort de la Reine et à un dixième de seconde près, un double arc-en-ciel au-dessus de Buckingham Palace.

 

Victoire ! L’armée ukrainienne a renvoyé l’armée russe chez elle. Popeye-Zelinsky marche sur Moscou. Jeudi, il sera le nouveau Tsar de toutes les Russies, succédant ainsi à Boris Godounov. Poutine serait en fuite, sans doute à Lausanne avec Capuçon. En France, il ne se passe rien. Rien de rien. Chez les Nuts le chocolat a fondu. Zemmour fait croire qu’il revient. Roussel veut mettre les fainéants au travail. À partir de demain, lundi, les policiers qui porteront des armes seront arrêtés et condamnés en jugement immédiat à six mois d’emprisonnement. L’ado inachevé, le petit Roi de France, est content. Dans quelques jours, il va prendre le train pour Londres assister aux funérailles de la vieille dame, en compagnie de son inséparable bobonne. Il va enfin passer à la télé.  

samedi 10 septembre 2022

anniversaire • le compositeur britannique, henry purcell, aurait 363 ans aujourdhui



 

En savoir plus…

https://fr.wikipedia.org/wiki/Henry_Purcell

 



Henry Purcell: The Fairy Queen, Z.629

 

Henry Purcell: The Fairy Queen, Z.629

Music: Prelude: 0:00

Hornpipe: 2:05

Second Music: Air: 3:06

Rondeau: 4:11

Act II Prelude: 5:28

Act III Overture: Symphony while the swans come forward: 6:31

Dance for the Fairies: 8:23

Dance for the Green Men: 9:37

Monkey's Dance: 11:31

 

1st Violin: François Fernandez, Tomoe Badiarova, Meelis Orgse, Annie Gard

2nd Violin: Ortwin Lowyck, Katia Viel, Anna Stankiewicz

Viola: Alice Vaz, Luis Pinzón

Basso continuo: Néstor Fabián Cortés Garzón, Lina Manrique, Eva Euwe, Martin Jaser, Nadine Remmert, Hugo de Rodas

Traverso: Felipe Egaña, Radka Kubinova

Oboe: Fabio d’Onofrio, Motoko Matsuda

Percussion: Matteo Rabolini

 

,2019

 



Le contre-ténor Jakub Józef Orliński chante l'Air du Froid extrait de l'opéra de Purcell "King Arthur".

 



Jessye Norman - A Portrait - When I Am Laid In Earth (Purcell)

 

 

Autres anniversaires…

https://soclassiq.com/fr/anniversaires/Histoire_de_la_musique_classique_%253A_10_septembre_(Anniversaires)/mm/09/dd/10/


vu à travers le tube • la mort d’une vieille femme déclenche de biens vilains démons…

La mort d’une Reine le montre avec une insistance peu coutumière. Tous les pays sont prêts à renouer avec la Monarchie et son régime tyrannique afin de retrouver l’image tant souhaitée : celle du père fouettard. Et cela va se faire très rapidement puisqu’ils en ont tous pris le chemin. Les pays dits « démocratiques » vivent dans des régimes sournoisement déguisés et la France en est l’exemple même : un enfant gâté, inabouti psychiquement, qui ne fait que parler de promesses qu’on ne voit jamais venir et qui n’a qu’un désir, celui de supprimer tout ce qui lui résiste. Il attend de réaliser son caprice presque atteint : être sacré Roi, porter la couronne et le manteau, trôner sur le trône au côté de sa maman, en attendant des jours meilleurs où il pourra se sacrer lui-même Empereur des français avant de passer au stade de l’Europe. Et revoilà le petit con corse Bonaparte qui a voulu être Napoléon et qui est tombé sous l’arquebuse des anglais qui l’ont embastillé dans une île isolée pour lui rappeler son passé. Ce sont ces mêmes anglais qui, par deux fois, ont humilié la France, en faisant griller sur le bûcher sa douce Jeanne et en laissant crever dans la solitude son Empereur enfant inabouti psychologiquement, ces mêmes anglais que nous honorons, admirons et envions aujourd’hui, au travers de la mort d’une vieille dame. La machine infernale est en marche et personne ne peut y échapper puisque Freud chez qui nous devrions pousser la porte pour y chercher notre miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser, est rejeté sans que quiconque en connaisse les véritables raisons.

 

Le lien avec Freud est tout trouver. Je connais une femme qui a un cancer et à qui sa cancérologue - un robot scientifique ignorant et inabouti - a dit avant-hier, sur un ton insultant : « Ben oui, vous avez un cancer ! Et vous savez très bien que ça ne se guérit pas ! ». Un cancer, Madame, il arrive que ça se soigne et que ça guérit. J’ai un médecin généraliste - comme quelques autres, je suppose - qu’il est impossible de joindre au téléphone, qui ne se déplace pas et qui travaille du mardi au vendredi de 9h à 12h et de 15h à 18h. Ce n’est pas ma conception de la médecine. Mais cela ne change rien puisque je ne suis toujours pas Roi… ni Empereur, ni - hélas - Dictateur. La santé publique est de la responsabilité d’un État quel que soit son régime. Les médecins généralistes où spécialistes devraient être à la disposition des populations 24h/24 et 7 jours/7 et leur profession devrait être organisée en fonction de ce critère vital. La psychanalyse freudienne devrait intervenir obligatoirement dans chacun de leurs actes et chacune de leurs décisions. On ne peut être médecin sans avoir une connaissance accrue du psychisme. C’est le psychisme qui donne la plupart des maladies. L’ignorer est tout simplement un crime.


vendredi 9 septembre 2022

le puits au fond du jardin • impertinence et pédagogie…

 



 

 

L’apprentissage d’un instrument, qu’il soit à cordes frottées ou pincées, à vent ou à clavier, c’est d’abord apprendre à maîtriser ses difficultés techniques pour acquérir une totale autonomie afin d’aborder en toute indépendance les œuvres de toutes les époques, de la renaissance au contemporain, et de partager ce plaisir souvent inconnu avec ceux qui en ont la capacité, en formation réduite ou en grand orchestre divers ou symphonique.

 

Les méthodes individuelles ancestrales toujours en vigueur aujourd’hui n’ont jamais donné les résultats escomptés, saufs pour les enfants doués, passionnés, travailleurs, courageux, musiciens innés et considérés par leur professeur. Pour les autres, très souvent majoritaires, ils n’auront acquit que de l’à peu près ou presque, qui les conduira très souvent à l’abandon ou à avoir l’impression de savoir jouer (ce que personne n’osera démentir) au sein de formations amateurs qui se contentent de peu. Ils auront passé ainsi à côté du plaisir de bien jouer et d’acquérir une culture musicale ouverte sur les grandes œuvres du patrimoine et sur le répertoire musical de qualité.

 

Et pourtant, il existe un moyen attrayant, passionnant, rapide et souvent spectaculaire : la pédagogie de groupe qui est une pédagogie à part entière et qui doit être mûrie et réfléchie avant sa mise en œuvre. Ce n’est pas une pédagogie de facilité. Elle ne consiste pas à entasser quelques élèves dans une salle de cours pour les obliger à écouter une leçon particulière lassante et décourageante, mais à réunir 3 élèves (ni 2, ni 4) et leur donner tour à tour, la possibilité de prendre les commandes du cours en parfaite harmonie avec leur professeur et partager, participer durant une heure et demie, à l’élaboration d’une progression active et pensée. Ici, le professeur ne sera que le maître du jeu, guidant et dirigeant dans la direction choisie, la plus opportune pour le groupe, mettant en valeur les techniques et les idées de musicalité dans un échange culturel fort et de première nécessité et ceci en essayant d’acquérir dans les délais les plus courts, le maximum de connaissances pour s’exprimer en toute liberté. En effet, l’idée reçue, selon laquelle, il faudrait dix ans, ou plus, pour maîtriser son instrument est totalement stupide. Avec une bonne méthode appropriée, trois ou quatre années devraient suffire pour jouer correctement une partition de moyenne difficulté. Nous sommes loin du compte…

 

Pour mettre en application cette méthode, il y a deux possibilités : réunir 3 élèves de même niveau, ou réunir 3 élèves de niveaux totalement différents, en faisant cohabiter un débutant, un intermédiaire (fin 1er cycle)) et un grand (3ème cycle). Ne voulant pas affoler et pousser au suicide les sceptiques (les professeurs sont souvent fragiles), je vais commencer par la première possibilité.

 

Avec 3 élèves de même niveau, le professeur se doit d’imposer un programme commun méthodique : progression précise sur la méthode papier (les bonnes vieilles méthodes sont excellentes et pas du tout démodées), progression construite avec intelligence à travers les œuvres du répertoire spécifique à l’instrument et progression écrite par le professeur lui-même en fonction du niveau des élèves et du groupe. Les effets bénéfiques et spectaculaires seront l’écoute et l’imitation pour la justesse, la recherche de la qualité du son, l’attaque de la note, et la musicalité. Travailler les gammes, les intervalles, les arpèges dans tous les tons en jouant les notes en alternance, en se les échangeant, d’abord à 1 voix, puis 2, puis 3, est un exercice profitable à plus d’un titre et surtout, jamais fastidieux. Aborder les morceaux du répertoire, en extrayant les difficultés, en donner les explications nécessaires en les accompagnant d’un échange verbal permanent sur le justificatif et le pourquoi de l’interprétation, est un enrichissement spectaculaire de l’élève qui transgressera sa technique en une interprétation musicale de qualité, ceci très souvent à son insu.

 

Un cours d’une heure et demie hebdomadaire dans ces conditions ne peut être que passionnant et attractif, mais évidemment fatiguant pour les protagonistes, d’autant plus que le professeur n’aura plus le loisir (c’est-à-dire le temps) de répondre à son portable, d’arpenter les couloirs pour discourir et de sortir respirer l’air du dehors pour fumer sa dernière cigarette. C’est pourquoi, il devra s’astreindre à ne pas dépasser deux cours par jour, s’il veut tenir jusqu’à la fin de l’année, et obtenir les résultats escomptés.

 

Pour la seconde manière, plus ambiguë, plus complexe, le professeur devra y apporter une attention toute particulière. Avec son trio, de niveaux différents, dont chaque élève ne pratique pas encore le même langage, il devra faire preuve d’une imagination fertile et jouer le jeu des échanges permanents entre ces niveaux supposés incompatibles. Et pourtant… Le plus grand conseillera le petit qui écoutera et « imitera » ses deux aînés, l’intermédiaire donnera son point de vue sur ses deux camarades, montrera ses capacités par rapport à leur travail, et le plus petit, bénéficiant des conseils des plus grands, s’épanouira davantage. Le professeur guidera tout ce monde sur le chemin qu’il aura choisi auparavant, et échangera véritablement sur tous les problèmes liés à l’instrument, puisque trois possibilités de niveau lui sont offertes en permanence. Il devra bien sûr tout contrôler pour éviter les dérives qui ne manqueront pas de se produire. Cet énorme travail portera ses fruits grâce à l’échange permanent qui sera la base de son enseignement.

 

Rien de tout cela n’est utopique. Cela a déjà été expérimenté et mérite qu’on y réfléchisse, ces indications n’étant qu’un plan de base pouvant être modifié au gré du professeur. L’essentiel est de comprendre que le cours individuel n’est qu’une facilité qui apporte peu à l’élève, le fait peu progresser et qui entraîne le professeur dans des habitudes de confort imaginaire, qui, au bout de quatre ou cinq années, le met dans une situation d’ennui profond, parce que, installé dans un travail de répétition permanent, dont il ne peut que se lasser. Attention à la dépression !...

 

Hervé Gallien, 21 septembre 2008