La seule différence vraisemblable entre l’homme et l’animal, est que l’animal est prisonnier de son instinct, alors que l’homme pense, donc choisit, donc est libre. C’est tout. De quoi réfléchir… toute une vie !
La seule différence vraisemblable entre l’homme et l’animal, est que l’animal est prisonnier de son instinct, alors que l’homme pense, donc choisit, donc est libre. C’est tout. De quoi réfléchir… toute une vie !
Il y a tellement d’horreurs sur cette terre que je ne sais pas par quoi commencer. Les violences des pauvres gens qui parcourent les rues pour violenter les pauvres gens qui utilisent les rues. Les violences verbales de Mélenchon, de Borne, de Panot, de Macron, de Rousseau, de Darmanin, de Salamé, de Lemoine (M-E), de Cohen (P) et la dernière du vieillard Biden qui traite - en public - le patron de la Chine de dictateur. Quand un vieux con sénile fait tout pour déclencher une guerre atomique, on l’extermine et l'on brûle son corps pour être sûr que l’IA ne le reconstruira pas. Bref. Je ne vais pas faire une analyse des erreurs de l’homme qui est une erreur exemplaire, je vais me contenter - avant de rendre visite à ma voisine de palier et de courir prendre mon café chez mon Leclerc -, de donner mon avis sur la dernière. La dictature macronienne vient de décider d’autoriser la conduite automobile à 17 ans. La voiture est l’arme la plus dangereuse dans ce monde, plus dangereuse que l’Opinel, le fusil de chasse à deux coups, la kalachnikov, le char d’assaut, le bombardier, le missile ogive, la bombe premier prix, la bombe atomique et la langue de salope de Mélenchon. À 17 ans ! À 17 ans où l’on conduit en embrassant les filles, en téléphonant, en gesticulant, en sniffant des poudres blanches. À 17 ans, où le psychisme est à l’état d’embryon et renvoie un reflet disséqué des réalités imaginées. Et puis, le permis en poche, qui va payer la voiture à l’enfant ?
Hier, une demi-heure de noms d’oiseaux chez Praud, où les injures ont fusé - excellent théâtre - entre chroniqueurs et présentateur au sujet d’un chat perdu sous un TGV dont le départ a été retardé afin de débusquer l’animal qui a été enfin trouvé écrasé sous les roues du train quand celui-ci est parti avec dix minutes de retard en raison de l’égarement de la propriétaire du félidé qui ne savait pas que dans une gare, la porte de la cage de son compagnon aurait dû être fermée avec sûreté. L’étourdie a porté plainte et le tribunal aurait condamné la SCNF pour meurtre prémédité. À vérifier, car je ne suis pas allé jusqu’au bout de l’affaire, d’autres chaines m’attendant avec impatience. Et pendant ce temps, à Bordeaux, une vielle femme et sa petite fille ont été molestées par un récidiviste qui a été arrêté et placé en garde à vue alors que la justice voudrait que l’individu aille directement à la case prison pour 40 ans avec châtiments corporels journaliers. D’un côté, un chat. De l’autre, un abruti à l’état sauvage, mais en réalité un grand malade psychique qui le restera si personne ne lui montre le chemin qui mène à la porte du cabinet de Freud. Je sais. Prononcer ou écrire le nom de « Freud » est une injure à l’opinion publique. Mais, comme j’emmerde l’opinion publique, je me permets.
Guéguette est morte il y a quelques semaines et elle continue à débiter ses ignobles conneries, chaque soir, à la télévision. C’est indécent !
Des écolos - race de monstrueux tarés - ont interrompu, à Glyndebourne, la représentation du superbe opéra de Francis Poulenc « Dialogue des Carmélites », en entrant dans la fosse d'orchestre et actionnant des cornes de brume et en faisant éclater des canons à paillettes. Les huissiers de la maison y ont mis bon ordre. Avec Mélenchon et sa clique, Macron et sa mère épousée, les écolos sont la pire espèce que la terre ait portée depuis qu’elle est admise dans le cirque de l’univers. Si nous voulons survivre encore quelques années, il faut nous débarrasser dans l’urgence de cette merde infecte qui détruit la planète à vitesse grand V. Ensuite, il faudra régler son compte à l’immigration et puis, et surtout, mettre fin à l’ignorance qui infecte toutes les couches de la société. Bonne chance aux nouvelles générations pour qui l’avenir n’est qu’un immense trou noir dans lequel on ne sait jamais si l'on a touché le fond. Mépriser Freud se paie un jour ou l’autre !
L’homme au couteau qui avait opéré à Annecy, avait été jugé sain d’esprit par les psychiatres officiels - ceux qui ont échoué dans leurs études de disséqueurs de cadavres -, comme s’il était possible qu’un être normalement constitué psychiquement soit capable de poignarder des enfants ou toutes autres personnes. Il vient d’être interné à l’hôpital psychiatrique du Vinatier à Bron. Et les psychiatres de la police du Roi restent impunis. Si le mal, le besoin de faire souffrir, est la dominante constante chez la quasi-totalité des hommes - et des femmes évidemment -, c’est qu’ils - elles - ne veulent - ne peuvent - pas faire le lien nécessaire entre leur conscient et leur inconscient. Et c’est pourquoi l’humain est un éternel incomplet, une proie facile, repéré savamment par les innombrables pervers. Depuis que le monde est monde, c’est ainsi, et le sujet n’intéresse personne alors qu’il est le seul sujet de la vie. Et pour comprendre ce que j’écris, il suffit de pousser la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, pour le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaître et le traverser. Pierre Daco l’a remarquablement expliqué et le Docteur Philippe Dayan, que je côtoie régulièrement, le met superbement en pratique auprès de ses patients. Ce n’est pas là qu’il faut regarder le monde. C’est bien au-delà, derrière le détail sans importance qui conditionne notre vie et celle de tous les autres, par effet de dominos.
Alors que le Roi de France - l’inconscience de l’enfance - menace publiquement Poutine, Morandini, le plus grand moraliste de Cnews, retourne devant la justice pour des larcins pas beaux du tout, la girouette Mbappé quitte le PSG - trop rigolo -, Borne, dans le déni le plus absolu, égrène les prouesses de son gouvernement devant l’assemblée des inutiles, et « Les Soulèvements de la Terre », mouvement que Darmanin a déclaré dissoudre il y a trois mois et qui n’a jamais aussi bien vécu et jamais provoqué autant de scandale, ont détruit, à Nantes, des serres expérimentales en sol vivant et cultures sans pesticides, en toute impunité. Pour ce Roi et son gouvernement fantôme, la délinquance a tous les droits et la progression faramineuse de l’ignorance est une chance pour la France, comme l’est la scandaleuse immigration. À part ces bagatelles sans importance, tout va bien dans le pays de Louis XIV, sauf que vous risquez de vous prendre un coup de couteau dans le ventre, à chaque coin de rue, de saigner abondamment et de salir le trottoir. Et la saleté des trottoirs pourrait bien être le prochain sujet pour mettre en branle une révolution où le sang serait le héros.
Semence dans des orgies, le viol, invincible chimère à tête de vertige se foutant en l’air, dit le survivaliste prostré qui mystique l’autre côté du temps qui reste.
Le comble. L’incompétence. Le mépris des réalités. Le godillot - bien pire - ministre de l’Éducation nationale s’attaque compulsivement au harcèlement à l’école et à ses satellites dérivés. Ordre, sous peine de mort, aux chefs d’établissements, de prendre une heure à l’aube des vacances pour sensibiliser les élèves aux dangers du harcèlement et des réseaux sociaux. Le ministre crétin espère ainsi faire oublier le crime de l’État macroniste dans l’affaire Lindsay, cette jeune fille qui s’est suicidé devant la lâcheté de tous : principal du collège, professeurs de l’établissement, élèves et parents, - sans oublier la police. Cet imbécile invente une parade pour cacher l’incompétence des élus du moment et la perversité crade du Roi qui sert les paluches, caresse les épidermes et puise ses mots dans les tissus de mensonges qui enferment l’humanité. J’espère que les receveurs de l’ordre vont envoyer chier le connard qui est tout juste bon à déboucher les WC.
Hier, à la télé, est passé en boucle la fête foraine annécienne ou s’est vendu des tonnes de barbes à papa. On a vu aussi la victoire d’un héros - d’un vrai -. Un joueur de tennis qui a refusé le vaccin covidien, envers et contre tous. Un esprit tenace et solide qui n’a pas la langue de bois, mais le geste auguste du vainqueur. Quand quelqu’un se distingue, au-dessus des foules, j’aime bien le signaler. Je ne sais pourquoi ou je le sais trop, Djokovic me fait penser à Wang. Le psychisme abouti, l’un sa raquette à la main, l’autre, ses doigts sur le clavier… et - cerise sur le gâteau - son regard inoubliable qui montre qu’elle n’est que musique.
(*) - « Les triomphes de la psychanalyse » par Pierre Daco (Marabout poche)
- « En Thérapie », une série de Eric Toledano et Olivier Nakache (2 coffrets DVD)
La compassion, les marches blanches, sont à la mode du jour. Pleurer sur la détresse des autres est en vogue, d’autant qu’une fois la larme sèche versée, la vie continue. Le pauvre cherche sa nourriture dans les poubelles vertes ou jaunes. Le riche fume son cigare et copule abondamment sur son yot ou dans son jet privé. Tout est déni. Tout est mensonge. La réalité est que chacun veut sauver sa peau du qu’en-dira-t-on. J’ai vu à la télé l’admiration masochistement effrayante pour le couple royal venu « rendre hommage » aux petits enfants poignardés. La foule a léché les pieds de l’homme le plus détesté au monde, ce Roi de France qui ne fera toujours rien pour imposer l’introduction de la justice dans la Justice et rien pour que plus aucun français ne meure de faim et d’ignorance. Pleutreries ! Veuleries !
Les meurtres dans la rue, l’ultra violence homme-femme, les guerres de religions, les invectives crades Mélenchon-Le Pen/Zemmour, vont s’intensifier, se généraliser et triompher dans l’indifférence générale. Les peuples lâches et pantelants vont ramper et creuser leurs tombes comme les vers de terre creusent leurs galeries souterraines. Et rien à l’horizon. Pas la moindre lumière. L’inconscient a triomphé du conscient. La mort triomphe à jamais. Les quelques survivants, ceux qui ont poussé la porte du cabinet de Freud pour y chercher leur miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser, vont disparaître dans leur isolement. Heureusement parce que le monde de dictatures qui se dessine à grande vitesse, ne tolère en aucun cas la psychanalyse, la seule thérapie qui rend à l’homme sa liberté totale et fondamentale. Le seul est grave problème que connait l’univers, c’est l’homme. Sans lui, le paradis illuminerait la voute céleste et même, comblerait les trous noirs qui ponctuent l’espace.