lundi 24 juillet 2023
vu à travers le tube • la police va-t-elle avoir raison du roi ?
dimanche 23 juillet 2023
le puits au fond du jardin • c’est foutu…
Je suis pessimiste - très -. C’est ma nature. Cela vient du fait qu’une femme m’a violemment éjectée de son ventre et m'a laissé nu sur la terre, exposé aux vents, aux pluies, aux tonnerres et aux éclairs. Si je pouvais un retour en arrière, je l’étranglerais avec la ficelle qui m’attachait à elle, surtout que je n’ai jamais demandé à venir sur cette terre où dominent le mensonge et la lâcheté et que rien qu’oser le mentionner annonce la pendaison par les pieds ou l’écartèlement par quatre veaux prématurés. J’ai appris, durant de longues années, que l’homme commence à vivre seulement dès l’instant où il connait parfaitement les rouages entre son conscient et son inconscient. Je le sais parce que j’ai poussé la porte du cabinet de Freud - ce que peu ont fait et c’est pour cela qu’il y a peu d’humains - pour y chercher mon miroir, pour le trouver, pour m’y regarder, pour m’y reconnaître et pour le traverser. Depuis un certain temps, de l’autre côté, je vois la vie telle qu’elle est et non pas à travers le filtre déformant imposé par l’inconscient. Ce que je vois est laid, pitoyable, irrespectueux et infâme. La chute de cette civilisation est irrémédiable parce que les quelques décideurs sont des cerveaux pourris pour ne pas avoir appris. L’ignorance aura été le poison implacable de cette dernière ère. C’est presque fini et il n’est pas sûr qu’une nouvelle ère commence un nouveau circuit, l’univers ne supportant plus l’homme destructeur et idiot comme un poireau décapité et sans queue. Lorsqu’un pays est dirigé par un chef qui ne différencie pas les sexes et que ses godillots sont pratiquement tous dans la même situation, je ne vois pas le point d’aboutissement. Je ne le vois pas parce qu’il n’y en a pas. C’est irrémédiablement foutu.
samedi 22 juillet 2023
vu à travers le tube • sexualité et aberration…
L’homosexualité n’est qu’un inaboutissement du psychisme qui empêche de faire les différentiations entre les sexes. Confier la jeunesse de France à Gabriel Attal me parait considérablement indécent.
Il y a 13 ans, Jean Lassalle, aurait violé une femme enceinte dans un hôtel de Bordeaux. Et c’est aujourd’hui que la présumée victime porte plainte. On ne nous dit pas si l’acte odieux a eu lieu à la réception de l’hôtel, au bar, dans l’ascenseur, dans les escaliers, dans les toilettes de la réception ou dans la chambre du désigné coupable. Si c’était dans la chambre du député, qu’y faisait-elle ? J’espère que Lassalle va porter plainte pour diffamation.
Ce matin, sur Europe, un automobiliste électrique a expliqué que pour son départ en vacances, il a dû s’arrêter trois fois pour recharger les batteries et qu’il a mis sept heures trente au lieu de six pour arriver à destination. De plus, son voyage lui aura couté 15% plus cher que s’il avait pris sa vieille voiture diesel. Le progrès est en marche et on nous dit qu’on ne doit pas s’y opposer. Je me demande pourquoi j’écris ceci. Je n’ai pas de voiture, donc je m’en fiche. Moi, je prends le TGV, l’avion supersonique, le paquebot, et le plus souvent mes pieds. Avant de finir ma trop longue vie, j’ai envie de m’acheter un âne et une charrette pour me promener le dimanche.
vendredi 21 juillet 2023
vu à travers le tube • des pantins et pantines au verbier festival…
Après le triomphe Wang/Metha au Verbier Festival, le ton change et devient désagréable. Hier, l’orchestre répétait la 5e de Tchaïkovski, le 3e concerto pour piano de Beethoven avec Maria Joao Pires pour soliste et l’ouverture de Coriolan du même Beethoven. Et cela aura été l’affolement le plus complet pour les musiciens. Le chef invité ne sait pas diriger. C’est son assistant qui, dans son dos, impulse les mouvements et donne les départs. Qui pourrait s’en étonner puisqu’il s’agit d’un des plus grands des ténors du siècle dernier, un musicien accompli, un homme de métier, mais un grand monsieur qui n’a pas su s’arrêter au bon moment. C’est de Placido Domingo dont je vous parle. Âgé de 82 ans - il aurait plus, selon certains - le passage de sa voix de ténor à celle de baryton, n’ayant jamais été vraiment apprécié, sa direction d’orchestre n’ayant jamais enthousiasmé, il est, aujourd’hui, un fantastique promoteur des jeunes voix. Peu de gens comprennent pourquoi il continue à se fourvoyer sur les planches et à la tête des orchestres les plus prestigieux. Il a été un immense ténor qui a tout chanté avec une aisance et une musicalité que tous les ténors du monde peuvent lui envier. Alors, pourquoi ? Pourquoi le Verbier Festival l’a-t-il engagé ?
jeudi 20 juillet 2023
vu à travers le tube • ce qui me hérisse…
mercredi 19 juillet 2023
le puits au fond de mon jardin • le petit con qui fait jouir les grands dadais…
Partira. Partira pas. C’est fait. Non. Si, peut-être ! Et si on arrêtait de nous faire chier avec Mbappé qui n’est qu’un petit con qui court après un ballon et à qui on administre chaque soir, pour lavement, un camion de pièces d’or afin de faciliter sa digestion. Il y a peut-être plus intelligent à regarder, à voir, à entendre, à toucher et à sentir sur cette terre de dégénérés. Ce matin, à 10h54, alors qu’Elektra reconnaissait son frère, un rayon de soleil est tombé sur le regard d’Oreste. Je n’avais pas fermé les rideaux. L’instant fut beau. La vie était là sous mes yeux. Pourquoi le monde accepte-t-il d’être aveugle, sourd et froid comme un réfrigérateur usagé ?
vu à travers le tube • le (re)maniement…
mardi 18 juillet 2023
le puits au fond du jardin • l’opéra est mort, jane aussi…
Le 69e Festival Puccini au Teatro Torre del Lago à Viareggio (Italie) a programmé pour son ouverture - le 14 juillet - l’opéra de Puccini - évidemment - « La Bohème ». La mise en scène n’était pas du goût du chef d’orchestre, Alberto Veronesi, qui, pour marquer sa désapprobation, a dirigé l’intégralité de l’œuvre, les yeux bandés. Cela lui a évité de voir de nombreuses horreurs. Le public - crétin comme souvent - a sifflé le chef et pas le désorganisateur de la scène. Aucun opéra, au monde, ne devrait être donné sans un accord total entre le chef - qui reste le seul patron - et le metteur en scène, Si l’opéra meurt - il est sans doute déjà bien mort depuis longtemps -, c’est parce qu’on y voit que des mises en scène au goût du jour, qui, on le sait, sont devenues des débilités pour maisons de fous. Mais - je peux l’attester étant souvent dans les salles - le public n’est plus capable de siffler et de quitter sa place dès les premières mesures avec le fracas que cela impose. Mais, il n’y a pas que ça. Il y a aussi des ténors et des soprani qui miaulent leurs aigus comme Jane Birkin. L’opéra est devenu insupportable, non pas par manque de moyens financiers, mais seulement par manque de talents, par manque de chanteurs musiciens, par manque de chanteurs comédiens qui n’ont jamais appris à jouer sur les planches. L’opéra ce n’est que du théâtre chanté et Offenbach avait bien raison lorsqu’il demandait à ses interprètes d’être avant tout des comédiens avant d’être des virtuoses de la glotte.
Jane Birkin, ai-je écrit. Peut-on me dire ce qu’a fait cette femme pour que sa mort provoque tant d’éloges ? Mauvaise comédienne, détestable chanteuse, il est vrai, et je le reconnais volontiers, qu’avec le pervers Gainsbourg, elle a fait Charlotte. Rien que pour cela, elle a peut-être mérité qu’on se souvienne d’elle !
dimanche 16 juillet 2023
vu à travers le tube • la gauche crasse…
samedi 15 juillet 2023
vu à travers le tube • hier à la télé…
Hier, la télé était en direct de Verbier pour l’ouverture de son festival. Zubin Metha et Yuja Wang. Waouh ! Le sommet. L’autre télé, celle du service public, était en différé de la tour Eiffel. Un Orchestre national et son chef à raz les pâquerettes et des solistes qui se demandaient ce qu’ils venaient faire ici. Une fois encore, on a voulu rendre la musique classique populaire. Elle est populaire. On l’a rendue indigeste. Le matin, dans toutes les télés, les crapauds et les crapettes ont vu des gens déguisés en militaires - comme dans La Grande Duchesse - sur de la musique pompeuse à souhait. Je n’ai pas regardé. Il me reste encore un peu de dignité. J’ai écouté mon vieux vinyle de La Femme sans ombre dirigé par Böhm, le père de celui qui a épousé Sissi dans les grands écrans blancs de cinéma. La farce est finie. Celles qui sont en cours et celles qui vont débarquer vont vous terrifier. Bon courage à tous.
vendredi 14 juillet 2023
vu à travers le tube • hier, aujourd’hui et la meute…
14 juillet. Les feux d’artifices, les bals au bord de la Marne, les rencontres inopinées, la remise en mémoire, qu’un jour les français ont eu la bonne idée de guillotiner leur Roi et sa femme qui le trompait. C’est tout. Rien d’autre.
Hier, j’ai vu « La Femme sans ombre » à la télé. Devant le génie de Strauss (Richard) et d’Hofmannsthal, la stupide kermesse de quartier des Champs-Élysées, qui va occuper toutes les télés toute la matinée, parait bien désuète, inutile et insultante par la présence permanence du comédien amateur qui joue dans la pièce du théâtre de Guignol, « Voilà ce que sont devenus les hommes ! »
Après avoir félicité les casseurs, Mélenchien et ses chiots demandent à ce que vous et moi, payons les réparations causées par les voyous, de notre propre poche. Cette meute canine est une sacrée salope.
jeudi 13 juillet 2023
vu à travers le tube • dans les allées du cimetière de l’opéra…
Hier, sur Facebook, j’ai participé à une conversation qui traitait de l’opéra-comique qui n’est pas toujours comique. J’ai osé mentionner l’indigence, la bêtise et le ridicule des dialogues parlés dans le "Carmen" de Bizet qui a beaucoup trahi Mérimée, alors que Guiraud avait mis ses dialogues en musique et que c’était fort beau. Mais, on préfère, dans le monde entier, écouter ânonner des artistes lyriques qui sont incapables de jouer un texte parlé, ce qui agace profondément le public et rompt le lien indispensable à la cohésion de la pièce chantée. Je me suis attiré les foudres de dizaines de « puristes » dont certains font la pluie et le beau temps à l’opéra, ce qui explique sans doute pourquoi ce genre est tombé en désuétude - pas pour moi, évidemment - et que les opéras ferment leurs portes progressivement, faute d’attractivité et donc de subside. J’ai l’habitude. Mon monde n’est pas celui de ces gens, ni des autres d’ailleurs. Je ne vis que dans mon moi et jamais je n’en sors, connaissant trop les horreurs de l’extérieur. Je sais, par exemple, que le Roi de France ne parlera pas à ses moutons ni à ses crapauds en ce 14 juillet où l’on fête le jour où il y aurait eu une révolte, des têtes coupées et la future arrivée d’un petit corse, par la taille, mais aussi par le reste. Le Roi ne parlera pas parce qu’il n’a rien à dire et que s’il disait quoi que ce soit, le feu de Loge embraserait la France entière. Moi, je suis content. Je déteste ce type. Le voir et l’entendre me donne la nausée et je suis obligé de rester couché toute la journée. Et ça, très franchement, ce n’est pas marrant !
mercredi 12 juillet 2023
vu à travers le tube • ne rien savoir, ne rien comprendre, la gloire des crapauds qui coassent…
Alain, un vieux comédien à la retraite, vivait des jours heureux avec Hiromi, sa compagne de plus de vingt ans, quand ses trois enfants ont pris conscience qu’une partie du fabuleux héritage de leur père, risquait de leur passer sous le nez et qu’il fallait donc se débarrasser de l’intruse qui allait probablement et prochainement assassiner le vieux monsieur pour remplir son compte en banque et éventuellement se trouver un autre monsieur, plus jeune, plus virulent et surtout plus agréable. Les cinq personnages de la pièce vont se retrouver devant la justice. Le spectacle va être drôle et terriblement excitant. J’y serai.
mardi 11 juillet 2023
vu à travers le tube • crétins abrutis ou abrutis crétins…
Je connais un endroit - en France - où sont plantés, côte à côte, un vieux platane et un vieux tilleul, qu’un homme bien avisé utilise comme parasols pour sa terrasse de café. Et, comme cet endroit est sur les rives du plus grand lac de France - qui est aussi le plus beau - et à trois minutes de chez moi, après être allé le matin chez mon Leclerc prendre mon café, non sans avoir salué avant ma voisine de palier, je vais dans le seul lieu ombragé par des feuilles d’arbres, dans les cinq cents kilomètres à la ronde, tous les après-midis, me manger une énorme glace à la vanille avec beaucoup de crème de marron et de crème chantilly. Ce petit extrait de ma vie privée pour vous dire ma fureur quand je vois, en cette période de lourdes chaleurs, que toutes les villes que je traverse ne sont que des plaques de béton où s’agglutine la misère du monde, alors qu’il y a à peine trois quarts de siècle, tout était vert et l’on pouvait aller d’un bout à l’autre de la ville sans être poignardé par les rayons du soleil, des gros arbres bien touffus assurant efficacement notre protection. Les maires sont tous des abrutis. Aujourd’hui, nous payons le prix de leur immense connerie et de leur incapacité à assurer le bien-être des citoyens, l’érection permanente de cages à poules en béton étant leur seul sujet de préoccupation. Je passe à autre chose. Si vous avez lu ou vu les informations, vous avez probablement remarqué - comme je l’ai fait - que le crétinisme est toujours d’actualité et qu’il est même un peu plus prononcé. Zelenski est toujours en vie. Le Roi de France aussi.
lundi 10 juillet 2023
vu à travers le tube • wotan au balcon…
Le godillot ministre noir de l’Éducation nationale et du Roi de France est le pire des racistes et bien pire, le pire des incompétents, que la République du militaire à la retraite ait connu. Hier, il a exécuté et décharné Cnews er Europe 1 qui seraient des médias au service des terribles monstres venus du centre de la terre pour instaurer en France un régime Hitlérien, Pétinien, Mussolinien, Napoléonien, François Premien et sans doute Ivan le Terriblien. Cet individu, qui cautionne l’infiltration musulmane et la non-différentiation des sexes dans les écoles maternelles, doit être démissionné, arrêté et jugé. Il doit être mis hors d’état de nuire. Dans cette monarchie macromicronienne, il n’y a pas pire. Il n’y a que similitudes et dénis. Le mal est à la racine et personne ne cherche à savoir où est et qui est la racine. Et, c'est pourquoi, les cerveaux entièrement vidés laisseront sur le sol des déserts, les os des corps dont la chair avariée aura été picorée par les corbeaux noirs de Wotan qui rit aux éclats du balcon de son Walhalla en contemplant ce désastre pitoyable.