lundi 4 décembre 2023

mots en lien

 


 

Crever les yeux des rectangles lumineux, pousse l'étrangeté raffinée sur tes rêves, sur tes lèvres.

 


vu à travers le tube • le terrorisme en plein essor…

Comme Israël bombarde en permanence les terroristes de Gaza, ce qui fait, comme dans toutes les guerres, beaucoup de morts, d’enfants, de femmes, d’hommes, de pleins d’animaux et de plantes vertes, l’enfant immature qui se dit Roi de France, menace – du haut de sa petitesse –, somme Israël de cesser le feu sinon il va la pourfendre impitoyablement. Quelle rigolade ! Le petit minable n’est même pas capable d’éliminer les terroristes à l’Opinel sur son territoire, ni les seigneurs de la drogue qui ont pris la moitié de la France en otage, ni les musulmans qui sont à la porte de l’Élysée. De partout, à l’étranger, on rit de ce falot. Il n’y a qu’ici que le peuple s’agenouille et penche la tête pour qu’on la lui tranche.

dimanche 3 décembre 2023

vu à travers le tube • et pourquoi pas kim jong-un en pire ?

Et ça continue ! Et ça s’amplifie ! Et ça va continuer de s’amplifier, puisque le Roi a pour seule (pré)occupation le fait de mettre son vilain nez dans les affaires des pays étrangers pour ne pas voir dans quel état il va rendre la France au moment de son départ obligé, à moins qu’avant, le peuple exsangue et révolté, ne lui fasse subir le sort de son prédécesseur en lui tranchant la tête comme on tranche un saucisson de Lyon. Je disais donc que ça continue et que s’amplifie la prolifération des couteaux qui tranchent les corps dans les rues en plein jour et même en pleine nuit. Et le couteau qui a tué, hier soir à Paris, était dans la main d’un récidiviste fanatique de l’islamiste, français parce que né en France, mais d’origine étrangère, connu par la police pour le dérèglement de son psychisme et qui au moment de son crime aurait dû être enfermé à vie dans un établissement psychiatrique si le Roi et ses soumis accomplissaient le travail pour lequel ils ont été élus. Le laxisme ambiant officiel aura raison de lui, des abrutis qui l’entourent, des abrutis qui l’ont mis au pouvoir et, par ricochet, de la France entière. Et la vraie désolation n’est même pas ici. Elle est dans la parole de ceux qui sont atteints de la maladie de la parlote, terrible maladie qui ne se soigne pas, maladie toujours couplée avec le mensonge et le dénie inscrits dans les gênes de ceux-ci et qui ne laisse présager que cris, souffrances et humiliations pour ce pauvre peuple à qui on n’a jamais donné les armes pour pouvoir se défendre. Puisqu’on n’a toujours pas inventé la Démocratie et que l’on rejette la thérapie de Freud, je ne vois que l’arrivée d’un dictateur, un vrai, un Kim Jong-un en pire, qui mettra tout le monde d’accord.  

samedi 2 décembre 2023

vu à travers le tube • de gaza au beaujolais nouveau…

La guerre a repris à Gaza. Pas d’inquiétudes ! Le Roi de France s’active à l’éradiquer alors qu’il est incapable de bouter l’ennemi hors de son pays, l’incapacité pour toutes choses étant sa marque de fabrique. La COP28 est une organisation terroriste de voyous qui font croire aux naïfs que l’interdiction du charbon va refroidir la terre, éliminer les feux de forêts et les inondations, tempérer les températures. Combien a-t-on volé dans la poche du citoyen pour payer cette farce grossière ? Dans ce qui reste de notre pays, quand un élu du peuple prend une décision, un ramassis de cerveaux vides annule sa décision et c’est le non-élu qui l’emporte. C’est ainsi que fleurissent des sectes les plus crades qui gouvernent le pays. Rousseau – pas l’écrivain ni la psychopathe –, un ministre de la Monarchie macronienne, est beaucoup triste parce que sa vaccination contre la grippe ne rencontre pas le succès qu’il ambitionnait. Alors que l’intrusive Sécurité sociale m’envoie des rappels à la pelle, je refuse – j’ai toujours refusé – le vaccin contre la grippe. Je ne suis pas un mouton. À presque 80 ans, je vais mourir incessamment. Je préfère mourir en bonne santé plutôt qu’avec du poison dans le sang.

 

PS : ma dernière grippe remonte à une soixantaine d’années. Ce jour-là, à midi, j’ai pris une boite d’aspirine et bu trois bouteilles de Beaujolais nouveau. J’étais à mon travail le lendemain matin, en superforme 

vendredi 1 décembre 2023

vu à travers le tube • la femme qui haïssait tristan…

Et voilà qu’on menace de décapitation la maire de Romans-sur-Isère en raison de ses propos judicieux. Et voilà que les terroristes écolos recouvrent de peinture les sapins de Noël. Et voilà que la France va exploiter sur son territoire, huit puits de pétrole. Et voilà que son Roi est encore parti en balade, cette fois à Dubaï, chez ses amis qui décapitent les femmes et les violent ensuite. Et voilà que la Justice n’a pas condamné le bouledogue qui grogne dans les télés. Et voilà que les tarés de France Culture accusent Radio Classique d’être une radio d’hommes blancs pour hommes blancs qui diffuse de la musique classique. Et voilà que la France jette notre argent par les fenêtres en se gavant de jeux ; après Paris, Megève et autres stations lunaires.  Et voilà qu’à l’Assemblée, en commission des lois, on s’écharpe et on se frappe ; le renaissant Houlié demande des sanctions contre l’insoumis Bernalicis qui a dû aboyer – les chiottes et chiots de Mélenchiens aboient toujours pour marquer leur territoire -. Et voilà – cerise sur le steak frites – que Hanouna, le bouffon devenu Roi, a fait la belle nuit de France 2 ; il y aurait eu des révélations fracassantes sur le milliardaire pervers en guenille. Et puis voilà qu'Hamas reprend son combat…

 

Ce qui me plait dans ce que j’écris tous les matins, c’est que ce n’est pas lu et que ça ne sert à rien. Rédiger mon tube ou mon puits avant d’aller chez mon Leclerc prendre mon café, non sans avoir salué ma voisine de palier, c’est mon bain de jouvence, c’est mon plaisir solitaire. Et je ne cesse de m’en féliciter. Je vais mourir très bientôt et mon éditrice m’a promis qu’elle réunirait mes milliers de tubes et de puits pour en faire un livre somptueux avec des gravures de Modigliani et un CD, en prime, de la sublime mort d’Isolde, la femme qui haïssait Tristan.

jeudi 30 novembre 2023

vu à travers le tube • la triste invasion des jeux…

On me dit que c’est Domitien, le frère de Titus qui aurait prononcé le célèbre : « Du pain et des jeux ! ». C’était entre 81 et 117. Au IIe siècle, dans la Rome antique, le peuple se contentait des mots de leurs bourreaux, comme s’en contente le peuple français de 2023. L’enfant au psychisme inabouti, qui a usurpé le trône grâce au système électoral fallacieux, sait calmer la colère de son peuple en le saoulant de jeux. Après ceux qui arrivent prochainement dans la ville crade, il a déjà programmé ceux de 2030, dans les massifs alpins recouverts de neige synthétique. Les coûts monstrueux de ces gadgets pourris priveront plus de la moitié des français de leur quignon de pain. Et il n’y a même pas un cerveau pour s’opposer à ce crime organisé.

 

Pour la première fois depuis des lustres, le président de la République italienne et la présidente du Conseil bouderont l’ouverture officielle de la saison de la Scala de Milan parce que Netrebko – une soprano russe – chantera Elisabeth de Valois dans la version tronquée de Don Carlo – un clone raté de Don Carlos – du grand, de l’immense Giuseppe Verdi. La présence de la dame en question, une amie de Poutine à qui elle doit tout, sauf la voix, leur interdit de parader dans la loge des monarques. Je me demande ce qu’en aurait pensé Verdi, cet illustre compositeur et aussi un homme politique qui était féru de liberté.    

mercredi 29 novembre 2023

anniversaire • le 29 novembre 1911, naissait à rouen le baryton français, camille maurane.

 



 

En savoir plus…

https://fr.wikipedia.org/wiki/Camille_Maurane

 



Camille Maurane sings Fauré mélodies

"Chanson du pêcheur" 0:00 "Après un rêve" 3:15 "Ici-bas!" 5:50 "Nell" 7:05 "Automne" 8:48 "Rencontre" 11:49 "Toujours" 13:42 "Adieu" 15:07 "Les berceaux" 16:57 "Le secret" 19:39 "Les roses d'Ispahan" 21:30 "Aurore" 24:22 "Les présents" 26:18 "Larmes" 27:46 "Au cimetière" 30:06 "La rose" 33:40 "Le parfum impérissable" 35:45 "Arpège" 37:36 "Prison" 39:44 "Soir" 41:41 "Le plus doux chemin" 43:49

 

1959

 



Claude Debussy, Pelléas et Mélisande

00:00 Act 1, Sc.1: Je ne pourrai plus sortir de cette fôret 03:30 Act 1, Sc.1: Pourquoi pleures-tu ? 12:47 Act 1, Sc.1: Interlude 09:28 Act 1, Sc.2: Voici ce qu’il écrit à son frère 15:34 Act 1, Sc.2: Qu’en dites-vous ? 20:39 Act 1, Sc.2: Interlude 22:57 Act 1, Sc.3: Il fait sombre dans les jardins 25:32 Act 1, Sc.3: Hoé! Hisse Hoé! 29:25 Act 2, Sc.1: Vous ne savez pas où je vous ai menée ?

 

 32:54 Act 2, Sc.1: C’est au bord d’une fontaine 35:42 Act 2, Sc.1: Interlude 39:31 Act 2, Sc.2: Ah! Ah! 47:11 Act 2, Sc.2: Voyons, donne-moi ta main 50:00 Act 2, Sc.2: Interlude 52:39 Act 2, Sc.2: Oui, c’est ici, nous y sommes 

 

 57:24 Act 3, Sc.1: Mes longs cheveux descendent 1:02:57 Act 3, Sc.1: Je les tiens dans les mains 1:07:14 Act 3, Sc.1: Que faites vous ici ? 1:10:46 Act 3, Sc.2: Prenez garde; par ici 1:14:20 Act 3, Sc.3: Ah! je respire enfin ! 1:17:26 Act 3, Sc.3: Interlude 1:18:58 Act 3, Sc.4: Viens, nous allons nous asseoir ici 1:24:12 Act 3, Sc.4: S’ils s’embrassent, petit père ?  

 

1:28:28 Act 4, Sc.1: Où vas tu ? 1:31:27 Act 4, Sc.2: Maintenant que le père de Pelléas est sauvé 1:37:35 Act 4, Sc.2: Pelléas part ce soir 1:40:43 Act 4, Sc.2: Ne mettez pas ainsi votre main à la gorge 1:44:06 Act 4, Sc.2: Interlude 1:48:19 Act 4, Sc.3: Oh! Cette pierre est lourde… 1:51:53 Act 4, Sc.4: C’est le dernier soir 1:57:04 Act 4, Sc.4: On dirait que ta voix a passé sur la mer au printemps ! 2:00:41 Act 4, Sc.4: Quel est ce bruit ?  

 

2:04:32 Act 5: Ce n'est pas de cette petite blessure qu'elle peut mourir 2:07:39 Act 5: Attention, je crois qu’elle s’éveille 2:13:07 Act 5: Mélisande, as-tu pitié de moi ? 2:17:46 Act 5: Qu’avez-vous fait ? 2:20:56 Act 5: Qu'y-a-t-il ? Qu'est-ce que toutes ces femmes viennent faire ici 2:22:59 Act 5: Attention... Attention !

 

Pelléas, Grandson of Arkel: Camille Maurane

Mélisande: Janine Micheau

Arkel, King of Allemonde: Xavier Depraz

Golaud: Michel Roux

Geneviève, Mother of Pelleas and Golaud: Rita Gorr

Yniold, The child Yniold: Annik Simon

Un berger / Le medecin: Marcel Vigneron

 

Orchestre des Concerts Lamoureux

Choeurs Elisabeth Brasseur

Jean FOURNET, direction

 

Recorded in 1953, at Paris

 

Autres anniversaires du 29 novembre…

https://soclassiq.com/fr/anniversaires/Histoire_de_la_musique_classique_%253A_29_novembre_(Anniversaires)/mm/11/dd/29/

vu à travers le tube • beaucoup de vomis…

La chiotte KéKé a encore vomi sa merde. Le monstre psychopathe bouledogue Dupond-M. a encore vomi sa haine. Cohen P. a encore vomi son indécence journalière. Le vomi couvre la planète et le monde s’habitue. La France, ébranlée par le terrorisme permanent, ébranlée par le mensonge et la veulerie de son Roi, de sa cour, de ses élus grâce aux forfaitures en mouvement – et d’une opposition à terre, blessée mortellement -, ne sait plus qui elle est, ne sais pas où elle est. La catastrophe est imminente et c’est excellent. Puisque l’homme refuse d’accéder au stade adulte, sa disparition est la bonne solution. Depuis qu’il occupe cette planète, pas un jour, cet inabouti psychique n’est allé dans le bon sens. Il n’a su qu’entretenir des guerres permanentes pour violer un territoire, un homme, une femme, un enfant et bétonner les herbes folles. L’homme n’est qu’une immondice qui ignore même son propre nom. Et je ne m’oublie pas, moi qui déverse - tous les matins – dans ce tube ou dans mon puits, la haine qui me remplit depuis que j’ai compris que - il y a très longtemps - une femme coupable m’a éjectée méchamment sur cette terre sans me demander mon avis.

mardi 28 novembre 2023

vu à travers le tube • erreur au tribunal…

Le monde entier s’apitoie sur les otages de l'Hamas. Avant de chouiner dans les télés, les pleurnichards feraient mieux de se poser la question de savoir pourquoi on en est arrivé à cette situation barbare. On en est arrivé à cette situation barbare parce que l’homme est un barbare qui n’a jamais su ou jamais voulu maitriser son psychisme fracassé par son inconscient. C’est tout et c’est d’une simplicité confondante. Quand on ne parlera plus de cet épisode du roman, un autre épisode surgira et sera encore plus barbare et cela continuera en empirant jusqu’à la fin des temps qu’il faut espérer imminente. Mais pourquoi se voile-t-on sans cesse la face ? Mais pourquoi n’ouvrons-nous jamais les yeux ? L’homme – le mot « homme » comprend largement le mot « femme », - est méchant, veule, ignorant, sale, puant. C’est à sa condition qu’il faut s’attaquer, en l’analysant. Freud a donné la piste. Il ne tient qu’à lui de la suivre. Dans cette lignée, savez-vous que la psychopathe Monique Oliver, ex-épouse du psychopathe tueur en série Michel Fourniret, décédé, comparait ce matin devant une cour d’assise pour complicité avec son ex-époux. Si l’homme n’était pas un immonde taré, cette pauvre malade serait, ce matin, bien au chaud, parmi ses semblables, dans un centre psychiatrique, en train de compter les mouches ou de s’échapper dans ses rêves insensés. Là est sa place et pas devant le tribunal de l’Inquisition.    


lundi 27 novembre 2023

le puits au fond du jardin • la lâcheté et l’ignorance de l’homme…

 



 

À la radio et à la télé, les conversations de salon bien polies ou bien assassines, appelées « débats », sont affligeantes et surréalistes. Le monde des chroniqueurs, essayistes, commentateurs et journalistes, éventuellement, vient, tour à tour et en même temps, mettre son grain de sel dans un discours primaire, pétri d’informations toutes faites, convenues, hors-sujet, parce que ces pitoyables analystes ne voient que l’image qui cache l’image, que l’arbre qui cache la forêt, que le doigt qui montre la lune, que l’illusion qui cache le réel. Les problèmes ne sont pas ceux que l’on désigne, ceux que l’on met sur le compte de... Les problèmes sont en chacun de nous, bien cachés dans notre inconscient. Et comme nous voulons toujours ignorer les vérités – fuite dramatique en avant – nous feignons l’existence et la supériorité de notre inconscient. Ce n’est pas Mélenchien, l’enfant Roi de France, Kim Jong-un, Panot-Rousseau, qu’il faut fustiger, mais notre circuit qui relie notre conscient à notre inconscient que nous sommes incapables de maîtriser. Nous sommes esclaves et ravagés par ce dernier et nous n’osons pas nous imposer. Il nous humilie et nous subissons sans broncher. Sade aurait aimé. Notre psychisme est resté, depuis notre avenue sur terre, à l’état primaire, sauvage et destructeur. Et c’est sur ce point fondateur qu’il faut se pencher. Tant que chacun d’entre nous n’aura pas poussé la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, pour le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaitre et pour le traverser, rien ne changera. L’homme restera cet enfant pourri, désagréable et puant. Désolé !

dimanche 26 novembre 2023

le puits au fond du jardin • destruction sans fin…



 

Guerres de partout. Guerres des idées, guerres des territoires, guerres des religions, guerres des opinions, guerres entre communautés, guerres sociales, guerres des générations, guerres des sexes, guerres dans les familles, guerres dans les cours de récréation, guerres de rues, guerres de bistrots. Bref, guerres des boutons avec sang mêlé. Guerres des boutons avec violences, viols, tortures, assassinats. La guerre emplit la vie de l’homme parce que l’homme n’est pas homme. Il est rare qu’il dépasse le stade de l’enfance. Toute sa vie, et pour éviter d’accéder au stade adulte, il restera obsédé par le ventre de la femme – sa propre éjection, la pénétration, la chaleur, l’insouciance, la protection – et ne souhaitera que le retour à la maison, comme Laura ou Villanelle, modèle de la transition. C’est pourquoi, à ce stade, il est temps de consulter Freud. Il est temps de pénétrer son cabinet pour y chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser. Jamais un politique ou un militaire n’a réussi à résoudre les problèmes du genre humain. Il ne peut parce qu’il participe à la descente dans le noir du trou du fond de mon puits au fond de mon jardin. L’homme est le premier destructeur de l’homme. Point de salut sans reconstruire son psychisme. « Le Clavier bien tempéré » et « L’Art de la fugue » de Jean-Sébastien Bach sont la fondamentale rejetée. Perdu dans les mouvances hors-sols, l’homme a coupé les liens avec sa propre nature. Il n’est plus qu’un pantin désarticulé sans son manipulateur, lui qui ne cesse d’être et de se manipuler. Bach et Freud. Rien d’autre !