Cousue sous la peau, cicatrice sacrifiée, rasée de chaudes larmes de petites gravités, reste quelques croûtes, gouttes dans ma gourde, blancs cheveux dès le matin.
Cousue sous la peau, cicatrice sacrifiée, rasée de chaudes larmes de petites gravités, reste quelques croûtes, gouttes dans ma gourde, blancs cheveux dès le matin.
Si je regarde et apprécie Cnews depuis plusieurs mois, c’est que le décès du parti socialiste qui m’a nourri et conseillé pendant plusieurs décennies, m’a obligé à chercher dans tous les coins du PAF, la marmite dans laquelle je pourrais me repérer. Et j’ai repéré Kelly, Mabrouk, Praud et toute une bande de journalistes qui ne sont pas au garde-à-vous devant le pitoyable Roi de France et ses immondes cliques. J’y rencontre nombre de cerveaux sains, mais aussi quelques merdes sur lesquelles je passe mon chemin. Le succès de cette chaine, lié au succès d’Europe 1, me réjouit profondément. Mes idées sont partagées et je me sens moins isolé. Quant aux trous du cul qui pourraient penser que j’ai retourné ma veste et que je vais voter Le Pen ou Zemmour, ils se fourrent le doigt dans l’œil – à défaut d’un autre endroit -. Je ne vote pas. Je ne vote plus. Voter, c’est désigner son bourreau et se faire humilier par un système électoral totalement faussé. Exemple gigantesque : le Roi actuel a obtenu à peine 18% des suffrages des inscrits et il est nommé Roi par deux fois. Honte et scandale. Et puis, je suis aux anges de voir à quel point cette chaine attise la haine viscérale de ses concurrentes désuètes, lâches et soumises. Cela me fait beaucoup rire. Bref, la laide ministre de la Culture veut enlever la légion d’honneur à l’honorable Depardieu. Depardieu est peut-être un criminel. Mais peut-être pas. Qui peut le savoir ? Qui ment dans l’affaire quand on sait que le mensonge est la seule monnaie d’échange sur cette terre ? Foutons la paix à Depardieu qui aura été un génie de l’écran et de la scène. Laissons-le mourir en paix, ici ou ailleurs. On ne compte plus le nombre de victimes perpétré par les truies qui veulent exterminer leurs porcs.
Poutine reproche à notre ado au psychisme inabouti qui fait fonction de Roi de France, d’avoir rompu les relations pour quelques broutilles. Poutine n’a pas encore compris que notre célèbre souverain est sans cesse dans un va-et-vient incessant qui le fait rompre, rabibocher, rerompre, rerabibocher, rererompre, rererabibocher, dans un cercle tournoyant qui donne le tournis. L’ado ne sait toujours pas que sa main gauche n’est pas à droite et que ce n’est pas au bout de son bras droit que sa main gauche a poussé. Il ignore les différentiations, ce qui lui a fait épouser sa maman qu’il a prise pour sa maitresse de maternelle.
Foucault, 99 ans, va encore présenter la foire aux Miss France que l’on peut apparenter au Salon de l’Agriculture où Chirac venait caresser le cul des vaches. L’homme se rince l’œil gratos chaque année, depuis plus de 70 ans. Et pas une ombre et chuchotement pour dénoncer cette humiliation faite à la femme.
En savoir plus…
https://fr.wikipedia.org/wiki/Georges_Thill
Jules Massenet, Werther
Georges Thill: Werther
Ninon Vallin: Charlotte
Germaine Féraldy: Sophie
Marcel Roque: Albert
Armand Narçon: Le Bailli
Louis Guénot: Johann
Henri Niel: Schmidt
Chœurs et Orchestre du Théâtre National de l’Opéra-Comique
Elie Cohen, direction
Ah, leve-toi, soleil · Charles Gounod -Roméo et Juliette
Georges Thill, Roméo
Recordings 1925-1936
Jules Massenet, Manon - Ah! fuyez douce image · ·
Georges Thill, tenor
Orchestra of La Scala, Milan
Eugène Bigot, direction
Recorded 1936
Autres anniversaires du 14 décembre…
Il est (re)venu le temps des couteaux, l’arme efficace à cent pour cent qui laisse balafres – certaines sont immortelles – ou plaies béantes, introduisant la mort certaine. Que serait Jack – l’éventreur – sans son couteau ? Et José, avec lequel il a brisé la vie de la persifleuse ? Même les bandits corses usaient du couteau. Le couteau, revenu à la mode, est partout et découpe les chairs allègrement. On a inventé le missile alors qu’on avait le couteau, moins onéreux et plus efficace assurément. Maintenant, on le sait, la menace est partout et permanente. Il faudra bien imposer l’armure du Chevalier Bayard de jour comme de nuit, pour éviter l’afflux dans nos hôpitaux en surcharge permanente. Et il faudra, bien sûr, réinventer le cheval si l’on veut pouvoir se déplacer. Nous qui faisons progresser si vite l’artifice, nous courons à reculons vers les temps perdus et nous nous incrustons dans le célèbre tableau d’un pré-homme anonyme – peut-être l’homme authentique – où l’on voit monsieur, bobonne et marmailles vêtus de peau de bêtes, lors de leur sortie dominicale. La famille non recomposée sort de sa caverne. Bobonne couchée à même la terre est promenée par son mâle qui la tire par les cheveux, alors que les petits abrutis font des grimaces aux lions et aux girafes. Eux aussi portaient couteaux. Mais c’était pour découper la bonne chair de l’animal ou celle de l’épouse captive du chef de la tribu voisine qui avait empiété sur leur terre. On ne partageait pas à cette époque. On avait du bon sens.
Après la décadente illustration de la macronnie, subit hier par les immenses chaudrons de français naïfs, l’enfant puéril au psychisme inabouti qui fait fonction de Roi de France, aurait dû, sur le champ, dissoudre l’Assemblée ou, mieux, démissionner. Le coupable, le seul responsable du bordel officialisé, c’est lui et rien que lui. Darmanin n’est que le fusible et Borne le paillasson. L’immigration est le sujet prioritaire des français français. Ils n’en peuvent plus d’être égorgés et de ne pouvoir garder leurs habitudes et leurs coutumes. Ils veulent l’extinction définitive, totale et entière de l’immigration et demandent à ce que nous jetions à la mer tous ceux qui n’ont pas à être ici, ainsi que des frontières qui ne laissent rien passer, même pas un ver de terre. Ce Roi qui a pris par deux fois le pouvoir avec quelques voix disséminées n’a aucune légitimée. Pendant que l’on jette au requin les tricheurs étrangers, on pourrait en profiter pour faire de même avec l’usurpateur. La France pourrait alors être sauvée si elle veut bien inventer la Démocratie et nourrir son peuple avec Molière, Chateaubriand, Mozart, Wagner, Hitchcock, Lynch, Cézanne, Modigliani et l’aider à vivre libre avec la thérapie de Freud. Sans un changement radical de pensée, nous courons vers la dictature, la pire des pires, d’autant que Mélenchien, ses chiottes et ses chiots, sont toujours en embuscade. Et surtout, n’oublions pas d’exterminer tous les écolos sans en oublier un seul. Cette espèce se reproduit à une vitesse incroyable.
Hier, à 16 heures pétantes, j’ai assisté au spectacle. Il était transmis en direct, à la télé, de l’hémicycle de la Comédie Nationale Française. C’était la fameuse pièce de Molière : « Les Tartuffes et les Hypocrites ». Dullin, Jouvet, Silmon, Cochet, Vitez, Mesguich, Chéreau, en tournée au Bolchoï, ont été remplacés par les concierges des maisons closes et des égouts parisiens. C’était affligeant. J’ai assisté à la célèbre bataille d’Hernani – une incroyable trahison du grand Molière - où les Montladsus et les Copulons s’entretuaient à la lame tranchante peinte en rouge sang, pour faire triompher leurs prétentions : pour les uns accueillir tous les migrants islamo-terroristes du monde et leur donner les pleins pouvoir, pour les autres, leur interdire de pénétrer notre sol et les repousser avec violences et conséquences. C’était mal joué. C’était hurlé. C’était vulgaire. C’était violent. C’était méchant. C’était bestiale. C’était mortifère. C’était un spectacle de bouchers en rut atteints de folies délirantes. En fait, si on réfléchit bien et si on est honnête avec soi-même, on s’aperçoit rapidement que la pièce de Molière – même très mal jouée - n’est que le reflet de l’imbécilité ravageuse des z'inhumains qui peuplent cette terre et qui ne servent strictement à rien.
Étrange ressemblance entre Villanelle – psychopathe tueuse en série – et Saul – avocat véreux -, qui, retombent sans cesse sur leurs pattes en défiant les lois et les supers-psychopathes qui les font. C’est chez eux que l’on trouve l’humanité que le monde recherche depuis sa création. Visiter et revisiter les personnages, est, sans doute, le moyen de voir enfin. La solution est là. Comme pour Freud, personne n’en veut. C’est pourquoi nous en sommes là !
Le pédophile Dany Le Rouge a rompu avec l’ado au psychisme inabouti qui fait office de Roi de France. À l’incompétence, l’ignorance et la bêtise d’Emmanuel et de sa maman, il préfère maintenant l’incompétence, l’ignorance et la bêtise de Glucksmann, l’écolo farfelu et taré qui copule avec l’arriviste Salamé, que Dany veut placer sur le trône de France dès que celui-ci sera disponible et aura été nettoyé. Le cercle infernal continue. La terre ne cesse de tourner en revenant chaque jour à son point de départ. C’est sans doute ce que la gente savante appelle l’évolution. Peu importe. On a ce qu’on mérite. Moi, ce qui m’intéresse davantage, c’est la mort du deuxième ado, celui qui conduisait le scooter. Deux morts parce que des parents n’ont pas fait leur travail ! Dans cette affaire, ce sont les seuls coupables.
Vendredi, vers 23 heures, deux ados – 17 ans - sur un scooter se sont trouvés nez-à-nez avec la police qui leur a demandé de s’arrêter. Et comme c’est l’usage aujourd’hui, n’ayant rien à faire de ces gêneurs fonctionnarisés, ils ont passé leur chemin – peut être même, leur ont-ils, fait un pied-de-nez -. La police les ont poursuivis – c’est leur travail -. Le scooter a dérapé et s’est encastré sous une voiture. 1 mort, 1 blessé grave. Justice est faite. Que les parents ne viennent pas chouiner. Et la veille, dans un lycée, une professeure d’anglais a été rouée de coups par un de ses élèves – 16 ans -. Je me demande – même si je sais – ce qui va arriver à ce petit con de voyou. On me dit que la France est un État de Droit. Si j’ai bien compris, cela veut dire que ceux qui pratiquent l’interdit ont tous les droits.
Entre les pierres, la péquelette aurait préféré poucette, charbonnes d’un nez tout mou avec une guirlande de rizhes. Elle ne l’a jamais su. Quand on ne sait pas, on court le corps qui sculpte, prive, presse et puise, pour que les yeux arrachent le gras.
OCS Max proposait, hier soir, le film de Nicolas Pariser, « Alice et le maire » où Lucchini se met dans la peau du maire de Lyon. Si on a le tournis dans les couloirs de l’Hôtel de Ville, on va aussi en face, à l’opéra, où l’on joue le Ring. La représentation de la vermine qui grouille dans les couloirs, les nombreuses réunions de gens qui ne sont rien et qui n’ont pas de pensées, les garde-à-vous fixe devant le maire, son bras droit et ses nombreux bras gauche, les ordres et contre-ordres permanents, la foire du pouvoir, tout y est. Et cela n’est pas sans me rappeler mes 35 années passées dans ces lieux affligeants avec trois maires successifs sur le dos, que j’ai dû combattre par tous les moyens – honnête ou pas - pour faire fonctionner mon conservatoire.
Il y a ces monstres qui tournent autour de nous et que nous évitons de voir comme nous évitons le regard de notre regard dans le miroir. Il y a aussi ce monstre qui nous habite, qui nous mène par le bout du nez et que nous ne voulons pas apprivoiser. Il y a encore ces montres de légendes qui font peur aux petits et grands enfants. Il y a enfin ces monstres, bien perceptibles, qui prennent plaisir à détruire nos vies, les pires d’entre eux étant les écolos qui se plantent sur toute la ligne – lisez Francis Gervais, professeur émérite de physique à l’université de Tours -. Mais, il y a aussi ceux que l’on dit monstres qui font toutes les unes, ceux qui auraient violé à répétitions des femmes qui se réveillent des années plus tard pour désigner celui qui lui a imposé une relation qu’elles n’auraient pas désirée. Dans ce dernier cas de monstres, il serait salutaire pour l’humanité que l’on cesse de clamer « il voulait, elle ne voulait pas, il l’a forcé ». Tout ça est beaucoup plus simple et beaucoup plus complique. Je croirai l’opinion publique lorsque qu’il y aura égalité entre le « il voulait, elle ne voulait pas, il l’a forcé » et le « elle voulait, il ne voulait pas, elle l’a forcé » et quand je pourrai compter autant de sectes en soutien à la femme, que je pourrai compter de sectes en soutien à l’homme. Dans toutes relations, les deux protagonistes sont coupables chacun à 100%. Si vous aviez mis Freud en pratique, je n’aurais pas eu besoin décrire ce tube.
Quand un pays a à sa tête un individu narcissique, inabouti, qui ne veut ni voir ni entendre et qui passe ses journées à déclamer des tirades cornéliennes en place de discours politiques visionnaires, sous le regard protecteur de sa vieille muse qu’il a épousée, il ne faut pas s’étonner de l’époustouflante désintégration de son identité et de son organisation. J’ai appris à l’école – à une époque où i y avait des écoles – que la démocratie c’était le peuple dirigé par le peuple. À presque 80 ans, je n’ai toujours pas vu la moindre ombre d’un peuple qui décide ce qui est bon pour lui. La France, depuis l’irruption du militaire à la retraite, ne cesse d’enchaîner dictateurs sur dictateurs et il y a encore quelques paumés qui affirment que l’on est en démocratie. La Démocratie n’a toujours pas été inventée et c’est – comme Tristan et Isolde – des subterfuges assénés à répétitions qui mettent le peuple dans un état second et qui l’obligent à croire tout ce qu’on lui dit. Ce monde vit dans l’illusion et le déni en attendant le nouveau messie, une autre illusion qui remplit sa vie. Bof, les guerres finiront bien par avoir raison de tout ce monde imbécile et je m’en réjouis. Pour ma part, je ne regarde même plus par ma fenêtre. Je passe mes journées avec Villanelle, Eve, Mike, Saul, White, les Palmer, Cooper, le Docteur Dayan, Ferguson, Ester/Barton, et quelques autres. Nous vivons en harmonie à quelques milliards d’années-lumière de cette puante terre.