Seiji Ozawa |
Seiji Ozawa |
Une nounou a placé un produit ménager dans plusieurs boissons de la famille qui l’emploie. Alertée par l’odeur suspecte du produit, elle n’a pas été intoxiquée. La nounou, qui s’occupait depuis septembre de trois enfants âgés de 3, 5 et 7 ans, n’avait selon son avocate « pas d’intention homicide », puisque le produit utilisé n’est pas létal. Il s’agissait d’un nettoyant multi-usage. La nounou voulait surtout donner une « leçon » à ses employeurs, qui avaient refusé de l’augmenter. La suspecte était sous le coup d’une Obligation de quitter le territoire (OQTF). Avant-hier, le parquet a ouvert une information judiciaire pour tentative d’empoisonnement et usage de faux documents administratifs.
Selon différentes presses parisiennes, Bayrou aurait eu un coup de sang quand je ne sais qui l’a humilié en lui proposant les postes tant enviés de ministre des Armées et de l’Éducation nationale. Il eut préféré qu’on lui propose le poste de Président de la France, afin de succéder aux célèbres libertins François 1e, Louis XIV, Napoléon et quelques autres. Un coup de sang ? Jamais François n’a élevé la voix. Et c’est pour cela qu’il parle énormément et sans jamais se fatiguer. Parler ne fait pas bouger les morts. Ça il ne le sait pas. Bref, il a refusé ces ministères parce qu’il est en désaccord total avec la politique de l’ado au psychisme inabouti qu’il a pourtant propulsé et tant aimé. Ainsi finissent les belles histoires d’amour. Quant à Xavier Bertrand – un autre farfelu de la politique -, il persiste et signe. Il veut être président pour éliminer définitivement le Rassemblement National qui prend le thé tous les après-midis, sur les Champs Élysées, avec Staline, Poutine, Yvan le Terrible et Boris Godounov. Il ne sait pas que pour éliminer le Rassemblement National, il suffit de fermer la porte aux immigrés islamistes, réduire en cendres la délinquance généralisée et éradiquer la pauvreté. Comme Bayrou, il ne sait pas. Tant que l’ignorance sera le moteur du monde – j’y ajoute le mensonge et la perversité – aucun pouvoir – AUCUN – ne sera capable de résoudre le problème ahurissant des sociétés qui ne peuvent être sauvées que par l’homme lui-même, s’il comprend qu’il doit chercher et trouver sa propre personnalité, son libre-arbitre et ne pas suivre stupidement les discours des ignorants des radios et télés. Et pour cela, il peut se faire aider. Ce n’est pas pour les chiens - ni pour les chats - que Freud a élaboré sa thérapie psychanalytique. Je propose. À l’homme de disposer.
Un psychanalyste ne passe pas sa vie sur les plateaux des tristes rigolos. Gérard Miller n’est pas psychanalyste. Une mère qui prétend, en parlant de ses enfants, qu’il faut de la distance, de l’indifférence, qu’il faut s’en foutre et qu’il faut les faire garder le plus souvent qu’on le peut, ne peut embrasser la profession de psychanalyste. Corinne Maier est peut- être un écrivain, mais en aucun cas une psychanalyste. Trouver un psychanalyste authentique et freudien – obligatoirement – est un parcours de combattant. La plaque sur la porte d’entrée est le plus souvent un attrape-nigaud. Méfiance, car la thérapie mal appliquée peut vous conduire dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin. Seuls les thérapeutes qui ont été longuement analysés peuvent appréhender votre confiance. Vous les trouverez sur le site de la SPP (Société Psychanalyste de Paris). Si certains, parmi les autres, arrivent à vous apporter quelques choses, ce ne peut être qu’un flot de pansements sur une jambe de bois. Les médecines de substitutions – dans mon immeuble, elles remplissent les deux premiers étages – ne sont que des mauvaises farces de charlatans, farces qui ont un succès considérable, les masos ignorants couvrant largement la surface de cette pauvre terre. Tout individu, qui qu’il soit et d’où qu’il vienne, devrait faire suivre son psychisme tout au long de sa vie. Cela éviterait la plupart des conflits, des violences et des guerres éternelles qui font les délices des puissants. Depuis le début des temps, l’organisation de la vie est une erreur. Une erreur terrifiante puisqu’elle n’a changé en rien tout au long des siècles. L’homme reste veule, peureux, menteur, méchant et violant. Quand il ne se réfugie pas sous les jupes de la femme coupable qui l'a trahi en l’éjectant méchamment de son ventre sans lui demander son avis, il court réclamer la protection de son dieu qui ne peut lui répondre puisqu’il n’existe pas. Son dieu n’est que l’invention de son psychisme. Et ça, tout particulièrement, ça se guérit.
Que dire quand on n’a rien à dire ? Qu’écrire quand les mots qui viennent sont ceux de la veille ? Est-il utile et salutaire de redire toujours les mêmes choses, surtout que le répétitif n’est que le fait de tourner en rond ? Le cercle, la boucle se ressasse sur elle-même pour tourner court à l’imagination. L’or volé au Rhin est retourné dans son berceau, signant ainsi le crépuscule et la fin, des dieux et des hommes, puisqu’il semblerait que ces deux entités opposées soient liées à tout jamais, l’homme n’ayant qu’inventé une représentation de son imagination, sa propre vérité, mensonge pour les autres. Être ou pas, c’est la même chose, les morts jouant aux vivants puisque les vivants sont morts. Ainsi interfèrent la vie et la mort, sans frontières et sans savoir qui vit mort ou qui est mort en vie. Les progrès de la fascinante et inutile technologie sont inversement proportionnels à l’évolution des psychismes qui se dissout au fil des temps. L’homme a sacrifié sa propre pensée aux flots des océans parce que jamais il n’a su la maitriser. Les guerres éternelles viennent des images contradictoires qu’on se plait à contempler et auxquelles nous ne cessons de nous identifier, comme si nous n’avions pas assez à faire avec notre propre identification. Continuer à se donner des chefs, qu’ils soient dieux ou hommes, est le reniement de ce que nous sommes. Être soi, c’est se chercher, se trouver, se regarder, s’aimer et se dissoudre en soi. La vie prend alors tout son sens et sa puissance peut égaler celle de ces innombrables dieux qui n’ont apporté sur terre que misères et déceptions.
Quand va-t-on cesser de nommer « Sages » les vieillards corrompus du Conseil Constitutionnel. Je me demande s’ils vont encore être consultés sur l’attitude du Sénat remettant en cause la censure scélérate qu’ils ont opérée envers la loi immigration. En effet, les sénateurs centristes ont déposé un texte reprenant les nombreuses mesures que les constitutionnalistes – à vérifier -, ont jetées dans le bûcher des forfaitures.
Le peuple et ses dirigeants ne veulent pas comprendre que le cancer foudroyant de la France, c’est la psychose ravageuse de l’écologie et l’invasion barbare de l’immigration. C’est de même pour nombre de pays. Il est vrai que, plus grave encore, c’est l’ignorance généralisée qui pousse les masses et les intellos sur les chemins détournés où l’on ne rencontre que les sorcières et les monstres de nos beaux contes de fées destinés aux adultes assumés. Parmi les milliers d’aberrations vérifiées, de la journée d’hier, il restera l’image des chars d’assauts du Roi de France face aux tracteurs des paysans qui n’ont plus les moyens de nourrir leur famille et de vivre décemment, alors qu’ils sont les seuls à travailler sans interruption du premier au dernier jour de l’année, pendant que les représentants du peuple – députés et sénateurs – augmentent leurs confortables revenus sous prétexte qu’ils auraient des frais de poche exubérants. Et le Roi, cet ado poisseux inabouti qui se réfugie sous les jupes de sa maman qu’il a épousée, profite de leur détresse pour les arrêter et les mettre en garde à vue. Jamais la France n’a fait preuve d’autant de lâcheté. Honte à tous ceux qui se précipitent aux urnes pour donner des pouvoirs à ces misérables excréments. La France est passée totalement à côté de la démocratie. Sa dictature inavouée est bien pire que celle des pays totalitaires, parce que chez eux, la couleur est annoncée. Rien n’arrêtera la chute déjà bien amorcée. Le noir s’étend lentement et sûrement. La fin de ce monde est une aubaine, car elle peut laisser espérer un nouveau monde à venir, un monde où l’humain – s’il n’est pas robot-inintelligence artificielle - , n’inventera ni la roue, ni la corde à sauter, mais s’occupera uniquement de son psychisme, s’il ne veut pas reproduire les incompréhensibles erreurs de toutes les civilisations. J’espère que les nouveaux peuples retrouveront dans les bas-fonds, au moins un exemplaire de l’œuvre de Freud ou, peut-être, de Dolto. Cela pourrait considérablement les aider.
Le discours en Suède de l’ado au psychisme inabouti va se télescoper avec celui de politique générale du Premier ministre Attal. Ils seront inaudibles, couverts par les vrombissements des moteurs des tracteurs des paysans. Dans un moment crucial pour la survie du pays, le dictateur fuit. Après l’inde, c’est la Suède, puis sera Bruxelles pour discourir et ne pas agir, alors que sa place est à Paris, mieux, sur les routes de France, aux côtés des délaissés, pour leur affirmer que plus jamais un poulet venant d’Ukraine ne franchira nos frontières supposées. Plus coupable que la cour royale et ses dérivés, les oppositions qui ne cessent d’aboyer, ne sont même pas capables de casser les chaînes qui les maintiennent loin de la maison, pour mordre et dévorer les excréments qui empêchent de remettre les têtes où elles auraient dû toujours être et non plus à la place des pieds. Avec les agriculteurs, les taxis, le personnel communal d’Annecy, la CGT entre dans la danse en déposant un avis de grève de 6 mois, dès ce lundi et d’autres vont suivre. Le temps n’est plus aux mots, mais aux décisions immédiates sous forme de pansements géants, parce que pour régler tous ces innombrables problèmes, les appartenances politiques ne sont que des piteuses illusions. Changer le monde atteint d’un cancer en phase terminale, demande autre chose qu’un jeu d’enfants. Trouver le chemin à prendre demande discernement et connaissance des fondamentales. Seuls les esprits éclairés, seuls les psychismes élaborés, sont capables de bouger les pions. Le problème est de les trouver parmi les peuples morts avant leur naissance et dont la vie est la pire des illusions. Je ne vois que la sagesse d’Abbado. Il est mort. Ou l’innocence ravageuse de Wang. Elle est trop jeune. Il ne reste donc que Freud, toujours bien vivant au travers de sa thérapie psychanalytique qui pourrait renverser le monde si le monde, mort de trouille devant les réalités exposées par le maître, ne le fuyait pas comme la peste, préférant rester dans son état naturel : l’ignorance. Et c’est bien l’ignorance des peuples qui augure la fin proche de notre civilisation.
154 ans après le siège de Paris - épisode de la guerre franco-allemande de 1870 -, les agriculteurs reprendront le processus dès demain et comptent bien isoler les parisiens du monde et les regarder périr lentement par la soif et par la faim, ce qui ne sera pas vraiment dramatique quand on songe qu’ils pourraient bien terminer leur vie, rongés par les gros rats sales de Paris qu’affectionne particulièrement Madame Hidalgo.
Les doutes sur l’avenir de la voiture électrique se font de plus en plus insistant. Si l’on fait bien les comptes, l’engin du futur serait bien plus polluant que la bonne vieille Traction avant. L’Europe serait en train de revoir sa politique, en différant la date de l’interdiction des véhicules à combustion. Voilà une bonne nouvelle. Je vais pouvoir ressortir ma 2 Chevaux de 1958 et parcourir les routes de France en tripotant mon essuie-glace manuel. Et puis, quelle chance : pas de clim’.