Les mélenchionistes font la queue devant les commissariats de police. Ils sont convoqués pour apologie du terrorisme, ce qui n’interrompt pas leur tour de France dans les universités pour le glorifier. Mélenchien, leur gourou, est un dangereux psychopathe. Plus il sera empêché d’agiter sa langue, plus il sera censuré, plus il aura de chance de succéder au locataire de l’Élysée. Et dire que des flopées d’ignares crient haut et fort qu’il faut abattre le monstre Le Pen, alors qu’il n’a pas la moindre chance de gouverner, aujourd’hui et demain. Après le piteux spectacle donné par Attal à Nice, après le piteux spectacle que va donner l’enfant inabouti, cet après-midi, en montrant, à la télé, les muscles de ses mollets – comme ceux des œufs – en imitant le stupide Mbappé, après l’ignoble capitulation des dirigeants de la SNCF qui ont déconstruit - pour ses agents, des gens qui auraient un boulot harassant, bien pire que les pauvres hommes qui descendaient dans les mines de charbon au XIXe siècle - la réforme des retraites, après… (je pourrais citer mille autres cas) ; on est en droit de se demander s’il y a un pilote dans l’avion, à part quelques rigolos qui depuis longtemps ne font rire plus personne. Doit-on tenter de maintenir l’État de droit ? Doit-on rester en démocratie, cette démocratie toujours pas inventée ? Doit-on revenir à la monarchie, cette monarchie que tout le monde semble regretter ? Doit-on espérer un féroce dictateur qui dictera ses volontés et châtiera brutalement les récalcitrants ? Doit-on ? Doit-on ? Doit-on ? Et si on recommençait ? Et si on repartait à zéro, en observant, en disséquant, en analysant le psychisme de l’homme, en lui faisant comprendre son fonctionnement et en mettant en marche quelques lois – deux ou trois seulement pour la bonne coordination – qui lui apporterait clairvoyance et apaisement ? L’homme n’est qu’une pensée. C’est elle qu’il faut développer en lui permettant de projeter ses idées sur le bon chemin, celui qui mène vers la lumière et qui ne franchit que les portes qui s’ouvrent avec la clé qu’il s’est forgé. Le « vivre ensemble », le « aimez-vous les uns les autres », c’est fini, même s’ils n’ont jamais existé. Le règne de l’homme conscient, relier à son inconscient, doit arriver. C’est ça ou c’est la chute finale, celle qui conduit dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin où croupissent les restes des vermines des temps passes et celles des temps à venir. À vous de voir. Pour moi, le crépuscule m’envahit.