Je me demande pourquoi, dès l’instant
où l’on ne supporte pas la suprématie imposée des homos, des wokes, des drag-queens,
des trans, et de toutes ces anormalités, on est taxé d’extrême droite. Je ne supporte
pas les choses précitées et je suis socialiste de souche, socialiste
authentique, depuis 80 ans et 47 jours. Le problème, c’est que je n’ai plus de
parti et que je suis orphelin, comme mes deux ou trois autres compères
dispersés sur le territoire. Ne pas aimer la mutation perverse de l’être
humain, n’est pas courir se réfugier chez Le Pen ou Zemmour. Devant l’immonde crasse
des politiques – de tous les politiques -, je m’autorise à suivre ma propre
pensée et à me dégager de tous les flots de stupidités ânonnés dans les télés
ou ailleurs. Si je trouve quelques réconforts chez Cnews, seule chaîne
affrontant les réalités de ce monde fracturé, je regrette que jamais personne n’aborde
les problèmes sous l’angle de l’humain, en analysant les psychismes que
personne ne maîtrise. C’est par le philtre de la psychanalyse – la thérapie
imaginée par Sigmund Freud - que l’on peut examiner les conflits et que l’on
peut les résoudre après une analyse profonde, sérieuse et complète. Jamais,
jamais la politique n’a pu résoudre le moindre problème depuis l’apparition de
l’homme. Tout n’aura été que faux-semblants, ce qui nous amène à ce que nous
sommes aujourd’hui : des petits enfants stupides qui se prennent pour des
grands alors que jamais, ils n’ont réussi à accéder au stade d’adultes. C’est
que jamais, ils n’ont tenté d’interroger leur psychisme, de le modeler, de le
forger aux réalités de leurs représentations qui s’affrontent. Qui sont donc les
dirigeants de ce monde, à part des corps qui bougent dans tous les sens et qui
reproduisent à l’infini les désirs inconscients qui mènent le monde. Relier son
conscient à son inconscient est la première des conditions. Prendre conscient
que l’autre – comme Dieu – n’est qu’une invention de notre pensée et que donc,
nous sommes éternellement seuls, seuls avec nos multiples reflets dans le miroir
des fées qui traversent les contes. L’or est du toc, le lien,
une illusion.
Dans la litanie des douze
mois de l’année, seul août porte un chapeau pour se
protéger des rayons du soleil. C'est ce qu'a dit Bernard Pivot. Comprendre, c'est comprendre les
mots et les écrire avec précision pour qu’ils prennent toute leur signification.