Je perds chaque jour une bonne dizaine d’ « amis » facebouquistes qui fuient à la lecture de mes tubes et de mes puits où j’exprime dans la clarté la plus absolue mon soutien indéfectible au Rassemblement National de Bardella, soutien qui se renforce systématiquement chaque fois que j’écoute France Inter, France Infos, BFMTV, le « C’est à vous » de la dinde-bécasse Lemoine et de son copier-coller Cohen. Je ne vote pas Bardella. Je ne vote pas Mélen-chien, je ne vote pas Macron-Attal. Je ne vote pas depuis plus de 40 ans. Avant, je votais socialiste. Le mouvement a disparu. Je suis orphelin et je me pose de sérieuses questions sur mes parents morts et incinéras. La France – qui n’est plus la France – est tombée si bas, que je n’hésite pas à affirmer que les coupables ne peuvent être que ceux qui ont voté et que ceux qui ont encore le culot de voter et qui ne font que précipiter la chute de ce pays, glorieux sous les gaulois. Je suis de près les campagnes électorales. C’est à celui qui parlera le plus fort et qui fustigera le plus ses adversaires ennemis. C’est à celui qui dira le plus de mensonges. C’est à celui qui sera le plus haut placé dans la perversité. Je ne crois pas un seul mot de ce que racontent ces splendides crétins qui bourrent les crânes jusqu’au vomissement. Si voter librement pour ses propres convictions était possible, ça se saurait. Le monde des votants n’a aucune liberté. Il exécute les ordres, surtout ceux venant des fanges qui se rient d’eux. Pour sauver la France, il faut inventer la Démocratie et mettre en pratique, dès l’apparition de l’embryon dans le ventre de la femme coupable, la thérapie du seul homme qui ait inventé quelque chose d’utile : la psychanalyse du grand Sigmund Freud. Alors, le monde changera…