mercredi 8 janvier 2025

vu à travers le tube • le pire est consommé…

 

Ces gauchiasses crotales notoires qui ont dansé sur le cadavre d’un homme dont le corps était encore chaud, ont bu jusqu’à la lie, hurlé leur haine ravageuse et déshonoré la France à tout jamais. Nous ne pouvons leur accorder notre pardon parce qu’ils savent ce qu’ils font. Insoumis, animaux de cirques caligulaïens, brutes épaisses et cervelles fracassées, leur place est au cachot à vie, rongés jusqu’au plus profond de leurs viscères par les gros rats puants d’Hidalgo. « Rien, absolument rien ne justifie qu’on danse sur un cadavre. La mort d’un homme, fût-il un adversaire politique, ne devrait inspirer que de la retenue et de la dignité. Ces scènes de liesse sont tout simplement honteuses. » (Bruno Retailleau). Le jugement dernier viendra bien un jour, et la race des racailles sera pendue par les pieds et tranchée de haut en bas sous l’œil des foules qu’elle a trompées et humiliées.

mardi 7 janvier 2025

vu à travers le tube • la bronzette et la justice…

Pourquoi Rotailleau a-t-il donné l’ordre à la police et à la gendarmerie de stopper le mouvement des agriculteurs, avant qu’ils entrent dans Paris, et avec les moyens qu’on emploierait pour se défendre de la Chine et de la Russie réunies ? Pourquoi tant de haine pour ces gens nobles, courageux et désespérés et tant de compassion pour les terroristes islamiques, algériens, mélenchonistes et écologistes qu’on n’exécute pas sur le champ et sans jugement ?  Ces salauds, Macron et ses bandes, sont champions contre les gens sans défense et lâches devant ceux qui les humilient sans cesse et qui, 10 ans après Charlie, ont redoublé de puissance. Et que penser des Français, qui, après la gloire des Chevaliers de la Table Ronde, se sont métamorphosés en grosses vaches à lait qui dorment dans les prés en regardant passer les trains. Hier, en allant chez mon Leclerc, je suis passé à côté d’un pré près d’un passage de trains. Parmi les ruminantes, j’ai reconnu Panot qui faisait bronzer son gros cul tout nu au soleil.  Je vous assure que ce n’était pas beau.

 

C’est le même sujet, mais pas vraiment différent. Sarko a été un président avec ses faiblesses, mais avec ses convictions. Et puis, il a épousé Carla, une chanteuse de rue sans voix, mais mignonne et jolie, ça le rend un peu sympa. Il y a eu pire comme chef suprême. L’ineffable et lâche idiot Hollande et le pire des pires, un enfant handicapé au psychisme inabouti, conditionné par la vieille femme toute ridée qu’il a épousée. Aussi, peut-on me dire pourquoi, 15 ou 20 ans après, on traine encore l’ancien président devant les tribunaux pour des affaires qui n’ont laissé aucune preuve et qui n’ont lésé aucun français ? Les tribunaux sont engorgés, les prisons sont pleines, le personnel est nettement insuffisant. Ne pourrait-on pas réserver la Justice à ceux qui le méritent et la faire fonctionner à plain régime pour toutes ces brutes que sont les criminels, les violeurs, les voleurs, les mélenchonistes et les écologistes ? La France ne s’en porterait que mieux et la Justice pourrait reprendre ses vertus : être rendue sous un chêne, accompagnée des chants des petits oiseaux.


lundi 6 janvier 2025

vu à travers le tube • trois petits sujets à la portée de tous…

Sarko est encore dans la tourmente. Ses sentiments exacerbés pour Kadhafi, un triste sire abominable et criminel, le rattrapent aujourd’hui et atteignent les plus fidèles d’entre ses fidèles, Hortefeux, Guéant et Woerth. Son procès pour financement illégal de sa campagne – je disais, hier, pourquoi il faut interdire les campagnes électorales – va durer plusieurs mois, ce qui va lui permettre de se rendre chaque jour au tribunal des délits avec son chevillelet connecté qui lui sert de rapporte-paquet. Le monde entier sait que Nicolas n’est pas le seul à avoir détourné les lois et que si la Justice était réalité, aucun chef d’État ou chef de boyscouts boutonneux ne serait aujourd’hui en liberté.

 

Voyez-vous quelques parts un journaliste, un politique, un français, qui se préoccupent du sort de Boualem Sansal, cet écrivain franco-algérien qui n’a fait que dire toutes les vérités sur l’effroyable régime algérien et sur le danger imminent qu’il représente pour la France ? Le vieillard de 80 ans croupit dans les cachots d’un pays de sauvages attardés et Macron, Bayrou et toute la pitoyable clique, ne bouge même pas le sourcil.

 

Et encore bien pire ! Les cowboys des Amériques ont décerné trophées sur trophées au film gore, indécent et immoral d’Emilia Perez, qui incitent les populations à changer de sexe. Tous ces gens, auteurs, acteurs, votants, publics, doivent être enfermés à vie jusqu’à décomposition totale de leur corps.  Je ne vois pas d’autres moyens pour exterminer la vermine.


dimanche 5 janvier 2025

le puits au fond du jardin • à vous de voir…



 

 

Vous connaissez tous la rengaine des politiciens français : « J’ai été élu démocratiquement ! » Un. Pour être élu démocratiquement, il faudrait que la Démocratie existe. Tout le monde l’attend depuis des millénaires. En vain, puisque l’inventeur n’est toujours pas né. Deux. Les stupides pantins ont tous été élus grâce à leurs mensonges qui sont plus que vérités chez les naïfs inconscients et ignorants. Trois. Le mode électoral n’est pas garant de vérité et de caution à toutes décisions. La seule vérité intrinsèque est : « Je commande, tu obéis et tu te tais. » La discussion, l’échange et la concertation sont des faux-semblants pour faire croire à la participation. Dans ce domaine, Macron est un champion. Karajan a conduit le Philharmonique de Berlin au succès. C’est parce qu’il a été, comme Toscanini, un chef dictateur et sans concession. Et cependant, en tant que socialiste authentique – nous sommes encore deux ou trois sur la planète -, je suggère que l’on pose la première pierre pour tenter un semblant de Démocratie : les prétendants à un poste à responsabilité proposent dix sujets sur une feuille de papier. Exemple : 1. Dès mon élection, et sur 3 jours, l’armée, la police et la gendarmerie jetterons à la mer tous les étrangers et tireront sur tous ceux qui tentent de s’échapper. Et si cela n’a pas été réalisé, l’élu sera arrêté et jeté dans les cachots de la nouvelle République pour un minimum de 20 ans.  Voilà ! Chacun prend ses responsabilités. Il y aura beaucoup moins de monde au portillon et surtout beaucoup moins de cons qui rêvent de monter sur les planches. Et que l’on cesse pour toujours les campagnes électorales, qui sont vraiment du trop mauvais cinéma. Et pendant que l’on y est, que l’on cesse aussi les débats télévisés où tout tourne en rond, sans jamais répondre aux plus profonds désirs des populations. Alors que l’on est sur la fin, c’est le dernier instant qu’il nous reste pour tenter de tout recommencer et de tout construire différemment. Mais d’abord, ne pas oublier le retour à la maison, le retour dans le ventre de la femme coupable, pour se remémorer l’instant de l’éjection sur le sol boueux et pierreux qui nous aura tant fait mal. Ensuite, ne pas omettre de se précipiter cher Freud où se cache notre miroir. Ce que je propose EST la solution. À vous de voir…  


samedi 4 janvier 2025

le puits au fond du jardin • la solution…



 

Comme si Bayrou ne connaissait pas les difficultés des agriculteurs, il recule encore l’échéance en les convoquant prochainement pour s’informer. Comme toujours, on parle, on se montre à la télé, et on laisse les choses en plan. Les victimes disent vouloir marcher sur Paris. J’espère qu’ils vont le faire et y asphyxier tout ce qui semble respirer. Leur colère devrait entrainer la colère de tous les peuples et réduire à néant ceux qui s’imaginent avoir le pouvoir de nous gouverner. Le monde ne tourne pas rond parce qu’il se comporte en petit enfant capricieux, à tous les étages, et qu’il est incapable de comprendre qu’être adulte c’est être conscient que notre conscience doit toujours triompher de notre inconscient. Pour cela Freud est le seul remède, ce Freud qui rejeté par tous, par tout cet agglomérat de psychopathes dont le triomphe aura détruit la planète. Et dire qu’il y a encore des imbéciles qui cherchent des solutions, alors que la solution est sous leurs yeux et qu’il leur suffit de tendre la main.  


vendredi 3 janvier 2025

vu à travers le tube – les triomphe de l’eau crasse…

 

Pour le premier Conseil des ministres du gouvernement Bayrou, Madame Primas, porte-parole, a parlé d’elle et de son égo 11 ou 12 minutes, puis elle a dit qu’il ne s’était rien dit parce qu’il n’y avait rien à l’ordre du jour, à part le transfert d’un truc qu’il m’a échappé. On n’a pas évoqué l’immigration surréaliste, les meurtres intempestifs, les agriculteurs que l’on étrangle et ceux à qui ont interdit de promener leur voiture dans les centres-villes. On n’a rien dit, sinon répété en chœur polyphonique une phrase célèbre que l’enfant à ressorti de derrière les fagots : « De l’audace, encore de l’audace, toujours de l’audace, rien que de l’audace, de l’audace avant l’audace, de l’audace dans vos poubelles, de l’audace dans votre whisky ! » La descente dans le noir du fond de mon puits se poursuit et les lapins crétins regardent passer les trains.      

le puits au fond du jardin • le retour à la maison…

 



 

Déjà trois jours. 2025 a trois jours et ne fait en rien la différence. Les mêmes meurtres qu’en 2024, les mêmes crimes, les mêmes discours, les mêmes mensonges, les mêmes dénis. Rien ne sera plus comme avant, ont-ils tous dit. Et pourtant tout est identique, sans le déplacement de la moindre virgule, l’homme – et la femme bien évidemment – étant la tâche indélébile, la tâche noire encre, la même qui recouvre les vermines qui croupissent dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin, les restes, à l’odeur sale, que quelques poètes ont distillé dans leurs vers de génie pour montrer l’illusion piteuse qui se rapporte au genre humain, le genre abruti, qui survit depuis si longtemps. Cooper a ramené Laura à la maison. Brunehilde a rendu l’or au Rhin. Notre seule vocation est le retour à la maison, dans le ventre maternel. Et pour tenter de repousser cette auguste décision, nous inventons des histoires à dormir debout qui nous détournent du chemin. Nous ne pouvons le faire éternellement et c’est pourquoi nous ne cessons de déclarer des guerres contre nous-mêmes qui sont toutes vouées à l’échec. Regardons-en face et posons-nous la question. Nous n’avons rien d’autre à faire. Notre miroir est chez Freud. C’est chez lui que nous pouvons le chercher, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser. C’est de l’autre côté que nous « sommes ». C’est de l’autre côté que la conscience du monde est nôtre C’est de l’autre côté que le mirage se dissipe et que se dévoile notre personnalité qui, comme un gant, pourra s’approprier le seul monde vivant et l’enfiler comme notre juste-au-corps. Tout est derrière. Tout est ailleurs. Et nous persistons à voir en aveugle, parce que notre regard ne veut pas percer l’horizon.  

jeudi 2 janvier 2025

vu à travers le tube • de tout et de rien…


A 79 ans, la femme-chat est décédée, à Paris, le soir du réveillon. Bof ! Une femme-chat de moins, ça ne casse pas la queue d’une écrevisse. Je l’avais vu chez Hanouna, il y a fort peu de temps. Le monstre était déjà parmi les déchets de notre civilisation.

 

Que de commentaires insipides sur l’attentat à la Nouvelle-Orléans. Les radios et télés saturent en mode répétitif. Ce n’est ni premier ni le dernier et il n’est que la conséquence de la perversité de nos dirigeants qui ne sont que la conséquence de la perversité des peuples votants. Donc tout va bien. Par contre, je suis le seul – voir mon tube d’hier – à connaître le coupable de la violence contre l’enfant de 2 ans atteint d’un mortier, place Bellecour à Lyon. Les parents, ignorants comme tous les parents, auraient dû être au lit avec leur enfant, à l’heure dite.  On n’emmène pas des enfants dans des réunions de masse qui, quel que soit le sujet, peuvent dégénérer à tout instant. Et puis, à minuit, un enfant doit avoir déjà largement entamé sa nuit.

 

Le vieux, très vieux Muti, dirigeait encore et encore le Concert du Nouvel An. Les rengaines méritaient mieux, comme par exemple, une jeune cheffe rigolote et intransigeante. Mirga Gražinyte-Tyla aurait admirablement fait l’affaire. Oui, mais voilà ! À Vienne, on n’aime pas les femmes et on les rejette. Les vieux grigous ne savent pas ce qu’ils y perdent !




mercredi 1 janvier 2025

vu à travers le tube (bis) • crimes et châtiments…

 

En ce réveillon rien n'a changé. Les voitures ont brulé. Certains ont reçu du mortier en pleine figure, d’autres l’ont lancé. Les cambriolages ont perduré. Certains ont été volés et violés, d’autres ont volé et violé. Les 100 000 policiers sont restés babas et consternés. Ils n’avaient pas l’ordre d’exterminer définitivement ceux qui exterminent régulièrement. Et dans les débats télévisés, chacun y va de son indignation en réclamant une justice ferme et juste. C’est quoi, au juste, une justice ferme et juste ? Pour être ferme et juste, il faut appliquer à la lettre les lois ancestrales qui consistent à appliquer sur le champ le principe de « œil pour œil, dent pour dent ». Et, surtout, il faut jeter aux ordures toutes compassions et tous sentiments. Tu voles un pain, on te coupe la main. Tu violes une femme, on te coupe le pénis. Tu brûles une voiture, on te brûle les jambes et les bras. Tu squattes un appartement, on te jette dans un cachot noir, quinze jours à la diète, puis on te jette à la rue avec un boulet de cinquante kilos à chaque pied. Ce que je préconise n'est pas du sadisme, c’est du réalisme pour faire cesser les jeux d’enfants à tous ces handicapés qui n’ont jamais réussi à grandir.  Et peut-être qu’avec ma politique, les parents prendront conscience de leur crime : avoir fabriqué un enfant.  

vu à travers le tube • le monde des enfants malades…

Dans ce monde d’enfants incapables d’accéder au monde d’adultes, le plus petit d’entre eux, le plus insupportable, a encore parlé à la télé pour dire des riens en faisant semblant de se culpabiliser pour sa dissolution et en faisant croire qu’ils allaient demander aux petits enfants de français de donner leur avis sur la marche à suivre pour ressusciter la morte, la France, celle qui est déjà rongée par des vers de terre et les fourmis rouges étrangères. Bof ! Le mauvais cinéma est toujours aussi mauvais même s’il n’est plus que le résidu des pires des IA. Et le drame n’est pas là. Il est à Lyon, où, hier à minuit, sur la place Bellecour, un enfant de deux ans a été atteint par un mortier tiré par d’autres enfants. À minuit, un enfant de deux ans doit être chez lui, dans sa chambre et dans son lit. Ses parents, des enfants idiots, crétins et malfaisants, ont-ils été arrêtés sur le champ et transférés dans les cachots noirs de la prison de Montluc où pourrissent les cadavres des prisonniers de la dernière guerre mondiale ? Une fois encore, la Justice de l’enfant, n’a pas fait son travail.   


mardi 31 décembre 2024

vu à travers le tube • le grand moment de vérité est proche…

Tous les journalistes, tous les chroniqueurs et tous les commentateurs de tous les postes et toutes les télés, se posent la même et primordiale question pour la vie de tous : « Mais qu’est-ce que l’enfant déséquilibré, au psychisme inabouti, qui a épousé sa maman toute ridée, va dire aux têtes vides des français, ce soir, sur toutes les radios et sur toutes les télés, à vingt heures précises, après un soupçon ridicule de Marseillaise, alors que depuis sept longues années, il n’a su qu’imiter la tirade du Cid, qui, comme chacun le sait, n’est qu’une invention d’un poète qui avait travaillé l’art de la versification et de la dramaturgie ? » Moi, je ne me pose pas la question. Je sais. Il va dire que, tel Hercule, il a été capable, en solo et devant les caméras, de construite une cathédrale en cinq ans, et qu’il a gagné toutes les épreuves des jeux du cirque parce qu’il est un athlète complet et même se vanter de la présentation de la manifestation sportive qui n’était pourtant qu’un hommage appuyé à la pornographie des gens dont le sexe est incapable d’assurer son identité. Il va dire aussi qu’il va partir, à la tête de son armée, à la conquête de Moscou et ramener à Paris, le tsar félon Vladimir, qui ne cesse de chatouiller son ami de cœur Volodymyr, un autre félon qui a jeté son pays dans la corruption. Il va dire aussi qu’il aime les français et qu’il est navré qu’ils soient violentés ou tués à chaque coin de rue, de nuit comme de jour, alors que sa police veille en se planquant de partout sauf dans les coins de rue parce qu’ils sont trop exigus. Il va dire aussi qu’il est navré d’avoir pu sauver « Les Folles Journées de Nantes », parce que son choix est que l’argent qu’il vole aux français doit aller en priorité aux pauvres pays d’Afrique dont les habitants viennent chez nous, en barques à rames, pour nous étrangler et nous manger après nous avoir embrochés. Il va dire aussi qu’il nomme à gogo des Premiers ministres, parce que les français ne comprennent rien à sa merveilleuse politique et qu’il préfère qu’ils s’en prennent à plus petit que lui, ceux à qui il a légué ses piètres compétences. Il va dire aussi beaucoup d’autres choses très importantes. Nous aurons enfin des nouvelles de son chien et de son hamster et peut-être la vérité sur ses relations avec sa maman. Mais ça, j’en suis moins sûr !


lundi 30 décembre 2024

vu à travers le tube • les sauvages et kaufmann…

 

100 000 policiers et gendarmes vont être de service, le soir du réveillon, pour tenter d’intercepter les populations très fournies de voyous qui vont malmener les bien et les personnes. Ceux qui sont dans la page et non dans la marge ont déjà commencé et beaucoup crient les slogans : « On va les tuer ! »  Et depuis quelques années, certains même, des ânes gauchistes et islamistes illuminés par Mélenchon, manifestent en portant des pancartes « La police tue ! » Soyons claire, juste et sans pitié. Cette race n’a rien à faire sur la terre. Si à chacune de leurs apparitions la police tirait à vue et à balles réelles, leur nombre diminuerait considérablement jusqu’à disparition. Et ce ne serait que justice, une justice juste. Mais, jamais cela ne se fera pas, parce qu’on est à la mode du respect de l’irrespectueux et des droits des criminels, au détriment des droits de l’homme.

 

Chanter Turandot n’est pas une mince affaire pour le couple vedette, les voix étant sans cesse tendues à l’extrême. Mais, tout de même, avant, dans les années de ma jeunesse, Corelli, Bergonzi, di Stefano, Domingo, faisaient front sans marquer la moindre peine, dans le respect de la nuance et de la musicalité. Au Staatsoper de Vienne, Kaufmann a crié ses notes les unes après les autres et le miracle est qu’elles aient toutes été émises. Mais le voir forcer ainsi mettait fort mal à l’aise. Le rôle n’est plus dans ses cordes et nous allons devoir attendre qu’il soit un authentique baryton à la Tito Gobbi. Sa partenaire, la princesse râleuse et revêche, ne chantait pas si mal, mais elle était trop belle déguisée en Mélisande. Quant à Armiliato, il aurait pu éviter d’étirer les mouvements, cela aurait facilité la tâche à tout le monde. Bref, l’opéra s’est arrêté dans les années 1960. Depuis, qu’en reste-t-il ?   

dimanche 29 décembre 2024

le puits au fond du jardin (bis)• freud à la prison…



 

La prison, c’est la punition. La réinsertion, c’est le complément qui doit entrer en fonction à un certain stade la de peine et sous le contrôle des psys freudiens. La prison, c’est la souffrance dans un cachot noir avec un boulet de cinquante kilos au pied et ailleurs si nécessaire. Le prisonnier ne peut avoir aucun droit à la dignité puisqu’il est cage pour ne pas avoir respecté la dignité humaine : violence, viol, meurtre. Donc, ceci bien compris, il y a des milliers de places dans les prisons, car je ne vois pas ce qui empêche de mettre dix voyous dans un périmètre qui en contient trois. Et si on posait le problème autrement ? Au lieu de rabâcher toujours les mêmes litanies, et si on faisait en sorte que les prisons deviennent inutiles, en éradiquant la délinquance, grâce à la thérapie psychanalytique freudienne qui permet à l’enfant de passer au stade d’adulte. Tant que la race des adultes n’aura pas pris le dessus, rien n’avancera, rien ne pourra être résolu. J’en ai assez de ne rencontrer que des enfants sales, ignorants et mal embouchés.   

le puits au fond du jardin • la véritable histoire de la chèvre de monsieur seguin…

 



 

Sur un plateau fromage, on n’y voit que des fromages de toutes les couleurs et de toutes les odeurs, ce qui n’est pas forcément très agréable. Sur les plateaux télés, on y verra bientôt plus que des femmes de toutes les couleurs et de toutes les idées. Il suffit de regarder l’écran et d’écouter le poste pour constater que la femme s’amplifie et que l’homme se réduit. Elle était la seule à avoir le pouvoir de fabriquer la marmaille et donc de s’inscrire dans la race supérieure. Demain, elle sera au sommet de tous les pouvoirs et régnera sans pitié sur le peu de restes qu’il restera de l’homme. On a commencé par inverser les sexes, les mélanger, les dénaturer, et maintenant, ce superbe gloubi-boulga va obéir, sans broncher, à l’unisexe IA. Le monde ne peut obéir à deux intelligences antagonistes. Il faudra bien choisir. C’est la plus élaborée, la plus musclée, la plus performante qui va gagner.  C’est pourquoi, très bientôt, en place des vaches qui regardent passer les trains, les prés seront saturés de petits bonshommes et de petites bonnes femmes, attachés pas le coup à un piquet et qui brouteront pour écouler le temps, sous l’œil attentif de Monsieur Seguin.

samedi 28 décembre 2024

le puits au fond du jardin • les prisons et freud…

 



 

On (ré)apprend donc que les occupants des prisons de France – lieux où l’on enferme les méchants pour les punir – ont reçu – comme chaque année - leurs cadeaux de Noël, le père Noël usant de tous les moyens illégaux pour faire parvenir ses colis en mains quasi propres, au moyen de drones et d’une armée de complicités, sous les yeux indifférents des gardiens qui disent être impuissants, alors qu’ils sont chargés de surveiller et de botter le cul  des récalcitrants lorsque cela devient indispensable. Ainsi, cette année, c’est plus 150 drones qui ont déversé en une demi-journée, dans la cour de récréation d’une de nos prisons, multiples paquets de cigarettes, de sachets de poudres blanches, des centaines d’opinels toutes tailles, des fusils à canons sciés, des mitraillettes de la vieille Gestapo, des kalachnikovs derniers modèles, des smartphones Android, et quelques autres objets inoffensifs mais indispensables au confort des pensionnaires de leur hôtel 4 étoiles. Et l’autorité pénitentiaire ne pourrait rien faire contre cette racaille ? Et les ministres de l’Intérieur et de la Justice, et le Roi de France, ILS FONT QUOI ? Et si on transformait les prisons en cachots noirs et plein de rats et qu’on remettait en vigueur les boulets de cinquante kilos aux pieds des récalcitrants ? Et si les promenades ne faisaient plus partie du programme ? Et si les repas n’étaient plus que de l’eau sale et du pain sec comme Borne ? Il faut savoir ce que l’on veut. On ne peut pas être dedans et dehors. Et si on vidait les prisons des étrangers et de tous ceux qui n’ont pas commis de violences physiques ? Les délits financiers devraient être punis par des amendes plus grosses que le bœuf de la fable et qui iraient directement dans la poche de ceux qui ont été lésés et de ceux qui travaillent pour une bouchée de pain. Et si on faisait en sorte que l’homme fasse grandir l’enfant handicapé qui vit en lui ? Et si on construisait un monde d’adultes conscients et responsables ? Il est vrai que c’est difficile puisque Freud est considéré comme un moins que rien qui a couché avec sa mère ou sa sœur, je ne sais plus, mais c’est pareil. Le maître de la psychanalyse est pourtant notre seul sauveur. Si seulement le monde entier poussait la porte de son cabinet pour y chercher son miroir, pour le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaitre et pour le traverser, les choses changeraient si vite que tous les politiques et les obsédés du pouvoir, se retrouveraient au chômage pour l’éternité. C’est si beau et si juste que personne ne veut tenter l’aventure. Il est vrai que tous ces héros des viols et des guerres ont une trouille bleue d’un petit bonhomme inoffensif qui a inventé un thérapie toute simple et d’une efficacité redoutable pour vivre notre vie et ne pas la vivre mort comme c’est le cas de la quasi-totalité des êtres, aujourd’hui.