
Journée noire,
hier. Les sombres jours de la dernière guerre contre Hitler ont fait boomerang.
Mélenchon/Hitler a parlé, aussi bien que son père que j’ai vu chez Charlie Chaplin
dans son prophétique « Dictateur » pour l’ère assassine de Macron. L’ombre
du tyran a plané sur la totalité des manifestations. Les drapeaux français se
sont déchirés devant l’invasion des drapeaux étrangers, avec une large
dominante pour les drapeaux palestiniens. L’odeur du sang s’est répandue sur
Paris et Lyon, entre autres. Attal et les autres (Macron évidemment) ont voulu
le triomphe de Mélenchon en appelant à voter pour lui aux dernières élections. La
France en récolte les fruits. La dictature est en marche et rien ne pourra l’arrêter.
La race des esclaves soumis mélenchonistes fait tache d’huile et bientôt nous serons tous dans le bain, au milieu des frites qui se font roussir. Il reste
bien Marine, qui a repris de la vitamine, mais le rébus qu’elle se doit de
résoudre pour s’approprier les clés de l’Élysée n’est pas si simple et surtout
est trop truqué. Alors, pour terrasser le dragon, il reste l’union, l’union de
toutes les droites pour évincer du territoire les gauches soumises au monstre. Mais
il ne faut surtout pas oublier que la victoire de la raison ne pourrait être
que provisoire puisque la démocratie n’a toujours pas été inventée. Seul l’homme
accompli en a la capacité. Mais l’homme qui sait est rare. Il y en avait bien quelques-uns
– Ronsard, Hugo, Boulez -, mais ils sont morts. Chez les vivants presque morts,
il y a bien Barenboïm, mais il n’est pas français. Chez les autres, ceux qui
vivent morts, je ne vois personne, mais vraiment personne, à part le vieux
chien tout maigre qui passe sous mon balcon tous les matins, à la recherche d’un
maître, pour se faire donner des coups de bâton. Alors, tant pis, je le redis.
La vraie et seule solution est Freud, chez lequel vous pourrez chercher votre
miroir, le trouver, vous y regarder, vous y reconnaître et le traverser. C’est
alors, seulement, que vous naitrez et que vous pourrez commencer votre vie et
la poursuivre libre, sans être obligé d’avaler les sornettes des politiques,
des journalistes, des influenceurs tarés et ignorants qui piègent sans cesse
votre chemin.
Un jour, il faudra bien
ouvrir les yeux, déboucher les oreilles, couper les langues…