Alors qu’il se balade par le monde parce que c’est ce qu’il fait de mieux, l’enfant persiste dans son arrogance sur tous les sujets, alors qu’il n’en connait aucun, lui qui est aura été Mozart dans la finance et Thénardier à l’Élysée. Il veut interdire les réseaux sociaux et les couteaux aux enfants alors que le sujet n’est pas l’interdiction, mais de savoir pourquoi la quasi-totalité des femmes pondent des enfants alors qu’elles en ignorent le contenu et le contenant. Les enfants non élevés sont légion et c’est un crime. C’est de ce côté qu’il faut se pencher, d’autant que ce ne sera plus un problème quand on aura observé le remplacement de la reproduction naturelle - une femme, un homme - par ceux qui vont devenir les maitres et les seuls autorisés à se multiplier, les robots à intelligences artificielles qui ne poseront plus de problème puisque l’humain ne sera plus autorisé à entrer dans le jeu. En fonction de leur programmation, nos descendants seront gentils ou méchants. Il suffira d’appuyer sur un bouton pour changer leurs comportements. Si l’on veut la guerre, ils s’extermineront. Si l’on veut la paix, ils copuleront comme copulait François 1e et ses maitresses, ceci jusqu’à ce que « on » se fasse avaler tout cru. Mon âge avancé ne me permettra pas de connaitre cette période heureuse où les êtres IA seront libérés de toutes nos insupportables obligations comme la priorité à droite, la ceinture de sécurité, la politesse, Salamé, Panot, Alagna, les embouteillages, les parcmètres, le terrorisme boucherie, les démocraties toujours pas inventées, les gros connards des pouvoirs, la perversité, l’hystérie, le déni, Star Wars, Les Bronzés, la bêtise, cette bêtise qui a commencé avec Adam et sa pomme et qui aura réussi à triompher jusqu’à cette arrivée salutaire des petits bonhommes en fer.
mercredi 11 juin 2025
mardi 10 juin 2025
le puits au fond du jardin • la douce vie tranquille de greta et rima…
Greta et Rima ont pris les voiles pour rallier la bande de Gaza où leurs amis du Hamas font massacrer chaque jour des centaines d’enfants, de femmes, et d’hommes aussi, ce qui n’est jamais dit. Les deux misérables caricatures décérébrées voulaient reproduire l’entrée victorieuse d’Othello dans Venise et n’ont réussi qu’à se faire intercepter par l’armée israélienne, qui après leur avoir distribué quelques pains au chocolat, les ont conduites à l’aéroport de Tel-Aviv où les voilà près d’embarquer pour leur contrée respective. Elles ont eu le soutient sans faille du terroriste islamiste Mélenchon et, beaucoup plus grave, celui de son frère de sang, l’enfant au psychisme inabouti qui occupe l’Élysée et qui ne peut qu’inquiéter par ses paroles ignobles et sa cécité définitive devant les cadavres qu’il a alignés sur le sol de la France de Charles Martel. Ce sous-homme vient de préciser qu’il ne dissoudra pas l’Assemblée alors que la Constitution scélérate du vieux général lui en donne de nouveau le droit, ce qui veut dire qu’il va se dépêcher de le faire, tout simplement pour qu’en France, aussi, on parle de lui, et que son visage et ses mains baladeuses engorgent les écrans. C’est là que je ne peux que voir un peuple misérable qui siècles après siècles, s’agenouille devant les détritus de l’humanité. En France, la seule fois où il se serait révolté, ce fut le jour où il a tranché le cou de Louis XVI pour s’empresser, dès le lendemain, de le remplacer par un empereur amputé d’une main et pourvu de trois cornes sur la tête. Sortir des clichés, penser autrement, saluer la forêt et la lune en sciant le tronc de l’arbre et en sectionnant le doigt pointé, c’est ce qu’il serait nécessaire. Et pourtant, personne ne le fait parce que quelques idiots imbéciles ont dit que Freud copulait avec son chien. C’est pourtant chez lui que chaque individu peut chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaitre et le traverser. Mais pour cela, il faut trouver la porte du cabinet du maitre. Et je reconnais que pour l’immense majorité, c’est un insurmontable problème insurmontable.
lundi 9 juin 2025
le puits au fond du jardin • dans le noir de son fond…
En fait, l’enfant de l’Élysée est un super produit LFI, un pervers égal à Mélenchon, Bompart et Panot, réunis, un embryon déconnecté de toutes réalités. Le voilà à la tête des écolos, des fous furieux qui prétendent conquérir les tempêtes, les canicules, les glaces éternelles. La terre n’a pas besoin de minuscules pantins ridicules désarticulés pour gérer sa grandeur et sa puissance. Quand la terre rendra l’âme, les stupides humains auront disparu depuis des milliards d’années et sans doute beaucoup plus. Et quand on voit l’enfant immature au psychisme inachevé avoir la prétention de dompter la nature alors qu’il n’est pas capable de maîtriser une dizaine de gamins voyous qui cassent tout sur les Champs-Élysées, on croit rêver tout éveiller. Misérable personnage qui vit chichement aux frais du contribuable, qui aura passé sa vie publique chez ses amis voisins ou plus lointains et ne sera jamais privé de les caresser et de les bisouter à volonté. La perversité du gugus est grande, si grande que l’œil du brave ne la voit pas. C’est pourquoi il lui est si facile de mentir et de manœuvrer, tout à son aise, les populations. Le jeunot veut posséder le monde. Il va monter de plus en plus haut et sa chute n’en sera que plus admirable. Quand elle l’aura précipité dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin et que j’entendrai ses cris insoutenables, je ne bougerai pas le petit doigt. Lui et moi, étendu sur l’herbe verte des belles nuits d’été, nous contemplerons la lune, cet astre magique qui aura passionné tant de poètes de génie. C’est sur elle qu’Elle, a rencontré Pierrot.
dimanche 8 juin 2025
vu à travers le tube • sur l’autre rive…
samedi 7 juin 2025
le puits au fond du jardin • pensée du matin…
Faure, le copain de LFI, entraine les cadavres socialos dans l’abime qui est semblable au noir du fond de mon puits ou croupissent les cadavres grouillants des psychismes inaboutis. Royale – Ségolène – caresse les poils de Mélenchon pour qu’il lui offre une circonscription alors qu’elle n’est plus que le déchet d’une tranche de vie qui a crucifié le monde. L’enfant de l’Élysée, au psychisme inabouti, part pour deux jours, avec bobonne-maman, sur Le Rocher ou un prince et une princesse d’opérettes à la Lopez vont les accueillir en grandes pompes funestes et se faire bisouter et caresser par un expert qui ne peut s’empêcher d’exposer ses tares qu’aucun observateur n’ose analyser. Elles sont toutes gravement malades les têtes des pays, mais celle-là l’est davantage encore, parce qu’elle tire le rideau noir sur l’écran blanc qui l’a posée sur le trône. La tromperie est le maitre-mot de la politique et les pantins-larbins s’y laissent tous prendre. Ils votent, ils votent, ils votent, sans savoir qu’ils fabriquent la corde qui va s’enrouler autour de leur cou. Ne faire confiance à personne, appréhender la petite fille au bout du chemin, ne pas quitter le fleuve qui coule entre les deux rives, comprendre que tout n’est qu’image scannée dans l’inconscient et reproduite par notre propre canal. Vous n’êtes pas. Je suis. Je ne sais pas si je vis mort ou si je vis. Mais je sais qu’autour de moi s’organisent des fragments de mon accouchement comme tombent les ombres des feuilles mortes. Ce va et vient incessant entre mon conscient et mon inconscient m’autorise à détecter le vrai du faux de l’illusionniste qui faisait apparaitre sa dulciné parce qu’il avait besoin de la regarder, de regarder ses grands yeux noirs, le miroir qu’il était allé chercher dans la clarté de l’atelier de Freud, miroir qu’il avait trouvé, dans lequel il s’était regardé, reconnu, et qu’il avait traversé. Il avait compris que c’était de l’autre côté, sur l’autre rive, qu’était la vérité et que lorsqu’on la côtoyait, il ne fallait surtout jamais s’en éloigner. Les hommes en sont si loin qu’ils ne peuvent même pas imaginer qu’une porte peut s’ouvrir et jeter au visage le savoir et l’imagination. L’ignorance est si puissante que de retour aux sources, l’or au Rhin, les mémoires oublieront. L’oubli est pire que la mort. Bizarre ces écrevisses qui avancent dans le brouillard noir, alors qu’elles sont nées pour marcher à reculons.
vendredi 6 juin 2025
vu à travers le tube • tout dit…
J’ai vu que Faure, le cerveau amputé, reste à la tête de ces pauvres socialos islamisés, que Trump, décidément fort rigolo, s’est battu à mort, toute la nuit, avec Musk, son joujou préféré, que les footeux de l’équipe de France en ont pris cinq dans le baba, qu’un home-jacking – une maison-levage en langue française - désigne un vol commis au sein d'un domicile en présence des habitants, que Despentes sévit encore, au théâtre, à Paris.
Je n’ai pas tout dit, mais je m’arrête ici.
jeudi 5 juin 2025
vu à travers le tube • la grosse colère de philippe…
mercredi 4 juin 2025
vu à travers le tube • derrière la pore…
Si je suis un adepte d’Europe 1 et Cnews, - avec réserve pour le primaire-borné Dartiguoles et pour Praud-Kim Jong-un - je ne manque pas, chaque jour, d’aller me fourvoyer sur BFMTV et France Inter-Info, où je peux mesurer, à mon aise, le comble de la connerie humaine. Ces deux dernières ne cessent d’applaudir l’immonde, comme les relaxes à la chaine des terroristes voyous qui ont accompagné durant les deux jours, le trucage du match PSG-Milan, et l’intolérable renvoi aux assises du policier qui n’a fait qu’accomplir son travail en mettant hors de nuire, un voyou de la pire espèce. Chez BFM-France Inter-info, se promener avec des armes, balancer des mortiers à la tête des policiers, casser des vitrines, tout détruire sur son passage, est la normalité des êtres libérés qui respectent le droit de défouler leurs conneries, leur misérabilisme, leur absence totale de pensée, leur sauvagerie. Ils seraient innocents. Les coupables seraient Retailleau, Darmanin, la police, les pompiers, les médecins, le mobilier urbain, les vitrines et tous ceux qui ne tendent pas la joue au monde noir. Si l’on doit ajouter des coupables aux coupables de ces deux soirées, je n’hésite pas un seul instant : leurs parents, leurs parents et leurs parents, LFI et ses complices socialos et écolos et les torchons graisseux et huileux, que sont les presses de gauche, toutes confondues. Puisque Freud – la seule solution au problème – est rejeté, laissons venir à nous les pires des dictatures, les seules à pouvoir rénover les logiciels fous qui déconstruisent nos lois naturelles. Mélenchon et le Qatar sont derrière la porte. Il ne reste plus qu’à la pousser. Après tout, c’est bien ce que cherche le monde puisqu’il n’a jamais été capable d’inventer la Démocratie !
mardi 3 juin 2025
le puits au fond du jardin • entre silence et papouille…
Après ce triste weekend où personne ne se demande comment, à un tel niveau, il est possible de marquer cinq buts et où les presses de gauche minimisent - quand elles en parlent - les dégâts humains et financiers causés par les hordes sauvages qui, à part quelques rares exceptions, se retrouvent aujourd’hui dans la rue après leurs comparutions immédiates, le sursis ayant été le maître-mot de notre Justice agonisante, après le triste weekend, disais-je, la France, enterrée dans les sous-sols depuis presque cinquante ans, est encore descendu d’un étage et peut désormais creuser le fond, elle qui sait si bien creuser sa tombe. Revenir à l’essentiel et détruire le reste : être homme ou femme, être bon ou gentil, marcher à gauche ou à droite, être dans l’eau ou sur la rive, pénétrer ou recevoir, jouer en do ou en ré, différencier ou confondre, obéir ou commander, construire ou détruire, manger ou vomir, se coucher ou se lever, trotter au pas ou au galop, chanter ou aboyer, ouvrir ou fermer, écouter ou entendre, regarder ou voir, fermer ou ouvrir, vivre ou mourir. Nous avons le choix et nous ne le savons pas, parce que les peuples cupides, ignorants et soumis, ont rejeté Freud, celui par qui nous pouvons chercher notre miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser. Et c’est la seule – la seule – solution pour mettre fin à la terreur qui embrase le monde, terreur entretenue savamment par les marmites puantes et sanglantes des mélenchonistes islamistes imbriqués d’écologistes stupides et destructeurs.
Le peuple français attend toujours, de Bayrou, la condamnation des horreurs de ces samedi et dimanche. Le lâche garde le silence. Il rejoint en cela le détenteur des clés de l’Élysée, qui, au moment des crimes, papouillait ardemment le qatarien protecteur du Hamas et des Frères musulmans.
lundi 2 juin 2025
vu à travers le tube • les deux côtés de la honte…
Quand donc le film d’horreur va-t-il se terminer ? Depuis samedi après-midi, les radios et les télés ont caché leurs programmes pour encombrer l’écran de trois lettres qui résument le déclin du monde : P.S.G. Le PSG est une entreprise financière qui brasse des milliards, dirigée par le Quatar, centre névralgique du Hamas et des Frères musulmans. Et parce que les footeux de Milan ont été amphétaminés – à leur insu évidemment – les parisiens ont donné l’illusion de gagner. Leur prouesse aura été de pousser cinq fois – cinq fois seulement – un ballon dans le camp adverse dont les sentinelles cuvaient le poison qui coulait dans leur veine, à terre, allongées sur la pelouse verte. Mais le spectacle n’était pas là. Il était ailleurs, là où les radios et télés ne sont pas allées, il était à l’extérieur, où les sauvages dégénérés ont cassé et tué. Le géant l’a dit à Cooper : « Ça se reproduit ! Ça se reproduit ! » Et toujours ça se reproduira tant que ces bêtes sauvages, ne seront pas enfermés à vie dans les cachots noirs où pullulent les gros rats poilus des égouts de Paris, et tant que les parents des mineurs – moins de 18 ans – ne seront pas considérés comme complices et condamnés à croupir attachés debout et nus contre un mur de granit le temps de la condamnation de leurs monstres de cinéma. Et pourquoi n’arrête-t-on pas ceux qui entretiennent chaque jour cette violence ? LFI et les écolos, doivent payer leur arrogance et leur perversité. Ils sont plus dangereux que les pires des imams intégristes et je ne peux comprendre qu’ils soient toujours autorisés à pénétrer l’hémicycle. Et tout ce monde pourri a été reçu par le président de notre pseudo-République ! La honte est vraiment des deux côtés.
dimanche 1 juin 2025
vu à travers le tube • amphétamine et conséquences…
samedi 31 mai 2025
vu à travers le tube • la femme coupable…
Il semblerait que l’enfant de l’Élysée rentre de vacances aujourd’hui, après quatre jours de dénis et mensonges chez les asiatiques, avec maman « je te gifle, tu m’embrasses » et – surtout – avec la haine au bout de la langue, haine envers Israël, Moscou et Pékin avec qui il veut engager la guerre terminale. Pauvre petit minable, indigne d’un embryon de ver de terre. C’est nous qui payons ses escapades et c’est nous qui allons crever sous les drones, missiles et bombes en tous genres des pays qu’il menace. N’y a-t-il pas un esprit lucide, doublé d’une main de fer, pour l’arrêter avant qu’il ne soit trop tard ? N’y a-t-il pas un courageux chevalier, qui pourrait être masqué, pour lui mettre Nothung sous le nez et le contraindre à s’exiler dans un trou noir, comme celui de mon puits ? Hélas ! L’horizon est toujours aussi resplendissant de son vide. C’est sans doute que trouver un homme, sur cette terre gangrénée par des ados sales, boutonneux, ignorants, stupides, ridicules, animés par les pires des sentiments, est devenu mission impossible. L’enfant qui nait est pollué – gravement - par les générations précédentes. Et c’est le rôle les parents de le dépolluer et de l’accompagner sur les chemins de vérité. C’est pourquoi la seule culpabilité dans ce monde déclinant et effarant, c’est bien celle des parents incultes et bornés. Avoir un enfant est une responsabilité. Cet élément primordial est évacué froidement. Non seulement il faut répondre par la violence aux petits cons qui égorgent les passants, mais il faut aussi incarcérer immédiatement leurs parents et n’avoir aucune pitié. Si l’échec de la vie est total, c’est peut-être bien que cette vie est inutile. Je ne peux comprendre que la femme coupable m’ait donné la vie alors qu’elle savait pertinemment qu’elle me serait reprise à n’importe quel moment. Pour moi, c’est, de sa part, de la perversité et du sadisme.
vendredi 30 mai 2025
le puits au fond de mon jardin • dans le noir du fond…
Déjà cinq jours qu’il est parti dans les pays asiatiques. Hier, un ministre avouait qu’il ne savait pas quand il reviendrait, qu’il ne s’avait pas s’il reviendrait. Il est si bien là-bas, débarrassé des emmerdeurs, des conspirateurs, des complotistes, qui ne supportent plus son oisiveté, sa négligence, son laisser-aller et sa violence envers sa pauvre mère qui pourtant fait tout pour le cacher sous ses jupettes, entre deux tétés. Moi aussi, je ne supporte plus cet enfant au psychisme inachevé qui s’offre d’interminables balades avec l’argent de mes impôts. On nous le dit, on nous le répète sans cesse. La France est dans le gouffre. Les milliards de milliards que constituent sa dette font de nous la risée du monde et nous allons nous retrouver plus miséreux que les peuples de la grande Russie sous le règne du tsar Ivan le Terrible ou ceux de la Guinée Équatoriale sous la présidence de Teodoro Obiang Nguema Mbasogo. J’ai relu toute l’histoire de la France et aussi toutes celles des mondes. Le coup d’État, ça existe. N’est-ce pas le moment de le mettre en branle, avant que nous ne choyons brutalement dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin où nous aurons tout loisir pour réfléchir à notre connerie, parce que, de cet endroit, jamais personne n’est sorti.
jeudi 29 mai 2025
le puits au fond du jardin • des larmes…
Parmi les innombrables faillites de la France agonisante, on trouve la Justice qui jamais n’aura été aussi perverse et injuste. Le meurtrier du jeune Matisse, un afghan de 16 ans qui l’a poignardé sauvagement, a été condamné à 8 ans de prison alors qu’il aurait dû écoper de la perpétuité. Excuses de minorité et de non-discernement, alors que le crime est devenu le passe-temps des mineurs et que le non-discernement est l’apanage de la société. Croyez-vous sincèrement que les français discernent lorsqu’ils vont aux urnes voter pour des malotrus de caniveaux ? Croyez-vous sincèrement que les français discernent lorsqu’ils ne se mettent pas en travers de l’ascension du terroriste islamiste Mélenchon et qu’ils ne jettent pas aux ordures Macron et sa bobonne ? Matisse a été massacré par un enfant voyou en plein discernement, avec la complicité de sa mère qui a giflé la victime à terre, agonisante. Elle est convoquée par le tribunal qui va lui donner un avertissement. La Justice , ce serait de la condamner comme sa marmaille, prison à vie, dans la nuit éternelle d’un cachot. Dans ce point de non-retour, ne pas répondre à la violence par la violence est un crime. Je connais bien un tout autre moyen. Répondre à la violence par la compassion et le soin. C'est possible. J’ai mille fois proposé Freud et la réponse a toujours été le quolibet et l’injure. Et il y a encore des imbéciles qui se plaignent de leur situation et de celle de leur pays. Pleurez pauvres gens. Vous n’aurez jamais assez de larmes pour renverser la table !
mercredi 28 mai 2025
vu à travers le tube • jeu de destruction…
Fidèle, depuis presque 50 ans, aux socialistes, parti de trahison incapable de sortir de ses fantasques illusions, mais capable de la honte des hontes en s’alliant aux terroristes islamistes mélenchonistes élus sous le signe de la pire des vulgarités, membres du Hamas, la pire insulte à l’humanité, j’ai rompu définitivement, il y a quelques années. Orphelin je suis et orphelin je reste, malgré les différentes propositions de bons sens qui sortent des rangs des Maréchal, Knafo, Le Pen, Rotailleau, qui pourraient, si l’ignorance des peuples n’étaient pas encrée et consolidée, conduire la France sur un chemin différent et peut-être salutaire. Encore faudrait-il changer les lois de cette constitution défigurée qui donne une place prépondérante au voleur qui prend sa revanche sur le gendarme, et aussi aux anormalités sexuelles – homosexualités, LGBTXXLQPT, enfants sans père ou sans mère -, reconnues comme le pouvoir dominant la société de la normalité qu’est la copulation d’un homme et d’une femme pour le plaisir et/ou, pour mettre au monde un enfant. Le monde s’écroule et le macronisma, à terre, perdant son sang dans son dernier râle, ne fait qu’empirer le désastre dont personne ne se remettra. Les morts-vivants et les vivants-morts continuent imperturbablement leur petit bout de chemin, en restant sur place, immobiles, figés, momifiés, sans même se demander pourquoi Faure-le-traitre risque d’être réélu à la tête du PS, pourquoi Macron-l’enfant et bobonne sont toujours à l’Élysée, nourris et logés par le pauvre bougre qui se lève le matin pour travailler pour un salaire de misère, pourquoi Mélenchon-Bompard-Panot ne sont pas en état d’arrestation et conduit expressément dans un cachot noir de deux mètres carrés, nus et enchainés, grignotés par les gros rats sales et noirs des catacombes parisiennes où dorment les fantômes. Les députés ont voté le droit de donner la mort. Les EHPADs se réjouissent, les familles aussi, le ministre des Finances encore plus. Décidément, le film est cassé, l’écran blanc déchiré. La salle de spectacle va faire place à une boucherie halal.