« C'est toujours mon père et je l'aime. ». « Ce n'est pas parce qu'on fait des choses monstrueuses qu'on est un monstre. » Voilà donc ce qu’a déclaré, ce matin, Coline, la fille de Richard Berry. Elle traîne son père dans la boue. Elle porte plainte contre lui. Elle écrit un livre à charge. Elle bousille sa vie. Et voilà qu’elle lui déclare son amour ! Putain ! Au lieu décrire et de converser en permanence avec les presses écrites, radios et télés, elle serait bien avisée de pousser la porte du cabinet de Freud et d’apprendre à chercher son miroir, à le trouver, à s’y regarder, à s’y reconnaître et à la traverser. Elle serait ainsi, beaucoup plus sûrement, sur la voie de la sagesse et de la guérison. Elle éviterait ainsi et aussi de s’exposer, de se prostituer auprès de millions - et plus - de gens qui n’ont rien à faire de ses sornettes parce qu’eux, ont vécu les mêmes choses et souvent en pire. Dans toutes les familles il y a des incestes, des viols, des comportements d’un autre âge et porter ces faits sur la place publique avant jugement par la justice, est une faute, une erreur qui pourrait bien se retourner contre elle et lui porter un grave préjudice. Dans tous ces cas de sexes, de mœurs et de meurtres : Freud et rien que Freud.
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