Depuis leur altercation, en direct à la télé, on ne connait plus que Zelenski le gentil et Trump le méchant, alors que la séquence n’est que l’aboutissement de l’attitude d’un gentil qui ressemble fort à un méchant. Revoyez la scène, depuis le début, et jugez vous-mêmes. S’informer par l’intermédiaire de la presse écrite, parlée ou visuelle, est le moyen le plus sûr de rester ignorant à vie, surtout si elle, ou elle, ou elle, penche à gauche et à son extrême.
Avez-vous remarqué ces envies qui sont tombées perfidement sur la tête des dirigeants européens, en particulier sur celle de l’enfant de l’Élysée, envies pressantes – comme pour le pipi – de courir à la guerre pour capturer Poutine, régner sur Moscou et son Bolchoï, envahir la grande Russie avant d’anéantir la Chine puis les Amériques et peut-être aussi la petite île du rancunier Monte-Cristo. Ils sont tarés nos dirigeants et nous les laissons faire sans bouger le sourcil. Depuis son apparition sur terre, l’homme est esclave de lui-même et incapable de réaliser qu’il n’est qu’un objet entre les mains de quelques malins suffisamment pervers pour les enculer à l’endroit et à l’envers. C’est pourquoi, je me permets, ce matin, de féliciter Hanouna, avec un bonheur ineffable, qui lui au moins, aura vraiment jeter une grosse merdre à la tête de Macron et de son larbin l’Arcom, en poursuivant TPMP, comme si rien ne s’était passé et sur le même canal 88 de Canal+, encore C8 ce vendredi passé. Trois heures d’humour gaulois, vrai et percutant, qu’on peut ne pas aimer et je comprends, avec en prime la saveur de la vengeance où tous les faux-culs ont été cités et lacérés... et il a encore battu les records d’audiences.
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