Yannick Nézet-Seguin, chef d’orchestre qui a succédé au MET au regretté et superbe
James Levine, est fatigué de diriger. Il a demandé un congé. C’est le chef de l’opéra
de Lyon, Daniele Rustioni, qui va assurer une partie de son remplacement. L’opéra
qui a assuré ma formation est toujours aussi prestigieux.
C’était la journée. C’était
aussi la soirée. Tout commence avec Zemmour qui poétise sur la 7e de
Beethoven, puis les dictateurs de la santé qui annoncent l’apocalypse avec
Covid et O-Macron de plus en plus agressifs, puis le Roi de France, enfant
immature, adolescent inabouti, qui rend hommage à un cercueil vide, puis
Zemmour encore qui rend visite à Bouleau bourreau inquisiteur, puis les cinq
mousquetaires du Parti Républicain qui occupent l’écran de France 2 pour montrer
qu’ils sont copains-copains avant que la tempête arrive, puis Léa qui fait son
parcours initiatique pour accoucher sur la paille comme Marie, entourée de l’âne,
de la vache et de Marie-Madeleine la pècheresse. Quelle Journée ! Quelle
soirée ! Ma réflexion n’a pas été aiguisée. Elle a été renforcée. Le monde
est taré parce qu’il ne regarde pas ce qu’il doit regarder, ne voit pas ce qu’il
doit voir. Il ne sait pas. Il n’a pas appris. Son ignorance le mène sur les
chemins sans fin où rien de ne peut se construire. Rien que cette élection royale
qui mobilise à tout va, en est le parfait exemple. Voter pour qui et pour quoi
alors que tous proposent la même chose : être notre Roi. Moi, je ne veux
pas de Roi. L’homme abouti n’a pas besoin de Roi. L’homme réfléchi ignore le
commandement et l’obéissance. L’homme authentique sait qu’il a tout en lui pour
vivre sa vie selon sa convenance. Il n’a pas besoin de l’autre, son autre lui
suffit. Ceux qui ne comprennent pas ce que j’écris peuvent toujours pousser la porte
de Freud pour y chercher leur miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître
et le traverser. Ensuite ils auront le droit de me contredire. Il ne faut pas
réformer la France, il faut l’inventer.
Allegretto de la Symphonie n°7 de Ludwig van Beethoven
Mardi 30 novembre, jour
terrifiant. Macron 1 Roi de France dédoublé en O-Macron virus ravageur et
ravageant, encore à la télé pour vivifier son image royale par un monologue
impuissant sur une dame que j’ai vue, tout petit, sur une photo en noire et
blanc, avec un bouquet de bananes en place d’un string. Monologues insignifiants
des PR qui s’imaginent déjà au pouvoir en direct à la télé face à l’innommable
Salamé. Zemmour à la télé - lui aussi - pour annoncer qu’il veut être Roi de France
alors qu’il est mort. Et comble du terrifiant, les gens qui se détestent se
sont réunis sous la bannière « Ensemble citoyens ! » pour soutenir et
faire réélire le Roi de France qui n’a pas besoin de ces marionnettes pour
poursuivre sa dictature. On remarque que dans cette (ré)union, on peut éventuellement
compter les femmes sur l’unique pouce d’une seule main. Si on ne s’enfonçait
pas de plus en plus rapidement dans la dictature, tout cela me ferait beaucoup
rire. C’est Macron 1 qui a gagné. Il sera macron 2 inévitablement. C’est
pourquoi il serait sage d’éviter cette perte de temps et d’argent qu’est la
campagne de bourrages de crânes appelée campagne électorale.
Lecornu ou plutôt Letordu est
allé à la Guadeloupe aux frais du contribuable pour annoncer à ces pauvres gens
qu’il leur envoyait 70 gendarmes et 10 membres du GIGN pour les faire marcher
au pas, en supplément de ceux déjà existants. Les guadeloupéens n’ont pas
besoin de ça, mais seulement de pouvoir boire et manger.
Un professeur, une femme, a
encore été frappée par un de ses élèves ado. C’était au lycée Montaigne. Cette
violence et cette délinquance juvéniles ne s’arrêteront jamais si on ne s’intéresse
pas aux parents coupables. Coupables d’avoir pondu alors qu’ils n’ont pas la
moindre notion de ce qu’est un enfant. Créer un élevage ça s’apprend et ce
devrait être sanctionné par un diplôme en fin d’études donnant droit à l’autorisation
d’avoir des enfants. Sans diplôme, aucun avantage social. Un mineur arrêté, les
parents devant les tribunaux.
Je vois le soleil pointer à l’horizon.
Je vais encore être obligé de baisser mes stores…
Les humains, ces crapauds
baveux aux pensées vides, se croient plus fort que Covid et Covid-O-Macron. Ces
imbéciles n’y peuvent rien et n’ont pas d’autres solutions que de les laisser
passer en les saluant bien bas et de laisser à leur sort ceux qui ne peuvent
pas les supporter. Cela ira vite et Covid et Covid-O-Macron disparaitront alors
définitivement. Les humains pourront alors recommencer à se toucher, à s’embrasser,
à se chatouiller et à copuler tous ensemble.. pour un temps. Les autres - virus
- nous guettent déjà.
Zemmour est mort.
Macron 1 sera Macon 2 sans le
moindre obstacle. Déjà dit. C’est bon de répéter les vérités. Où l’on voit le sens
des huit premiers mots de ce tube.
Le temps des héros n’est
plus. Il n’a jamais été. Déstabiliser ce qui est établi depuis le début des
mondes se retourne toujours contre celui qui a mal agi. L’Or appartient au
Rhin. Alberich l’a volé. Wotan lui a subtilisé puis donné contraint et forcé à
Faffner qui se l’ait fait prendre par Siegfried. Brunehilde s’en ait emparé et
l’a rendu au Rhin. Ainsi le parcours du cercle s’est accompli. Le monde a fermé
la porte de sa destinée. Il est revenu à ses origines. La vie, ce n’est que ça.
Rien que ça.
Orchestra of the University of Music FRANZ LISZT Weimar
Nicolás Pasquet, conductor
Recorded on November 16, 2017 at the Weimarhalle, Weimar.
Ludwig van Beethoven - Piano Concerto n. 5 Emperor op. 73
Arthur Rubinstein, piano
Jerusalem Symphony Orchestra
Alexander Schneider, conductor
Israel, 1975
Dame Mitsuko Uchida joined forces with Seiji Ozawa and the Saito Kinen
Orchestra in 2006 in this performance of Beethoven's Emperor Concerto in E flat
major.
C’est rigolo ce que je viens
de lire. Le godillot ministre du Roi de France affecté à la Maladie Humaine, vient de déclarer qu’il est probable que la variant virus O-Macron
circule déjà parmi nous. Il n’a rien compris l’esclave. Macron est déjà parmi
nous depuis près de cinq ans et va renouveler son mandat pour encore cinq ans.
Il a perdu la boule le pauvre Véran.
Mieux, un ancien
psychanalyste, Van Rillaer, a déclaré que Freud - le grand Sigmund Freud -
était le Didier Raoult de son époque. J’ai donc enfin la preuve que la majorité
des psychanalystes trouvent leur diplôme qui leur permet d’exercer dans les
pochettes surprises de la foire du Trône ou qu’ils s’installent sans le pass
indispensable. C’est pourquoi qu’avant de pousser la porte de Freud, il faut
bien se renseigner et vérifier que ce soit la bonne porte. 99% se font gruger.
Maintenant, il n’est pas impossible que le Sieur Von Rialler ait voulu rendre
hommage au Professeur Raoult qui est loin d’avoir démérité. Je l’ignore. Je n’ai
pas pu lire l’article - je n’ai lu que le titre - parce qu’il faut payer pour
lire et que je refuse de payer pour lire des informations qui sont toujours dévoilées
par des ignorants.
Les suisses ont dit oui au pass
sanitaire. Ils se sont trompés mais au moins ils ont eu l’avantage de s’exprimer
ce qui n’est pas - ce qui n’est jamais - le cas en France, pays des crapauds
rampants qui n’ont même plus la force de reprendre la révolution là où elle s’était
arrêtée en 1789.
Bon… je suis bien obligé de
recommencer ma nouvelle ancienne vie parmi le tourbillon des déchets projetés
par les crapauds rampants. Je me suis fait vacciner - je me suis lâchement
trahi - pour être bien sûr de pouvoir entrer dans le Deutsche Oper Berlin et
revoir une dernière fois - sans doute - mon cher Ring wagnerien. À quoi sert-il
s’être vacciné puisque la loi du Roi de France est tombée : « Toute personne
contact à risque d'un cas possible ou d'un cas confirmé du variant B1.1.529,
indépendamment de son statut vaccinal, doit être considérée comme 'contact à
risque élevé' et doit ainsi être placée en quarantaine. » Vacciné, j’ai
autant de risque que non vacciné et je suis soumis aux mêmes punitions que les justement
récalcitrants. On a beau le crier sur tous les toits et à chaque coin des rues,
la dictature est bien là et la quasi-totalité des milliers de marmites de
crapauds bavants reste bien sage la tête et la queue entre les jambes. Misère !
Zemmour n’est plus et il y en a encore qui imaginent son retour. Quand on
est mort on est mort. C’est ainsi. Le Roi de France, Macron 1 et son double O-Macron,
virus extrêmement dangereux qui va dévaster toute l’humanité entière et aussi tout
l’univers, lui, est bien vivant et a gagné haut-la-main - par anticipation
vérifiée - le droit de poursuivre encore cinq années la destruction de la France
bientôt dévastée par O-Macron. Les deux Macron sont les Rois de l’univers. Et
ce sont les crapauds qui sont les couillons.
Je rentre de Berlin. 12 jours
où j’avais oublié la France et son Roi immature et inabouti qui a épousé sa
maman. Je rentre - je me demande pourquoi - et voilà que le cauchemar recommence.
J’apprends qu’Hulot n’est ni un Monsieur au chapeau et à la pipe, ni un
écolo-convaincu, mais un violeur de femmes qui en a violées beaucoup, énormément
et encore plus, quand il était plus jeune et que toutes ces femmes veulent sa
peau et le voir périr sur le bûcher comme Jeanne d’Arc. On n’en finira jamais
avec les femmes sauf si nous les hommes avons tous le courage de nous faire
hara-kiri. J’apprends aussi que l’archevêque de Paris a eu un comportement horriblement
sexuellement suggestif avec une femme - scandaleusement inadmissible pour un
représentant d’un Dieu inexistant - ce qui l’a obligé à démissionner. Un archevêque
en moins n’a jamais fait de mal à personne. J’apprends aussi que Covid a encore muté et que ce mutant permanent s’appelle maintenant « Oh ! Macron »
ce qui n’est pas sans rapport avec le Roi de France cité ci-dessus. Pour tous
ceux qui croient en ces balivernes, c’est mal parti. J’ai vu aussi que Zemmour,
c’était fini. Normal, il prétendait au trône du Roi de France qui ne veut pas
le céder - son trône - et qui a déjà gagné son pari
Moi, à Berlin, j’ai (re)vu les
aventures de Siegfried, un petit crétin qui se croyait invincible. Ça m’a fait
beaucoup de bien, parce que là tout est vrai. On y raconte la vie telle qu’elle
est et non pas comme les crapauds baveux et soumis se l’imaginent.
À la suite à mon passage au
Deutche Oper Berlin j’ai écrit un petit texte - voir mon dernier « puits au
fond du jardin » - relatant mes impressions sur le Ring de Richard Wagner
auquel j’ai eu l’immense chance d’assister. J’en ai mis la copie sur le site
ODB Opera, le frère jumeau du site Forum Opera, les sites des gens constipés
qui détestent l’opéra. Immédiatement j’ai reçu une volée de bois vert,
multiples coups de massues sur le crâne, des injures, des sous-entendus
pourris, des propos purulents, des barils de merdes puantes. Et après deux ou
trois réponses que j’ai réussi à intégrer, je me suis fait jeter comme un
malpropre, comme un crapaud venimeux, comme l’a fait par le passé Forum Opera,
la pègre des gens qui fréquentent les salles d’opéra. Peu importe ! Cela
ne change rien à ma passion inconditionnelle pour cette forme totale de
spectacle. Cela ne change rien à mes convictions, à ma manière de voir et
d’imaginer l’avenir pour ce mode de pensée qui aura été le moteur de ma vie et
qui l’est encore et toujours pour le temps qu’il me reste à vivre. Bref, ce
tube pour vous informer des dangers de ce qu’on trouve sur le net où
l’imbécilité et l’ignorance ont toujours le dernier mot. Pour moi… rien n’est
changé.
Je n’ai pas vu le Rhin, ses filles et Alberich l’hideux nain. Je n’ai pas
vu le château que les géants ont construit pour Wotan. Je n’ai pas vu le frêne
ni son tronc où est enfoncé Nothung le glaive destiné à Siegmund, reconstruit
par et pour Siegfried. Je n’ai pas vu Brunehilde endormie dans le cercle de
feu, mais j’ai vu le fœtus portant les jumeaux et Mime recueillir le petit
Siegfried expulsé du ventre de Sieglinde. J’ai vu aussi les morts-vivants
cueillis sur les champs de batailles tenter de manger les Walkyries. J’ai vu
aussi des cortèges de gens portant des valises, celle du voyageur errant,
celles du voyage fantastique où nous entraîne le Ring, celles remplies de l’or
des Nibelung, peut-être. J’ai vu Wagner composer son œuvre, la jouer aussi au
piano omniprésent, passage secret et repos éternel des hommes, des femmes et
des dieux dans les temps superposés liés par le flot des sonorités, fleuve
impétueux portant le monde de l’inconscient sans faillir un seul instant. Le
conte fantastique est une histoire de mythes où les mythes ont pris beaucoup de
coups. Formidables conteurs, Sir Donald Runnicles à la baguette et Stefan
Herheim à la mise en scène. En les regardant et les écoutant, je n’ai pas perdu
mon temps. J’ai retrouvé la Tétralogie de mes nombreux enregistrements et celle
jouée à l’Opéra de Lyon sous la direction d’André Cluytens, il y a si
longtemps. Magnifique…
Et après, après un premier acte et un début de deuxième acte de « Siegfried »
confirmés et magnifiquement installés, tout juste après la mort de
Fafner/dragon, la machine a déraillé surtout à l’arrivé de l’Oiseau de la
forêt, un jeune garçon à la voix déplorable qui n’avait rien à faire sur une
scène d’opéra. Il semblerait que l’Oiseau malheureux ait déstabilisé le
spectacle. Le réveil de Brunehilde, un grand moment dans l’histoire du Ring,
serait passé inaperçu si ce n’était les voix dures, cassées et braillardes de
Siegfried/Clay Hilley et de Brunehilde/Nina Stemme. La grande Nina Stemme qui,
selon l’inégalé et inégalable imbécile forumopera.com - le site qui n’aime pas
l’opéra où trônent les amis intimes du Roi de France, les pitoyables Fort
(Sylvain) et Bachelot (Roselyne) - aurait été la vedette des trois journées.
Stemme comme Hilley ne chantent jamais, ils hurlent et de plus sont très gros
et très laids. Qu’il puisse y avoir une histoire d’amour entre ces deux empotés
parait invraisemblable, encore plus invraisemblable que la mise en scène de
Stefan Herheim génialement déjantée auparavant et hélas déstructurée dès la
mort du dragon. Le troisième acte a été d’une fadeur exemplaire et d’un ennui
mortel comme si la fatigue s’était emparée de la scène et de la fosse. Pour la
première fois depuis le début du Ring, applaudissements sans les « bravos »
d’usage.
Et puis vint « Le Crépuscule… » des dieux et des hommes. Non, Nina Stemme/Brunehilde
n’aura pas donné toute la mesure des immenses possibilités vocales qui auraient
été les siennes. Non, son endurance relative n’a pas forcé l’admiration. Oui,
ses monologues en fin du deuxième et du troisième acte auront eu raison de ses
forces, qui ne semblent plus infinies. Non, son troisième acte n’était pas le
plus achevé. Stemme n’a pas retrouvé le mordant, le médium si habité et l’aigu
vaillant qui faisaient sa gloire. Non, elle n’est plus la grande dame qui
demeure une des plus superbe Brunhilde du circuit, peut-être parce que crier en
permanence enlève au personnage toute humanité. Idem pour Clay Hilley/Siegfried
qui a dû sortir la gorge en sang tellement il a poussé des cris de bêtes
sauvages avant que Hagen ne lui tranche la tête, bel hommage à Salomé ou l’on
voit Brunehilde garder jalousement sur sa poitrine la tête sans corps de son
bien aimé qu’elle peut enfin dominer à sa guise. Grand moment aussi à la toute
fin ou le plateau descend au niveau de la fosse et ensevelit les quelques dieux
déchus et l’ensemble des humains dont seules quelques gesticulations
désespérées achèvent le crépuscule. Et pourtant, ce Crépuscule, final du Ring,
aura été éblouissant - rachetant ainsi les faiblesses de la deuxième partie de
« Siegfried » -, éblouissant par le génie du metteur en scène Stefan Herheim,
par la très haute qualité de l’orchestre du Deutche Oper dirigé par le grand
(Sir) Donald Runnicles, et par la qualité vocale magique des « seconds » rôles
- dont un fabuleux chœur d’hommes - que je ne peux m’empêcher de citer :
Gunther/Thomas Lehman, Alberich/Jürgen Linn, Hagen/ Gidon Saks, Gutrune/Aile
Asszonvi, Waltraute/ Okka von der Damereau, Erste Norn/Anna Laplovskaja, Zweite
Norn/Karis Tucker, Dritte Norn/ Aile Asszonvi, Woglinde/Meechot Marrero, Wellgunde/Karis
Tuker, Floßhilde/Anna Lapkovshaia.
Ce Ring magnifique - malgré quelques rares faiblesses scéniques et malgré les
impossibles (pour moi) Stemme et Hilley - aura été un grand moment passé avec
celui dont la pensée créatrice surpasse de loin tout ce qu’on peut voir en
entendre en 2021. Je suis persuadé que l’humanité n’aura connu qu’un seul homme
digne de ce rang, Sigmund Freud. Et peut-être devrais-je y ajouter Richard
Wagner dont la pensée rejoint parfaitement celle du père de la psychanalyse.
Pour preuve ce Ring du Deutche Oper Berlin où j’ai pu déceler l’ensemble des
inconscients qui gouvernent le monde, des inconscients que personne ne veut
voir, des inconscients qui ont créé les Dieux et la chute de l’Homme. L’heure
du crépuscule est bien arrivée.
Berlin, 15 novembre, 17h24. Dans un peu plus de 24 heures, le Rhin dévoilera
une fois encore son Or, ce métal banal qui conduit l’homme inabouti à la pire
des folies. Ce sera le début aussi du crépuscule des Dieux qui entrainera le
crépuscule des hommes qui n’ont toujours pas compris que les Dieux et les héros
ne sont que des fantasmes inventer par l’homme pour faire croire que les races
visibles et invisibles doivent conduire nos vies alors que nos vies ne peuvent être
conduites que par notre propre pensée. Et pour cela, et pour retrouver notre authenticité,
il suffit de pousser la porte du cabinet de Freud, d’y chercher son miroir, de
le trouver, de s’y regarder, de s’y reconnaitre et de le traverser. Wagner ne l’a-t-il
pas admirablement conté et mis en musique avec son génie insurpassé ?