Eux aussi nagent dans la merde. Les anglais ont pour nouveau
1e ministre un jeune milliard-milliardaire d’origine indienne qui
veut presser les pauvres comme des citrons. Sa situation financière et son
origine ne peuvent être que décisives dans ses comportements et dans la durée
de son mandat qui ne sera pas très long. C’est incroyable comme il ressemble à
Micron I Roi de France, dans cette période où il a usurpé le pouvoir et qu’il
allait - c’est ce qu’il disait - renverser les montagnes et changer - visuellement
- la face du monde. Et ce soir, Micron II va remettre ça en montrant sa trombinette
dans les écrans et savourer chacun de ses mots/maux prévus pour enculer les naïfs cerveaux
vides qui vont le regarder. Pauvres gens qui ne savent pas comment occuper leur
triste existence !
Le papotage indécent est devenu la marque de fabrique des
chaines continues. Elles savent tout. Elles ont un avis sur tout ! Elles
débattent de tout ! Après 10 jours de Lola, elles sont passées sans
transition à ce père de famille qui a tabassé le guinéen clandestin qui aurait
tenté de violer sa fillette de 6 ans. Il a bien fait et on devrait faire tous de
même puisque la police et la justice françaises ne sont plus en état de
protéger qui que ce soit, surtout en cette fin de civilisation où des hordes de
peuplades sauvages débarquent sur notre sol pour nous décapiter et prendre
notre place. Le voyou étranger - mineur dit-on - va s’en sortir avec les
honneurs et le père va aller en prison. Normal puisqu’à ce jour personne n’a
tenté la révolte impitoyable contre les institutions et les pitoyables
misérables qui les représentent.
Entreprendre l’analyse de L’Art de la Fugue de Jean-Sébastien
Bach - prototype de toute société libre et authentique - c’est comme entreprendre
sa propre analyse. Vivre sans être imprégné de la thérapie psychanalytique de
Freud, c’est comme passer de la naissance à la mort sans avoir conscience de
cette étape fondamentale pour tout être conscient. C’est vivre en étant mort, d’où
les histoires de morts-vivants qui ne sont que des histoires de vivants-morts.
Et ceux qui ont appris l’Art de l’Écriture Musicale, savent que Bach a, en
perfectionnant la Fugue jusque dans ses moindres détails, construit un édifice musical
parfait qui devrait être le modèle même de la société : sujet, contre-sujet,
pont, développement, modulation, miroir, harmonie permanente fondue sous l’identité
des thèmes indépendants et contradictoires. La vie serait autre chose si Bach
et Freud étaient les modèles dominants des papotages des chaines continues !