vu à travers le tube • famille ou amitié ?

Depuis hier, la polémique enfle comme la grenouille. Un individu mal intentionné - je n’en connais pas de bien intentionné - vante les mérites de l’amitié au détriment de la famille qu’il veut éradiquer. Et pan sur le malheureux qui a exprimé sa pensée. Il a raison. Se marier, c’est perdre 4/5^e de ses amis, c’est s’enfermer dans un petit monde égoïste, c’est perdre sa liberté de penser et d’agir, s’est se créer des emmerdes pour toute la vie. Ses détracteurs (200% de la planète) disent que sans famille, on ne peut pas procréer et assurer la continuité du monde. Moi, je sais qu’entre amis, on peut pondre plein de marmaille si on a le courage de copuler sans l’autorisation du maire et du curé. Je soutiens l’homme qui doit se cacher après ses déclarations pleines de bon sens. La famille, c'est la peste, le mensonge, le déni, l’esclavagisme. N’y a-t-il pas une folle à l’Assemblée qui veut créer une loi pour que l’homme fasse la vaisselle et torche le cul de bébé ? « Famille, je te hais ! » sera le titre de mon prochain film. Par contre, où l’homme caché se trompe, c’est que l’amitié, c’est comme la famille. L’ami sincère, je ne vois pas où le trouver. Quand j’étais un brillant acteur de ma vie, avant que la retraite me coupe les ailes, j’avais des fournées d’amis qui se succédaient à ma table où à celle des restaurants où le serveur me présentait l’addition. J’avais de nombreuses gourdes à mes pieds. Aujourd’hui, retiré du monde des morts qui prétendent vivre, honnête avec moi-même, j’ai balancé aux ordures tous ces clowns et toutes ces clownesses. Je suis seul avec moi. Deux, c’est bien suffisant. Merci Freud. Grâce à vous, j’ai compris mes mille erreurs de jeunesse. Je suis libre. Je vais au concert et à l’opéra. Je me nourris, en ce moment, de Lynch, Dumont, Moll, Gilligan, et je vais aller, tout à l’heure, saluer ma voisine de palier avant de me rendre chez Leclerc pour prendre mon café. Et comme mes 80 ans - très bientôt - m’autorisent à dire au monde à quel point je le méprise, les derniers jours de ma vie auront été comblés et surtout, auront été à l’image de mon authenticité que j’ai mise des décennies à déceler.    

vu à travers le tube • le miroir ou la fin…

Il faut bien écouter les journalistes, les chroniqueurs, les commentateurs, des débats radios et télés. Pour les uns, c’est l’extrême gauche coupable de tous nos maux, pour les autres, c’est l’extrême droite. Jamais personne n’évoque la gauche, la droite, le centre et les non-identifiés qui, seuls, sont au pouvoir depuis des marmites de décennies. Et plus grave encore, personne n’évoque MACRON, Roi de France, ado au psychisme inabouti, pendu au téton de sa maman, pervers aux mains baladeuses caressant les effrayants dictateurs mâles africains. Mais comment faire ouvrir les yeux aux français ? Ne voient-ils pas que la grève déjà commencée et qui commence demain, n’est qu’une manifestation pour la destitution du Roi ? Qui peut supporter cet être infecte, ravagé par l’ambition et cocaïné par sa monstrueuse incompétence et son incroyable ignorance. Il faut se débarrasser de cette vermine et surtout ne jamais le remplacer. Il faut inventer la Démocratie ou le peuple décide pour lui-même et ne jamais désigner un chef. De quel droit un homme déciderait pour un autre homme ? De quel droit un homme donnerait des ordres à un autre homme ? Si la fin prochaine est toute proche - les Sauveurs ne sont que des phantasmes d’enfants vivants et inventifs -, c’est bien parce que personne n’a su faire, parce que personne n’a compris qui il était. Si Freud est rejeté - et même interdit dans les pays totalitaires - c’est parce que l’homme a une peur bleue de voir son visage pâlir dans le miroir qui dit vrai. Tant que la totalité des populations - hommes, femmes, enfants - n’aura pas poussé la porte du cabinet de l’inventeur de la psychanalyse pour y chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser, elle poursuivra sa chute jusque dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin. C’est ici qu’apparaîtra le mot FIN sans l’étiquette « ils se marièrent, furent heureux et eurent beaucoup d’enfants ».    

vu à travers le tube • l’homme qui n’a toujours pas rencontré freud…

C’est stupide de vouloir écrire chaque matin une suite de mots pour exprimer ma colère devant ce monde dans lequel je n’ai jamais voulu naître et jamais voulu vivre et qui m’a été imposé par la femme coupable qui m’a éjecté de son ventre pour me faire souffrir. Oui, c’est stupide. Alors, je suis sans doute stupide, mais jamais, au grand jamais, je ne voudrais changer quoi que ce soit, maintenant qu’après de longues années, j’ai appris, j’ai enfin appris à connaître l’essentiel, le primordial, l’unique : savoir qui je suis. Ma fierté est de ne pas être fréquentable et de mépriser toutes les lois et les conventions de cette société de minables peureux, menteurs, délateurs, ignorants et lâches. Je vis seul, sans famille, entouré de mes fidèles amis, Godard, Moll, Lynch, Dupieux, Hitchcock, Dumont, Wagner, Mahler, Bruckner, Berg, Rattle, Hannigan, et quelques autres. C’est avec leur souvenir que je partirai dans l’autre monde où je me sentirai beaucoup mieux parce que je deviendrai l’autre qui n’est que moi et l'image de mes images. Je serai enfin débarrassé de tous ces psychopathes qui s’installent tous les weekends dans des boites de conserve pour jouer à touche-à-touche, sans bouger pendant des heures, sur le béton construit à cet effet. Et si, tout d’un coup, tout cela se mettait en mouvement, ce serait - et c’est quand ça se passe - la catastrophe : des morts et des carcasses ! Et puis, je serai débarrassé de l’homme qui touche tous les hommes et qui commande la France de son ignorance, parce qu’il n’est pas en capacité de comprendre que pour vivre authentiquement et pour savoir, il faut rencontrer Freud.    

vu à travers le tube • ignorance…

Les détails sont inutiles. Chaque jour, en France et ailleurs, on assassine, on viole, on frappe, on humilie et la loi qui semble n’être faite que pour ça, punie, punie et punie, pas toujours les bons et pas toujours à bon escient. Les châtiments réclamés par les peuples - ensemble d’individus criminels - des moins pires aux pires des pires, n’ont jamais servi, ne servent à rien et continueront éternellement à n’être que gadgets. Et pourtant, on va rétablir la peine de mort (si ! si !) alors que le suicide est interdit. Taré ! Complètement taré le monde et ses pitoyables locataires qu’on appelle des adultes responsables alors que je ne vois que des morveux et des ados attardés, non conscientisés, vivant à l’état végétal. Des morts, rien que des morts qui meurent de trouille devant la mort. Et le monde entier réclame des héros sous forme de Dieux et de Rois. Ici, nous avons le pire des pires. Un bébé langé par sa maman et pendu au téton de son sein, qui meurt d’envi de toucher les hommes. Et ÇA, ça commande un pays ! Et tous les pays du monde ont les mêmes problèmes sous des formes décalées, mais identiques - le sénile Biden, le psychopathe Zelenski, etc… - Et personne ne bouge. Le monde la ferme. La peur de je ne sais quoi terrorise.  On pourrait dire LÂCHETE. Sans doute. Moi, je dis IGNORANCE des cerveaux aseptisés. Aucune des solutions proposées et imposées ne peut apporter de réponses à la marche normale et apaisée de la vie. Le monde s’engouffre dans les mirages. Et pourtant la solution existe, là, tout à côté : la porte du cabinet de Freud qu’il faut pousser pour y trouver son miroir, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser pour tresser le lien entre son conscient et son inconscient afin de vivre authentiquement sans reproduire la vie des morts. La grande absente chez l’individu de toutes conditions, c’est la CONSCIENCE. Rien d’autre. Vivre c’est être conscient. Sur mon long chemin dont le bout se rapproche, j’ai rarement rencontré des êtres authentiques. J’ai pu les compter sur les doigts d’une seule de mes mains, celle qui est amputée. Triste, l’ignorance de l’homme…    

vu à travers le tube • où est la tête ?

Gilbert Collard - qui n’est pas ma tasse de thé - vient d’asséner quelques vérités que j’approuve entièrement. Il a déclaré que le journaliste déchu Patrick Cohen était la voiture balai de la télé et qu’il n’était plus que le valet-de-pied d’Anne-Elisabeth Lemoine, la dinde-commère de basse-cour dont les français, au psychisme fracturé et inabouti, se délectent du lundi au vendredi dans son émission de désinformation permanente et insistante. Et maintenant, c’est moi qui le dis : l’abruti Hanouna ne cesse de faire le plein de schizophrènes. Et il reste encore des optimistes sur cette terre ? Jamais je ne pardonnerai à la femme qui m’a éjecté méchamment dans ce monde d’excréments.

 

Heureusement, très prochainement, je vais retourner à Berlin rendre visite à mes vrais amis, ceux avec lesquels j’échange, je pleure et je ris en évoquant l’aliénation de l’humain. Cette fois, ce sont mes trois amies d’enfance, mes confidentes que je vais retrouver. Arabella, Salomé et Elektra sont des femmes intelligentes, attachantes, sachantes et savantes, des femmes comme je les aime. Là-bas, je suis dans un monde où l’on vit vivant. C’est rare pour ne pas dire unique, moi qui n’aurai connu que des vivants morts qui ont un pied dans la tombe et l’autre dans la fourmilière. Quant à la tête, je ne sais pas. Sans doute parce qu’elle n’est pas !    

vu à travers le tube • la guimauve et la guerre…

C’est trop sucré et trop dégoulinant la guimauve. Je n’arrive pas à regarder l’écran. J’apprends par la presse que la soirée larmoyante de joie, de bonheur, de courtoisies romantiques stéphaneberniennes, a piqué des breloques sur des poitrines et pas sur d’autres qui le méritaient tout autant. Alors pourquoi ? Ce qui est positif, c’est que France 3 a rempli sa case du mercredi. En ces temps difficiles, il est difficile de remplir les cases.

 

Le Monde - le journal - affirme que le conflit ukraino-russien est une salle guerre menée en violant toutes les lois de l’humanité. Le Monde découvre la guerre. Il ne l’avait vécu que dans l’écran du cinéma et seulement en noir et blanc. La guerre a été inventée pour détruire les peuples, les humilier, les violer et les tuer. Ce n’est que ça la guerre. Rien d’autre. Et ceux qui la déclenchent, et ceux qui incitent à la poursuivre et à l’intensifier, ne sont que des criminels qui doivent être condamnés par la mort après le supplice. Pas plus, ni moins.  

vu à travers le tube • un maire, une cantatrice… ils sont au moins deux !

Sophie Koch

À quoi peuvent bien servir les IA (Intelligences Artificielles) qui n’auront même pas le temps de prouver leurs inutilités puisque la terre va exploser sous peu ? Le problème n’est pas Palmade, ni les retraites, ni l’immigration, ni la faim en France et dans le monde, ni les mâles enceints de leurs femelles, mais l’eau qui se rebelle et je la comprends. Sans eau, la vie n’est pas, parait-il. Bravo, un grand bravo, au maire de je ne sais plus quelle commune qui, en raison de cette pénurie, a pris un arrêté interdisant toute nouvelle construction d’habitations pendant 5 ans. Bravo encore. C’est la première fois en 80 ans d’existence que je rencontre un élu intelligent. Et dans tout ce bordel, l’IA reste muette !

 

L’affaire Palmade est une affaire de psychisme, une affaire concernant les comportements humains non maîtrisés, une affaire concernant l’effrayante ignorance des populations et de leurs dirigeants quant aux fondamentales des humains et le triomphe de l’aveuglement devant la circulation de la drogue et de ses pitoyables conséquences. Le coupable de l’affaire est le Roi de France, l’enfant inabouti qui décide de tout. L’affaire Palmade n’est qu’un chaos dans le chaos entretenu par les innombrables pervers des radios et télés qui sont tombés - tous - dans la marmite du salace merdier et qu’il serait nécessaire de propulser au-delà des frontières de l’univers.

 

Heureusement, reste Sophie Koch, une cantatrice dont on ne parle pas et qui triomphe au Capitole dans le rôle d’Isolde. Et c’est bien la seule nouvelle d’importance depuis la terrible affaire du vase de Soissons.

vu à travers le tube • où est la boussole ?

Surréaliste ? Délirant ? Larves croupissantes ? La guerre Zelensky-Poutine, l’immigration intempestive, les attentats islamiques, le prix de l’électricité, le maintien au pouvoir du Roi-ado inabouti, l’eau qui ne veut plus couler, les pauvres qui se multiplient, l’opéra qui s’autodétruit : tout cela vient de se volatiliser. C’est comme si ça n’avait jamais existé. Palmade est revenu au centre du monde et on ne parle plus que de lui et, cerise sur la tarte aux citrons, c’est le grand, le célèbre, le rigolo, le farfelu, le menteur, le mystificateur, le vieux Balkany, tout juste sorti de prison, qui a été invité à commenter - hier soir - l’affaire chez Praud, celui qui impose à ses chroniqueurs de fermer leur sale gueule. Quand donc ce mauvais cirque va-t-il cesser ? Quand donc cette putain de pièce de théâtre va-t-elle quitter l’affiche ? Palmade est INNOCENT. Il n’est qu’un grand malade qui ne pourra jamais guérir et qui n’a besoin que de Freud pour tenter de finir ses jours dans un calme relatif, dans un lit d’un hôpital psychiatrique. C’est tout. Il n’y a rien d’autre à dire, rien d’autre à rajouter.

 

C’est grave. C’est très grave. La pluie provoque les inondations. Le soleil provoque la sécheresse. Dans les deux cas, des milliers de gens en meurent. La mort n’a pas été inventée que pour les chiens. Si la vie sur terre est devenue impossible, c’est que l’homme a toujours pété plus haut que son cul. Et comme il ne peut rien - RIEN - contre la nature, qu’il continue à péter. Ça soulage et ça fait de mal à personne.

 

Les passagers du train entre Lyon et Aix-les-Bains de 18 h 08, ce dimanche, sont restés bloqués de 19 h 30 à 1 h 30, sans chauffage. Quand on voyageait à pied, on n’avait pas ce genre de désagrément. Vous voyez bien qu’il y a pire que les aléas du climat qui a perdu sa boussole !

 

Je n’ai pas besoin de réfléchir pour conclure. L’homme est un putain de déchet qu’il faut éliminer. Et quand je pense qu’il sort du ventre de la femme, je me demande quel châtiment il faut inventer pour la coupable…

vu à travers le tube • le cul dans l’eau

Hier soir sur Mezzo, « Le Chant de la terre » de Gustav Malher, avec Kozena, O’Neill, le Czech Philarmonic, dirigés par l’immense Simon Rattle. Après ce moment intense de lumière, les restes - Zelenski, Palmade, Macron, Biden, Mélenchon, César, et tous les autres - ne sont que des riens, des non-choses, des cacas de pigeons-nains. J’ai vu le regard et les sonorités de l’invisible. J’ai eu accès à l’inaccessible.

 

Alors, j’en terminerai ainsi, non sans avoir dit que Poutine a déclaré qu’il gagnerait la guerre alors que je sais qu’elle est perdue pour la planète qui va se briser en mille morceaux et disparaître dans l’univers, nous laissant tous comme des cons idiots - ce que nous sommes - tous nus, le cul dans l’eau.   

vu à travers le tube • dégueulasse !

À l’heure où j’écris ces lignes - 9h14 - le Roi de France quitte le salon de l’agriculture. Il y aura passé une trentaine d’heures à marcher entre les vaches, veaux et cochons, sans boire ni manger, ni faire pipi et caca, suivit par toutes les télés du monde, indifférent aux quolibets des méchants qui ne comprennent pas que nous avons là le plus grand Roi de France, le Roi des Rois, envié par les Dieux de tous horizons. Cet ado inabouti a pourtant réponse à tout. Si vous lui demandez à quelle distance il est du soleil, il vous répond soupe aux choux et l’affaire est classée parce que si vous le contredisiez, il serait capable de vous répondre paille d’œil dans le trou. Il a réponse à tout en non-répondant, le déni étant son Nothung farouche qui l’entraine sur les hauteurs du Walhalla où les Dieux se disputent la possession de l’Or du nain. La pièce de théâtre est repoussante. Cette chose enserre la France dans ses griffes de monstre et le peuple-enfant reste sans voix en poussant ses cris qui ne vont même pas jusqu’à lui. La mort étant son ombre.

 

Alors que le peuple réclame la tête de Palmade, elle porte aux nues Magimel après son deuxième César consécutif, alors que l’individu a été pris TROIS FOIS en délit de conduite sous stupéfiants, dont de la cocaïne. DÉGUEULASSE ! Comme DÉGUEULASSE a été la noire qui a compté les têtes noires dans la salle de la secte du cinéma.

 

J’espère que chacun a remarqué les leçons de morale immorales que toutes les radios et toutes les télés nous plantent dans la tête, du soir au matin. J’espère que chacun a remarqué, les restrictions régulières de nos libertés. J’espère que chacun a remarqué ce qui pointent lentement mais surement à l’horizon et qui - si les bombes n’ont pas fait boum-boum avant - vont soudain apparaître au grand jour, aux yeux de tous, tous qui vont dire en chœur et à l’unisson : « Ah, si j’avais su ! » : LES DICTATURES non déguisées… et tout ça aura été bien mérité !    

vu à travers le tube • le psychiatre et césar…

Hallucinant ! Le psychiatre David Masson prétend qu’on peut avoir des hallucinations sans avoir de troubles psychiques. Masson - comme beaucoup de psychiatres - doit retourner à ses études. Tout individu plantant naturellement un couteau dans le ventre d’autrui est obligatoirement atteint de troubles psychiques. Que lui faut-il donc de plus à Masson l’ignorant. L’enfant qui a poignardé sa prof d’espagnol était drogué par son psychiatre qui lui avait prescrit un médicament très dangereux pour son jeune âge, médicament qui pouvait provoquer des hallucinations. Le psychiatre est coupable de collaboration à un assassinat. Tout bon psychiatre sait qu’il ne peut aller au-delà de ses connaissances et qu’il doit toujours conseiller à ses patient la thérapie psychanalytique en parallèle à son travail d’urgentiste. L’enfant meurtrier a été mal soigné. Il ne peut être coupable de ses actes. Et la puante société médiatique est en passe - idem pour Palmade qui est dans la même situation que l’enfant - de le condamner à vivre mort jusqu’à sa mort. Quand va-t-on comprendre que tous les maux de la terre viennent du refus - par ignorance - de chacun à opérer l’inévitable retour en arrière pour se laver, de déforger, se défabriquer et retrouver sa condition originelle massacrée par les sociétés, les religions, les pouvoirs, les parents et toutes les autorités. Le coupable est celui qui se laisse prendre au piège invisible tendu par les perversités dominantes.

 

Les César(s) ont été égaux à eux-mêmes. Un ou une flopée de Maîtres de Cérémonie n’a rien changé à l’affaire. Une militante dernière rénovation a interrompu la diffusion télé. Personne n’a informé le public de la cause de l’incident. Comme à son habitude, Debbouze a été pitoyable. Je suis heureux de la victoire de Dominik Moll. Son « Seules les bêtes » est un chef-d'œuvre.  Après deux visions de « La Nuit du 12 », je vais en tenter une troisième pour tenter de comprendre le pourquoi de son intérêt.

vu à travers le tube • quatre sujets semblables : la misère !

L’enfant qui a tué son professeur n’est qu’un grand malade dont le psychisme est détruit. Et - comme pour Palmade - tout le monde y va de sa mise à mort. Les mêmes qui défendent le taureau, veulent la mort de tout ce qui les dépasse par leur ignorance abyssale. L’enfant semble ne pas avoir de parents. La femme coupable a encore pondu sans savoir, sans savoir que mettre un enfant au monde est une terrible responsabilité et qu’il est plus que nécessaire d’assurer le service après-vente. Des millions de gens sont prêts à tuer pour réaliser les tourments de leur inconscient. Et ceux qui ne passent pas à l’acte, vivent avec la désespérance de leur traumatisme. Aussi, les donneurs de leçons, les champions de l’ignoble morale, svp, fermez-la et fermez-la pour toujours.  

 

Et le jour de gloire est arrivé pour le clown trafiqué Zelenski, qui, du haut des pyramides, contemple son cheval blanc pour fêter l’anniversaire, jour pour jour, de la pugnace résistance d’une grande partie du monde contre le Tsar qui en est resté à Yvan le Terrible, en moins grandiose et en moins visible. Et ce monde est dans la même situation que l’individu face à un pervers. C’est sur le champ et dès les premiers instants, qu’il faut le fuir ou le maitriser. Un an d’invectives et de combats. C’est trop tard. Le mal est fait. La guerre est inéluctable. La bombe est sur le point d’éclater. Il est temps. Voilà qui va régler le problème de la civilisation qui ne cesse d’étouffer.

 

Ce soir, les Césars, où va se congratuler le monde d’à côté. On n’est jamais aussi bien servi que par soi-même.

 

Il paraîtrait que des élus s’inquiètent - je n’ai jamais vu un élu s’inquiéter de quoi que ce soit, sauf de sa réélection - des bouchons sur les routes des stations d’hiver. Ils n’ont pas de solution. Moi j’en ai une, une facile à mettre en place et qui ne coûte pas un centime : supprimer les tire-fesses (on dit aussi : remonte-pente). Quand on est capable de descendre sans l’aide d’une IA (intelligence artificielle) ou robot mécanique, on peut remonter avec ses pieds, c’est excellent pour la santé. Plus de tire-fesse, plus de bouchons et plus de gens dans la détresse qui dépensent l’argent qu’ils n’ont pas !

vu à travers le tube • ça débloque…

Un monde de magie qu’envierait le grand Houdini. On a eu droit pendant dix jours successifs, 24h/24, sur toutes les radios et toutes les télés, les mots les plus orduriers et la condamnation à mort de Palmade, l’horreur incarnée et, subitement, d’un coup de baguette magique, l’affaire Palmade s’est tue. Il n’y a plus d’affaire. Depuis hier, 10h, ces mêmes radios et télés ont retourné leur veste en décapitant un enfant gravement malade qui a poignardé sa prof d’espagnol, ceci en continu et sans reprendre son souffle. Très curieux cette chose parce que personne ne sait. Quand on ne sait pas, on se tait. Et quand il y a un meurtre, ce qui est tout naturel dans une société de psychopathe - dirigeants et peuple -, on attend de connaître les tenants et les aboutissants avant de se faire une opinion et de venir la hurler dans les débats radios et télés, tous aussi ignobles les uns que les autres. Et où les bras m’en sont tombés et que j’en suis tombé sur le cul, c’est quand j’ai entendu Charlotte d’Ornellas nous raconter - en direct - que cet enfant meurtrier pourrait être victime du démon et que ses parents auraient dû le faire exorciser. Putain ! Elle est débile Charlotte. D’autant qu’elle y croit dur comme fer. Le discernement n’est plus. L’homme n’a plus de propre. Quand va-t-on remettre les pendules à l’heure ? Quand va-t-on s’occuper du psychisme de l’homme ? Quand va-t-on comprendre que la société, la famille, la religion, anéantissent tout et détruisent l’homme irrémédiablement. C’est pourquoi nous devons délaisser les sectes politiques et religieuses et travailler à notre propre rénovation, chacun chez soi. Quand nous aurons compris que l’autre n’est pas, qu’il n'ait que le fruit de notre pensée, notre autre autre, nous ne pourrons avancer et les crimes physiques et psychiques se perpétueront jusqu’à ce qu’enfin, l’ultime bombe explose sur notre tête et nous délivre de la crasse de ce monde qui n’aura servi à rien.    

vu à travers le tube (bis) • une femme est morte… vous êtes coupable !

À quoi peut bien servir le déplacement du godillot ministre sur les lieux du crime, d’autant que le coupable, c'est lui et son Roi. L’Éducation nationale est devenue - au fil des temps - un dépotoir savamment entretenu par les politiques de tous bords. Un garçon de 16 ans a pu pénétrer dans son collège avec un couteau pour tuer. Où sont les pions d’antan, les gifles et les coups de pieds au cul ? Le garçon a un psychisme écrabouillé et personne ne l’a vu ?  Ses parents ne le font donc pas soigner ? Ils ne connaissent pas Freud et sa thérapie psychanalytique et le travail d’un psychiatre dans l’urgence ? La seule question à se poser est le pourquoi de l’abandon d’un enfant de 3 ans d’âge ? Les adultes, parents, directeur et enseignants, élèves de la classe, société pourrie par l’ignorance, journalistes ignobles à côté de la plaque, votants aux élections, TOUS SONT COUPABLES. Par votre faute à tous, une femme est morte ce matin…  

vu à travers le tube • crépuscule…

Comment se fait-il que le Roi de France ne ce soit pas fait lyncher à Rungis, lieu où le travail particulièrement fatiguant ne peut souffrir un départ à la retraite à 64 ans. Non ! Même pas ! Et pourtant il a fustigé ouvertement ceux qui ne pouvaient comprendre que plus on meurt vieux, plus il faut travailler longtemps, un principe de vase communicant. Et moi, je ne peux comprendre qu’un Roi censé être un être supérieur, croit que la logique est de mise quand on évoque une manière et un choix de vie. La logique, la raison, le psychisme de l’homme n’en a rien à faire. Avant de proférer des âneries sur le comportement des sociétés qui régissent les comportements humains, il faudrait peut-être commencer par analyser le cerveau humain pour comprendre ce qu’il est, qui il est, ce qu’il est capable d’assimiler et ce qu’il est capable de réaliser. Tout va dans le mauvais sens et personne n’y voit rien parce que personne ne voit de sens pour aller au bon chemin. Tout s’apprend. Et le monde n’apprend rien. Hier, Biden et Poutine en sont allés de leurs suites de mots sans sens, des copier-coller dépourvus d’imagination et de bon sens. Ils ont été lamentables et insultants pour les peuples qui vont payer. Mais après tout, les peuples l’ont bien mérité. Les torts seront toujours du côté de celui qui se laisse humilier. La seule erreur de celui qui humilie - et il n’est pas interdit d’humilier - c’est qu’il s’attaque à plus petit que lui. Les issues - toutes - sont bouchées et maintenant bien scellées. La guerre est déclarée puisque si on a inventé le crime de guerre, on n’a toujours par décrété que la guerre était un crime et que ceux qui la déclarent ainsi que ceux qui y répondent sont passibles de la peine de mort. Tant que l’homme réclamera des chefs et des dieux, tout restera ainsi.