vu à travers le tube • la loi fondamentale…

Personne ne sait et tout le monde affirme. La dissociation psychique conditionne les comportements. Il y a là un éventuel criminel, et ici un petit poussin tout gentil, élevé par une poule et un coq - pas sûr pour le coq - qui ont fait - sans doute - des ouvrages de Dolto leurs livres de chevet. Petit poussin de 17 ans tout juste sorti de sa coquille. Petit poussin voyou qui roule en Mercédès à 17 ans et sans permis et qui appuie sur l’accélérateur chaque fois que la police veut le contrôler. Cette fois, un policier a tiré. Le poussin est mort. Il aurait - peut-être - pu y penser avant. Et la foule - les Zorro psychopathes du dimanche - met le feu à la France en soutient au récidiviste. Et la grand-mère de l’individu - vue et entendue, hier, 23 453 fois à la télé - pleure son petit-fils qui allait être Einstein ou peut-être Karajan. Une fois encore, les coupables sont les parents, la mère en particulier, la femme qui pond sans réfléchir aux conséquences de jeter sur terre un enfant dans un monde de délires. En introduisant Freud dans le texte, je ne jette même plus un pavé dans la mare. Si le poussin avait poussé la porte de son cabinet - ses parents et sa grand-mère aussi et bien avant - pour y chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser, aujourd’hui, il serait sur les bancs de l’école avec des projets plein la tête et les radios et télés pourraient aborder d’autres sujets comme les phantasmes religieux et l’ignorance généralisée et triomphante. Une tierce majeure SOUS une tierce mineure forme une quinte juste. Une tierce majeure SUR une tierce mineure donne le même résultat. C’est la loi fondamentale. Et personne ne peut déroger à la loi fondamentale.  

vu à travers le tube • crépuscule et fin…

Les footeuses vont pouvoir porter le voile. L’Islam religieux, politique, sinistro-fantasmagorique, pénètre doucement, lentement, les rouages de notre société, les infiltre jusqu’à l’asphyxie généralisée, sans que le moindre crapaud lève le petit doigt. Je suis effaré par cette lâcheté que l'on retrouve à Marseille où les casseroles cachent leurs trouilles - couilles - dans les caves à poudres. Le monde des lâches est à son comble. Le Roi de France a encore de beaux jours devant lui. Wagner avait prédit le crépuscule des dieux. Nous assistons au crépuscule des sexes, à la mort terrifiante des pensées, à la fracture des équilibres, à la chute des corps dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin. Redire et redire encore. Freud est rejeté, vilipendé, humilié, piétiné. Seule sa thérapie pourrait réveiller le monde. Et c’est bien pour cela que personne n’en veut. Dormir est si bon, étendu sur le sol, un trou rouge sur le côté.    

vu à travers le tube • la toupie…

Alors que Prigogine - un cannibale insatiable - a failli prendre le trône des tsars de Russie, le monde a eu la peur du siècle et s’est aplatie devant les Dieux des Cieux, les suppliant d’épargner Poutine - recherché par la Cours de Justice Internationale qui veut le condamner pour crimes de guerre, odieux et sadiques, comme si le crime odieux et sadique n’était pas le sujet et l‘objet de la guerre - et lui accorder une longue vie à la tête de la Russie. Où l’on voit à quel point l’homme est changeant et incapable de fixer le point qui fixe le cap. Il croit voir ce qu’il voit alors que ce qu’il voit est le faux-semblant de ce qu’il devrait voir. On lui dit que le Roi s’installe trois jours à Marseille pour rétablir l’ordre et repeindre sur la façade de la préfecture, de la mairie et du Céleste, « Plus Belle la Vie », et il croit ce verbiage de psychopathe, comme il croit que Marie a couché avec un ange. Triste chose que la pensée de l’homme qui n’a pas évolué d’un pouce depuis près de 100 000 ans. Alors que les peuples se repaissent des fables poutiniennes, macroniennes ou bideniennes. Je me suis nourri du documentaire sur Brigitte Lefèvre. Vous ne pouvez savoir comme c’est bon de côtoyer des vivants.

 

Hier, Arte n’a cessé de tarir d’éloges sur Menuhin et Karajan avec l’excellent film de Clouzot. C’était beau, mais c’était triste. La perfection est le pire ennemi de l’émotion.  Jansen/Abbado ou Rattle - par exemple - m’aurait rempli de joie.     

vu à travers le tube • la russie, un problème ?

Je peux mourir en paix. Le nom de l’homme le plus génial du monde, avec Freud, Bach et Ligeti, l’homme qui a su combiner les sons avec audace et magie sur ses propres textes d’une infaillible poésie à connotation psychanalytique, s’est enfin fait connaître à cette partie majeure du monde qui vit dans l’ignorance des choses de la vie. Hier, on a parlé que de lui. Ce matin encore. Sa grande humilité l’a poussé à se travestir en héros d’une pitoyable affaire de trahison non conclue dont je n’ai compris ni les tenants, ni les aboutissants, et dont je me fiche éperdument. D’autant qu’il y a eu beaucoup plus important. À la gare de Lyon à Paris - pourquoi n’y a-t-il pas une gare de Paris à Lyon ? -, vendredi, un voyageur a été poignardé à la carotide. Ce matin, à Thonon-les-Bains, un ado a tué un homme avec son arme à feu. Hier soir, à Paris, dans le 16^e, un immeuble a pris feu, Ardisson a dit combien il dépensait par semaine. Lapix a été virée de Twitter. « LE COÛT DE LA VIRILITÉ : ce que la France économiserait si les hommes se comportaient comme les femmes », le livre de chevet de la psychopathe Rousseau, est à la une de tous les journaux. Franchement ! Quand vous voyez ce qui se passe en France - et je n’ai écrit que le millième du contenu -, où voyez-vous un problème en Russie ?   

vu à travers le tube • la réponse à la question…

Les anomalies de la nature subjuguent le royaume de France. Elles se donneront en spectacle aujourd’hui, sous le nom de « Marche des Fiertés »., sacrée anomalie, pourtant normalité dans un XXIe siècle plus noir que le noir du fonds de mon puits au fond de mon jardin. Tout s’effondre et on se préoccupe de la mise en valeur des inaboutis psychiques. L’ignorance envahie la planète et on assiste à la disparition totale de la compétence parentale et de celle de l’école. On est dirigé par des chiffres et des lois punitives. Jamais l’homme, à tous les échelons, n’a été autant bafoué, autant humilié, autant violenté. Le beau a disparu au profit du n’importe quoi à consommer sur place. L’homme a perdu la pensée et choisi le troupeau de moutons. La question est bien la question. Plus personne n’ose la poser par peur de la réponse.

vu à travers le tube • quelques aléas de la vie…

Hier à 16 heures, la tornade s’est abattue sur mon immeuble. Nuit noire. Fracas des objets volants en pleine rue. Électricité coupée. Un quart d’heure de cauchemar et le soleil est revenu, pareil au quart d’heure d’avant, insupportable de chaleur et de mépris. Un homme est mort, pas très loin, foudroyé par l’éclair. Deux enfants, presque à côté, sont morts sur l’autoroute dans la voiture qui a fait une embardée. Mon immeuble s’est tout craquelé. C’est sous ses gravats que je vais crever. Bedos - qui n’a ni l’intelligence, ni le talent de son père - a touché une donzelle là où il ne fallait pas. Le jouet sous-marin qui voulait rivaliser avec le grand Titanic a réussi. Il a explosé. Cinq morts subites. L’État a perdu toute autorité. Les voyous font la loi. Rien de grave. Les français partent tous en vacances. Les trains sont pleins à craquer. On me dit qu’avant-hier, la France a fêté la musique. Rien vu. Rien entendu. La série « En Thérapie » est toujours en vente sur Amazon. Je la conseille vivement à ceux qui en ont assez d’être ignorant.

le puits au fond du jardin • choisir… ou pas…

 

 

La seule différence vraisemblable entre l’homme et l’animal, est que l’animal est prisonnier de son instinct, alors que l’homme pense, donc choisit, donc est libre. C’est tout. De quoi réfléchir… toute une vie !

vu à travers le tube • grand guignol…

France. Aujourd’hui. Dans la rue en plein jour. Il y a les poignardés, les frappés, les bousculés, les renversés, les violés, dix, vingt, trente fois par jour. Il y a les nouvelles, les potins, les mensonges vrais, les vérités fausses. Il y a même une majorité de journaux papiers, radios, télévisés, internet, qui se propagent plus vite que la calomnie, qui ont leurs pages « le vrais du faux » et leurs pages « le faux du vrai » dans lesquelles ils s’accusent mutuellement de menteurs, de récupérateurs, de suppôts des communistes, suppôts des cathos, suppôts des musulmans, suppôts de Rousseau, suppôt de Mélenchon, suppôt du Roi de France et maman épousée, suppôts des pédophiles Cohn-Bendit, Mitterrand (F), Lang (J), Il y a même des immeubles qui s’effondrent et les sous-marins qui s’évaporent comme dans les contes que me contaient les fées de mon enfance, qui étaient belles à croquer. Il y a même - aussi - les morts qui gouvernent les peuples morts alors que ni les uns ni les autres ne savent qu’ils sont nés morts. Personne ne peut vivre sans avoir cherché puis trouvé son miroir, sans s’y être regardé, sans s’y être reconnu, sans l’avoir traversé. Personne ne peut vivre sans être rentré dans l’intimité de Freud, le seul homme au monde qui ait compris que le sujet n’était pas là, mais là où il n'est pas. Morts éternels, vous ne pourrez mourir. Je me demande vraiment ce que vous allez bien pouvoir faire de cette éternité macabre et risible sur la scène du Grand Guignol, le théâtre de votre vie !

vu à travers le tube • les horreurs et la pire…

Il y a tellement d’horreurs sur cette terre que je ne sais pas par quoi commencer. Les violences des pauvres gens qui parcourent les rues pour violenter les pauvres gens qui utilisent les rues. Les violences verbales de Mélenchon, de Borne, de Panot, de Macron, de Rousseau, de Darmanin, de Salamé, de Lemoine (M-E), de Cohen (P) et la dernière du vieillard Biden qui traite - en public - le patron de la Chine de dictateur. Quand un vieux con sénile fait tout pour déclencher une guerre atomique, on l’extermine et l'on brûle son corps pour être sûr que l’IA ne le reconstruira pas. Bref. Je ne vais pas faire une analyse des erreurs de l’homme qui est une erreur exemplaire, je vais me contenter - avant de rendre visite à ma voisine de palier et de courir prendre mon café chez mon Leclerc -, de donner mon avis sur la dernière. La dictature macronienne vient de décider d’autoriser la conduite automobile à 17 ans. La voiture est l’arme la plus dangereuse dans ce monde, plus dangereuse que l’Opinel, le fusil de chasse à deux coups, la kalachnikov, le char d’assaut, le bombardier, le missile ogive, la bombe premier prix, la bombe atomique et la langue de salope de Mélenchon. À 17 ans ! À 17 ans où l’on conduit en embrassant les filles, en téléphonant, en gesticulant, en sniffant des poudres blanches. À 17 ans, où le psychisme est à l’état d’embryon et renvoie un reflet disséqué des réalités imaginées. Et puis, le permis en poche, qui va payer la voiture à l’enfant ?    

vu à travers le tube • un chat, un récidiviste et guéguette…

Hier, une demi-heure de noms d’oiseaux chez Praud, où les injures ont fusé - excellent théâtre - entre chroniqueurs et présentateur au sujet d’un chat perdu sous un TGV dont le départ a été retardé afin de débusquer l’animal qui a été enfin trouvé écrasé sous les roues du train quand celui-ci est parti avec dix minutes de retard en raison de l’égarement de la propriétaire du félidé qui ne savait pas que dans une gare, la porte de la cage de son compagnon aurait dû être fermée avec sûreté. L’étourdie a porté plainte et le tribunal aurait condamné la SCNF pour meurtre prémédité. À vérifier, car je ne suis pas allé jusqu’au bout de l’affaire, d’autres chaines m’attendant avec impatience. Et pendant ce temps, à Bordeaux, une vielle femme et sa petite fille ont été molestées par un récidiviste qui a été arrêté et placé en garde à vue alors que la justice voudrait que l’individu aille directement à la case prison pour 40 ans avec châtiments corporels journaliers. D’un côté, un chat. De l’autre, un abruti à l’état sauvage, mais en réalité un grand malade psychique qui le restera si personne ne lui montre le chemin qui mène à la porte du cabinet de Freud. Je sais. Prononcer ou écrire le nom de « Freud » est une injure à l’opinion publique. Mais, comme j’emmerde l’opinion publique, je me permets.

 

Guéguette est morte il y a quelques semaines et elle continue à débiter ses ignobles conneries, chaque soir, à la télévision. C’est indécent !

vu à travers le tube • perdre la vie…

Ferrand est à Macron ce que Rigoletto est à François 1^e, le larbin soumis et pervers de service. On me dit qu’il aurait proposé au Roi un grand rassemblement du centre droit au centre gauche, pour faire face au désastre de l’ère macroniste. Et le sous-alimenté pense ainsi écrabouiller Mélenchon et Le Pen. La France, la vraie, aime Mélenchon et Le Pen, et Macron n’est au pouvoir que grâce à son mensonge, à sa perversité et son jeune âge d’ado au psychisme inabouti, dont sont friandes les femmes de ce pays, majoritaires, qui n’ont toujours pas compris qu’elles ne sont pas la tasse de thé de l’enfant. Bref, Ferrand, sa clique et sa sous-clique jouent avec la naïveté des français qui ne pensent que chefs, dictateurs, monstres sadiques, pour guider leur vie. Il est honteux d’obéir comme il est honteux de commander. La nature profonde de l’homme est la liberté, rien que la liberté. Et pour l’acquérir, je ne vois que Freud. Poussez la porte de son cabinet pour y chercher votre miroir. Trouvez-le, regardez-vous, reconnaissez-vous et traversez votre reflet. Vous rencontrerez votre inconscient et ses multiples liens avec votre conscient. Vous saurez alors que vous êtes et que vous êtes capable d’actionner votre pensée. De vivant-mort vous passerez rapidement à vivant-pensant, ce qui vous permettra de déjouer les pièges des sinistres imbéciles précités qui vous humilient. Prenez votre autonomie et plutôt que de la perdre, préférez perdre la vie.   

vu à travers le tube • salauds d’écolos…

Des écolos - race de monstrueux tarés - ont interrompu, à Glyndebourne, la représentation du superbe opéra de Francis Poulenc « Dialogue des Carmélites », en entrant dans la fosse d'orchestre et actionnant des cornes de brume et en faisant éclater des canons à paillettes. Les huissiers de la maison y ont mis bon ordre. Avec Mélenchon et sa clique, Macron et sa mère épousée, les écolos sont la pire espèce que la terre ait portée depuis qu’elle est admise dans le cirque de l’univers. Si nous voulons survivre encore quelques années, il faut nous débarrasser dans l’urgence de cette merde infecte qui détruit la planète à vitesse grand V. Ensuite, il faudra régler son compte à l’immigration et puis, et surtout, mettre fin à l’ignorance qui infecte toutes les couches de la société. Bonne chance aux nouvelles générations pour qui l’avenir n’est qu’un immense trou noir dans lequel on ne sait jamais si l'on a touché le fond. Mépriser Freud se paie un jour ou l’autre !

vu à travers le tube • les marionnettes en bois vermoulu…

La manifestation est interdite par le préfet, interdiction confirmée par la justice. Donc, la manifestation est formellement interdite et Darmanin a mis sur place 2000 policiers armés jusqu’aux dents pour exterminer tous contrevenants. Alors, expliquez-moi - je n’arrive pas à comprendre - pourquoi depuis hier les manifestants affluent en Maurienne, installent leurs tentes, leurs bistrots, leurs salles de cinéma et occupent les lieux sous le regard de la police du Roi absente, qui ne connaît probablement pas le chemin qui mène sur les lieux du crime. C’était avant que les voyous arrivent qu’il fallait intervenir. Trop tard. Ils sont là et bien décidés à y rester. Et l’effrayante Rousseau, à qui l'on n’a toujours pas coupé la langue, va hurler au viol pendant deux jours. C’est comme la prière dans les écoles d’Estrosi. On a ouvert une enquête, alors qu’il fallait fermer, pour un temps indéterminé, les écoles concernées.  Ce que veut le Roi, c’est semer la zizanie. Pendant que le peuple s’entretue, Sa Majesté tire savamment les ficelles de ses marionnettes pantelantes.  

vu à travers le tube • de mohamed à gérard…

Mohamed Ben Salmane à l’Élysée devrait être un motif suffisant pour destituer le Roi de France. Il n’en sera rien. Le français - dans ce cas, c’est plutôt la française - préfère faire chier - emmerder - les gens intelligents qui sont allés, hier, à Marseille, au spectacle de Depardieu pour l’entendre chanter Barbara. Ces femmes imbéciles et vociférantes ne savent toujours pas que la justice dans la rue est la plus grande régression que puisse connaître une civilisation. Certes, Depardieu à probablement touché l’épiderme de maintes femmes consentantes ou pas - la décortication n’est pas simple -, mais l’acteur, gros comme une barrique, alcoolique à souhait, à un certain talent et un génie certain. Il a une grande intelligence et le sens de la vie gourmande. Il est un des rares humains qui vive non mort. Et c’est sans doute pourquoi il subit les quolibets des femmes avachies. Le spectacle lamentable donné par les donzelles marseillaises état en direct sur Cnews. Je n’ai pas vu ces mêmes abruties débarquer, hier, entre 11h et midi sur le plateau de Morandini qui vient d’être condamné pour à peu près les mêmes faits à de la prison avec sursis et qui a assuré son travail, en direct, durant tout son procès. Un poids, deux mesures. Ce n’est pas joli, joli, mesdames. De toute ma longue vie, je n’ai jamais vu autant de taré(e)s sur cette pauvre terre.   

vu à travers le tube • l’homme au couteau…

L’homme au couteau qui avait opéré à Annecy, avait été jugé sain d’esprit par les psychiatres officiels - ceux qui ont échoué dans leurs études de disséqueurs de cadavres -, comme s’il était possible qu’un être normalement constitué psychiquement soit capable de poignarder des enfants ou toutes autres personnes. Il vient d’être interné à l’hôpital psychiatrique du Vinatier à Bron. Et les psychiatres de la police du Roi restent impunis. Si le mal, le besoin de faire souffrir, est la dominante constante chez la quasi-totalité des hommes - et des femmes évidemment -, c’est qu’ils - elles - ne veulent - ne peuvent - pas faire le lien nécessaire entre leur conscient et leur inconscient. Et c’est pourquoi l’humain est un éternel incomplet, une proie facile, repéré savamment par les innombrables pervers. Depuis que le monde est monde, c’est ainsi, et le sujet n’intéresse personne alors qu’il est le seul sujet de la vie. Et pour comprendre ce que j’écris, il suffit de pousser la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, pour le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaître et le traverser.  Pierre Daco l’a remarquablement expliqué et le Docteur Philippe Dayan, que je côtoie régulièrement, le met superbement en pratique auprès de ses patients. Ce n’est pas là qu’il faut regarder le monde. C’est bien au-delà, derrière le détail sans importance qui conditionne notre vie et celle de tous les autres, par effet de dominos.