Quand il y a une disparition inquiétante, les
radios et télés s’emparent du sujet et nous bombardent de probabilités sournoises,
sériées et déviées, en continu jusqu’à l’abrutissement. Le 3 août disparaissait
- je vous l’ai signalé - Abdel Fedala, le fils du plus grand truand marseillais
et, non seulement personne n’a bronché, mais aucune radio et télé n’en a parlé.
Curieux tout de même, alors que cet homme à fait les beaux ou mauvais - selon -
jours de la télé, chaque soir pendant quinze ou vingt ans, et qu’il allait
reprendre le tournage de l’histoire, dans les studios marseillais, dans les
semaines à venir. Mon pronostic : il a été enlevé. Ayant provoqué un
accident, il a fui à l’étranger. Il s’est suicidé. L’affaire est un coup monté
pour faire de la pub pour le retour de la série.
Sarko a désigné son poulain pour la prochaine élection du Roi de France :
Darmanin. S’il le croit ! J’aurais aimé qu’après la fin de règne de l’ado
au psychisme inachevé, les français songent à inventer la Démocratie. Apparemment,
ce n’est pas encore pour cette fois. Décidément, cette pauvre France en lambeau
vit ses derniers jours avant une dictature à la King Kong-1 et sans doute pire.
Parce que l’inertie des français pourrait bien amener au pouvoir une Rousseau
qui saurait très bien leur faire baver leur lâcheté.
Le maire de Toulouse a interdit le spectacle de
Dieudonné sous prétexte d’effet provocateur et de spectacle malsain. Comment c’est
individu ignorant - le maire - peut-il interdire un spectacle auquel personne n’est
obligé de se rendre ? Sans doute parce que cela arrange bien sa tambouille
politique et que cela le montre comme un grand moraliste qui s’occupe bien de
ses petits poussins crétins. La liberté d’expression, c’est pour tout le monde
et pas seulement pour des humoristes gauchiasses-mélenchiens de France Inter. C’est
ça la dictature. Et tout le monde se tait.
Mare de toutes ces conneries. Je sors. Et je suis
sûr que vous savez où je vais.