vu à travers le tube • dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin…

Le chef d’une secte n’est pas un chef d’État. Le pape n’est qu’un pitoyable influenceur qui propage sans cesse les pires mensonges sur cette terre, mensonges gobés goulument par les ignorants qui habitent la planète. Je ne vois pas pourquoi sa venue à Marseille devrait perturber les travaux de l’Assemblée nationale et je vois encore moins pourquoi le Roi de France va assister à sa messe basse, sinon pour provoquer et encore provoquer les gogos crapauds bavant et rampant. Alors que les pensionnaires d’une prison de France faisaient leur jogging matinal, deux d’entre eux se sont échappés. Superbe, voilà deux places qui se libèrent. Donc, en prison, non seulement, on a la télé, le smartphone, les libertés sexuelles, la nourriture et le logis gratuits, mais de plus, on va tous les matins en promenade, et tout ceci sur le compte du contribuable. Je comprends qu’il y ait tant de criminels en tous genres. Presque la moitié des français ne prennent plus qu’un repas par jour, faute de revenus. Et pourtant, le Roi de France distribue abondamment et généreusement leur argent aux premiers venus comme l’armement dernier cri pour le fou dangereux Zelenski ou l’aide à la Lybie pour inondations. Les milliards dépensés pour les pays étrangers combleraient largement le gouffre financier de la France. La chute du monde n’est due qu’à l’absence de pensée, qu’à l’absence de lien entre le conscient de l’homme et son inconscient. Nous vivons depuis l’aube des temps dans un monde d’enfants qui se prennent pour des grandes personnes. Le plus difficile n’est pas d’abattre Poutine ou les chiottes et chiots mélenchiens, mais de passer de l’adolescence au stade adulte. Il est vrai qu’invoquer le nom de Freud provoque un séisme bien pire que les pires des séismes. Alors, poursuivez votre chute dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin et croupissez-y pour l’éternité. Je ne vois pas d’autres solutions.   

vu à travers le tube • qui ?

Tremblements de terre au Maroc. Inondation en Lybie. Invasions barbares en France. Biden dans le gâtisme. Zelinski dans la démence. Macron hors-piste. Kim Jong-un dans son train fantôme puis dans le secret des alcôves du Tsar de Russie. Mbappé surpayé pour ne rien faire. Une heure de bouchons pour passer une frontière - Suisse/France à Genève - où, pas la moindre présence d’un képi, ni même d’un crâne chauve. L’ignorance, la perversité, le mensonge, qui surplombe le monde et qui s’amplifie. Etc… Etc… Etc… Par quoi commencer ? Trop compliqué, j’en reste là. Je préfère rester sur l’image de Mirga Gražinytė-Tyla conduisant son Mahler hors du monde des hommes. Qui va faire cesser ce mauvais théâtre de marionnettes fracassées qui sévit depuis que l'inhumain est apparu sur terre ?  

vu à travers le tube • la grande ignorance...

Et voilà que des députés soumis - macron-compatibles - s’unissent à des députés insoumis - chiottes et chiots mélenchiens - pour réclamer la naturalisation des immigrés avant de demander l’accueil sans condition de tous les africains et de tous les habitants de divers pays. Ces gens, au psychisme fracassé, veulent le grand remplacement où le blanc sera l’esclave rampant du noir, du rouge, du vert et du bleu. POUAH ! Heureusement, je serai mort et je ne verrai pas le carnage de notre civilisation. L’homme n’aura vraiment jamais atteint le stade anal, n’aura jamais réussi le passage de la crèche à la maternelle. Heureusement, je me serai donné les moyens de connaître quelques exceptions - des raretés -. Le chemin qui mène à notre propre lumière est désespérément vide depuis des siècles et des siècles. L’humain préfère se vautrer dans les fosses septiques qui accueillent les innommables Armanet, Mbappé, Zelenski, les King-Kong rugbystitiques et tant d’autres spécimens monstrueusement monstrueux. C’est son choix dirait la pouffiasse qui sévit depuis mille décennies dans les écrans télés. Faites un micro-trottoir et demander qui est Bottero ou Mahler ou Freud. Demander aussi pourquoi on pond encore de la marmaille alors que personne ne connaît son fonctionnement. Les réponses seront édifiantes… et désespérantes !      

le puits au fond du jardin • mirga gražinytė-tyla…

 

 

Dimanche 10 septembre 2023. 18h30. Lucerne (Suisse). Avec un calme impressionnant, la jeune cheffe lituanienne, Mirga Gražinytė-Tyla, monte au pupitre de l’Orchestre Philharmonique de Munich. Elle va conduire la 2ᵉ symphonie de Gustav Mahler - œuvre grandiose avec soprano, mezzo et grand chœur mixte - à bon port, faisant fi des vagues, des tempêtes et des tsunamis. La capitaine du paquebot a été inflexible. Je n’ai pas reconnu la caresse angoissée d’Abbado, ni la poigne de Rattle. Elle a abandonné le geste au regard - son regard dans le regard de ses musiciens - qui a dominé son voyage dont elle a rejeté d’un revers de main les embûches de l’écriture du compositeur, écriture magnifique qu’elle a savamment ciselé dans une masse sonore d’une prodigieuse clarté. Des pianissimi magiques aux fortissimi pleins, puissants à l’extrême, elle a su comme jamais préserver les silences dont elle a fait le thème de la symphonie. Du premier accord au dernier - 1 heure et 20 minutes plus tard - elle a gardé sa vision minimaliste dans une grande et puissante fresque, entrainant musiciens, solistes, choristes et public dans le lien indéfectible, indestructible, de sa passion. Mirga Gražinytė-Tyla a fait triompher Gustav Mahler, sans gestes, sans mouvement intempestifs, avec sa puissance psychique à laquelle on ne peut résister. Fréquentant Mahler depuis plus de 60 ans, je crois bien l’avoir découvert. Et ce qui est sûr, c’est que mon admiration pour Mirga Gražinytė-Tyla que je suis sur les chaînes Mezzo et Classica, n’aura été que confirmée et même considérablement renforcée. Avec Yuja Wang et Barbara Hannigan, la nouvelle génération de musiciens complets est arrivée. Elle est solidement ancrée. Curieux qu’elle soit placée sous l’autorité du sexe féminin. Il faut en profiter, car les sexes sont en voie de disparition…

vu à travers le tube • cache-misères…

Je viens d’apprendre - il serait temps - que Marie, la jeune vierge qui a trompé son Joseph avec un ange qui lui a fait un enfant, est née de parents stériles. Ce qui me chagrine, c’est que je n’arrive pas à comprendre comment une vierge peut avoir un enfant, comment un ange qui n’a pas de sexe - pas de bâton de maréchal - peut mettre enceinte une femme, comment Marie peut être puisque ses parents ne pouvaient pas avoir d’enfants. S’il s’agissait d’une histoire sortie de la pensée de Lynch, je comprendrais et j’applaudirais, mais il s’agit d’affirmations qui conditionnent les vies de millions de naïfs depuis plus de vingt siècles. C’est grave. Il y a longtemps, c’étaient les dieux à foison. Aujourd’hui, ce sont les dieux uniques. Et les guerres de religions poursuivent leur chemin. Et Freud est toujours ignoré, méprisé, conspué, par Onfray entre autres, un soi-disant philosophe au psychisme fracassé. Tant que l’homme ne comprendra pas qu’il doit impérativement pousser la porte du cabinet du psychanalyste pour y chercher son miroir, pour le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaître et pour le traverser, le monde poursuivra sa chute dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin. Et, qu’on se la dise, ce ne sont pas les joutes rugbystiques qui vont régler ce que l’homme n’a pas su régler depuis son apparition. S’il est toujours sur terre, c’est qu’il n’aura su que se créer des cache-misères.   

vu à travers le tube • le puits au fond de mon jardin…

Si le monde sombre dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin, c’est que le non-sens s’est généralisé, que l’homme ne veut plus marcher sur ses deux pieds et qu’il agit avant de penser, d’autant que sa pensée est absente depuis un certain temps. La télé, la radio et les réseaux sociaux, ne sont pas les lieux pour faire des confidences. Lorsqu’on veut parler, se soulager, c’est chez le psychanalyste, le vrai, le freudien, qu’il faut aller. Rien qu’hier, l’une, très célèbre, informe le monde que, dans sa jeunesse, qu’elle a été victime de l’inceste. Pas son père, précise-t-elle et vite et violemment ! Pourquoi cette femme nous fait-elle entrer dans son intimité ? L’inceste est dans les familles depuis l’aube des temps et le restera quelles que soient les lois. Et cette autre femme, violée très jeune par son coach !  Pourquoi nous donne-t-elle tous les détails en appuyant bien sur les images ? Sans doute le voyeurisme généralisé dans cette société qui se dit avancée parce que nous aurons bientôt tous une puce intégrée qui servira de carte bancaire, de clé d’appartement et de voiture, de wifi, de mails, de « sésame, ouvre-toi », signe évident que le monde est une vaste blague qui marche à reculons, puisque l’inceste et le viol n’ont jamais aussi bien fonctionnés. La connerie aussi ! Ce sont les scientifiques qui tuent le monde. L’avancée ne peut être que l’avancée de la pensée et du discernement. Hélas, elle est en berne et se replie sans cesse sur elle-même. Sans l’analyse des psychismes, le monde ne peut que rester grabataire. Personne ne veut de Freud ! Alors, l’eau et le feu auront raison de ce pauvre homme même pas arrivé au stade de nourrisson.

vu à travers le tube • soleil…

Si le grand remplacement a bien commencé, nous sommes en plein dans le grand effondrement. Les invasions barbares s’accélèrent et la température de cesse de grimper. Nos maisons et immeubles doivent être abattus pour laisser place à des logements en terre ou/et en pierre avec des petites ouvertures. Le sol doit être délivré du béton qui coule à foison depuis plus d’un siècle.  Les moyens de locomotion doivent laisser place aux bœufs, aux mulets, aux ânes et aux chevaux, même s’ils pètent abondamment, et pourtant moins que les femmes et les hommes. Couper un arbre doit être puni de la même manière que le meurtre d’un humain. Le saut en arrière, le retour aux fondamentales, doivent être prioritaires. Lorsque l’école reviendra à l’apprentissage des savoirs indispensables, il faudra créer l’école des parents, obligatoire pour tous les couples hétéros qui voudront des enfants, et demander une aide financière de l’État. Pour les autres : rien ! Un enfant doit être élevé par ses concepteurs, une femme et un homme sachants. Il faudra revoir la vision du monde pour remettre l’homme au centre de toutes les préoccupations. Pour cela, il faudra bien convenir que tout le monde, de 7 à 117 ans, devra pousser la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, pour le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaître et pour le traverser.

 

Je viens de me relire. C’est fou ce que j’écris ! Est-ce moi qui n’ai rien compris, où est-ce le monde qui marche à reculons, dans l’impossibilité de faire fonctionner son cerveau vide ? Personne ne peut admettre le désastre ravageur actuel et tout me monde fait comme si le soleil se levait le matin et se couchait au crépuscule ! Apprendre à regarder… Apprendre à écouter… Apprendre à être libre…   

vu à travers le tube • corruption…

Zelenski, le plus corrompu d’entre tous, limoge ses pairs. Le clown putrifie le monde de son accablante perversion. La guerre se terminera en peau de chagrin et Zelenski et sa bande en ressortiront milliardaires alors que le peuple restera dans la plus crasse misère. Et le Roi de France est acteur dans cette piètre pièce de théâtre jouée devant une salle vide.

 

Pour la suite et fin de ce tube, je laisse Boulevard Voltaire le faire à ma place. Il le fait beaucoup mieux…

 

https://www.bvoltaire.fr/affaire-traore-ce-sont-les-gendarmes-qui-pourraient-demander-des-comptes/

vu à travers le tube • derrière la porte…

La rentrée des classes est un soulagement pour tous, pour les enfants qui vont retrouver leurs potes pour organiser la terreur, pour les parents qui vont enfin être débarrassés de la marmaille qu’ils ont pondue en toute inconscience, sans se poser la moindre question, dont ils confient l’apprentissage de la vie à l’école et à papy et mammy, en raison de leur époustouflante ignorance sur le sujet. L’école obligatoire serait une excellente chose si elle était aussi destinée aux parents. L’école devrait être un lieu de savoir que l’on fréquente toute la vie. C’est l’ignorance - des grands comme des petits - qui provoquent les conflits, les violences et les meurtres. Il est plus important de faire le tour de soi-même que de faire dix ou cent fois le tour du monde. C’est dans le miroir, qu’il faut savoir chercher et savoir trouver, qu'il faut se regarder et se reconnaître pour le traverser afin d’y y découvrir notre lumière. C’est le miroir qui ouvre le chemin de vie qui mène à l’homme authentique, celui qui est à l’opposé du crapaud rampant et baveux qui peuple la terre. Pousser la porte du cabinet de Freud : un geste simple qui peut résoudre tous les problèmes. La société n’est que le reflet de l’homme. Changeons l’homme et nous changerons la société.  

vu à travers le tube • idem aux autres jours…

Quand le mariage aura été interdit, il n’y aura plus d’hommes qui tueront LEUR épouse et plus de cortèges de mariage qui indisposent les populations. Et puis, il n’y aura plus d’enfants élevés en dépits du bon sens qui casseront les vitrines et violeront les vieilles dames dès l’âge de 10 ans. Voilà la priorité des réformes.

 

La sœur de Traoré - celle qui a une meule de foin sur la tête - appelle à une manifestation, ce mardi, à Paris, pour protester contre le non-lieu pour les gendarmes qui auraient trop molesté son voyou de frère. Il faut bouter la meule de foin, hors de nos frontières.

 

Au cours du match Nantes-Marseille (foot), dans les tribunes, une famille a été agressée parce qu’elle manifestait sa joie quand Marseille a marqué un but. Le père qui tentait de défendre sa femme et ses enfants a fait un arrêt cardiaque. Malgré leurs appels, personne - PERSONNE - n’est venu à leur secours. Les stadiers ont tourné la tête. L’homme est à l’hôpital. La famille ne veut pas porter plainte. Elle souhaite s’entretenir avec les stadiers. Quelle stupide naïveté ! Pénétrer dans l’enceinte d’un stade de foot est plus dangereux que de prendre le métro parisien où que de sortir de chez soi après 20 heures. Les stadiers et les responsables de ce match doivent être jugés et croupir en prison avec les rats.  

 

Est-ce la nuit qui appelle le jour ?

vu à travers le tube • chouette !

Les informations fusent en tsunamis permanents. Reprises en boucles pendant des heures - voir des jours - par des médias d’opinions différentes, contraires, elles sont mâchées, décortiquées, disséquées, fracturées, dépecées, déconstruites et réduites à la platitude d’une crêpe sans sa pâte. En Savoie, un paumé récidiviste a massacré son ex-femme. Il n’y a pas à commenter. Le criminel doit rejoindre l’asile psychiatrique pour y conclure sa vie. Dans l’affaire Traoré, les trois policiers incriminés ont obtenu un non-lieu. Cela me parait juste. Et les cris effarouchés de sa sœur, celle qui une meule de foin sur la tête, me paraissent déplacés. Idem dans l’affaire Hedi où la remise en liberté du policier « coupable » d’avoir fait son travail, me parait être une chose sensée. Quant à l’affaire « abaya », j’attends lundi matin avec impatience. Le Roi et Attal ont raison - c’est la première fois en 80 ans que je soutiens un gouvernement - : il faut bouter hors de France tous ces emmerdeurs de religieux, tous, musulmans en tête. Tout le monde sait - sauf ceux qui ne veulent pas savoir - ce qui est caché derrière un arbre qui cache une forêt. La folie du monde s’amplifie, grossit, devient énorme et chacun vaque tranquillement. La surprise va être surprenante. Chouette ! Encore plus chouette : je vous laisse. Je cours chez mon Leclerc prendre mon café, en ne manquant pas de passer saluer ma voisine de palier. Le meilleur moment de la journée.   

vu à travers le tube • misère…

Comme chaque matin, j’ai scruté l’actualité. J’en ai fait le tout et exploré les moindres recoins. On est passé de la diligence à la voiture connectée sans que rien ait changé. Le psychisme de l’homme reste imperturbablement au stade anal sans que qui que ce soit s’en préoccupe. Personne ne semble comprendre que notre monde a perdu ses fondations avant de s’immobiliser sur une branche morte. Si, en regardant la lune, on ne voit plus que le bout du doigt qui la montre, c’est que nous avons perdu nos sens, nous avons perdu le sens. La réalité est la grande invisible. Les paroles sont mensonges. Les idées sont dénis. Les dieux sont morts. Les hommes aussi. L’Homo sapiens aurait environ 300 000 ans. Il n’a pas réussi pendant ce long temps à inventer la Démocratie. En revanche, il a su inventer la misère et son exploitation jusqu’à l’indécence. Plus il se vautre dans les excréments, plus l’homme est fier de lui. Pauvres générations à venir ! Il faudra bien que quelqu’un paye…    

vu à travers le tube • le mammouth a fait pschitt…

Le mammouth n’a même pas accouché d’une petite souris. L’ado au psychisme inabouti qui fait fonction de Roi de France, s’est encore bien foutu des chefs de parti qui l’ont bien cherché puisqu’ils y sont allés. Et la pub faite autour de cette merde est l’ignominie de la politique ignoble imposée par la dictature de la Constitution d’un militaire à la retraite . La hideuse pièce de théâtre aura été à son sommet. De 15 heures à 3 heures du matin, dans le plus grand secret, sans portable, mais avec des plateaux repas, le Roi a réussi la prouesse et le génie de faire cohabiter le RN et les chiottes et chiots de Mélen. Seul notre grand Souverain petit garçon, aura réussi cet exploit. Chapeau !

 

Le Gabon s’est débarrassé de son alzheimerien dictateur et de sa famille, au lendemain de sa réélection entachée de fraudes, comme à l’habitude. J’applaudis des deux mains. J’ignore ce qui va suivre, mais ce ne sera pas pire. Et dire que le Roi de France faisait - il y a peu de temps - la une des journaux, embrassant goulument Ali Bongo ! Comme me le répétait ma grand-mère : « Qui se ressemble s’assemble ! »

 

Au prochain festival de Bayreuth, Philippe Jordan, le fils du grand Armin, va diriger le Ring. Pourquoi cet engouement pour un chef introverti, sec et raide comme un manche à balai ?

vu à travers le tube • échec et fin…

Après le Niger, le Gabon. À peine réélu, Bongo mis au placard. Sur le continent africain, on n’y va pas par quatre chemins. En France, jamais, on ne sort des chemins détournés. Qu’est-ce donc cette démocratie dont personne ne veut et qui n’a jamais été inventée ? Les peuples - tous les peuples - subissent les mensonges et les dénis des coquins malins. Moutons tondus et crapauds baveux, les peuples suivent aveuglément les discours grandiloquents des psychopathes qui les laissent se noyer dans leur ignorance. C’est fini. Le bateau ivre se brise sur les récifs. Je vois, dans mon rêve, mes rêves du passé qui s’entrechoquent, se disloquent et se dissolvent. Peu de vivants auront traversé le miroir. Freud aura été rayé des registres d’état civil. Le discernement aura été l’échec le plus cuisant de l’inhumanité.

vu à travers le tube • abaya dans le baba…

L’interdiction de l’abaya à l’école est enfin un fait acquis, acquis dans le discours, mais pas vraiment dans les faits. Que va faire le chef d’établissement quand plus de la moitié de ses élèves féminins vont se présenter le jour de la rentrée, abayatées et bien décidées à le rester. Va-t-il invoquer la loi et leur demander de se déshabiller ? Va-t-il leur faire rebrousser chemin ? Non ! Il va penser à son cou qu’il ne veut pas voir trancher par ceux qui ont habillé les filles et qui l’auront repéré. Avant de nous réjouir, attendons la suite, la politique n’étant que des paroles suivies de vides plus noirs que le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin.

 

Le Roi - celui de la France - est inflexible. Les malotrus qui ont détrôné le Roi du Niger doivent le retrôner et rentrer chez eux. Et s’ils n’obéissent pas sur le champ, l’ado au psychisme inabouti qui a épousé sa maman chaussera ses éperons, chevauchera son cheval blanc et terrassera lui-même, de son glaive, les usurpateurs. Il serait courageux notre Roi s’il n’était pas un enfant ignorant et méprisant.

 

Hier - en zappant - je suis « tombé » sur les sœurs Bertollet - Théâtre des Champs-Élysées, 2019 -. Je ne peux pas dire qu’elles ne sont pas de bonnes interprètes, mais je reste perplexe devant les débordements excessifs de la pulpeuse violoncelliste face à la réserve glaciale et dépressive de la violoniste. Curieuse impression !