vu à travers le tube • voir ce qui n’est pas vu…

Les mots ont un sens. Ils désignent la chose et lui donnent vie. Ce sur quoi on ne met pas de mots n’existe pas. En cette fin de monde, la guerre des mots s’ajoute aux guerres éternelles des psychopathes, guerres qui n’existeraient pas si les pensées n’étaient pas fracturées par le déni et le mensonge. Les flots de paroles décident de la marche du monde et comme il n’y a rien derrière les mots, les marcheurs s’égarent et se fourvoient. Croire que ou affirmer que n’est que l’addition de deux mots qui n’engage en rien et ne résout rien. Depuis toujours, l’homme ère sur son chemin sans jamais trouver son port d’attache parce qu’il ne sait pas. C’est pour combler son ennui éternel qu’il va voir l’autre qui n’est que lui. J’ai entendu des marmites et des chaudrons de commentaires sur la marche de dimanche. Pas un n’a dit ce qui était : une armée de statuettes mécaniques qui a marché, marché, marché encore, parce qu’on lui a dit que c’était bien. Et pendant ce temps, ce même régiment ne sait pas qu’il vient d’y avoir un nouveau 49.3, que les enfants n’apprennent rien à l’école, que les français n’ont pas de médecins et que les vieux sont relégués dans des prisons pour y mourir dans l’indignité.   

vu à travers le tube • inconscient…

Hier, sincère ou pas, la France, ou presque, a marché contre l’antisémitisme. LFI, trop préoccupée à s’auto-détruire, s’est abstenue. Le Roi, celui qui a initié le fameux et célébrissime mouvement politique « En Marche », pour se faire élire, n’y était pas. Il n’a pas marché. Il n’est pas à une contradiction près, contradictions qui ont fait sa renommée. Ce que dit et ce que fait le Roi à son levé est toujours le contraire de ce que dit et fait le Roi à son coucher. Il n’a pas marché avec la foule. Il l’a scrutée de son canapé, assis confortablement devant sa télé, collé contre les jupes de sa maman, tout en sirotant son thé. L’enfant volatile, dispersé, incapable de suivre le fil de sa pensée, aura été le pire Roi qu’ait connu la Monarchie française. Et comment peut-on comprendre que le RN ait été relégué en fin de cortège et isolé, alors qu’il, est le premier parti d’opposition et que sa leader soit arrivée deux fois au deuxième tour de l’élection au trône du Monarque ? La communion tant scandée dans les radios et télés n’était qu’une mauvaise impression.  C’est toujours derrière l’image qu’est l’image. C’est mainmettant que nous allons voir si ce moment d’illusion profonde tient suffisamment longtemps pour que le monde prenne conscience que le problème est ailleurs. Les fameux « vivre ensemble » et « aimez-vous les uns les autres », ne sont que des stupidités de naïfs indécrottables. Tant que chaque individu n’aura pas poussé la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser, les sociétés resteront brisées, sans la moindre reconstruction possible. La seule guerre qui en vaut la peine, c’est de se battre, à la vie, à la mort, contre son pire ennemi : l’inconscient.    

vu à travers le tube • ignoble…

Puisque l’on fête le 11 novembre, plus d’un siècle après la fin de la guerre de 14/18, pourquoi ne pas fêter toutes les victoires des assassins Charlemagne, Louis XIV, Napoléon, etc… Nous serions ainsi en congés du 1^e janvier au 31 décembre sans avoir le temps de souffler. Pitoyable ces caméras télés qui n’ont pas quitté une seule seconde le masque infantile et pervers du Roi de France pendant la mascarade à l’Arc de Triomphe où dort un inconnu depuis un siècle ou plus ou moins, je ne sais pas et ne veux pas savoir. Les enfants s’amusent sans songer un seul instant à devenir adultes. Fêter les morts - surtout ceux qui, presque en totalité, ont été envoyés de force à la guerre sous peine de mort – c’est ignorer et mépriser les vivants qui ne savent pas qu’eux aussi sont morts parce que jamais, on ne leur a donné le mode d’emploi pour vivre leur vie et pas celle des autres. Tout est erreur dans l’erreur de ce monde. Il y a eu Homère, Voltaire, quelques autres. Et aujourd’hui ? Rien. Le vide sidéral d’où sortent des hachis de mots - irrespirables - des langues pantelantes des politiques, des économistes, des journalistes et de tous ces donneurs de leçons qui arrosent le monde de leurs ignominies.  

vu à travers le tube • stupidité et ignorance…

Le stupide enfant au psychisme inabouti, Roi de France, depuis Londres et en anglais – quel panache ! –, donne l’ordre à Israël de cesser de tenter d’exterminer les terroristes qui ont violé, supplicié et massacré ses enfants. Où l’on voit bien que le stupide Roi est, comme toujours, hors-champ. Toute guerre est scandaleuse, ignoble, sadique et contre les principes inventés par les humains. Ce qui n’empêche les humains de faire la guerre depuis l’aube des temps et de massacrer femmes et enfants. C’est inscrit dans sa nature. Et de quel droit votre Roi – je ne suis pour rien dans son accession au trône des criminels Charlemagne, Louis XIV ou Napoléon – se permet-il de donner des ordres à un pays étranger qui a été humilié et meurtri par des bêtes inhumaines ? Israël règle ses comptes à sa manière et c’est bien ainsi. Et le Roi, toujours ce même Roi, va fuir la marche de dimanche après-midi, ce qui le rend complice des chiottes et chiots de Mélenchien et ce qui lui évitera – aussi – d’être aux côtés, et en public, des amis de Marine Le Pen, dont le parti est sans cesse harcelé, ce qui tombe sous le coup de la loi. Le Roi n’est pas très courageux. Il n’est qu’un enfant gâté, prétentieux et méprisant qui ne respire que sous les jupes de sa maman.

 

La France est gangrenée par ses élus, quel qu'en soit le bord, ses journalistes et ses commentateurs professionnels qui pullulent sur les ondes et les écrans. Les débats continus sur les chaines d’informations continues sont affligeants par l’aplomb de ces moulins à paroles ignorants. Et si on a le malheur de brancher la radio ou la télé, on se retrouve de suite à l’église pour le catéchisme ou à l’école pour la  morale et la politesse assénées aux années 50. La France ne cesse d’avancer à reculons. Et nous, on marche dépourvu, dans cette parodie de parodies sans fin.     

t'a-t-on dit...

 

t’a-t-on dit

que tu es un porc

parce que ton corps

est pourvu d’un épi

 

t’a-t-on dit

que ton épi se dresse

parce que sa détresse

est le moteur de ta vie

 

t’a-t-on dit

que c’est la liberté

que tu dois trouver

pour vivre la vie

 

que ton corps enserre

et que tu dois tuer

pour pouvoir libérer

celle qui t’est si chère

 

Poèmes improvisés en vers et parfois en prose

Hervé Auguste Gallien

vu à travers le tube • effrois et effarements…

Le Conseil d’État a annulé la dissolution des Soulèvements de la Terre, association de terroristes écolos. Je propose la dissolution du Conseil d’État.

 

La marche contre l’antisémitisme, de ce dimanche, est devenue la marche crapuleuse des crapules de la politique qui n’ont rien à faire des massacres perpétués contre Israël dignes de la période hitlérienne. L’unité voulue – ou pas – par les deux corbeaux du perchoir, est passée dans les oubliettes et fracture encore plus la France fracassée et agonisante, sous les yeux de son Roi maudit qui aura achevé la mourante sans que le peuple élève la voix. Les seuls qui aboient haut et fort sont les chiottes et chiots de Mélenchien. Ça ne compte pas. Ce sont des animaux des plus mauvais cirques.  Qu’on m’explique pourquoi Serge Klarsfeld, le chasseur de nazis, se réjouit de la participation du RN au rassemblement et s’inquiète de la résurgence d’un antiféminisme chez les animaux sauvages que je citais précédemment.

 

Le très sérieux magazine Géo nous informe de la découverte d’un animal hybride issu d’une copulation entre un renard et un chien domestique. Et voilà où nous mènent le wokisme, le LGBTQSKN, et l’immonde connerie de leurs satellites. Le bébé qui résulte de leurs amours ne peut être baptisé, car il n’est pas identifié. On ne sait même pas s’il s’agit d’un rechien ou d’un chienard. Ce qu’on sait, par contre, c’est qu’il est bien le fruit de deux homos.

 

vu à travers le tube • les corbeaux de la fontaine…

Maitresse et Maitre Corbeaux, de leur perchoir respectif, ont initié pour ce dimanche, une marche contre l’antisémitisme avec déjà une première restriction : ils ne marcheront pas au côté du RN de Marine Le Pen. La restriction a fait des petits. Pour être bien séparé du parti du diable, d’autres crétins demandent un « cordon sanitaire » et d’autres – crétins aussi – supplient le Roi de France de l’exclure de la marche par un 49.3. Et le crétin Roi lui-même, réuni aujourd’hui un conseil de 80 chefs d’État – 80, waouh ! – pour décider de ce qu’ils pourraient faire pour empêcher Israël de se défendre contre les terroristes qui l’ont terrorisé. Quant aux chiottes et chiots de Mélenchien, ils ont décidé ne pas être de la partie, l’antisémitisme n’ayant pour eux aucun attrait et la peur d'être lynchés l'emportant sur leur envie d'aboyer. Les deux oiseaux perchés ont, semble-t-il, semé le bordel, pour ne pas dire la panique. Pour ma part, j’ai compris que cette marche fatidique était organisée pour le citoyen qui avait le loisir d’y venir ou pas, selon ses convictions et non pas pour que les partis politiques viennent se foutre sur la gueule dans les rues de Paris. L’antisémitisme mérite une autre considération que ces piteuses querelles de clocher. La France est si abimée que rien ne pourra la relever. L’enfant inabouti a cassé son jouet. Les débris sont dans le camion-benne chargé des sacs-poubelle, en marche vers la déchèterie.       

vu à travers le tube (bis) • chiottes et chiots et toute la suite…

Les chiottes et chiots de  Mélenchien refuse de marcher contre l’antisémitisme, marche organisée, ce samedi, par les deux volatiles du perchoir. Par contre le Rassemblement Nationale a dit y aller de bon cœur. Et de suite, véreux Véran, porte-parole du gouvernement Borne, à la botte du Roi de France, a dit que les lepeniens n’étaient pas admis dans le cortège, parce qu’ils ne sont pas français. Moi, je n’y comprends plus rien, et ce n’est pas grave parce qu’il n’y a rien à comprendre. Je laisse ces pitoyables batraciens à leurs petites occupations. Que l’Ukraine, la Russie, Israël, la Pamestine, l’Europe et le monde croulent sous les bombes, je n’en ai rien à faire. Bientôt, je vais aller à Lucerne, écouter la 6e de Mahler, dirigée par le grand, l’immense Simon Rattle. Après, je pourrai mourir pleinement satisfait.

vu à travers le tube • et hop ! et plus…

Et hop ! Ni vu ni connu, la godillote Premier Ministre du Roi a dégainé, hier soir, son seizième 49.3. Et personne ne songe à prendre les armes. Et hop ! Le PSG est tombé. Le ballon a couru plus vite que Mbappé.

 

Au début des mondes, les guerres ont commencé entre les anges et les démons. Les anges avaient des ailes, les démons des doigts crochus. Tout de suite, il y a eu les traitres. Des anges et des démons ont copulé entre eux et se sont multipliés. Aujourd’hui, on n’arrive plus à les discerner. Les gentils sont méchants. Les méchants sont gentils. Les gens de droite sont à gauche. Les gens de gauche sont à droite. Les hommes sont des femmes. Les femmes sont des hommes. La parole s’est désolidarisée de l’acte. L’acte s’est désolidarisé de la parole. Le mélange des genres brouille la vue, parasite le son et interdit le discernement. Discerner, c’est faire la part des choses, en faire le tri et bien les séparer en toute sécurité. Comprendre l’autre est un travail acharné de toute une vie. Quand jésus a dit : « Aimez-vous les uns les autres ! » il a fait une terrorisante boulette, car il prônait le mélange des genres, des races, des idées, de toutes les innombrables incompatibilités. Jésus n’était qu’un ado inabouti prisonnier de ses origines : une mère vierge et un père sans sexe. Voir et entendre, c’est accéder au stade adulte, ce qui n’est possible qu’en ayant la capacité de s’identifier précisément. Le travail d’identification ne peut se faire sans l’aide d’un sachant spécialiste du psychisme. J’en arrive donc à ma conclusion, qui ne cesse d’agacer les populations et leurs gourous. Sans ouvrir la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, pour le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaître et pour le traverser, l’homme ne sera jamais homme. Toujours, il restera le petit enfant coincé sous les jupes de sa maman et toujours, il manquera cruellement de discernement pour mener sa vie et – souvent – celle des autres, au port d’attache qui est le sien.  

vu à travers le tube • la terrible nouvelle…

La nouvelle du jour, l’information la plus importante, bien au-delà des joutes israélo-hamassiennes, ukraino-russiennes et de la vengeance de la nature dans le nord de la France, c’est l’exclusion – temporaire - de sa secte, de l’insoumise Garrido qui a cessé de se soumettre - le temps de trois ou quatre mots - au Grand Prêtre de l’Inquisition mélenchienne, Mélenchien en personne. Alors que la devise de ces tarés, c’est INSOUMISSION, même ses membres influents n’ont pas le droit de s’insoumettre, surtout à l’égard du gourou, ce qu’à fait notre pauvre Raquel. Ce crime de lèse-majesté lui a valu une infâme punition. Elle sera désormais montrée du doigt et jetée, nue, en pâture à la foule déchaînée. Quatre mois sans pouvoir se montrer au côté de Panot et Rousseau. Waouh ! Quelle abomination ! Comment la France va-t-elle pouvoir se passer de ses Trois Grâces, dont le tableau orne si bien le célèbre hémicycle bien inutile depuis si longtemps ? Et pendant ce temps, Dupond-M. vocifère devant ses juges et les fixe d’un regard noir, comme dans Carmen. Et aussi pendant ce temps, le Sénat papote sur l’immigration, alors que ce que veut le peuple, c’est sa mort sans aucun délai. Et puis, il y a aussi le renvoi de Cédric Jubillar devant les assises, pour l’assassinat supposé de sa femme Delphine, dont le corps a disparu il y a trois ans. Et si ce corps était au Paraguay ou au Caucase, avec le corps de son amant ?

vu à travers le tube • dupond-m. et d’autres restes…

 Dois-je évoquer, ici, le bourbier provoqué par le début du procès – ce matin – du gros, gras et pervers godillot-ministre de la Justice du Roi, Dupond-M., qui – c’est rigolo ou scandaleux, selon – retrouve les salles d’audience dans l’autre sens, celui des incriminés. J’en connais qui, avant leur passage devant les juges, auraient été démissionnés de leur fonction ou – mieux – auraient démissionné sans qu’on ait besoin de le leur souffler. Mais, Monsieur Dupond-M. n’a rien à se reprocher selon ses convictions. Il continue sa mission qui est de surveiller le bon fonctionnement de la Justice qui n’a jamais si mal fonctionné. C’est dans quelques jours que nous saurons si la Justice du Roi est toujours la même pour tout le monde.

 

Et, dans le même temps, le projet de loi immigration arrive au Sénat. Je suis prêt à parier qu’il passera comme une lettre dans la fente de la boite, grâce à notre célèbre 49.3 que le monde entier nous envie. Et dans le même temps que ce même temps, le Roi convoque encore les chefs de partis pour leur demander comment fonctionne un référendum. Moi, je sais. On écrit oui ou non sur une feuille de papier qu’on glisse dans la fente et le tour est joué. Que de temps et d’argent perdus dans notre pitoyable Ve République qui n’a toujours pas inventé la Démocratie.

 

Hier, j’ai encore entendu et vu Beczala à la télé. Il mourrait encore dans je ne sais quel Donizetti. Il n’est pas encore tombé aussi profondément qu’Alagna, mais ça vient. Plus qu'une marche ou deux…    

vu à travers le tube • quel échec cuisant…

La majorité des députés ne veulent pas du projet de loi de financement de la sécurité sociale. La majorité des français, non plus. Pour la 15^e fois, la godillotte 1^e Ministre de gauche du Roi ni de gauche, ni de droite, ni du centre, ni d’ailleurs, leur jette à la figure son 49.3. Projet de loi adopté sans débat. Point final. Après point final, chiottes et chiots posent motion de censure. Motion de censure rejetée. Re-point final. Motion adoptée. La France est gouvernée par décrets sur décrets du Roi. Et les sinistres cons de nous rabâcher que la France est fière de sa démocratie. Qui voit donc une démocratie ? Et où ? Le danger, c’est notre monarchie dictatoriale qui emporte tout sur son passage. N’ayant jamais existe, j’ignore si la Démocratie est le bon moyen pour faire fonctionner un pays. Je sais seulement que toutes les autres formes de gouvernances ont toutes échouées. Alors, pourquoi ne pas essayer, en commençant par respecter scrupuleusement l’avis du parlement sans lui mettre le moindre bâton dans les roues.

 

Et les guerres continues, se propagent, engouffrent les vies, terrorisent la race humaine depuis son avènement. Aucune cervelle pour chercher la paix. La guerre est – a toujours été -, comme les religions, l’instrument du pouvoir, l’instrument de l’humiliation. Israël, Ukraine, Burkina-Faso et mille autres toujours vivaces, mais aussi le vent et la pluie qui aujourd’hui – en 2023 à l’ère de l’intelligence artificielle – stoppent les trains, coupent les lumières, renversent les maisons, devant l’inaction et l’incapacité du « génie » humain. Plus personne ne sait où nous allons. Mais, ce qui est sûr, c’est que nous y allons. Quel échec cuisant !     

vu à travers le tube • guerre et opéra…

Les choses sont pourtant claires. Les otages israéliens sont dans le gruyère du sous-sol de Gaza. Tenter d’y pénétrer et d’abattre les terroristes, pour les sauver, serait un massacre total et la mort des otages. Faire une pause, comme le demande les ronds-de-cuir sirotant leur whisky, serait une perte de temps – si précieuse – et un avantage considérable accordé à l'Hamas. L’homme n’a pas la connaissance pour répondre à cette équation et c’est pourquoi cette guerre qui va s’étendre à tout le continent et au-delà, et, comme toutes les guerres, se terminera dans le sang avec, une fois encore, que des perdants. L’homme aime la guerre. C’est sa nature première. Qu’il commence donc, devant son miroir, à se demander pourquoi. Il en mourra d’effroi.  

 

Il n’y a pas que Lazare qui a été ressuscité. Les Beatles aussi. Ils étaient pourtant si bien sous la terre où on ne les entendait plus. J’espère qu’ils vont penser à ressusciter Caruso, l’opéra manquant cruellement de ténor, denrée aussi rare que le dinosaure.  

vu à travers le tube (bis) • 78%...

Le dernier sondage CSA indique que 78% de français estiment que l’Islam est un danger pour la France. Ce n’est pas le premier sondage qui le dit, ni le dernier. Qu’attend le Roi de France pour agir en AGISSANT ? La compassion, le ménagement et le compromis, ne sont plus de mise. Nos vies en dépendent !

vu à travers le tube • il n’y a pas de solution au problème…

De la fenêtre de mon appartement, rien ne change. Les bouchons succèdent aux bouchons. Les klaxons rugissent impunément. Les pompiers et ambulances foncent au travers de l’obstacle comme Bourvil passait à travers les murs. Il ne se passe rien de plus qu’à ma naissance, il y a beaucoup de décennies. Dans la lucarne de ma télé, c’est tout le contraire. À Dorothée, Patrice Laffont ou Léon Zitrone, a succédé la haine et la fourberie de l’homme, qui jamais, depuis la Saint-Barthélemy ou la Guerre de Cent ans, n’a été aussi terrifiante. Ce pauvre homme, crétin et imbécile, n’a toujours pas compris qu’il était un grand handicapé de la connaissance et que s’il se décidait à massacrer l’ignorance qu’il a de son psychisme, il naîtrait enfin à la vie que jamais, il n’a réussi à atteindre. Vivre mort ne semble pas le déranger, sans doute parce qu’il n’a même pas la capacité de voir qu’il n’est que cadavre pourrissant et ambulant. Le seul héros de l’histoire de l’humanité, Siegmund Freud, lui a pourtant donné les moyens de grandir dans la confiance et de se débarrasser de son armure qui l’empêche de voir, d’entendre et de respirer. Mais, paradoxe étrange, il préfère passer sa vie, corseté dans sa protection, plutôt que d’en sortir pour goûter la liberté et connaitre la joie de l’expression. L’homme est un grand malade pitoyable qui empoisonne le monde. Et, ce pauvre minable, geint et chiale à tout instant. Si seulement il avait la capacité de comprendre qu’il lui suffit de pousser la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, pour le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaître et pour le traverser, il ne verrait plus jamais les horreurs de la guerre, les horreurs des religions, les horreurs de la politique, les horreurs de la famille. Il vivrait seul, avec lui-même, avec ses doubles et ses miroirs, dans une entente apaisante et sereine. Et tant qu’il ne reconnaîtra pas qu’il reste une erreur dans une attente qui ne pourra venir, il n’y a pas de solution au problème.