vendredi 2 février 2024

vu à travers le tube • attal-macron, macron-attal et les non-sages…

Il est évident qu’Attal est anti-Macron et qu’il a l’audace de l’honorer tout en le trompant. Et c’est ce qui fait sa prestance et sa popularité. Ça ne va pas durer, ledit Macron écrasant sans pitié tout ce qui s’érige sur son parcours solitaire et criminel. Les agriculteurs rentrent provisoirement dans leur ferme parce qu’Attal a su trouver les mots adéquats alors que ceux de Macron ne font que les pousser à la révolution. Pourtant, les deux compères disent les mêmes choses tout en disant le contraire. La proximité du salon de l’agriculture et des inutiles et ruineux jeux olympiques ne laissaient guère le choix à nos deux autorités mortes de trouilles : céder ou faire semblant afin que ces deux manifestations se déroulent dans de bonnes conditions. Rien n’est joué. Peut-être même que tout commence. La suite ne va guère laisser de temps pour se manifester. Bravo aux paysans de France qui ont su, le temps d’un instant, être les maîtres des horloges en place de l’ado au psychisme inabouti qui se cache sous les jupes de sa maman. Pour ma part, ce qui m’a fait sauter de joie, c’est le coup de bâton donné aux sinistres écolos en annonçant la mise en pause du plan Ecophyto, visant à réduire l'usage de pesticides. Tout ce qui peut clouer le bec à ces tarés, rallonge ma vie de plusieurs décennies.

 

Quand va-t-on cesser de nommer « Sages » les vieillards corrompus du Conseil Constitutionnel. Je me demande s’ils vont encore être consultés sur l’attitude du Sénat remettant en cause la censure scélérate qu’ils ont opérée envers la loi immigration. En effet, les sénateurs centristes ont déposé un texte reprenant les nombreuses mesures que les constitutionnalistes – à vérifier -, ont jetées dans le bûcher des forfaitures.

jeudi 1 février 2024

vu à travers le tube • anatomie de la chute…

Le peuple et ses dirigeants ne veulent pas comprendre que le cancer foudroyant de la France, c’est la psychose ravageuse de l’écologie et l’invasion barbare de l’immigration. C’est de même pour nombre de pays. Il est vrai que, plus grave encore, c’est l’ignorance généralisée qui pousse les masses et les intellos sur les chemins détournés où l’on ne rencontre que les sorcières et les monstres de nos beaux contes de fées destinés aux adultes assumés. Parmi les milliers d’aberrations vérifiées, de la journée d’hier, il restera l’image des chars d’assauts du Roi de France face aux tracteurs des paysans qui n’ont plus les moyens de nourrir leur famille et de vivre décemment, alors qu’ils sont les seuls à travailler sans interruption du premier au dernier jour de l’année, pendant que les représentants du peuple – députés et sénateurs – augmentent leurs confortables revenus sous prétexte qu’ils auraient des frais de poche exubérants. Et le Roi, cet ado poisseux inabouti qui se réfugie sous les jupes de sa maman qu’il a épousée, profite de leur détresse pour les arrêter et les mettre en garde à vue. Jamais la France n’a fait preuve d’autant de lâcheté. Honte à tous ceux qui se précipitent aux urnes pour donner des pouvoirs à ces misérables excréments. La France est passée totalement à côté de la démocratie. Sa dictature inavouée est bien pire que celle des pays totalitaires, parce que chez eux, la couleur est annoncée. Rien n’arrêtera la chute déjà bien amorcée. Le noir s’étend lentement et sûrement. La fin de ce monde est une aubaine, car elle peut laisser espérer un nouveau monde à venir, un monde où l’humain – s’il n’est pas robot-inintelligence artificielle - , n’inventera ni la roue, ni la corde à sauter, mais s’occupera uniquement de son psychisme, s’il ne veut pas reproduire les incompréhensibles erreurs de toutes les civilisations. J’espère que les nouveaux peuples retrouveront dans les bas-fonds, au moins un exemplaire de l’œuvre de Freud ou, peut-être, de Dolto.  Cela pourrait considérablement les aider.   


mercredi 31 janvier 2024

vu à travers le tube • les confusions scélérates…

Être français en 2024, c’est être homosexuel et Premier ministre. C’est ainsi que l’on pourrait résumer le débit assumé du jeune Attal qui a affirmé son appartenance servile au mouvement macronien des macronistes de l’ado au psychisme inabouti qui a élu domicile sous les jupes de sa maman. L’homosexualité n’est ni une tare, ni une maladie. Ce n’est qu’un inaboutissement du psychisme qui empêche les différentiations. Qui se ressemble s’assemble. Et il semblerait bien que le duo qui décide au sommet – l’un décidant, l’autre répétant les décisions – ne puisse que continuer à plonger la France dans la confusion. C’est la confusion qui tend le fil de la destinée et qui, cédant sous le poids des contradictions, provoque les tempêtes qui engloutissent jusqu’à recouvrir le monde. Nous en sommes là et les horizons fermés à tout jamais, ne laissent plus passer la moindre ombre qui pourrait réveiller les morts qui ne sont pas encore sous terre. La confusion est essentiellement dans l’identité que nous nous sommes données. Nous croyons la France républicaine et démocratique alors qu’elle n’est qu’une banale dictature où le roi-dictateur fait régner multiples confusions qui s’entrechoquent, se contredirent et sèment le désordre, la panique et le malheur. C’est le système électoral qu’il faut changer du tout au tout, en responsabilisant lourdement les élus qui ne tiennent pas leurs promesses. Chacun devrait savoir que les problèmes sociétaux sont liés étroitement aux décideurs élus, et que donc la question qui se pose est : « Qui les a élus ? » Peuple de France, TU es responsable de la chienlit actuelle. Moi, pas, je ne vote pas. Je ne vote plus. Tout le monde devrait savoir que le peuple est une somme d’individu. Changer le pouvoir, c’est changer le peuple, c’est changer l’individu. Et c’est donc par ce dernier qu’il faut commencer. Et pour le changer, il faut le débarrasser de ses oripeaux, de ses faux-semblants, de ses représentations psychiques. Il ne cesse de croire ce qu’il ne croit pas. Il ne cesse d’âtre ce qu’il n’est pas. Les confusions sont abyssales. Aussi, je me répète et j’en suis désolé. Pour se trouver, pour être soi-même, il suffit de pousser la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, pour le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaître et pour le traverser. Ce n’est vraiment pas très compliqué.  

mardi 30 janvier 2024

vu à travers le tube • une fin de civilisation…

Le discours en Suède de l’ado au psychisme inabouti va se télescoper avec celui de politique générale du Premier ministre Attal. Ils seront inaudibles, couverts par les vrombissements des moteurs des tracteurs des paysans. Dans un moment crucial pour la survie du pays, le dictateur fuit. Après l’inde, c’est la Suède, puis sera Bruxelles pour discourir et ne pas agir, alors que sa place est à Paris, mieux, sur les routes de France, aux côtés des délaissés, pour leur affirmer que plus jamais un poulet venant d’Ukraine ne franchira nos frontières supposées. Plus coupable que la cour royale et ses dérivés, les oppositions qui ne cessent d’aboyer, ne sont même pas capables de casser les chaînes qui les maintiennent loin de la maison, pour mordre et dévorer les excréments qui empêchent de remettre les têtes où elles auraient dû toujours être et non plus à la place des pieds. Avec les agriculteurs, les taxis, le personnel communal d’Annecy, la CGT entre dans la danse en déposant un avis de grève de 6 mois, dès ce lundi et d’autres vont suivre. Le temps n’est plus aux mots, mais aux décisions immédiates sous forme de pansements géants, parce que pour régler tous ces innombrables problèmes, les appartenances politiques ne sont que des piteuses illusions. Changer le monde atteint d’un cancer en phase terminale, demande autre chose qu’un jeu d’enfants. Trouver le chemin à prendre demande discernement et connaissance des fondamentales. Seuls les esprits éclairés, seuls les psychismes élaborés, sont capables de bouger les pions. Le problème est de les trouver parmi les peuples morts avant leur naissance et dont la vie est la pire des illusions. Je ne vois que la sagesse d’Abbado. Il est mort. Ou l’innocence ravageuse de Wang. Elle est trop jeune. Il ne reste donc que Freud, toujours bien vivant au travers de sa thérapie psychanalytique qui pourrait renverser le monde si le monde, mort de trouille devant les réalités exposées par le maître, ne le fuyait pas comme la peste, préférant rester dans son état naturel : l’ignorance. Et c’est bien l’ignorance des peuples qui augure la fin proche de notre civilisation.


lundi 29 janvier 2024

vu à travers le tube • noir, noir, noir…

De partout, on annonce un lundi noir. Pourquoi la question « pourquoi ? » est-elle bannie de notre vocabulaire, comme Freud est banni de la solution ? En quoi ce lundi noir se différencie-t-il des autres jours, alors que tous les lundis sont noirs depuis le début des temps, comme sont noirs les mardis, les mercredis, les jeudis, les vendredis, les samedis, et les dimanches ? Depuis toujours, nous vivons dans le noir puisque nous refusons de mettre notre psychisme au centre de toutes nos pensées, de tous nos désirs et de toutes nos décisions. Celui qui n’a pas appris à relier son conscient à son inconscient est un être mort, car la vie ne peut surgir que de cette connexion. Et passer sa vie à rencontrer des morts qui se croient vivants n’est pas une partie de plaisir. Le problème des agriculteurs est le problème du monde : ignorance personnelle, ignorance des élites, ignorance des sociétés, ignorance générale qui conduisent en effet aux lundis noirs et surtout dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin où croupissent tous les échecs du monde, de ce monde qui a rejeté Freud et sa thérapie psychanalytique, seul remède à la régénérescence de ce monde en perdition. C’est l’homme qu’il faut sauver. C’est l’homme qu’il faut remodeler. C’est l’homme qu’il faut transformer pour qu’il devienne authentique, pour qu’il devienne homme, l’homme qui pense et agit en homme conscient de ses représentations psychiques.   

dimanche 28 janvier 2024

vu à travers le tube • deux ou trois choses insignifiantes…

À Grésy-sur-Aix en Savoie, des inaboutis psychiques qui défendent la souffrance des asticots ou petits poissons vendus chez Decathlon et destinés à être accrochés au bout de la ligne des pêcheurs pour attirer le gros poisson qui atterrira dans notre assiette pour le bien-être de notre estomac, ont manifesté leur colère en bloquant les portes du magasin et en malmenant les clients. À leur inaboutissement, se superpose la connerie dévastatrice de cette fin de civilisation.

 

154 ans après le siège de Paris - épisode de la guerre franco-allemande de 1870 -, les agriculteurs reprendront le processus dès demain et comptent bien isoler les parisiens du monde et les regarder périr lentement par la soif et par la faim, ce qui ne sera pas vraiment dramatique quand on songe qu’ils pourraient bien terminer leur vie, rongés par les gros rats sales de Paris qu’affectionne particulièrement Madame Hidalgo.  

 

Les doutes sur l’avenir de la voiture électrique se font de plus en plus insistant. Si l’on fait bien les comptes, l’engin du futur serait bien plus polluant que la bonne vieille Traction avant. L’Europe serait en train de revoir sa politique, en différant la date de l’interdiction des véhicules à combustion. Voilà une bonne nouvelle. Je vais pouvoir ressortir ma 2 Chevaux de 1958 et parcourir les routes de France en tripotant mon essuie-glace manuel. Et puis, quelle chance : pas de clim’.     

samedi 27 janvier 2024

vu à travers le tube • l’ado inabouti…

Attal semblait faire bouger les lignes de l’Éducation nationale. Le Roi l’a vite déplacé. Les agriculteurs réclament le droit de ne pas mourir, en bloquant des routes et en bousant les préfectures. Imitant Louis XVI, le Roi fuit le problème, pas à Varennes, mais à l'Inde. Avant, il aura réussi à faire voter une loi qu’il ne voulait pas, une loi qui aurait peut-être – pas sûr – limiter le désastre de l’immigration, et la faire détricoter par les menteurs pervers du Conseil constitutionnel. On pourrait écrire un livre de 2430 pages avec les méfaits de ce genre, engendrés par les « sans foi ni loi » qui nous gouvernent depuis des siècles. Les grèves, les manifestations, les révolutions, ne servent à rien. On retombe toujours sur nos pattes cassées : la soumission au monarque totalitaire que nous nommons ou qui se nomme lui-même. Cela ne changera pas, sauf si les ados inaboutis que nous sommes, décident enfin de franchir le pas : consulter Freud pour devenir adultes. Combien d’individus savent qui est cet homme – le seul probablement depuis le commencement des temps – et ce qu’on y fait dans son cabinet ?


vendredi 26 janvier 2024

vu à travers le tube • la france, c’est fini…

Le Sage est celui qui a la capacité de comprendre et de juger justement toutes choses. Dans la monarchie totalitaire macroniste, il est le valet de pied du pouvoir, le modèle de la soumission, comme savent si bien le faire Fabius et Juppé. Alors que l’enfant au psychisme inachevé est en cavale, le club des retraités a donné les clés de la France aux fidèles des Frères Musulmans et aux voyous et criminels que nous envoient les pays étrangers. La droite a été trahie honteusement. La gauche, qui défend les violeurs et les bourreaux des corps, trahie aussi, puisqu’elle ne veut pas de loi réglementant l’immigration. Seul le pouvoir et ses soutiens robotisés crient victoire, le texte censuré ayant été vidé de sa substance droitière. Une fois encore, les imbéciles du pouvoir auront fait le jeu des droites dures qui restent, pour moi, socialiste de souche, convaincu et orphelin, une excellente chose. Seul – si l’on excepte Freud – un référendum sur l’immigration pourrait sauver momentanément la France à l’agonie. Mais l’enfant ignorant et capricieux n’en veut pas. Il aime savourer les souffrances. Et comme il est le seul à décider de notre sort à tous, c’est foutu. Bof ! Elle – la France – aura eu de beaux jours avec Lully, Rousseau, Jouvet, Beaudelaire, Bardot et Huppert. Ce n’est pas si mal. Elle peut disparaître sans regret, ce qui sera fait dans moins de deux décennies. Tant mieux et je m’en réjouis.    

jeudi 25 janvier 2024

vu à travers le tube • la révolte des paysans…

À l’Assemblée, on débat sur la stupide entrée de l’IVG dans la Constitution, alors que la France est en état de siège, ses forces vives, les paysans, n’en pouvant plus de travailler, sans relâche, pour perdre de l’argent, alors que ceux qui en ont, se payent du bon temps et ne cessent de demander plus.  Comment peut-on concevoir que ce soient les pauvres qui doivent nourrir les riches ? Comment concevoir que les gens de la terre nourricière soient dans une telle détresse ? Comment concevoir qu’aucun gouvernement n’ait mis bon ordre à ce scandale. Oui, la situation de ces gens est un scandale d’État. Et il ne peut y avoir de solutions parce que toutes les idées et les propositions sortent du même moule dont sont issus tous les politiques et leurs subordonnés. Je ne vois aucune différence entre le cerveau de Macron, de Le Pen, de Mélenchon, de mon boucher, de ma boulangère et du commissaire de ma police municipale. Ils sortent tous du même trou, celui de la femme coupable dont le psychisme est lézardé et fracturé à un tel point qu’il est en train de s’écrouler. C’est à l’homme qu’il faut s’attaquer. C’est l’homme qu’il faut reconstruire, qu’il faut rénover, qu’il faut régénérer. Et la seule proposition est l’uniforme à l’école, comme celui des bottes des marionnettes d’Hitler.  Moi, je propose Freud et sa thérapie psychanalytique, pour tous, afin d’apprendre à relier le conscient à l’inconscient pour permettre à l’homme de reconnaître les différentiations et de renouveler ses représentations. C’est tout. Heureux les simples d’esprit qui croient à l’animal politique !  


mercredi 24 janvier 2024

le puits au fond du jardin • l’autre chute…


« Anatomie d’une chute » rafle toutes les récompenses, dans le monde entier. Cette chute disséquée serait-elle celle du cinéma ? La laideur d’un chalet-refuge, un couple de tarés où la femme lesbienne alcoolique exaspère l’homme dépressif qui meurt dès les premières images, une caricature de procès dans un tribunal-asile psychiatrique, un couple chien-enfant qui observe ce bazar en se demandant ce qu’il fait là, et pour bien enfoncer le clou, une musique originale d’un farfelu ignorant. Justine Triet – incapable de bouger la caméra - s’est donné le premier rôle : la femme indécise et sans opinion n’ayant pas encore lu « La Philosophie pour les nuls ». Une caméra inexistante, des dialogues de marchés aux poissons, des caractères sans couleurs – excepté la démesure extravagante du méchant avocat -, de l’anti-cinéma, à moins que ce ne soit le cinéma d’aujourd’hui, celui qui ressemble tant au désastre de la civilisation. Bref, je n’ai vu qu’un banal reportage de France 3 sur une enquête policière ennuyeuse et un procès lu dans un roman de gare, pour laquelle il ne m’est jamais venu l’idée de me créer un frisson de compassion. Je retourne à Bergman, Bunuel, Hitchcock, Dumont, Lynch – encore Lynch -, Gilligan (Breaking Bad, Better caul Saul), Waller-Bridge (Killing Eve), Tolefdano et Nakache (En Thérapie) et quelques autres qui ont le pouvoir de me remplir. À force de sombrer, le monde ne voit même pas qu’il se vide du rouge de son sang dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin. 

mardi 23 janvier 2024

vu à travers le tube • qui le veut ?

Les agriculteurs de France et d’Europe semblent reproduire le mouvement des gilets jaunes. En réponse à leur détresse, l’ado au psychisme inabouti qui vit sous les jupes de sa maman, les barde de contraintes infamantes, augment le prix de l’électricité et des médicaments et se prépare à abattre leurs vaches à lait parce qu’elles pètent dans les prés. Le blé pour le pain et l’avoine pour les ânes sont en voie de disparition. Il ne restera plus, pour les créatures de chaire, que la nourriture en 3D puisque la gente savante est incapable d’inventer le 7T ou le 10A. Et cet insoluble problème – bien pensé et bien voulu – n’est qu’une goutte d’eau dans un océan déchaîné où l’homme enchaîné vogue sur son vaisseau fantôme. Trahison ! Mensonge ! L’action n’est plus capable de rattraper les mots qui ont perdu leur sens. Qui est le pire ? Mélenchon ou Zelenski ? La femme coupable ou l’homme émasculé ? L’idée reçue ou l’ignorance ? La doctrine ou la bêtise ? Les fêlures de la terre nous plongent dans son centre où triomphent les feux cannibalistes. Triomphent aussi les marchands de vents et de rêves pendant que s’éteignent les lumières de nos fondamentales. Chercher, chercher encore, chercher toujours. L’ignorance n’a jamais sauvé qui que ce soit. Il faut apprendre, encore apprendre et toujours apprendre. Là-bas, dans un coin sombre du grenier se cache le trésor qui vaut plus que tout l’or du monde : Freud et sa thérapie psychanalytique qui sait comment reconstruire l’homme qui saura comment reconstruire le monde. Mais voilà. Qui le veut ?


lundi 22 janvier 2024

vu à travers le tube • un tout petit bout de ciel bleu avant de connaître le cimetière...

Le flop des manifestants à la loi immigration m’a été tout particulièrement réjouissant. Je ne paie pas mes nouvelles taxes sur l’électricité – que je ne sais pas comment je vais payer – pour nourrir des extra-civilisations qui jouent avec leurs opinels, troussent les femmes des métros et n’obéissent qu’aux lois de leur dieu imaginaire – comme tous les dieux, exceptés Wotan et Vénus -. Il est évident que les décideurs de la France, à tous les niveaux, veulent la mort ou la soumission totale du peuple, son avis n’ayant pas plus d’importance qu’un pet de mouches à pattes. Il est vrai qu’il y a bien longtemps que le peuple n’a plus d’avis et que ceux qui pensent en avoir, sont des abrutis qui reproduisent et reproduisent les éternelles erreurs de leurs ascendants. Le mensonge et le déni ont toujours dominé les mondes, mais aujourd’hui, c’est au grand jour, et sans aucune retenue, qu’ils s’expriment dans la violence la plus sordide. L’ado inabouti qui vit sous les jupes de sa maman a déconstruit la droite et la gauche et voilà que leurs fantômes ne cessent de s’injurier et de se provoquer. Personne ne gagnera parce que leur veulerie et leur ignorance les enferment dans les trous à rats des égouts de Paris. La chute de tous ses lâches dans le noir du trou du fond de mon puits est en voie d’achèvement. La lumière fuit, L’ombre gagne son pari. L’anéantissement de la vie sera le grand remplacement. Freud ne reviendra jamais. L’homme ne le mérite pas. Reste à s’accrocher à Mahler et Abbado, à Lucerne : un tout petit bout de ciel bleu avant de connaître le cimetière.       


dimanche 21 janvier 2024

vu à travers le tube • l’art de la fugue…

Les staliniens médiapartiens nous informent que le fils de la ministre Oudéa-Castéra a bénéficié d’un système de contournement de Parcoursup à Stanislas. Médiapart est la feuille papier cul qui organise les meutes de loups affamés pour dévorer ceux qui ne se sont pas abonnés à leur publication d’extrême gauche islamiste, fanatique de la charia. Si ces terroristes ne passaient pas leur temps à mettre sur leur papier leurs exploits de terroristes, les pages de leur journal seraient d’une blancheur Persil Lave Plus Blanc. Il est bon que nos idées soient différentes. Mais lorsque la différence se transforme en comportements de sauvages et dans le sang, il faut un coup d’arrêt immédiat. Et si Médiapart est toujours en vie, c’est que notre civilisation s’est construite sur des sables mouvants et que lentement, elle s’enfonce. On ne voit plus que le front et les cheveux pour les non-chauves. Elle a méprisé les fondamentales, celles qui reposent sur LA FONDAMENTALE : le psychisme qui traite des rapports contradictoires entre le conscient et l’inconscient. Dans ce monde d’enfants et d’ados inaboutis et ignorants, il est tout à fait normal qu’aujourd’hui, nous en soyons ici, là où nous en sommes : le déni et le mensonge, vis-à-vis de nous-mêmes, à haute dose, dose jamais atteinte, et l’incapacité totale de s’attaquer au véritable problème. Le rejet de Freud aura provoqué la fin de notre civilisation. L’homme incomplet ne peut s’en prendre qu’à l’homme incomplet. Et pourtant, et bien avant Freud, c’est Jean-Sébastien Bach qui a dévoilé le secret : « L’Art de la Fugue » et ses fondamentales…  


samedi 20 janvier 2024

vu à travers le tube • l’horizon a disparu…

L’uniforme, c’est l’effacement de la personnalité, le reniement du moi, la porte d’entrée dans la masse, la soumission à la sordide communauté, le barrage à l’épanouissement personnel, la volonté de militariser les idées. Et l’on veut faire porter ce déguisement à nos enfants des écoles, eux qui, déjà, ont la pensée lézardée par l’ignorance parentale et le destin maudit par le poids des générations. Et les immenses cons qui sont au pouvoir, ainsi que les lâches qui les accompagnent et les soutiennent, ne cessent de répéter qu’ils vont imposer la caricature du vêtement aux enfants du XXIe siècle. Les sommes misent dans cette néfaste stupidité, seraient mieux employées à former des professeurs qualifiés – denrées rares aujourd’hui – férus de psychologie et de psychanalyse, pour enseigner ce qui est essentiel à l'humain : savoir diriger sa pensée, s’avoir s’imposer par sa connaissance et son humanité, afin que 3+9 ou le x de caillou, ne soit plus qu’un jeu d’enfants, et profiter de la manne détournée pour multiplier par deux le salaire de ceux qui ont compris la méthode. On a vraiment l’impression que tout le monde veut ressembler à l’enfant inabouti et avoir le droit de débiter les mêmes inepties. Les décideurs, élus ou pas, sont des hurluberlus dans le déni qui, à part quelques exceptions, veulent imposer leur vérité trafiquée pour passer ou pas dans le sang des peuples. La vérité, il n’y en a pas. Il n’y a que la représentation que chacun se fait. Et oui ! La vie n’est qu’un théâtre de saltimbanque sans décors, ou chacun, nu sur une scène nue et sans décors, tremble son corps devant l’effroi. L’horizon a disparu.  

vendredi 19 janvier 2024

vu à travers le tube • du chenil à la culture…

Raquel et Alexis ont une fille, Inès, placée en garde à vue pour apologie du terrorisme. Inès n’est pas coupable. Née et habitant dans le chenil de Mélenchien, elle suit les traces de ses parents et de leur maître à penser qui vient de déclarer que le terrorisme n’existait pas, surtout dans cette affaire de Gaza. Avec les parents qu’elle a et l’environnement qu’ils lui ont imposé, on peut comprendre que la pauvre Inès ait quelques fêlures dans son psychisme. Quand je la rencontrerai, je lui donnerai les adresses avec lesquelles elle aura l’immense chance de rencontrer Freud. Elle se sentira beaucoup mieux après, une fois son équilibre retrouvé.

 

Qu’est allé faire, hier, l’ado roi de France avec sa toute nouvelle ministre de la Culture, en laisse, dans cette pitoyable MJC de quartier de Clichy-Sous-Bois où l’on a vu deux dégénérés se trémousser sur des bruits cannibalistes ? Serait-ce donc ça, sa politique culturelle qui voudrait – selon ses dires – qu’elle soit pour tous ? Pas pour moi. Pour moi, la culture, c'est Bach, Debussy, Ligeti, Hugo Cocteau, Hitchcock, Lynch, Watteau, Modigliani…, la confrontation avec des cerveaux pleins qui nous portent hors de nos limites.