vu à travers le tube • noir…

Rima Hassan, une militante de la cause palestinienne, soutient inconditionnel des terroristes de l'Hamas, a été placée en position éligible sur la liste LFI – chiottes et chiots de Mélenchien -. Ces animaux sauvages ne cessent d’aboyer, de mordre et de dépecer leurs innombrables victimes avec le soutien implicite des lâches et incolores macronistes qui axent leur haine sur Marine Le Pen et son parti, gens inoffensifs puisque jamais, ils n’accèderont au pouvoir. La mode est au wokisme, à l’islamisme radical, à la soumission au djihad, aux déviances niant l’identité des sexes, à l’ignorance universelle, au vide sidéral. Et rien n’arrêtera le cours de la pitoyable histoire de la France qui a déjà connu les crimes du catholicisme, les humiliations des rois, les guerres qui confortent les fortunes, l’imbécilité radicale des gouvernances infantiles. Avant deux décennies, toutes les femmes seront voilées, tous les hommes seront émasculés. Si vous ne comprenez rien à ce que je dis, soyez tranquille, moi non plus et nous ne sommes pas les seuls. Qui comprend la mutation de ce monde, son autodestruction, sa chute vertigineuse et irrémédiable dans le noir du trou du fond de mon puits au fond de mon jardin ? Qui possède la lanterne qui éclairera le monde pour chercher en vain la moindre petite trace de ce qui aurait dû se nommer HOMME ?   

vu à travers le tube • france-déclih, le mot composé est acté…

Beaucoup confondent le sigle IVG au sigle TVG. C’est pourquoi je préfère le mot « avortement ». L’enthousiasme, vu hier dans les écrans télé, va vite retomber, tout ce cirque ne servant strictement à rien, sinon à permettre à l’enfant qui gouverne la France de revenir, vendredi, sur la scène du théâtre des marionnettes, re-déclamer sa tirade bien usée. Après son départ forcé, si un dictateur – Mélenchon ou Caron, pourquoi pas ? – prend le pouvoir, qui lui empêchera de changer la constitution et de laisser aux objets trouvés les lois sur l’avortement et sur la liberté d’expression ? Et puis, il restera toujours la contradiction avec le serment d’Hippocrate qui risque bien de troubler la règle du jeu. Je ne crois pas qu’à Versailles, le corps de la femme ait été libéré. Jusqu’à nouvel ordre, c’est toujours elle qui fabrique l’enfant et lui cède une partie de la chair de son corps. Elle sera libérée lorsque les enfants seront virtuels, ce qui ne peut être un mal en soi. En ce qui concerne la femme, son corps et sa chair, je ne peux m’empêcher de mentionner l’imbécilité et la fracture psychique de Brigitte Fossey qui veut la condamnation de Bertrand Blier parce qu’il a demandé à Depardieu et à Dewaere de lui toucher les seins dans son film célébrissime, « Les Valseuses », ce que considère la dame usée comme une terrible, horrible et scandaleuse agression sexuelle. J’éclaterais de rire si la déchéance de l’actrice ne me peinait pas. Pauvre France puritaine qui, en peu de temps, aura effacé ses heures de gloire dues à Sade, Voltaire, Hugo et Maupassant.    

le puits au fond du jardin • le choix du nain...

 

 

Après les matousbalancenttoncochon voici le temps des matousgarçons qui hurlent la douleur de leurs viols répétitifs sur les plateaux de cinéma. Désormais, quand il nous prend une subite envie d’être violé, on sait où aller. Je ne voudrais pas être réalisateur de films de cinéma en toutes couleurs parce que je ne vois pas comment diriger mes acteurs en évitant de croiser leurs regards. Dès le premier tour de manivelle, ils m’enverraient tout de suite dans les cachots où vivent les gros rats et où, aussi, il fait très froid. Et pourtant, ayant toujours désiré créer des formes et des couleurs dans les écrans blancs, je vais tout de même me lancer. Pour mon premier film, « Le Viol de Marie-Charlotte », j’ai engagé des personnages virtuels. Tous mes héros sont des algorithmes animés par Talbutine, l’IA de Rouge et Delile. Ils sont comme en vrai : laids, inaboutis et ignorants, tous les ingrédients pour faire un bon film capable de battre sur le fil la célèbre chute inconsistante. Entre parenthèse et à propos, avez-vous remarqué que la cocotte bout et que son sifflet est prêt à exploser. Attention ! Il va y avoir des milliers de millions de brûlés. Et on me dit que tout ça est de la faute au nain hideux qui a choisi l’or et le pouvoir plutôt que la bagatelle avec les trois filles qui se baignent nues dans les eaux de la rivière ! Vous croyez vraiment ?

vu à travers le tube • trois petites choses insignifiantes…

Pour le dernier refus d’obtempérer - refus quasi permanent et devenu d’une grande banalité – une sous-préfète et un policier ont été blessés. Quand les forces de l’ordre auront l’autorisation de tirer à vue et à balles réelles sur ces terroristes de petites envergures, je pense qu’ils ne seront plus très nombreux à se croire au Far West et à se moquer du cadre qu’on ne leur a jamais inculqué.

 

Alexandre Kara, patron de l’info à France-Télévision, se fourre le doigt dans l’œil - et dans le cul – en affirmant qu’il n’y a aucun doute sur l’impartialité de ses chaînes. Et effet, il n’y a aucun doute. Il n’y règne que désinformation et publicité pour les scélérats du soutien à MeToo, du soutien au wokisme et aussi ceux du soutien aux terroristes du Hamas. France-Télévision, les chaînes de la désinformation qui stérilisent les cerveaux !

 

Où l’on constate pour la énième fois l’imbécilité des prématurés américains. Ils envoient au gazaiens des plateaux-repas par les airs. Et quand ceux-ci tombent sur le sol, c’est le plus débrouillard et le plus musclé qui rafle la totalité des containers. Les autres, l’immense majorité, n’ont plus qu’à s’allonger au sol et attendre que leur ventre vide les emporte dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin.   

le puits au fond du jardin • les aventures de godiche (suite de la suite)…

 

Godiche Godrèche est même allée jusqu’au Sénat pour demander l’ablation des pénis des mâles. Sa fixette psychotique est la marque suprême du crépuscule des dieux et des hommes. Dans cette guerre des sexes, bien plus grave que celles de l’Ukraine ou de Gaza, on en a oublié que la femme coupable pond, pond, pond et re-pond à foison, alors qu’aucun homme – et aucune femme – n’a demandé à venir se faire chier sur cette terre de tarés. Et pourquoi n’évoque-t-on jamais les hommes battus, humiliés, conditionnés, réduits au néant, par ces milliers de femmes perverses qui dominent le monde. Derrière le roi, l’empereur, le tsar, le dictateur, le sadique, le pervers, chercher la femme. C’est toujours là que se trouve l’embryon. Si la justice était juste, pour tout homme accusé à tort – et il y en a des marmites – la femme accusatrice devrait se retrouver au cachot noir, nue, avec les gros rats puants des égouts de Paris.

 

J’ai revu et réentendu, hier sur Classica, « Les 7 portes de Jérusalem » symphonie avec solistes, chœurs et fanfares diverses de Krzysztof Penderecki, lui-même au pupitre. Magique, profondément humain, bouleversant de sincérité, loin de Godiche et des petites aventures mesquines des grottes rouges et des marteaux-piqueurs qui obsèdent le monde d’aujourd’hui dont les cervelles décharnées jonchent les belles autoroutes qui ne mènent à rien et surtout nulle part…      

vu à travers le tube • de choses et d’autres avant le crépuscule…

Les agriculteurs en colère se sont remobilisés ce matin pour dire aux français que le mélodrame joué piteusement le jour de l’ouverture du Salon par l’acteur défait, l’enfant inabouti qui se veut le maître du monde, n’aura servi à rien, puisqu’ils en sont toujours au même point. Les gens du nord n’en peuvent plus des inondations et des assurances qui ne les indemnisent pas alors qu’ils n’ont plus de maisons et qu’ils ont payé chaque mois leurs cotisations. Pourtant l’enfant-Roi et son godillot premier Ministre – un autre enfant – étaient venus leur serrer la paluche et égrainer leurs chapelets de promesses. Depuis… rien ! Les cartels des drogues marseillais ont pris possession de la ville de Nîmes et s’installent dans les écoles. Où est la police ? Où est l’armée ? Où est le Monarque absolu de la France. Et pendant ce temps, ceux qui ont demandé le pouvoir, qui l’ont obtenu, chouchoutent les ukrainiens, soutiennent les terroristes hamasiens, déclarent la guerre aux moscovites, comme s’ils n’avaient pas assez à faire avec les problèmes de la France qui s’écroule sous les incompétences et les jeux triviaux de la politique. « Pas grave tout ça ! », a dit le jeunot, « bientôt, les Jeux à Paris vont redonner éclat et puissance à la France et me draper dans les manteaux de soie des grands assassins, les célébrissimes Charlemagne et Napoléon ! » J’aurais pu dire tout aussi bien François 1e, Henri IV ou Louis XIV.

 

Demain, je vais rencontrer chez mon Leclerc les mendiants qui quettent l’aumône pour les restos du cœur. Je ne donne rien à ces gens-là. C’est pour les affamées et les déshérités que je paie mes impôts et non pour fabriquer des armes et filer du fric au psychopathe Zelenski. Et je ne donne pas mon fric, aussi, à l’État pour entretenir le logis et les frais de bouche de l’enfant qui a épousé sa maman !

vu à travers le tube • à part ça ?

L’interruption volontaire de grossesse (IVG) ne trouve plus d’obstacles pour être constitutionnalisée. Et c’est précisément au moment où le monde et la France s’islamisent et risquent fort bien de tomber sous les coups de la charia – qui puni par la mort l’avortement – que sénateurs et députés créés à la presque unanimité, la loi qui autorise la femme à disposer de son corps. Et je ne crois pas que cette loi – comme toutes les autres lois – puisse s’inscrire dans le marbre, changer de constitution n’étant qu’un jeu d’enfants. Si le monde entier a entendu les cris de joie des femmes écrasées sous le poids des lois de l’homme, personne n’a remarqué la jouissance extrême du Roi de France, qui vient enfin d’inscrire son nom dans l’histoire de l’humanité et qui vient de rayer de l’histoire actuelle, ses dernières incartades puériles comme l’envoi de ses armées à Moscou, son numéro de clown au Salon de l’Agriculture et ses éternelles contradictions. L’enfant Ubu est désormais le héros que la France attendait depuis la mort de Siegfried et plus rien ne pourra le faire descendre de son Walhalla. Les français, que j’ai toujours trouvé très inquiets quant à leur avenir et pointilleux vis-à-vis de leur Monarque, clone d’Henri IV et sa poule au pot, peuvent dormir sur leurs deux oreilles, ils sont rassurés quant à leur choix. Et si j’épiloguais sur la vertu de cette nouvelle loi qui autorise la femme à disposer de son corps, comme si cela ne tomberait pas sous le bon sens, si l’être humain – femme et homme – n’était pas un grand handicapé psychique indécrottable qui ne peut être sans obéir ? Je ne préfère pas. Pas ce matin en tous les cas. Je mets tout de suite mes chaussures et mon manteau d’hiver pour aller prendre mon café chez Leclerc, non sans avoir salué ma voisine de palier qui a beaucoup crié cette nuit.

 

À part ça ? Je ne vois rien qui montre que le monde a cessé sa chute dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin !

vu à travers le tube • il ment, ils mentent tous…

Comment les soumis, les ignorants, les lâches, les délabrés ministres de l’enfant Ubu Roi peuvent-ils encore défendre leur gourou fracassé après ses déclarations improbables, farfelus, surréalistes, grosses comme une montagne, sa déclaration de guerre à la grande Russie, et le défendre encore quand sa stupidité et son enfantillage se retournent contre lui, nulle part ailleurs se trouvant quiconque pour marcher dans sa combine ? Et comment ne pas fustiger ce petit con d’Attal quand il met tous les maux de la France sur le dos de Le Pen, qui n’a jamais eu l’occasion de posséder une once de pouvoir ? La grossière et pitoyable manœuvre électorale du pouvoir minoritaire aux abois ne va pas lui porter chance. L’enfant déficient et ses lèches-cul mentent. Le mensonge les a portés au pouvoir et c’est dans le mensonge qu’ils vont sombrer dans le trou noir du fond de mon puits au fond de mon jardin. Pitoyable France et pitoyable français ! Nous sommes la risée du monde et nous devrions nous empresser de cacher notre honte avant que les vaches du salon ne viennent chier sur les débris de nos corps sans cerveaux. Et, cerise sur le gâteau, je ne vois personne, ni ici, ni là, ni là-bas, qui songe à se débarrasser de ces inutilités encombrantes.    

vu à travers le tube • l’homme est vraiment trop con !

Après avoir semé le chaos au Salon de l’Agriculture, l’enfant fou, que quelques français au psychisme fracassé ont désigné pour Roi, réalise enfin son rêve : déclarer la guerre à la grande Russie et brûler Moscou, ses femmes et ses enfants, à la tête de ses armées. L’homme au tricorne et à la main cachée l’a déjà tenté. Il en est revenu défait et bredouille après avoir fait tuer des milliers – et sans doute plus - de gens qui n’avaient rien demandé. C’est ce que je nomme : saloperie. L’enfant-Roi arrive enfin à ses fins : habiter Napoléon et régner sur le monde. J’espère qu’un héros invincible lèvera son glaive tranchant devant ce malotru plongé dans sa bulle. Qu’en pensent les députés et sénateurs dont la déclaration de guerre n’a pas été à l’ordre du jour de leurs travaux, alors qu’ils représentent le peuple souverain ? Qu’en pense le peuple souverain qui n’a même pas été consulté par référendum ? De la monarchie monarchique héréditaire, la France est passée en 1789, et en un instant, à la dictature monarchique puis dictature dictatoriale depuis la Constitution voulue par le militaire à la retraite, sans jamais avoir songé un seul instant à inventer la Démocratie dont elle se gargarise en se brossant les dents. Et le peuple accroupi, assommé, conditionné et humilié, suit. Il n’y a plus rien à faire. Il resterait à ne plus confier nos destins aux politiciens et à s’engager dans une longue thérapie psychanalytique, mais il est trop tard. Si nous ne crevons pas prochainement par l’explosion de multiples bombes atomiques, c’est la fin de notre civilisation qui va nous emporter dans les prochaines décennies. L’homme est vraiment trop con !         

vu à travers le tube • le petit morveux…

Attal est un petit morveux noyé dans le sillon de son maître ado capricieux et psychopathe. Il n’y a eu ni cirque ni déplacement du salon en URSS ou au Far-West. Il n’y a eu que mensonges, dénis et violences de la part de l’enfant-monarque de la France. Et Bardella l’a dit très justement. Le salon de l’agriculture, un grand moment pour les vraies gens, devrait être interdit aux politiques de tous bords et surtout à celui qui, du sommet de son trône, les saigne jusque dans leurs tombeaux. Le déclin et la chute de la France ne pourra cesser tant qu’elle sera gouvernée par un enfant déséquilibré, incapable de se maîtriser et persuadé qu’il est un héros de légende devant lequel tout le monde doit s’agenouiller. Et qu’est-ce donc ces pitres qui tentent de le défendre ? L’image est symbolique et montre bien la criante et scandaleuse réalité : Ubu Roi isolé au premier étage, entouré de son armée, pendant que le peuple crie, hurle, en bas, au rez-de-chaussée, sa détresse et son désir de revoir l’échafaud et la tête de l’usurpateur tomber dans le panier. La mémoire est toujours ce qui fait défaut. Louis XVI, s’est vu trancher le cou pour beaucoup moins que ça. Et, multiples cerises sur le gâteau, la foire d’empoigne de ce jour historique serait due aux malfrats du RN. Cette malheureuse journée n’est due qu’aux caprices permanents de l’enfant. Toutes autres suggestions ne seraient que parjures et abjects comportements.     

vu à travers le tube • le cul des vaches oublié…

Les plus malheureux sont les trains qui souffrent de ne plus voir les vaches qui viennent dans les prés pour les voir passer. Et il est bien normal que les vaches ne viennent plus dans les prés pour voir passer les trains puisqu’il n’y a plus de prés. Les prés ont été remplacés par des cages en béton qui servent de maisons aux pauvres gens. Et le seul endroit où l’on peut voir des vaches et leur caresser le croupion, c’est au Salon et une seule fois par an. C’est pourquoi il est bien normal que les pauvres gens et les moins pauvres se précipitent au Salon pour satisfaire leur curiosité que je comprends, ayant toujours rêvé d’avoir une vache sur mon balcon. Une poule aussi. Hier, ils étaient des milliers à attendre qu’on veuille bien leur ouvrir les portes. Et c’est deux ou trois heures qu’ils ont dû patienter parce qu’un intrus s’est imposé alors que sa présence n’était pas désirée. C’est lui et que lui qui a bloqué les portes, provoquer les affronts entre les pensionnaires du Salon et la police, détruit sans la moindre honte l’ambiance bon enfant et sympathique qui a toujours marquée la rencontre entre les fermiers, leurs animaux, leurs produits et le public. L’ado vaniteux, inconsistant, pédant, détruit psychiquement, a imposé son mépris du peuple et des agriculteurs tout au long de la journée, jusque dans la soirée, entouré d’une garde impressionnante pour ne pas se faire lyncher. Pitoyable journée par la faute d’un misérable qu’une poignée de crétins ont porté au pouvoir. L’ado n’est venu que pour lancer la campagne anti-Le Pen dont la liste aux élections européennes caracole en tête et bien loin devient la sienne qui n’est toujours pas constituée. Mais, mais et hélas, les agriculteurs ont commis la grande et grave erreur d’adresser la parole au Monarque imberbe. Avec ce genre de pervers, il faut surtout se taire et agir par-derrière, habilement. Il a l’art du discours qui ne repose sur rien, mais qui détruit tout par son ensorcèlement. Macron est secte, rien que secte. Une secte, on la fuit ou on la détruit. Il n’y a pas d’autres moyens. Le Salon et un lieu de plaisir, de distraction et d’instruction. Rien d’autre et surtout pas un lieu où les mécréants viennent faire leur politique.

 

On me dit que Praud aurait demandé à Levy si elle pensait vraiment que tous les petits garçons avaient envie se coucher avec leur mère. Moi, je ne pense pas, j’ai la certitude que oui. Si vous vous demandez pourquoi je pense ainsi, lisez Freud où mieux, consultez-le. Vous irez de surprise en surprise.

 

Hier et en France, des milliers de personnes ont manifesté en faveur de l’Ukraine.  En cela, ils suivent l’ado-Roi de France qui prépare savamment la 3ᵉ guerre mondiale et qui va se faire manger, avec les français et toute l’Europe, comme un minuscule vermisseau inconscient. Et oui ! Parfois aussi, les peuples rêvent de jouer aux militaires !  

vu à travers le tube • la boite rouge…

Elle a été ovationnée par le GCF (Groupuscule Cinéma Français) ensardiné dans le cocon de la boite rouge de l’Olympia parisien parce qu’elle a tout dit – a-t-elle tout dit ? - sur sa vie sexuelle, en occultant l’essentiel : l’ignoble défaillance et lâcheté de ses parents. C’est à un psychanalyste freudien qu’elle aurait dû confier sa longue plainte et non à la terre entière qui a bien d’autres choses à faire que de pleurer sur le sort de Godiche Godrèche qui était Joelle Pujol dans « Potiche » d’Ozon. Et Trier s’est encore fait remarquer pour sa chute qui serait remarquable si elle pouvait s’inscrire dans la glorieuse histoire du cinéma. L’humour de ces gens n’étant pas le mien, je n’ai résisté qu’une petite demi-heure, et je me suis projeté l’admirable « Contes du hasard » d’Hamaguchi pour mieux me décrasser les neurones.  Et pendant ce temps, tout près, à quelques enjambures, venus de toute la France, les agriculteurs se positionnaient, pour la nuit, devant le Salon de l’Agriculture, pour accueillir comme il se doit, dès ce matin, l’ado au psychisme inabouti qui n’aurait pas fait tache dans la salle de l’Olympia.  

 

vu à travers le tube • les trancheuses de zizis…

Je me demande si, ce soir, je vais laisser le petit monde squelettique putréfié du cinéma violer mon écran télé, d’autant qu’on m’annonce sans ménagement la présence de Godiche Godrèche qui, sur la scène de l’Olympia, va venir donner la recette du découpage du pénis qui est très à la mode dans les esprits torturés de ce début du XXIe siècle. Et, on me dit aussi, qu’elle ne sera pas la seule à vomir sur les mâles avec lesquels elle entretient un déni de désirs que seul Freud pourrait analyser. Ç’aurait dû être la soirée de la magie du cinéma et ce ne sera que la soirée de la honte, d’autant que la médiocre Trier va encore recevoir quelques babioles césariènes qui marquent trop souvent le déclin du 7^e Art. Ces réunions sectaires devraient être bannies à jamais, leurs membres n’étant en aucun cas représentatifs du cinéma de Murneau, de Dreyer, de Clouzot, de Bergman et de quelques autres. Bref ! Soirée de merde !

 

L’ignoble ado au psychisme inabouti, que les lois scélérates de la Constitution du militaire à la retraite a mis au pouvoir suprême, n’a pas hésité à agresser et à humilier les agriculteurs en colère, en décrétant un débat au Salon de l’agriculture en présence des terroristes écolos Les Soulèvements de la Terre que son ministre de l’Intérieur a voulu faire justement interdire. Que comprendre de l’attitude de l’ado attardé, sinon qu’une fois encore, il tente de fracturer le peuple pour gouverner à son aise. Cet enfant, comme le terroriste iman Mahjoub Mahjoubi, expulsé hier, doit être bouté hors de nos frontières avec interdiction de retour. Et tant pis si sa maman verse toutes les larmes de son corps.

 

Hier soir, sur OCS Géants, j’ai revu « Scènes de la vie conjugale » d’Ingmar Bergman (1973). Chef-d’œuvre absolu dans lequel le couple homme-femme est traité dans sa totale complexité et qui nous fait quitter les chemins boueux, pierreux et épineux des trancheuses de zizis, dont l’attitude relève de la psychiatrie.  

le puits au fond du jardin • le festival des godiches…

 

 

Au moment où Manouchian est entré, mort, au Panthéon, le maire vermine-écolo de Marseille a vu son sang se glacer à la vue de Marine à ses côtés. Pour Payant, le dit-maire, il faut trancher le cou de cette nazie, comme lui et ses amis é-coliques, tranchent le cou de la France du matin au soir, à un tel point, qu’ajouter à la hache de Macron et aux bombardiers de Mélenchon, cette pauvre Marianne est au sol, nue, en sang, le corps dévoré par les rapaces. Agonisante depuis longtemps, le coup de grâce lui sera donné ce vendredi, quand les porcines du cinéma débouleront sur la scène de l’Olympia pour trancher les pénis en simulant des remises de César. Et ce beau monde dans le public, corps de nanas aux décolletés vertigineux et jupes au-dessus de la culotte qu’elles ont oubliée, accolés résolument aux corps de leurs proies, pour mieux dénoncer dans leur immonde perversité, fera oublier des génies du cinéma dont Godiche Godrèche – qui va discourir sur le danger de l’homme - et Justine Trier – injuste Palme d’Or - sont exclues. Revenir à Godard et Truffaut, Bergman et Bunuel, Hitchcock et Lynch, et le trop méconnu Vince Gilligan. Ce qui est amusant – ou pas -, c’est que quel que soit le sujet abordé, les mots sont interchangeables et le résultat reste le même. L’ignorance a envahi la pensée de l’homme qui est devenu incapable d’apprendre. Il lui suffirait pourtant de pousser la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, pour le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaître et pour le traverser, pour qu’une toute petite étincelle surgisse et que la terre commence enfin, à s’illuminer.       

le puits au fond du jardin • tunnel...

 

 

L’actualité de ce matin est la même que celle d’hier et en pire. Et c’est ainsi chaque matin. Les injonctions terrifiantes des pouvoirs et l’aveuglement des sujets laissent au monde un immense tableau de déjections pétrifiantes qui se meuvent dans les ténèbres qui couvrent l’univers. Comprendre les leçons de Molière ou de Shakespeare, comprendre la vérité criante – hurlante – du final de Twin Peaks, comprendre le lien établi entre soi et soi dans le long cheminement de l’Art de la Fugue dont Jean Sébastien Bach a patiemment fixé les notes, sur et entre les lignes de ses portées. Comprendre, est-ce trop demander ? Apprendre à faire, parce qu’il est impossible de faire sans apprendre, est-ce une telle torture que tout est prétexte pour y échapper ? Vivre hors de la machine à broyer est-il un manquement aux lois scélérates des hommes ? En vain, je cherche un homme et je ne trouve que des enfants, des enfants incapables de franchir le pas, un monde d’enfants gouverné par des enfants, un monde qui torture et qui tue. Et tout cela parce que, avant Poutine, avant Kim Jong-un, avant Macron, c’est l’ignorance qu’il faut éradiquer et pour cela couper toutes les langues qui ne savent qu’éjaculer leur venin. Le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin est plein. Les cris de ceux qui y sont tombés transpercent la nuit. Il suffirait de si peu ! Analyser le psychisme fracassé de l’homme, en réunir les morceaux restants et passablement vivants, et tout recommencer en prenant bien soin au lien qui relie son conscient à son inconscient. Et si les religions sont bannies à tout jamais, peut-être restera-t-il une lueur, toute petite, au bout de l’interminable tunnel. Pour le savoir, il suffit d’essayer.