jeudi 23 mai 2024

vu à travers le tube (bis) • amra le caïd…

Amra est en cavale. Amra est un caïd de haut niveau qui infeste les prisons – avec ses amis – pour prendre le pouvoir. Les surveillants, les directions, les fonctionnaires du ministère et le ministre Dupont M., en personne et au sommet de la pyramide, laissent faire en toute impunité : les truands télétravaillent de leur cellule-chambre d’hôtel 4*, avec ordinateurs, smartphones. Ils ont la télé, apéros et repas à volonté, livrés par un chef 4*. Ils copulent et se gaussent de tous les pantins de français qui se saignent pour leur bien-être. La prison est devenue un lieu de liberté et de jouissances, contrairement à l’extérieur où il faut se battre jusqu’à épuisement pour tenter de gagner sa misérable vie que la femme coupable ne cesse d’alimenter. Dupont M. doit être démissionné, jugé sans jugement et condamné à finir ses jours dans un cachot avec les gros rats puants de Paris. Ce que je trouve encore plus énorme que la liberté en prison, c’est l’incapacité des français à comprendre à quel point les idiots qu’ils mettent au pouvoir se fichent de leur gueule. Est-ce que cela va encore durer longtemps ?    

vu à travers le tube • rien…

Dans les médiocrités quotidiennes de ce monde, dans sa perversité, dans son ignorance, dans les moisissures de ses fondements, je retiens, ce matin, deux ou trois informations un peu plus – ou un peu moins - pertinentes qui sauront réchauffer – ou refroidir - les cœurs. 1. Amora offusque les metoosiennes cannoises avec ses scènes de sexe torrides et débridées entre – grande rareté – un homme et une femme. 2. Aix-les-Bains ouvre son premier pigeonnier contraceptif utilisable uniquement par abonnement. 3. De Luxe confirme que Balkany va se représenter à la mairie de Levallois en l’absence d’Isabelle qui a été internée. C’est tout et c’est déjà pas mal, pour ce matin, d’autant que je suis pressé. Mon Leclerc m’attend pour mon café. Ma voisine de palier aussi.

mercredi 22 mai 2024

le puits au fond du jardin • le tricheur et les menteurs…

 



 

S’il est connu pour avoir un certain talent, c’est qu’il suit la règle, celle des vibrations de ses cordes sous la caresse de la mèche de son archet. Il sait pertinemment que sans le respect de la règle, il serait exclu impitoyablement de la cour des grands qui ne sont pas tous et toujours grands. Alors pourquoi le pimpant séducteur s’est-il senti le besoin d’échapper à l’impôt que paie mon boucher et ma boulangère et même mes caissières de mon Leclerc ? Pourquoi l’homme public et violoniste Capuçon – lui pas l’autre – marié à encore plus publique que lui en la personne de Laurence Ferrari, future directrice générale de Cnews et Europe 1, sauf si c’est Praud qui est choisi, donne-t-il le mauvais exemple. Il est milliardaire. Son épouse aussi. Et le préjudice qu’il crée ne peut que se retourner contre les pauvres qui, eux, paient, paient et paient jusqu’au bout de leur souffle. Il a triché. La justice l’a enfin rattrapé.

 

Hier soir, sur LCI, huit des têtes de listes aux Européennes, étaient face à Pujadas que je croyais mort depuis longtemps. Il était bien vivant – je crois – et il était toujours aussi caressant, aussi inodore et incolore, aussi mort que s’il était mort de ne jamais avoir été vivant. Quant aux politicards infatigables, ils ont débité leurs âneries habituelles, âneries déjà employées par Néron ou Borgia – ou même, le fils de la vierge qui a copulé avec un ange sans sexe - et qui ont donné le spectacle affligeant du XXIe siècle. Rien de nouveau sous le soleil, sinon les outrages incessants dû à des psychismes inaboutis et la pratique de l’ignorance la plus dévastatrice pour l’apaisement de la machine humaine qui ne veut plus de cette terre de misère où seuls les terroristes ont tous les droits. Tous les jours, je me félicite de ne plus voter depuis plus de quarante ans. Je refuse que de pareilles merdes représentent mes idées. Je ne suis ni citoyen, ni républicain, ni démocrate. Je suis homme et je pense. Ça me suffit largement, d’autant que lorsque je n’ai pas de réponse à mes questions, je pousse la porte du cabinet de Freud pour traverser mon miroir. Les préliminaires sont réglés depuis longtemps.      

mardi 21 mai 2024

vu à travers le tube • haine…

La cour pénale internationale demande un mandat d’arrêt contre Netanyahu et son ministre de la Défense et contre les chefs des terroristes du Hamas. Honteux et scandaleux, a hurlé le vieux sénile Biden qui n’avait pas repris ses esprits depuis plus de vingt ans. La France, elle – qui est la France ? –, se réjouit des méfaits d’un procureur en manque de célébrité. L’enfant au psychisme non abouti, ne cesse de montrer son ignoble perversité et son ignorance démesurée. Ça ne peut que mal finir et ce sera très bien ainsi.

 

Un monstre boucher là-bas, un politique véreux ici, ont enfin cassé leur pipe. Et les foules se lapident. Mozart est mort. Seul un chien est venu à son enterrement. Pauvre monde détraqué !

 

La guerre est de partout. Elle fait couler le sang entre les peuples, entre les sexes, entre les genres, entre les idées. Un gros connard a dit : « Aimez-vous les uns les autres ! » Où l’on peut remarquer que le pauvre inachevé n’est jamais allé à l’école.

lundi 20 mai 2024

le puits au fond du jardin • quatre tous et riens…

 



Raissi, le président barbu qui devait succéder au Guide suprême, est mort en tombant du ciel. L’Iran n’a plus de successeur à son guide, ni de président. La France n’a pas cette chance. Elle a toujours un président, l’enfant incomplet que tout le monde connaît.

 

Les cheminots franciliens seront encore en grève, demain, pour obtenir le magot dont la cote monte au fil des jours. Les JO auront renversé la vapeur – vapeur/cheminot, vous pigez ? – en dopant furieusement le compte en banque des pauvres et malheureux conducteurs de trains et des encore plus pauvres et encore plus malheureux contrôleurs-délateur. Reste à savoir ce qui se passera après les JO !

 

À Cannes, sur le tapis, on expose à tout-va, non pas Renoir, Modigliani ou Picasso, mais des chairs – substance molle du corps humain – qui bougent un bras, une jambe, qui se penchent, qui se redressent, qui virevoltent, qui se déchaînent, qui se montrent - même quand c’est vieux et laid -, et qui font le bonheur des photographes et pseudo-journalistes, qui viennent ici pour se rincer l’œil. On dit aussi, que dans des catacombes secrètes, on y projetterait des films. Fake news probablement !

 

C’était hier soir, sur Canal+Cinéma(s). J’ai vu le film canadien de Mona Chokri « Simple comme Sylvain », où la prof de philo rencontre un menuisier avec lequel elle copule à gogo en trompant son mari. C’était (ré)jouissant, régénérant, assassin pour notre monde immonde, frais comme la rosée du matin, généreux comme les rayons du soleil. C’était beau comme le son du violon de Ginette Neveu sur les sommets des Açores. On était loin de Trier, perdue et disloquée dans sa chute anatomique.     


dimanche 19 mai 2024

vu à travers le tube • la faux-cul…

Regardez bien la photo de mon tube de ce matin. Pour tous commentaires, je vous livre la belle réflexion de Sergioo Parolinn (un ami facebookien), réflexion d’une justesse exemplaire à laquelle je souscris pleinement et qui concerne la faux-cul godiche Gidrèche.

 

« De l’art d’essayer de relancer une carrière qui est toujours restée au niveau élémentaire. Y’a quand même un os dans l’boudin quand on voit les photos…. Je vous livre ma fille de 19 ans en pâture à Cannes en 2024. Je m’appelle JUJU et je vous ai bien U … L'hypocrisie de tout ce petit monde de l’entre soit du cinéma, encore et toujours, jamais ils ne cesseront de faire leur cinéma dans tous les sens du terme. Les fameux premiers donneurs de leçons de vie qui viennent nous flinguer presqu’exclusivement en direct en maçonne larmoyante, les supposés bourreaux qui les ont érigées en étoiles en stars... ( ah bon ) … dans une attitude oh mon dieu ouinouin très victimaire tellement compassionnelle pour ceux qui admirent ce genre de proutprouts culturellement odorants. La décadence morale côtoie souvent l'égo et l'argent pour ces êtres qui ne regardent que leur nombril ! ( Naphta ) Et après tu t’étonnes ! » (Sergioo Parolinn)

 

C’est tout pour ce matin.

samedi 18 mai 2024

le puits au fond du jardin • regarder et ne pas voir…

 



 

Nouvelle-Calédonie. Et le pouvoir communique, discutaille, réuni, papote et se distrait comme il peut tout au long de ces journées interminables, minées par l’ennui, mais heureusement entrecoupées par les délirants délires de l’égérie, de la madone, de la déesse, de l’impératrice suprême du genre féminin frigidoïde : godiche Godrèche. Moi, je ne m’ennuie pas. Je note. Je renote et rerenote. J’observe et construis les éléments de base pour mon prochain roman ou peut-être mon prochain film ou plus sûrement mon prochain opéra dont le titre pourrait être : « Les Pantalonnades des Marionnettes diaboliques » J’honorerais ainsi la commande passée en mai 68 par la petite ville de Cityfolie où je passe chaque année mes vacances. De liens en liens, j’en ai oublié mon sujet qui était les mouvements de la langue qui émet des sons pour occuper le temps. Pour sauver notre peau du péril islamique et mélenchonien, les mots ne servent à rien. Ils n’ont d’utilité que chez le psychanalyste. Ici, sur le « cailloux », et de partout, il serait judicieux de retourner dans le passé et d’adopter la méthode du policier qui n’a pas hésité à tuer le voyou qui le menaçait d’un Opinel. Plus on en tuera, moins il y en aura. De temps à autre, il m’arrive d’être légèrement logique. Mais il est vrai, et je ne peux m’empêcher de répéter, que la meilleure et seule solution, est de pousser la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser. Si chacun suivait mon conseil, le politique qui est le seul ennemi de l’homme avec le loup et soi-même, n’aurait plus de raison d’être et nous retrouverions le paradis terrestre d’antan, sans la femme coupable, sans serpent visqueux et piquant, sans la pomme de la marâtre, et nous pourrions déployer nos doigts de pieds en éventail, allongés sur la plage d’Elbakabada, en regardant Isolde se dissoudre dans les flots et mourant ses dernières notes : « Homme, regarde derrière toi. Vois-tu que tu n’es pas toi ? «        

vendredi 17 mai 2024

le puits au fond du jardin • les doigts dans le nez…

 



 

Les rigolades de Cannes 2024. Les critiques ont vu Coppola et disent ne rien avoir compris. Les autres critiques ont été déçus. Et les autres, autres critiques, disent que ça a fait pschitt. Peu importe, c’est Dupieux qui déchaîne les hostilités. Tout Cannes et ses environs posent la question : « Escroc ou génie ? » J’adore Dupieux parce que je crois qu’il est un escroc génial. « Rubber » et « Mandibules » sont irrésistibles et les restes ne sont que variations filmées pour passer le temps. Escroc est tout de même mieux que toutou obéissant, d’autant que Dupieux est authentique.  

 

Chez Hanouna, on officie régulièrement dans les tréfonds des bas-fonds. Hier, ou avant, Baba – c’est son nom à l’État civil - a demandé à ses chroniqueurs s’ils avaient un talent caché. Je ne savais pas qu’il était possible qu’il y ait un talent chez les babatiens. Et pourtant si. Spontanément, la philosophe intellectuelle Polska, a levé le doigt. « Moi, je sais mettre mon ongle en entier dans mon nez ! » Je me demande si je dois commenter, d’autant que tous ces gens dans l’écran, n’en sont même pas restés baba.

jeudi 16 mai 2024

vu à travers le tube • à la recherche du petit doigt…

Et voilà que les hostilités israélo-palestiniennes et ukraino-russiennes sont jetées aux oubliettes, pour laisser les écrans au service permanent d’une petite île éloignée de 12 000 kilomètres, française sur le papier, et dont nous sommes un certain nombre à se ficher éperdument. Ils s’entretuent depuis des décennies ou des siècles. Je l’ignore et ça ne m’intéresse pas. Là-bas comme ailleurs, il ne s’agit que d’enfants impertinents et mal élevés. De partout sur la surface de cette terre, les enfants sont jetés dans le monde sans être façonnés. Dans ces conditions, de quoi se plaint-on ? Les conflits, qui se multiplient à foison, et qui sont entretenus par des élus criminels, impertinents et incompétents dont la France a gagné les premiers rangs, nous mènent tout droit et dans très peu de temps, à cette guerre généralisée qui va tous nous emporter, puisque je ne vois pas le moindre petit doigt se lever pour dire stop. Les discours fallacieux ont pris le pas sur la réflexion, l’intelligence et la destruction définitive des hors-la-loi de toutes sortes. Le voyou en cavale n’est pas pire que ceux qui votent les lois qui détruisent les vies des démunis et pas pire que les enfants qui se prennent pour des rois. Bof ! J’espère que cette merde à l’odeur insoutenable va encore tenir quelques semaines, le temps que je m’installe à l’étranger pour savourer mes opéras préférés. Après cela, le déluge peut déferler et écraser tous ces pantins qui auront souillé la face de la terre depuis des éternités d’éternité

mercredi 15 mai 2024

vu à travers le tube • les eaux de boudin s’infiltrent…

FESTIVAL DE CANNES 1958 

11ème Festival International du Film de Cannes 

Président :Marcel Achard 

Bernard Buffet -Jean Cocteau -

Jean Marais -Georges Auric -

Francine Jacques Tati et Alain Bécourt 

Madeleine Robinson

Après le défilé des anomalies psychiques de l’Eurovision, voilà qu’on se retrouve à Cannes, au spectacle féministe appuyé sous l’autorité de Cottin perdue dans sa feuille de route et son inutilité. Je n’ai pas compris le flot de larmes de Gerwing et j’ai eu grande pitié pour le duo surréaliste, pleurnichard et incroyablement débile de Binoche et Streep. Curieux : je n’ai pas vu sur la scène l’inénarrable godiche Godrèche ! J’espère que le marginal et génial Dupieux aura apporté un peu de sel sur les épinards rances de ce début de festival. La fameuse liste des 10 n’est toujours pas sortie du ventre de la femme coupable. Peut-être est-ce un canular. Peut-être pas.

 

Trop rigolo. La mère du gangster, du voyou, du criminel, du récidiviste professionnel en cavale, a fait part de sa tristesse. Elle a même dit qu’elle a craqué et pleuré et même qu’elle n’était pas bien.  La pauvre ignorante et sans cervelle n’a pas compris que la première des coupables, c’est elle. C’est elle qui a éjecté le monstre de son ventre. C’est elle qui s’en est débarrassée en le propulsant sur le chemin des dévoyés. Trop rigolo, je vous dis. Et puis l’autre coupable, ce n’est que ceux qui sont au pouvoir. Tant que les prisons ne seront pas redevenues des cachots noirs avec des rats et des prisonniers enchaînés, sans télé, sans portable, sans parloir, sans aucun moyen de communication avec l’extérieur, on n’en finira pas avec les virus de la société. Si Amra est en cavale, c’est qu’il a pu communiquer avec ceux qui l’ont délivré. Et ce matin, un stupide maton a dit dans une radio qu’il était impossible de détecter l’entrée de portables dans les prisons. Il nous prend pour des cons le misérable. Où que j’aille, je suis suivi à la trace. J’en ai même un résumé régulièrement. Et un portable en fonctionnement – même à l’arrêt – ne pourrait pas être repéré ? Balivernes indignes ! Voilà où l’on en est. Et nos ministres sont indignés ! Trop rigolo eux aussi.       

mardi 14 mai 2024

le puits au fond du jardin • trier, sy et quasimodo…



 

Aujourd’hui commence le grand cinéma des nanas qui se terminera par la remise de la palme de la cane pour celles qui auront rempli le plus de marmites de zizis tranchés, proies des guerres, comme celle que mon grand-père a vécue dans les tranchées de Verdun avant d’en ressortir une balle dans le pied. Du cinéma en films, il n’y en aura pas, puisqu’il n’y a plus d’histoires à raconter, puisque le jeune premier ne peut plus déshabiller les naïves et les faire sursauter. Même le baiser de Gabin à Morgan est bouté hors de l’écran, ce qui fait que l’on comprend pourquoi les Bardot en herbe ne montrerons plus jamais les surfaces de leur peau non bronzée. Le cinéma de papa, le cinéma, est écroulé et Cannes tient encore sur le vermoulu de son passé avant de disparaître sous les eaux de la Méditerranée. Sy, dans le jury, présage la gloire des navets, suite logique à toutes ces anatomies que Trier n’a même pas su autopsier. Le retour à Godard, Bergman, Murnau et Chaplin paraît être l’urgence absolue.

 

Si on parle toujours et encore de l’Eurovision, c’est parce qu’elle a été une abjection par son absence de musique et la présence abusive de monstres de foires, comme on en voyait au Moyen Âge sur les places publiques. De Quasimodo, Hugo a fait un très beau roman. À l’Eurovision, les Quasimodo sortaient des placards aux excréments.


lundi 13 mai 2024

le puits au fond du jardin • rendre à césar…



 

Ce matin, j’apprends qu’une loge du théâtre du Casino d’Aix-les-Bains va porter pour nom, Pierre Sybil, qui serait le fondateur, en 1989, du Festival de l’Opérette. Ce n’est pas la première fois que cette information mensongère parait, ici ou là. Je rappelle, de sources sûres, que cette manifestation a été créée par le directeur du conservatoire de musique de l’époque, qui s’est démené pour convaincre l’adjoint à la Culture qui s’est démené pour convaincre le maire qui n’en voulait pas. Pierre Sybil n’a jamais mené de tractation. Il a été consulté sur ses projets artistiques et financiers, en tant qu’éventuel directeur artistique. C’est toujours mieux de rendre à César ce qui lui appartient.   

vu à travers le tube • hayer et mbappé…

Hayer, la nana conditionnée, robotisée, désincarnée, qui propage les phantasmes hallucinatoires de l’enfant au psychisme inabouti, affirme que, contrairement à ce que pense 200% des français, la délinquance n’a aucun rapport avec l’immigration, qui ne serait, selon elle, que la conséquence de la peur et de la haine que suscite le jeune Bardella, qu’elle voudrait voir disparaître, bien que le jeune homme ne l’ait jamais harcelé par la parole ou par le geste, ni même – et je le comprends – violé de quelques manières que ce soit.

 

Mort de rire. Le stupide Mbappé, le stupide PSG, les stupides crétins malades du ballon rond, se sont ridiculisés dans leur tentative de fêter leur déclin, après deux défaites cuisantes. Le héros de pacotille s’en va pour Madrid ! Et alors ? Moi, je pars sous peu pour Berlin et puis pour Lucerne. Je ne convoque pas les télés pour si peu. Je ne pars pas pour faire joujou à la baballe. Je pars pour voir et entendre le monde du merveilleux, le monde de la sensibilité, le monde de l’humain que je ne vois pas dans mon quartier, ni dans les télés. Dans leur stupidité gigantesque, les pantins courent et se jettent dans le feu. Ils sont si bêtes, qu’ils ne savent même pas que le bois ne résiste pas au feu.     

dimanche 12 mai 2024

vu à travers le tube • le triomphe des méchants…

La rave-party près de Saumur n’a pas été autorisée. Les fêtards, soûlards et gros connards, s’en tapent les couilles. Depuis mercredi soir, ils sont plus de 10 000 à occuper un terrain agricole, sans que le propriétaire puisse les déloger. Les policiers n’interviennent pas, de peur de déranger les schizophrènes. En France, on ménage toujours les hors-la-loi. Il me semble naturel, puisque la police évite la confrontation, d’envoyer l’armée et de tirer à balles réelles sur la vermine. L’agriculteur récupèrera son terrain et les voisins leur tranquillité. Dans ce pays ravagé, il n’y a aucune autre solution. La France crève de ses lois contradictoires et hors sujets. Halte aux concertations, halte aux débats, halte aux circonstances atténuantes. L’action et la réponse immédiate doivent primer sur toutes autres considérations. Manipulé à haute dose, l’individu confond les réalités. Ses représentations n’ont plus de reliefs, plus de sons, plus d’odeurs et plus de palpations. Il est façonné par les pervers pour devenir robot. Et, il l’est. Il est robot. Comme un con, Jésus est mort cloué. Il ne pourra plus jamais paraître sur les rives du fleuve – peut-être le même que celui des gardiennes de l’or – pour sauver ce qu’il reste de leurs restes. Ignorant le stade adulte, étant toujours resté enfant, l’homme se retrouve seul, sans le moindre héros pour le secouer et décrasser son cerveau. La fin, cette fin qu’il a bien cherchée est arrivée. Son étonnement, son indignation, sa peur, sa souffrance, sont mal placés. Ce qui arrive aujourd’hui, c’est lui qui, patiemment, l’a minutieusement érigée, depuis ses débuts ratés en ce monde insipide.   

samedi 11 mai 2024

vu à travers le tube • retour à la maison…

Cette journée du 11 mai 2024 sera marquée – d’une part - par l’immonde bêtise de la frange gauchiste, islamiste et terroriste qui veut empêcher la candidate israélienne de chanter ce soir à l’Eurovision. On est revenu à la Saint-Barthélemy, à la terreur qui a glorifié la révolution avortée de 1789, aux massacres des indiens par les cowboys, et – d’autre part – par la stupéfaction, par la déception, par l’horreur, ressenties par les français suite à l’annonce du grand manitou de la balle aux pieds, de celui qui a passé sept longues années, immobile dans le coin gauche des terrains de foot et qui était payé énormément et gigantesquement pour courir plus vite que la lumière, sur environ trois mètres, en poussant le ballon dans la cage, ballon que ses subalternes lui apportait – de temps à autre – sur un plateau, pendant que le gardien fumait sa cigarette. Le farceur a annoncé sa démission-surprise, chose que tout le monde savait depuis un bon et très long bout de temps.

 

C’étaient les nouvelles importantes de la journée. Les restes ne sont que peccadilles : les guerres hiérarchisées, les criminels juvéniles, les drogues au supermarché, Paris emmuraillé, les gauches et les écolos complètement tarés, les trans, les queens, les sexes inversés, les enfants en plats à réchauffer, les cerveaux artificiels, les monstruosités des sciences en tous genres, la femme dépecée, l’homme couillonné, le ridicule triomphant, l’ignorance régnante aussi bien dans l’ombre que dans la lumière. Heureusement, il reste ces deux légendes qui posent la question et qui me tiennent debout dans ce monde grouillant et gluant : le parcours de Laura qui est more et pourtant bien vivante, et, l’or du fleuve arraché à son fondement, qui après son long voyage dans la vie pernicieuse des dieux et des hommes, retournera au fleuve. Une subtile lueur, avant la mort qui me presse.