samedi 8 juin 2024
vu à travers le tube • le retour sur la pente de plus en plus glissante…
jeudi 30 mai 2024
vu à travers le tube • encore l’horreur dominante…
En France. Les médicaments se raréfient. Les pharmacies ferment leur porte aujourd’hui. Un député insoumis, wokiste et islamiste, traite Habib de porc. Le nourrisson Attal proclame un blocage institutionnel en cas de victoire du RN. Il ne dit rien en cas de victoire des islamistes-wokistes-insoumis. Boyard – la réincarnation de Sergent Garcia en voyou – et ses comparses, alcoolisés, ont chanté et dansé sur les cadavres de Gaza. Le Conseil constitutionnel accorde l’aide juridictionnelle aux clandestins. C’est le contribuable qui paiera.
Je m’arrête là. Cela suffit. Tout le monde a compris. Ce qui ne change rien à l’inertie chronique des français. Ils attendent probablement la solution finale…
mercredi 29 mai 2024
vu à travers le tube • où il est question d’excréments…
mardi 28 mai 2024
vu à travers le tube • nous en sommes arrivés là…
Georges Braque - Violine und Krug (1910) |
lundi 27 mai 2024
vu à travers le tube • ébloui par le noir…
Il a encore joué avec son Opinel le marocain d’origine frappé d’une OQTF qui n’aurait pas dû se trouver dans le métro lyonnais mais en dehors de nos frontières, si les lois françaises étaient exécutées, décisions que le pouvoir totalitaire macronien n’arrive pas à assimiler. Jamais nos vies ont été autant en danger dans l’espace publique et aucun élu et gratte-papier de ce pitoyable pouvoir, ne tente d’y apporter la solution suprême qui consiste à répondre aux exactions de ce genre par une sommation puis un tire à balles réelles. Et pendant ce temps, notre enfant au psychisme inabouti, - qui vit sous les jupes de sa maman qu’il a épousée, sauf quand il fait le tour du monde dans son bel avion et sauf aussi quand il caresse et bise Zelenski en lui promettant que sa féroce armée va brûler Moscou et même/mieux qu’il y sera à sa tête, juché sur son vaillant cheval blanc, sabre affuté, virevoltant sur les têtes des infâmes traitres – ne cesse de téléphoner à Marine pour la persuader de débattre avec elle, ayant bien compris que ses subalternes Hayer et Attal sont des incapables et que c’est entièrement de leur faute si le jeune Bardella lui fait la nique. L’enfant-président est persuadé que s’il avait monté sa propre liste – où il serait en 1, en 2, en 3, et plus - il serait élu d’avance avec 99,99% des voix le 0,01% étant réservé à un malade interné en psychiatrie. Le danger pour l’humanité n’est ni Bardella, ni Le Pen, ni Trump, ni Poutine, ni les terroristes de tous bords, mais bien les horreurs que nous avons vu sur scène au monstrueux machin de Cannes, reflets quasi semblable des monstres de l’Eurovision.
dimanche 26 mai 2024
le puits au fond du jardin • quand tout devient petit…
Depuis que les oranges poussent sur les cerisiers, les anomalies de la nature, mises en évidence et en vedette, sont déclarées avenir des civilisations nouvelles. C’est une transgenre excitée qui a reçu le prix d’interprétation féminine au cours d’une fin d’après-midi cannoise où la langue française a été broyée par les invasions des patois étrangers venus de tous les horizons, ce qui était sans importance puisqu’un seul mot a été prononcé dix ou cent mille fois, le mot « merci », mot que j’avais oublié puisque la dernière fois que je l’ai entendu, c’était de la bouche d’une vieille dame quand je lui ai tenu ouverte la porte d’un train, en 1971, il me semble. Je ne l’emploie jamais. Mon entourage non plus. Ce n’est ni la politesse, ni la courtoisie qui m’étouffe et c’est tant mieux, parce que mourir étouffé est très angoissant, m’ont dit quelques amis expérimentés. Pour en revenir au club des marginaux qui nagent dans l’opulence des sentiments d’opérettes et des bouffonneries gargantuesques, je me demande où ils vivent, ce qu’ils y font et comment ils pataugent dans la vie des autres dont ils ignorent les ingrédients. Les autocongratulations, les touche-à-touche, les envolées sans ailes, les maîtresses d’école arrogantes, les leçons données à la terre entière, ne peuvent que cacher l’agonie de leur cinéma débordant l’écran pour se poser à côté de leurs augustes derrières, calés dans leurs fauteuils, face à eux-mêmes. Le miroir, pourtant intransigeant, leur échappe totalement.
samedi 25 mai 2024
vu à travers le tube • pas grand-chose…
À quoi aura servi ce long et couteux voyage sur le Cailloux que nous, contribuables, avons offert généreusement et stupidement à l’enfant au psychisme inachevé qui ne veut toujours pas suivre une cure de longue durée chez le Professeur Freud ? Seulement à envenimer la situation et à alimenter dangereusement les guerres de tranchées si prisées sur ce territoire. Nous ne pouvons être fiers de notre bêtise, de notre soumission à un marmot, de notre ignorance sans limites.
La Cour internationale de justice exige de l’État d’Israël qu’il cesse son combat contre les terroristes du Hamas, qu’il cesse de chercher à sauver les otages, sans doute tous morts sous la torture de leurs amis, qu’il protège comme la cuisson de la dinde de service, un joyeux dimanche de Pâque. Heureusement, Israël ne cède pas et continuera son juste combat même si le monde entier finira bien par l’étouffer avant de le jeter dans le Jourdain, là où Jean a cru reconnaître un prophète ce qui lui a valu les hostilités d’Hérode dont Salomé, sa belle-fille, a demandé la tête et l’a obtenue avant de copuler avec elle. L’histoire de l’Histoire n’est jamais aussi simple !
vendredi 24 mai 2024
vu à travers le tube • le monstre dans le miroir…
Quand va-t-on se poser les vraies questions et quand va-t-on y répondre ? Le
statut du Président de la République française est à peu près le même que celui
des rois de France, à l’exception du fait que le premier a des garde-fous
virtuels. La Constitution du militaire à la retraite interdit donc l’invention
de la Démocratie. Quoiqu’en pensent les mauvais esprits, nous ne sommes pas en
démocratie, mais en régime totalitaire. Et si j’ajoute, sans hésiter, que notre
État de droit, autorise toutes les exactions et l’impunité des crimes, que
notre invention de la laïcité nous fait marcher sur un seul pied, que notre
conception de la société détruit toutes volontés de cadrage, indispensables si
l’on veut vivre ensemble, les discours de tous horizons n’ont aucun sens,
puisque pour réaliser, il faut des fondations. L’homme, depuis le début des mondes, s’acharne à progresser en tendant d’apprendre à lire, à écrire et à
compter. Il aura oublié l’essentiel : forger, sculpter et modeler son
psychisme pour comprendre qui il est, et par conséquence, comprendre ce qui l’entoure.
C’est Freud que l’on doit apprendre sans faillir, de 0 à 110 ans. Freud et rien
que Freud. Que ceux qui voudraient me contredire placent leur miroir en pleine
lumière et me décrivent le monstre qu’ils y voient !
jeudi 23 mai 2024
vu à travers le tube (bis) • amra le caïd…
vu à travers le tube • rien…
mercredi 22 mai 2024
le puits au fond du jardin • le tricheur et les menteurs…
S’il est connu pour avoir un certain talent, c’est qu’il suit la règle, celle des vibrations de ses cordes sous la caresse de la mèche de son archet. Il sait pertinemment que sans le respect de la règle, il serait exclu impitoyablement de la cour des grands qui ne sont pas tous et toujours grands. Alors pourquoi le pimpant séducteur s’est-il senti le besoin d’échapper à l’impôt que paie mon boucher et ma boulangère et même mes caissières de mon Leclerc ? Pourquoi l’homme public et violoniste Capuçon – lui pas l’autre – marié à encore plus publique que lui en la personne de Laurence Ferrari, future directrice générale de Cnews et Europe 1, sauf si c’est Praud qui est choisi, donne-t-il le mauvais exemple. Il est milliardaire. Son épouse aussi. Et le préjudice qu’il crée ne peut que se retourner contre les pauvres qui, eux, paient, paient et paient jusqu’au bout de leur souffle. Il a triché. La justice l’a enfin rattrapé.
Hier soir, sur LCI, huit des têtes de listes aux Européennes, étaient face à Pujadas que je croyais mort depuis longtemps. Il était bien vivant – je crois – et il était toujours aussi caressant, aussi inodore et incolore, aussi mort que s’il était mort de ne jamais avoir été vivant. Quant aux politicards infatigables, ils ont débité leurs âneries habituelles, âneries déjà employées par Néron ou Borgia – ou même, le fils de la vierge qui a copulé avec un ange sans sexe - et qui ont donné le spectacle affligeant du XXIe siècle. Rien de nouveau sous le soleil, sinon les outrages incessants dû à des psychismes inaboutis et la pratique de l’ignorance la plus dévastatrice pour l’apaisement de la machine humaine qui ne veut plus de cette terre de misère où seuls les terroristes ont tous les droits. Tous les jours, je me félicite de ne plus voter depuis plus de quarante ans. Je refuse que de pareilles merdes représentent mes idées. Je ne suis ni citoyen, ni républicain, ni démocrate. Je suis homme et je pense. Ça me suffit largement, d’autant que lorsque je n’ai pas de réponse à mes questions, je pousse la porte du cabinet de Freud pour traverser mon miroir. Les préliminaires sont réglés depuis longtemps.
mardi 21 mai 2024
vu à travers le tube • haine…
Un monstre boucher là-bas, un politique véreux ici, ont enfin cassé leur pipe. Et les foules se lapident. Mozart est mort. Seul un chien est venu à son enterrement. Pauvre monde détraqué !
La guerre est de partout. Elle fait couler le sang entre les peuples, entre les sexes, entre les genres, entre les idées. Un gros connard a dit : « Aimez-vous les uns les autres ! » Où l’on peut remarquer que le pauvre inachevé n’est jamais allé à l’école.
lundi 20 mai 2024
le puits au fond du jardin • quatre tous et riens…
Raissi, le président barbu qui devait succéder au Guide suprême, est mort en tombant du ciel. L’Iran n’a plus de successeur à son guide, ni de président. La France n’a pas cette chance. Elle a toujours un président, l’enfant incomplet que tout le monde connaît.
Les cheminots franciliens seront encore en grève, demain, pour obtenir le magot dont la cote monte au fil des jours. Les JO auront renversé la vapeur – vapeur/cheminot, vous pigez ? – en dopant furieusement le compte en banque des pauvres et malheureux conducteurs de trains et des encore plus pauvres et encore plus malheureux contrôleurs-délateur. Reste à savoir ce qui se passera après les JO !
À Cannes, sur le tapis, on expose à tout-va, non pas Renoir, Modigliani ou Picasso, mais des chairs – substance molle du corps humain – qui bougent un bras, une jambe, qui se penchent, qui se redressent, qui virevoltent, qui se déchaînent, qui se montrent - même quand c’est vieux et laid -, et qui font le bonheur des photographes et pseudo-journalistes, qui viennent ici pour se rincer l’œil. On dit aussi, que dans des catacombes secrètes, on y projetterait des films. Fake news probablement !
C’était hier soir, sur Canal+Cinéma(s). J’ai vu le film canadien de Mona Chokri « Simple comme Sylvain », où la prof de philo rencontre un menuisier avec lequel elle copule à gogo en trompant son mari. C’était (ré)jouissant, régénérant, assassin pour notre monde immonde, frais comme la rosée du matin, généreux comme les rayons du soleil. C’était beau comme le son du violon de Ginette Neveu sur les sommets des Açores. On était loin de Trier, perdue et disloquée dans sa chute anatomique.
dimanche 19 mai 2024
vu à travers le tube • la faux-cul…
« De l’art d’essayer de relancer une carrière qui est toujours restée au niveau élémentaire. Y’a quand même un os dans l’boudin quand on voit les photos…. Je vous livre ma fille de 19 ans en pâture à Cannes en 2024. Je m’appelle JUJU et je vous ai bien U … L'hypocrisie de tout ce petit monde de l’entre soit du cinéma, encore et toujours, jamais ils ne cesseront de faire leur cinéma dans tous les sens du terme. Les fameux premiers donneurs de leçons de vie qui viennent nous flinguer presqu’exclusivement en direct en maçonne larmoyante, les supposés bourreaux qui les ont érigées en étoiles en stars... ( ah bon ) … dans une attitude oh mon dieu ouinouin très victimaire tellement compassionnelle pour ceux qui admirent ce genre de proutprouts culturellement odorants. La décadence morale côtoie souvent l'égo et l'argent pour ces êtres qui ne regardent que leur nombril ! ( Naphta ) Et après tu t’étonnes ! » (Sergioo Parolinn)
C’est tout pour ce matin.
samedi 18 mai 2024
le puits au fond du jardin • regarder et ne pas voir…
Nouvelle-Calédonie. Et le pouvoir communique, discutaille, réuni, papote et se distrait comme il peut tout au long de ces journées interminables, minées par l’ennui, mais heureusement entrecoupées par les délirants délires de l’égérie, de la madone, de la déesse, de l’impératrice suprême du genre féminin frigidoïde : godiche Godrèche. Moi, je ne m’ennuie pas. Je note. Je renote et rerenote. J’observe et construis les éléments de base pour mon prochain roman ou peut-être mon prochain film ou plus sûrement mon prochain opéra dont le titre pourrait être : « Les Pantalonnades des Marionnettes diaboliques » J’honorerais ainsi la commande passée en mai 68 par la petite ville de Cityfolie où je passe chaque année mes vacances. De liens en liens, j’en ai oublié mon sujet qui était les mouvements de la langue qui émet des sons pour occuper le temps. Pour sauver notre peau du péril islamique et mélenchonien, les mots ne servent à rien. Ils n’ont d’utilité que chez le psychanalyste. Ici, sur le « cailloux », et de partout, il serait judicieux de retourner dans le passé et d’adopter la méthode du policier qui n’a pas hésité à tuer le voyou qui le menaçait d’un Opinel. Plus on en tuera, moins il y en aura. De temps à autre, il m’arrive d’être légèrement logique. Mais il est vrai, et je ne peux m’empêcher de répéter, que la meilleure et seule solution, est de pousser la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser. Si chacun suivait mon conseil, le politique qui est le seul ennemi de l’homme avec le loup et soi-même, n’aurait plus de raison d’être et nous retrouverions le paradis terrestre d’antan, sans la femme coupable, sans serpent visqueux et piquant, sans la pomme de la marâtre, et nous pourrions déployer nos doigts de pieds en éventail, allongés sur la plage d’Elbakabada, en regardant Isolde se dissoudre dans les flots et mourant ses dernières notes : « Homme, regarde derrière toi. Vois-tu que tu n’es pas toi ? «