Ça bouge du côté de chez l’illustre Assange, abandonné par les traitres et les lâches. Prudence. Attendons.
Le débat Attal-Bardella-Bompard est un faux semblant, un trompe-l’œil. Il ne peut rien sortir d’une confrontation entre trois spécimens de races différentes. L’entente entre les races est une illusion malsaine qui entretient les conflits et les guerres et évite le sujet fondamental qui est celui de l’état délabré des psychismes. Si je votais – je ne vote pas (plus) -, je voterais Freud pour la mise en place de sa thérapie psychanalytique, ou Wagner qui a su si bien relater, avec grande précision, la création de l’homme et son fulgurant parcours de voleur parmi les immondices, en compagnie des dieux menteurs, et la fin des deux entités, dans les feux de l’éclair, le fracas du tonnerre, sous les flots submergeant des océans, pour s’achever dans le néant où règne le silence éternel auquel le monde aspire depuis le début des temps.
Pour en revenir au faux semblant et au trompe-l’œil, rien que la sale gueule de l’immonde Bompard me contraint à me diriger sur une autre chaîne, TCM Cinéma par exemple, où l’immense Alfred Hitchcock propose la rencontre entre Grace Kelly et Gary Grand, dans « La Main au collet », film d’un humour intelligent et irrésistible de 1955, que j’ai déjà vu un nombre innombrable de fois. C’est tout de même plus sérieux que de coller son nez sur un écran où trois gugus de troisième catégorie, ignorants et sans pénis, vont raconter des salades avariées que même un crapaud dégénéré refuserait d’avaler.